Le dossier du Point sur "les Rois de France"...
Il n'est certes pas anodin que Le Point, après d'autres, ait jugé utile de publier un dossier sur "Les Rois de France" : 71 pages, tout de même ( toute la fin du magazine, de la page 163 à la 240...).
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Il n'est certes pas anodin que Le Point, après d'autres, ait jugé utile de publier un dossier sur "Les Rois de France" : 71 pages, tout de même ( toute la fin du magazine, de la page 163 à la 240...).
Marion Nazet est historienne. Son genre : les us et coutumes des gens du peuple. Elle a publié un ouvrage intitulé Noël provençal, traditions et saveurs : Nouvé prouvencau, tradicioun e sabour » (1) dans lequel elle détaille par le menu (sans mauvais jeu de mot…) les mille et un charmes de cette fête en Provence, province dans laquelle c’est le moment phare de l’année.
On a pu lire récemment avec plaisir un petit commentaire fort intéressant de Philippe Séguin.
"La crise peut s'avérer bénéfique sur le long terme", a estimé le président de la Cour des Comptes dans un entretien au Parisien Dimanche et Aujourd'hui en France Dimanche.
Bruno Beschizza est Secrétaire Général du Syndicat Synergie Officiers. Il n'a pas sa langue dans sa poche, et c'est tant mieux...
Monsieur Schmitt, on vous sent en colère…
Contre le système ? Totalement, oui. Notre système judiciaire est bien malade.
Télescopage –heureux- de l’actualité : nous parlons une fois de plus d’Éducation, aujourd’hui et demain ; et justement, ce soir, mercredi 17 Décembre, la Nar accueille de nouveau Marcel Gauchet, directeur d'études a l'École des hautes études en sciences sociales et rédacteur en chef du Débat.
La réflexion qu'il développera est évidemment d'une pleine actualité , au moment ou de nombreux enseignants manifestent contre la réforme élaborée par leur ministère, et qui est pour l’instant reportée, en attendant peut-être d’être abandonnée : mais est-ce là le seul et le vrai problème ? est-ce le plus important ?
On voit bien qu’il est essentiel de s'interroger sur "Les conditions de l’éducation". Tel est le titre du récent ouvrage (1) co-écrit par Marcel Gauchet avec Marie-Claude Blais, maître de conférences a l'Université de Rouen et Dominique Ottavi, professeur a l'Université de Caen.
Un an après l’assassinat de sa fille, dans les conditions que l’on sait, le père d’Anne-Lorraine a répondu à de très nombreuses demandes d’entretien et a pu ainsi rencontrer un grand nombre de journalistes, de toutes sensibilités politiques. Il en a profité pour délivrer un message de bon sens et de saine colère, dont nous extrayons les deux réflexions suivantes
Gérard Aschiéri aurait-il, finalement, raison ? Manquerait-on à ce point de moyens pour apprendre aux « jeunes » à se servir correctement des outils ?...
Une dépêche AFP du 14 décembre nous apprend qu’un "jeune" de 15 ans a été gravement blessé à coups de marteau (!) au Plessis-Robinson (Hauts-de-Seine) au cours d'une rixe entre bandes rivales. Le jeune garçon, dans le coma, a été hospitalisé à la Pitié-Salpêtrière à Paris. Vers 20H00, une cinquantaine de jeunes issus de deux bandes rivales, l'une du Plessis-Robinson et l'autre d'Antony (Hauts-de-Seine), se sont affrontés pour une raison encore inconnue près du parc sportif du Plessis-Robinson, selon la police. Peu après la rixe, deux personnes ont été interpellées et placées en garde à vue au commissariat du Plessis-Robinson.
Ces accidents du travail a répétition, et l'augmentation régulière et constante de leur nombre : cela ne devrait-il pas interpeller quelque part nos gouvernants ?...
"Ce projet n'est pas le mien" et "que l'on aille vers une généralisation de l'ouverture des magasins le dimanche, je suis contre, parce que ce ne serait pas rentable" : voilà ce qu'a dit le dirigeant du n°1 de la grande distribution en France à tous les journalistes qu'il a rencontrés...
Pourtant, n'est-ce pas là - dans cette quête frénétique du rentable - le principal argument du gouvernement ?
Au terme d’antisémitisme,consacré par l’usage mais inexact car englobant la haine des Juifs et des Arabes, P.A. Taguieff préfère le néologisme de « judéophobie ». D'où le titre de son récent ouvrage La judéophobie des Modernes; des Lumières au Jihad mondial (1).
