UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

LAFAUTEAROUSSEAU - Page 11

  • La décision visant Marine Le Pen est infondée en Droit sur ce qui relève de l’exécution provisoire...

    Sur notre Compte "X" Lafautearousseau Royaliste - LFAR :

    "On salue Noëlle Lenoir, membre honoraire du Conseil Constitutionnel, soulignant que la décision visant @MLP_officiel est infondée en Droit sur ce qui relève de l’exécution provisoire. Cette analyse rejoint celle de la Rédaction de lfar !
     
    Noëlle Lenoire, membre honoraire du Conseil Constitutionnel, à propos de l'inéligibilité de Marine Le Pen : "Cette décision n'est pas fondée en droit... Les juges ont tué la monarchie, ils vont tuer la République."
     
    (extrait vidéo 2'01)
     
     

    1AZZ.jpg

  • Affaire Le Pen : "Ça finira mal !..." dit le perroquet, dans le Conte de Jacques Bainville...

    Thucydide a raison :  "l'Histoire est un perpétuel recommencement...".

    Sous Louis XV et Louis XVI les Juges et les Parlements sont sortis de leur rôle et, ne se contentant plus de la Magistrature, ils firent de la Politique (du moins, celle de leurs intérêts de caste, de privilégiés, qu'ils étaient). Louis XV les renvoya, faisant ainsi la vraie révolution qui s'imposait alors, mais Louis XVI commit l'erreur fatale de les rappeler, ce qui rendit inévitable la catastrophe nationale, européenne et planétaire que l'on connaît sous le nom de "la Révolution" (car, lorsqu'il voulut les renvoyer à son tour, en 1787, se rendant compte de l'erreur fatale du début de son règne, il était trop tard).

    Mitterand, qui fit un passage par l'Action française, ne disait-il pas : "Méfiez-vous des Juges : ils ont détruit la Monarchie, ils détruiront la République..."

    Nous en sommes là. Politisés (à gauche, bien entendu), les Juges ne se contentent plus de jouer leur rôle (rendre la Justice) mais veulent faire - et font - de la politique (de gauche, bien entendu).

    Hier, ils ont flingué Fillon : résultat, on a eu les deux quinquennats calamito/cataclysmiques de Macron.

    Aujourd'hui, ils se "payent" Marine Le Pen.

    Ce n'est plus de la Justice, mais de l'injustice politicarde, car - on l'a bien compris, en France, en Europe et dans le monde - le but de la manoeuvre est d'empêcher Marine Le Pen de se présenter à la prochaine Présidentielle.

    Quitte, pour cela, à tourner le dos à près de huit siècles de saine et bonne Justice royale, qui survécut même à la funeste révolution : c'est Saint Louis qui, dans son Ordonnance de 1258, imposa le fait que toute décision de Justice serait dorénavant susceptible d'appel.

    On ne peut ici noyer le lecteur sous de volumineux détails en langue du Moye-Âge; citons seulement ce très court passage de l'Ordonnance royale :

    "Se aucun vaut fausser jugement, ou païs, ou il appartient que jugement soit faussé, il n’i aura point de bataille, mès les clains, et les respons, et les autres destrains de plet seront apportez en nostre court, et selon les erremens du plet, len fera depécier le jugement, ou tenir, et cil qui sera trouvé en son tort, l’amendera selon la coutume de la terre..."

    Même le lecteur non juriste d'aujourd'hui comprend que cette principale mesure du texte n’emploie pas le terme "appel", mais le très féodal "faussement". 

    Or, aujourd'hui, quel appel peut faire Marine Le Pen ?

    Aucun !

    Il est donc bien clair qu'on n'est plus, là, dans "la Justice" mais dans l'injustice politisée la plus insupportable; et la plus rétrograde, la plus passéiste, qui nous ramène plus de huit siècles en arrière !

    Et par quoi est-elle "justifiée", cette injustice ?

    • Par la crainte de récidive ? Mais il y a belle lurette que Marine Le Pen n'est plus député européenne !

    • Par la crainte que la personne poursuivie ne se soustraie à la Justice ?  Qui peut oser affirmer, sans crainte du ridicule qui tue encore, que Marine Le Pen envisagerait un seul millième de seconde de quitter la France ?

    • Par la crainte de destruction de preuves ? Mais, depuis le temps que dure cette "affaire", quelle preuve craint-on qu'il soit encore possible de détruire ?

