Nolwenn Leroy et "sa" Bretagne : dans toutes les Provinces de France, tout ce qui est Racines est bon...
Nolwenn : son succès, "une victoire pour la langue bretonne"
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Nolwenn : son succès, "une victoire pour la langue bretonne"
En 2008, c'était le millénaire de la double procession du saint cordon: un petit tour, le matin, et le grand tour, l'après-midi. Voici donc que débute le deuxième millénaire de cette tradition vivante à Valenciennes. Avec son franc parler habituel, Jean-Louis Borloo a clairement défini l'importance de cette tradition: il y a deux choses -dit-il en substance- qui soutiennent le moral des Valenciennois, le club de foot et le Saint cordon...
http://pagesperso-orange.fr/philippe.harambat/sanctuaires/saintcordon.htm
Même la Révolution, qui a pourtant fait ce qu'elle a pu en démolissant de fond en comble l'église du Saint cordon, n'a pu en venir à bout :
"Le saint Cordon, son reliquaire et l'église qui les contenait, ont disparu à la Révolution. L'église Notre-Dame-la- Grande fut vendue à l'encan et rasée jusqu'aux fondement; le reliquaire fut envoyé à la Monnaie".
Ces fêtes, qui culminent avec le Cortège de l'Assaut, se célèbrent chaque année, à la fin du mois de juin. Elles trouvent leur origine dans un beau fait d'armes, qui mérite d'être raconté...
Le 10 juillet 1472, les ouvriers couvreurs travaillant sur les toits de la cathédrale Saint Pierre voient s’élever, au loin, une poussière immense.
Aussitôt, les 30 églises de la ville donnent l’alarme : il s’agit de l’armée de Charles le Téméraire et de ses Bourguignons qui, sachant la ville sans garnison et ses remparts en mauvais état, pensent s’en emparer sans coup férir. C’est compter sans le peuple et les bourgeois qui, courant aux remparts, et s’improvisant piqueurs, archers ou hallebardiers, soutiennent pendant onze heures l’assaut des Bourguignons aguerris.
Cependant, fatigue et lassitude gagnent les défenseurs. Déjà, un soudard du Téméraire a pris pied sur la porte de Bresles. Il va y planter son étendard et crier "Ville prise !". Alors une femme, Jeanne Laisné, se rue sur lui, l'assomme d'un coup de hache, lui retire sa bannière et le précipite du haut du rempart.
A ce spectacle, les défenseurs reprennent courage, l'ennemi se démoralise et bat en retraite, le Téméraire lève le siège. Beauvais reste au Roi !...
Marion Nazet est historienne. Son genre : les us et coutumes des gens du peuple. Elle a publié un ouvrage intitulé Noël provençal, traditions et saveurs : Nouvé prouvencau, tradicioun e sabour » (1) dans lequel elle détaille par le menu (sans mauvais jeu de mot…) les mille et un charmes de cette fête en Provence, province dans laquelle c’est le moment phare de l’année.
Il suffit juste, au départ, de s’entendre bien sur le mot Racines, ou plutôt sur ce que certains, plus ou moins bien intentionnés, y mettent ou y mettraient....
Bien évidemment, pour nous, les Racines ne se chosissent pas, ne s'inventent pas : elles sont reçues de l'Histoire, données par elle...
La 38 ème édition du Festival Interceltique de Lorient s'est ouverte hier. Elle met à l'honneur, cette année, le pays de Galles.
Des centaines de concerts et d'événements vont se succéder jusqu'au 10 août.
C’est le plus grand festival français. L'Interceltique de Lorient accueille environ 700 000 spectateurs (dont 120 000 à 150 000 payants) et 4 500 artistes...
L'Interceltique est né de ces années 1970 où il fallait réinventer des identités et des appartenances, en même temps que des fraternités et des réseaux. Et, aujourd'hui encore, l'essentiel n'est peut-être pas la succession de concerts dans toute la ville pendant onze jours, ni même dans les fameuses « nuits magiques » qui mettent en scène des centaines de musiciens, de choristes et de danseurs, un écran géant et des splendeurs pyrotechniques, mais le rassemblement. Rassemblement de tous les Celtes, et de tous ceux qui se retrouvent dans l'idée de celtitude.
Le Dimanche 3 Août, au matin, 3 500 musiciens, chanteurs et danseurs s'ébranleront en une longue procession : bagadou de Bretagne et pipe bands d'Écosse, orchestres de cornemuses de Galice et escouades dansantes d'Irlande... : les musiques, les costumes et les identités de tout le monde celte en un seul défilé. Et, à l'honneur comme chaque jour jusqu'au 10 août, le pays de Galles. L'après-midi, mille danseurs célébreront la Bretagne et ses traditions...
Voici un court extrait de ce que l'on peut lire sur le très intéressant site internet du Festival :
https://www.festival-interceltique.bzh/
"La France est le pays des festivals qui se répartissent dans un certain nombre de familles établies : classique, baroque, lyrique, jazz, cinéma, etc... Dans cet environnement, le concept du Festival Interceltique est unique, ouvert, international : "Le Rendez-vous des expressions contemporaines des pays celtiques".
Le Festival Interceltique touche toutes les formes de musiques issues des pays celtiques, des chants millénaires au folk, au rock, au jazz, en passant par les oeuvres symphoniques dans un environnement de création extrêmement prolifique. A la musique se mêlent le cinéma, les arts plastiques, la danse, l’histoire, la littérature, la lutherie, etc...
Vitrine, lieu de rencontre, le Festival Interceltique de Lorient est aussi un formidable moteur de créations, situé dans un environnement qui brille par la richesse de ses créations vivantes...."
On en a beaucoup parlé, à juste titre, et un peu partout : le réseau des sites majeurs de l'architecte militaire de Louis XIV a été ajouté à la liste du patrimoine mondial de l'Unesco.
Dans une actualité parfois bien pénible, il est des coupures heureuses, comme des sortes d'entr'actes, qui nous permettent de nous évader pendant quelques instants du tumulte et du fracas du monde, pour nous ramener.... tout simplement à l'essentiel: à nos racines, à nos Traditions, à notre Histoire. A notre Être profond. A notre Identité.
C'est ce qui vient de se passer avec la découverte, en Arles, d'un extraordinaire buste de Jules César.....
Le Mont-Saint-Michel, haut lieu de la spiritualité occidentale, fêtera à partir du 1er mai et jusqu'en 2009 le 13e centenaire de la fondation de son abbaye.
Mgr Stanislas Lalanne, évêque de Coutances et Avranches, a détaillé devant la presse, le jeudi 10 avril, le programme des festivités: une messe solennelle, des concerts, un festival, des expositions, des pèlerinages et des randonnées.....