La crise, oui, mais pas pour tout le monde...
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Nous avons déjà parlé ici, à propos de la réflexion de Martine Aubry, du quinquennat, du court terme et du temps long. Nous avons évoqué les propos de Paul Gilbert, ceux de Royaliste et ceux du Prince Jean : Court terme et temps long...pdf
Voici que Jean-Louis Servan-Schreiber publie Trop vite - Pourquoi nous sommes prisonniers du court terme: c'est l'occasion de rajouter quelques réflexions nouvelles à nos réflexions précédentes...
Extraits, et grain(s) de sel...
Aujourd'hui, c'est Hubert Huertas qui le dit. Et c'est dans La Provence, du 16 avril (page 35), sous le titre -prometteur... - Leurs vieux yeux pour pleurer :
En somme, la République idéologique, héritière de la Révolution, a fait tout ça pour en arriver là. Franchement, ce n'est pas brillant...
Qu'avons-nous besoin de grandes théories, de savantes démonstrations politico/philosophiques pour démontrer abstraitement la supériorité - ou l'inferiorité... - de tel ou tel système, de tel ou tel régime ? Alors qu'il est si simple de juger l'arbre à ses fruits, et d'observer la réalité, les faits, qui - eux - hurlent : 230 ans après que les "immortels principes" (!) aient été proclamés, et 130 ans après qu'on les ait appliqués avec... application, le merveilleux Système a piteusement échoué, il n'a pas tenu ses promesses, il a vieilli - et terriblement mal - et il a mis la France dans un triste état...
Tout ça, pour ça ?...
Le 21 mai, à 10 heures, Lionel Luca, député UMP des Alpes-Maritimes, sera devant le Monument aux morts de Cannes, non loin du Palais des Festivals. Il sera accompagné du maire de la ville, Bernard Brochand, et de Christian Kert, député UMP de Salon. Leur but est de protester contre le film Hors la loi, projeté au cours du Festival de Cannes. Un film, dit Lionel Luca, qui "risque d'attiser la haine des jeunes français d'origine algérienne contre la France et son armée". Ce qui est "irresponsable", selon lui (1).
(envoyé par A.B.....)
I : IDEOLOGIE ET PRINCIPES:
- EGALITE rigoureuse, en tous domaines, sans restrictions (sauf pour les revenus du sport et du showbiz).
- DROITS DE L'HOMME, sans devoirs.
- TOLERANCE absolue, sauf de ce qui est traditionnel;
- ANTIRACISME, c'est-à-dire METISSAGE culturel et racial;
- LIBERTE totale de jugement, dans le cadre des principes déjà cités;
Une fois de plus, et dans toute la France, l'hommage qu'elle mérite a été rendu à Jeanne d'Arc. Il serait difficile et fastidieux - serait-ce d'ailleurs, tout simplement, utile ?... - de relever toutes les manifestations et cortèges johanniques qui se sont déroulés, et d'en rendre compte...
Nous nous arrêterons pourtant aujourd'hui sur un compte-rendu, celui de la Fédération Royaliste Provençale, qui relate brièvement ce qui s'est passé à Marseille, en haut de la Canebière, devant l'église des Réformés; celle-là même où le Prince Jean a souhaité entendre la Messe pour Louis XVI, ce 21 janvier 2010, avec son épouse Philoména et le Prince Gaston.
Parce que ce court résumé explique bien le sens de l'hommage habituel à Jeanne, qui se combine cette année avec l'exaltation du fondateur de la dynastie des Bourbons, à l'occasion de l'Année Henri IV qui lui est consacrée. Et qu'il marque bien, en peu de mots, ce qu'est, et surtout ce que n'est pas, l'attachement que nous portons à Jeanne, au Béarnais et, plus largement, à toutes ces figures emblématiques de notre Histoire, dont les qualités, les vertus et l'action peuvent et doivent nous guider maintenant encore, car elles sont toujours celles qu'il nous faut aujourd'hui....
Bernard Pascaud pose une bonne question, et revient sur l'essentiel lorsqu'il cite, avec pertinence, le Prince Jean: "Le Roi est libre de se consacrer à l'essentiel, car il n'a pas de plan de carrière".