    N'étant ni le Rassemblement national, ni les fondés de pouvoir de Marine Le Pen, ce n'est pas à nous d'entrer dans le jeu de cette misérable querelle.

     Nous nous contenterons d'en tirer la leçon politique : un tel scandale sert nos idées et notre proposition de "révolution de la Révolution", car il montre bien la perversité intrinsèque du Système issu de la république idéologique, elle-même issue de la Révolution; et que nous ne sommes ni en république, ni en démocratie...

    Il achève de discréditer ce Système, dont une récente étude - qui a fait grand bruit - montre qu'il ne jouit plus de la confiance des Français, qui ne croient plus en lui

    Au fond, ce que Maurras et la magnifique école de pensée que regroupa l'Action française n'ont pas réussi à faire en leur temps (détruire ce Système maléfique), c'est peut-être le Système lui-même qui est en train de le faire sous nos yeux, par ses tares et ses défauts intrinsèques (Chateaubriand dirait "son imperfection en politique..."); en s'affaissant sur lui-même, en se décomposant sous nos yeux, en ayant perdu toute force de respectabilité, de conviction et d'adhésion du Peuple...

    1AZZ.jpg

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    1AZZZZ.jpg

    Sur notre Compte "X" Lafautearousseau Royaliste :

    "On salue Noëlle Lenoir, membre honoraire du Conseil Constitutionnel, soulignant que la décision visant @MLP_officiel est infondée en Droit sur ce qui relève de l’exécution provisoire. Cette analyse rejoint celle de la Rédaction de lfar !
     
    Noëlle Lenoire, membre honoraire du Conseil Constitutionnel, à propos de l'inéligibilité de Marine Le Pen : "Cette décision n'est pas fondée en droit... Les juges ont tué la monarchie, ils vont tuer la République."
     
    (extrait vidéo 2'01)
     
     

    1AZZZ.jpg

     Le livre écoeurant qui s'est vendu à 315 semaines pendant sa première semaine de parution ! Les auteurs osent y écrire, à propos des assassins qui sont venus "planter des blancs" : "Ils ne sont pas venus à Crépol au bal avec des couteaux pour agresser des gens, ils sont venus et ils avaient des couteaux, c’est différent."

    Un livre, "ça" ? Plutôt un torchon indigne, qui déshonore et condamne ses auteurs. Le public a choisi, décidé, tranché : 315 ventes en une semaine, malgré la sur-médiatisation de médias touts acquis à la gauche extrême !

    Ce n'est plus Leplongeon, c'est le grand plongeon, le naufrage...

    https://www.frontieresmedia.fr/politique/crepol-le-livre-qui-reecrit-le-drame-vendu-a-seulement-315-exemplaires

    Crépol : le livre qui réécrit le drame vendu à seulement 315 exemplaires

     

     

    1AZZZ.jpg

     

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : Bainville contre Keynes : 13 Novembre 1920, Les conséquences politiques de la Paix...

     

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    Pour éviter de trop longs rappels préliminaires, indispensables pour se remettre dans le contexte de ce mois de novembre 1920, on se reportera aux épisode 61, épisode 62 et  épisode 63 (sur le président Wilson), de notre Feuilleton Jacques Bainville...

    Voici le lien conduisant à la "Une" du Samedi 13 Novembre 1920, qui se contente d'annoncer la parution de cet ouvrage

    "qui est appelé à un retentissement certain en France et hors de France. On classera les Conséquences politiques parmi les ouvrages les plus originaux qui aient été écrits sur la paix."

    1A.png

    1A.png

    1AA.png

    1AZZZ.jpg

    • C'est le journal lui-même, dans un article non signé, qui fera la première présentation de ce "livre remarquable", dans sa "Une" du Mercredi 17 Novembre 1920 :

    Lire la suite

  • Dans notre Éphéméride de ce jour... : Sociaux parce que royalistes !

    1834 : Naissance de François-René de la Tour du Pin

     

    1A.jpg

     

    Avec Albert de Mun, voir l'Éphéméride du 6 octobre), Le Play (voir l'Éphéméride du 5 avril), Alban de Villeneuve Bargemon (voir l'Éphéméride du 8 août) et d'autres il fait partie de ces Légitimistes trop souvent ignorés aujourd'hui, et injustement traités, à qui Michel Mourre a rendu justice, dans son Dictionnaire encyclopédique d’Histoire, article Légitimistes (page 2624, extrait) :

     

    "…Ce serait faire une caricature que de représenter tous les légitimistes comme des nostalgiques du passé, fermés aux problèmes de leur temps ; bien au contraire, ils furent les premiers, avec les socialistes, à dénoncer les méfaits du capitalisme sauvage. Villeneuve-Bargemon, dans son Traité d’économie politique chrétienne (1834) et Villermé, dans sa grande enquête de 1840 sur la condition ouvrière, furent les précurseurs du catholicisme social. Bénéficiant de la confiance d’une grande partie des masses rurales, les légitimistes firent campagne, souvent en liaison avec les républicains, contre le régime électoral censitaire de la Monarchie de Juillet. Leur force électorale se manifesta après la Révolution de 1848, avec 100 élus à l’Assemblée constituante (avril 1848) et 200 à l’Assemblée législative (mai 1849). Cédant à l’affolement suscité par l’émeute socialiste de juin 1848, la plupart des députés légitimistes se réunirent avec les orléanistes dans le "parti de l’Ordre" . Fermement hostiles au coup d’Etat du 2 décembre et au second Empire, ils apparurent, après les défaites de 1870, comme les hommes de l’ordre et de la paix et eurent de nouveau près de 200 élus à l’Assemblée nationale élue en février 1871.

    Ils incarnaient toujours la vieille France rurale, mais, avec Albert de Mun et La Tour du Pin, ils continuaient aussi à affirmer leurs préoccupations sociales et leur soucis de défendre les ouvriers contre les abus du capitalisme..."

     

    Biographie proposée par Biographie.net.pdf : 

     François René de la Tour du Pin Chambly.pdf

     

    1A.png

    ...pour reprendre l'excellente formule du Groupe d'action royaliste

  • Éphéméride du 1er avril

    1933 : Naissance de Claude Cohen-Tannoudji, Prix Nobel de physique 1997 pour ses travaux sur "le développement de méthodes pour refroidir et piéger des atomes avec des faisceaux laser"  (photo : l'ordinateur quantique) 

     

     

     

    1328 : Avènement de Philippe VI de Valois 

     

    Il est le cousin de Charles IV le Bel, le dernier des Capétiens directs (voir les Éphémérides des 1er et 2 février).

    Son accession sur le trône de France en 1328 découle d'un choix politique, déjà fait à la mort de Louis X le Hutin en 1316, et donc renouvelé à celle de Charles IV, afin d'éviter que la couronne ne passe dans les mains d'un étranger : Édouard III d'Angleterre, pourtant petit-fils de Philippe le Bel par sa mère, Isabelle, est donc évincé au profit du neveu de ce dernier.

    C'est le prétexte direct, sinon la cause réelle, de la Guerre de cent ans...

    philippe vi.jpg
    Philippe VI de Valois
     

    Dans notre album L'aventure France racontée par les cartes voir la photo "La France de 1180 à 1328", c'est-à- dire de l'avènement de Philippe Auguste à la mort de Charles IV, le dernier "capétien direct"...   

     

    1er avril,philippe vi,charles ix,guerre de cent ans,poissons d'avril,premier janvier,premier mai,napoleon,joseph de maistre,louis xvi,la tour du pin
     

    Lire la suite

  • Éphémérides du mois d'avril : Tables des Matières

     

    1157421302.jpg: 1328 : Avènement de Philippe VI. 1565 : les premiers "poissons d'avril". 1753 : Naissance de Joseph de Maistre. 1755 : Naissance de Brillat-Savarin. 1834 : Naissance de François-René de La Tour du Pin. 1921 : Adrienne Bolland réalise la première traversée des Andes en avion... 1933 : Naissance de Claude Cohen-Tannoudji. 1950 : Dans L'Épuration et le délit d'opinion, Marcel Aymé explique son refus de la Légion d'Honneur... 2017 : Ouverture au public des Jardins XVIIIème de Chambord intégralement reconstitués.

    2 : 1715 : Aux origines du Haras du Pin... 1750 : Naissance de Marie-Étienne Nitot. 1791 : Mort de Mirabeau. 1810 : Napoléon épouse Marie-Louise d'Autriche. 1841 : Naissance de Clément Ader. 1915 : Création de la Croix de Guerre.

    : 1367 : Du Guesclin prisonnier du Prince noir. 1369 : Apparition du Tir sportif. 1559 : Traité de Cateau-Cambrésis. 1591 : Naissance d'Yves Nicolazic. 1711 : Découverte de l'île de Clipperton. 1987 : Cérémonie d'ouverture du Millénaire Capétien... 1994 : Mort du Professeur Jérôme Lejeune. 2007 : Nouveau record de vitesse pour le TGV. 2017 : Découverte d'une "petite Pompéi viennoise".

    Lire la suite

  • Affaire Le Pen : "Ça finira mal !..." dit le perroquet, dans le Conte de Jacques Bainville...

    Affaire Le Pen : "Ça finira mal !..." dit le perroquet, dans le Conte de Jacques Bainville...

    Thucydide a raison :  "l'Histoire est un perpétuel recommencement...".

    Sous Louis XV et Louis XVI les Juges et les Parlements sont sortis de leur rôle et, ne se contentant plus de la Magistrature, ils firent de la Politique (du moins, celle de leurs intérêts de caste, de privilégiés, qu'ils étaient). Louis XV les renvoya, faisant ainsi la vraie révolution qui s'imposait alors, mais Louis XVI commit l'erreur fatale de les rappeler, ce qui rendit inévitable la catastrophe nationale, européenne et planétaire que l'on connaît sous le nom de "la Révolution" (car, lorsqu'il voulut les renvoyer à son tour, en 1787, se rendant compte de l'erreur fatale du début de son règne, il était trop tard).

    Mitterand, qui fit un passage par l'Action française, ne disait-il pas : "Méfiez-vous des Juges : ils ont détruit la Monarchie, ils détruiront la République..."

    Nous en sommes là. Politisés (à gauche, bien entendu), les Juges ne se contentent plus de jouer leur rôle (rendre la Justice) mais veulent faire - et font - de la politique (de gauche, bien entendu).

    Hier, ils ont flingué Fillon : résultat, on a eu les deux quinquennats calamito/cataclysmiques de Macron.

    Aujourd'hui, ils se "payent" Marine Le Pen.

    Ce n'est plus de la Justice, mais de l'injustice politicarde, car - on l'a bien compris, en France, en Europe et dans le monde - le but de la manoeuvre est d'empêcher Marine Le Pen de se présenter à la prochaine Présidentielle.

    Quitte, pour cela, à tourner le dos à près de huit siècles de saine et bonne Justice royale, qui survécut même à la funeste révolution : c'est Saint Louis qui, dans son Ordonnance de 1258, imposa le fait que toute décision de Justice serait dorénavant susceptible d'appel.

    On ne peut ici noyer le lecteur sous de volumineux détails en langue du Moye-Âge; citons seulement ce très court passage de l'Ordonnance royale :

    "Se aucun vaut fausser jugement, ou païs, ou il appartient que jugement soit faussé, il n’i aura point de bataille, mès les clains, et les respons, et les autres destrains de plet seront apportez en nostre court, et selon les erremens du plet, len fera depécier le jugement, ou tenir, et cil qui sera trouvé en son tort, l’amendera selon la coutume de la terre..."

    Même le lecteur non juriste d'aujourd'hui comprend que cette principale mesure du texte n’emploie pas le terme "appel", mais le très féodal "faussement". 

    Or, aujourd'hui, quel appel peut faire Marine Le Pen ?

    Aucun !

    Il est donc bien clair qu'on n'est plus, là, dans "la Justice" mais dans l'injustice politisée la plus insupportable; et la plus rétrograde, la plus passéiste, qui nous ramène plus de huit siècles en arrière !

    Et par quoi est-elle "justifiée", cette injustice ?

    • Par la crainte de récidive ? Mais il y a belle lurette que Marine Le Pen n'est plus député européenne !

    • Par la crainte que la personne poursuivie ne se soustraie à la Justice ?  Qui peut oser affirmer, sans crainte du ridicule qui tue encore, que Marine Le Pen envisagerait un seul millième de seconde de quitter la France ?

    • Par la crainte de destruction de preuves ? Mais, depuis le temps que dure cette "affaire", quelle preuve craint-on qu'il soit encore possible de détruire ?

    N'étant ni le Rassemblement national, ni les fondés de pouvoir de Marine Le Pen, ce n'est pas à nous d'entrer dans le jeu de cette misérable querelle.

     Nous nous contenterons d'en tirer la leçon politique : un tel scandale sert nos idées et notre proposition de "révolution de la Révolution", car il montre bien la perversité intrinsèque du Système issu de la république idéologique, elle-même issue de la Révolution; et que nous ne sommes ni en république, ni en démocratie...

    Il achève de discréditer ce Système, dont une récente étude - qui a fait grand bruit - montre qu'il ne jouit plus de la confiance des Français, qui ne croient plus en lui

    Au fond, ce que Maurras et la magnifique école de pensée que regroupa l'Action française n'ont pas réussi à faire en leur temps (détruire ce Système maléfique), c'est peut-être le Système lui-même qui est en train de le faire sous nos yeux, par ses tares et ses défauts intrinsèques (Chateaubriand dirait "son imperfection en politique..."); en s'affaissant sur lui-même, en se décomposant sous nos yeux, en ayant perdu toute force de respectabilité, de conviction et d'adhésion du Peuple...

    1AZZ.jpg

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Dans le JDD :

    "Soupçons de détournement et d'abus de confiance : Mélenchon dans le viseur de l’Office antifraude européen

    Le fondateur de LFI est au cœur d’une enquête depuis 2017, qui doit déterminer s’il a utilisé des fonds du Parlement européen lorsqu’il était eurodéputé pour financer ses ambitions politiques en France..."

    https://www.lejdd.fr/politique/soupcons-de-detournement-et-dabus-de-confiance-melenchon-dans-le-viseur-de-loffice-antifraude-europeen-156512?at_medium=Fan+Page&at_campaign=Twitter&at_creation=JDD

     

    Jean-Luc Mélenchon.

     

    1AZZZ.jpg

     

    Lire la suite

  • L’Arménie en danger de mort, par Antoine de Lacoste

    Le Haut-Karabakh, de la guerre sans fin au conflit par procuration - ritimo

     

    L’Arménie va-t-elle disparaître ? Cette question, qui eût été incongrue dans les années 1990, est aujourd’hui d’une actualité inquiétante.

    L’Azerbaïdjan et l’Arménie viennent en effet d’annoncer la conclusion prochaine d’un traité de paix. Ce qui pourrait augurer d’une bonne nouvelle, risque en réalité se révéler être la concrétisation des multiples concessions qu’exige le dictateur Aliev depuis la victoire de son armée.

    Revenons en arrière pour bien comprendre l’enchaînement des faits. Les conflits territoriaux entre les deux pays sont anciens. Avant même l’éclatement de l’Union soviétique, dont ils étaient deux des républiques, leurs armées s’affrontèrent au cours d’une guerre très meurtrière. Tout avait démarré le 12 juin 1988 lorsque la région autonome du Haut-Karabagh fit sécession de la république d’Azerbaïdjan à laquelle Staline avait décidé de la rattacher en 1920 malgré les protestations arméniennes. Tout au long de ces années, les tensions entre les deux pays avaient été nombreuses mais bien évidemment le système soviétique empêchait qu’elles dégénèrent en conflit armé.

    Lire la suite

  • Dans notre Éphéméride de ce jour : le "Kiel et Tanger" de Maurras...

    1905 : Guillaume II débarque à Tanger
     
        

    1AA.jpg

     
    Ce "Coup de Tanger" (qui sera suivi, en 1911, du "Coup d'Agadir") est directement à l'origine de l'un des livres majeurs de Charles Maurras, Kiel et Tanger....
     
    Dans son remarquable L'Âge d'or du Maurrassisme, Jacques Paugam situe bien les choses (Livre III, chapitre IV, pages 207 et suivantes...) :
     
    "C'est une période de tension internationale, qui consacre, selon l'Action française, le renforcement de la puissance de l'Allemagne en même temps qu'un dangereux affaiblissement de l'Europe..
    Guillaume II se livre à un véritable coup de poker diplomatique dont l'issue ne lui est pas aussi favorable qu'il ne l'espérait. En mars 1905, il se rend à Tanger et se pose en protecteur de l'indépendance du Maroc face aux convoitises françaises. Ce geste s'insère dans un jeu diplomatique assez compliqué, les objectifs généraux de sa politique étant de détruire ou l'alliance franco-russe ou l'entente cordiale...
    ...(Kiel et Tanger) commence à paraître dans la Revue à partir du 1er septembre 1905... Il y a dans cette étude deux parties. Ce que l'on y a vu le plus souvent : le bilan d'une politique menée depuis qu'à Kiel, le 18 juin 1895, jour du quatre-vingtième anniversaire de Waterloo, les vaisseaux français rencontrèrent les vaisseaux russes avec les escadres allemandes...
    Mais il y  a autre chose dans cette étude; c'est la définition du rôle que la France aurait à jouer dans le monde du XXème siècle. Il y a là, en particulier dans une section XVIII, l'un des plus grands textes de Maurras, l'un des plus actuels..."
     
     
    Pierre Lafarge a parfaitement résumé tout ceci : 
     
     
     

    henri ii,claude de france,francois premier,saint denis,chateaubriand,bourbons,bonaparte,napoléon,tour eiffel,saint john perse

    "Un acquis pour la suite des temps..." disait Boutang...

     

    Dans la section XVIII, dont parle Paugam, se trouve le chapitre XXIV, qui forme - intégralement - notre deuxième Grand Texte :

    Que la France pourrait manoeuvrer et grandir..." :

     

    Dans notre Album Maîtres et témoins (III) : Léon Daudet, voir également les cinq premières photos de la partie 7, "L'Avant-guerre (I), les débuts du journal..."   

    • Et aussi cet excellent article de Benjamin Fayet, paru le 19 novembre 2014 sur le site Histoire Philit :

    Kiel et Tanger de Charles Maurras : essai géostratégique visionnaire et source intellectuelle de la Vème République

  • Éphéméride du 31 mars

    Palerme, de nos jours

     

     

     

    1282 : Massacre des Français à Palerme, lors des "Vêpres siciliennes"

     

    Les "Vêpres siciliennes" désignent le soulèvement populaire de la Sicile contre la domination du roi français Charles d’Anjou, frère de Louis IX (futur Saint Louis), survenu le mardi de Pâques. À la suite de ce soulèvement et du massacre des Français, les Siciliens passent sous la protection du roi d’Aragon, Pierre III.

    À cette époque, l’Italie est le théâtre de la lutte entre les partisans du pape (les "Guelfes") et ceux de l'empereur (les "Gibelins"). En 1250, l'empereur Frédéric II de Hohenstauffen, roi de Sicile et ennemi déclaré de la papauté, décède. Son fils, Conrad IV, lui succède mais ne règne que quatre ans, et meurt en 1254 :  le pape Innocent IV, suzerain nominal de la Sicile, veut profiter de la minorité de son fils Conradin pour évincer les Hohenstaufen d’Italie. Le régent de Conradin, Manfred de Hohenstauffen, fils bâtard de Frédéric II, se proclame roi en 1258, au détriment de son neveu. Il est alors excommunié et privé de son royaume par le pape, qui investit Charles d’Anjou (frère du roi de France, Louis IX, le futur saint Louis) roi de Sicile, en 1266.

    Charles envahit le sud de la péninsule italienne et tue Manfred à la bataille de Bénévent, le 26 février 1266, mais il doit, alors, faire face par la suite aux attaques de Conradin, dorénavant assez âgé pour faire valoir ses droits. Conradin, vaincu, est fait prisonnier en1268, et décapité.

    Mais les ambitieux projets de Charles d’Anjou (une nouvelle Croisade contre les musulmans mais aussi la guerre aux Byzantins pour les contraindre à l’union religieuse avec Rome) et, surtout, les exactions des seigneurs qui entourent Charles entraînent, dans l'aristocratie et les classes urbaines siciliennes, un rejet des Français.

    Le roi Pierre III d’Aragon (une grande puissance maritime, à l’époque) est très intéressé par la Sicile; de son côté, l’empereur Byzantin Michel VIII Paléologue, inquiet des visées sur l'Orient qu'entretient Charles d'Anjou, est également approché par des émissaires siciliens.

    henri ii,claude de france,francois premier,saint denis,chateaubriand,bourbons,bonaparte,napoléon,tour eiffel,saint john perseLe soulèvement des "Vêpres siciliennes" débute le 30 mars – lundi de Pâques - à Palerme et à Messine à l’heure des vêpres, au son des cloches. Le 31 mars - mardi de Pâques – lors du pèlerinage habituel des familles palermitaines de la Porte Sainte-Agathe à l'Église du Saint-Esprit (Santo Spirito) hors les murs, c’est l'embrasement : les Français ont-ils recherché des armes sur les jeunes gens et sur les femmes ? