C’est trop facile, et cela semble devenu une mode depuis que Besancenot, qui joue au révolutionnaire, s’est mis à pleurer dans les jupons de la justice en pleurnichant « m’sieu, y’m’a espionné » ; voilà qu’un délinquant de banlieue qui joue au dur, au casseur, au loubard se fait tabasser, et se met à pleurer lui aussi (et les siens avec...) : « on m’a tapé ! ».
Mais ce sont les risques du métier, cher monsieur. Vous avez fait votre choix, vous avez choisi votre camp, celui du non respect de la loi, celui de la violence ; et quand vous recevez des coups vous voudriez que cette sale justice bourgeoise de cette sale société de cette sale France vienne à votre secours ?
Soyez logique, monsieur le délinquant. Ce qui vous est arrivé, à la suite d'une interpellation au cours de laquelle vous n'avez pas dû ménager vos "efforts" pour contrer la police, relève de l’accident du travail, point barre...