Nous comptions passer avant ce document, mais nous avons pris du retard à cause du virus dont nous vous avons parlé. Voilà donc un retard rattrappé, et une lacune comblée... :
Au Printemps du Livre de Montaigu, le Prince Jean a pu dialoguer avec Eric Zemmour.
Ensemble, ils ont parlé de la France, évidemment, de l’héritage romain et –comme nous le faisions remarquer récemment- du fait que, si les rois de France se voulaient effectivement héritiers de la politique de civilisation des empereurs, et porteurs comme eux d’une sorte de message universel – de ce point de vue de la Civilisation - les rois ont, dès la troisième dynastie (celle des Capétiens) rompu avec ce que Bainville appelle « la chimère impériale » dans laquelle s’étaient « épuisées » - ajoute-t-il encore - les deux premières : la Mérovingienne (fondée par Clovis) et la Carolingienne (de Charlemagne)…
Nous avons passé deux fois déjà ce stupéfiant sujet de David Pujadas sur France 2, consacré à la polygamie en France (1). Cette réalité, soigneusement tue par le Pays légal, est pourtant archi-connue de l'opinion. La France d'en bas, en effet, la connaît bien, on la voit quotidiennement et partout, mais les princes qui nous gouvernent, eux, ne la voient pas, ou font semblant de ne pas la voir.
Pour acheter la paix sociale ? ou ethnique ?...
Jeter un oeil, de temps en temps, sur les courriers des lecteurs -presse ou internet- se révèle utile et, souvent, réconfortant: on a une petite idée, alors, de ce qui se passerait si on laissait s'exprimer librement l'opinion, par exemple dans le cadre de référenda, qu'on appelle votations en Suisse (2); notre exemple d'aujourd'hui est tiré du courrriel d'un lecteur du Figaro Magazine :
(1) : Mais, comme on dit, jamais deux sans trois !...
folies de la republique ideologique.wmv
(2) : cet heureux pays qui, lui, à la différence de la France, vit dans une république non idéologique, et une authentique démocratie, où le peuple conserve le pouvoir, même après l'avoir confié à ses mandants; et peut, à tout moment, par le biais de ces votations que nous évoquions à l'instant, désavouer ses mandants...
On le sait, les propos de Martine Aubry sur le quinquennat ne sont pas passés inaperçus; en tout cas pas chez nous.
Après avoir fait écho aux avis de Paul Gilbert et de Royaliste sur ce sujet - des avis que nous approuvions tout à fait... - il nous a paru bon de donner à celles et ceux qui l'auraient laissé passer l'opinion de Philippe de Saint Robert, dans son article du Figaro du 24 avril :
Mais ses propres propos s'appliquent certainement plus à lui - Patrice Bertin - qu'à la personne objet de son ire et de sa vindicte : le pape Benoît XVI.
Patrice Bertin, plus tout jeune lui non plus, a sans doute cru malin d'ironiser sur le vieux pape. Cette attaque ad hominem, sur l'âge de quelqu'un, c'est tout simplement vil et bas.. :
"Idem pour Benoit XVI , le chemin de Croix du vieux Pape incapable de trouver des mots justes ou simplement humains pour parler des scandales de la pédophilie dans l'Église est plus consternant qu’autre chose".
Manifestement, Patrice Bertin ne connaît pas le dossier. On ne lui en ferait pas le reproche, s'il ne se mêlait de transgresser le vieil adage du solide et robuste bon sens populaire: "Quand on sait pas, on parle pas..."
Que Patrice Bertin n'aime pas le pape, c'est son problème et c'est même son droit. Mais qu'il soit - pour reprendre ses propres termes - "incapable de trouver les mots justes" pour parler de lui, là c''est un signe d'incompétence notoire.
Et, comme il le dit lui-même, c'est "plus consternant qu'autre chose...".
L'avocat de Liès Hebbadj: "Si ça continue, nous allons poursuivre Brice Hortefeux en diffamation".
Une version moderne du "Taisez-vous, Elkabach !" en somme ?
Et, accessoirement, une façon de dire aussi "Taisez-vous, peuple français !" ?...