La Cité du Vatican a publié, le 9 décembre, le message papal au Cardinal Jean-Louis Tauran, Président du Conseil pontifical pour le dialogue interreligieux, et à Mgr. Gianfranco Ravasi, Président du Conseil pontifical pour la culture, à l'occasion de leur Journée d'études conjointe sur le dialogue des cultures et des religions.
"L'Europe contemporaine qui point au troisième millénaire - y écrit le Pape - est le fruit de deux millénaires de civilisation. Elle trouve ses racines dans le patrimoine immense et antique d'Athènes et de Rome, et surtout, dans la terre féconde du christianisme qui a su créer de nouveaux patrimoines culturels recevant ainsi la contribution originale de chaque civilisation".
Après avoir relevé que, dans le contexte actuel, "il est très important de réfléchir sur nos racines, source abondante de vie au cours des siècles", Benoît XVI a souligné que "même si de nombreux Européens semblent ignorer les racines chrétiennes de l'Europe, elles existent, et devraient tracer la route et alimenter l'espérance de millions de citoyens qui partagent les mêmes valeurs".
Dans sa mini rubrique La pensée du jour, La Provence du lundi 8 décembre cite une phrase (pardon, une "pensée"...) intéressante, et qui va finalement assez loin, de Luc Ferry :
"Comment gouverner les démocraties s'il faut être populaire pour être élu et impopulaire pour réformer ?".
Il a raison. Mais que faire, si l'on reste ou si l'on continue de raisonner dans le cadre des institutions telles qu'elles sont ? Se contenter de constats lucides, comme c'est le cas ici ? Mais après ? Le temps n'est-il pas venu d'instaurer, à la tête de l'Etat, un espace a-démocratique ?
Sans pouvoir prétendre à la perfection, les monarchies européennes nous montrent l'exemple. Il faut dire qu'elles n'ont pas connu la radicalité de notre coupure révolutionnaire, et qu'elles ne fonctionnent pas avec un système directement opposé et contraire à leurs traditions et à leur histoire nationale.
Nous y reviendrons...
Une dépêche AFP nous apprend qu’Eunice Barber a été condamnée le 2 décembre à 5000 euros d'amende par le tribunal correctionnel de Bobigny, qui l'a reconnue coupable de refus d'obtempérer, rébellion et outrage, en 2006 à Saint-Denis.
L'athlète de 34 ans avait résisté violemment à une interpellation le 18 mars 2006 près du Stade de France à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), alors qu'elle s'était engagée au volant de sa voiture dans une voie exceptionnellement interdite. Elle reconnaît toutefois avoir mordu deux agents pour "protéger" son corps, son "outil de travail" ! Savoureux, non ? Ne vaut-il pas mieux entendre cela que d’être sourd ?
C'est Bernard Accoyer, sitôt élu président de l'Assemblée nationale en 2007, qui avait souhaité obtenir un rapport de la Cour des Comptes sur la gestion de cette Assemblée. Dans un "esprit de transparence", comme il le disait lui-même à l'époque, il souhaitait en quelque sorte se situer à mi chemin entre l'audit et l'état des lieux.
Cette volonté de "transparence" était d'ailleurs tout à son honneur. Il ne devait pas se douter de ce qu'il devait trouver dans le rapport de la Cour, qui vient d'être rendu public, et dont le JDD (dimanche 2 Octobre) a été le premier à publier les "bonnes feuilles".
Tout ce que l'on va lire vient donc et du rapport de la Cour des Comptes, et du JDD. Rien que du très officiel et du très vérifiable. Nous n'avons bien sûr rien ajouté de notre propre fait......
On ne parlera pas ici du film Mesrine, l'ennemi public numéro Un en tant que tel; et on ne cherchera en aucune façon à en proposer une quelconque critique, ni de près ni de loin. On s'intéressera juste à cette drôle de maladie, dans laquelle s'inscrit ce film, et qui consiste à présenter au public presque comme des héros des gens qui se sont malgré tout mis en marge des lois et qui ont fait le choix délibéré de la violence, quoi qu'ils en disent.
Cette sorte de fascination morbide pour des violents est en effet vraiment étrange; car, quoi qu'en dise et quoi qu'en pense un certain microcosme, ce sont bien des voyous, même si leur personnalité est complexe, comme c'est le cas avec Mesrine.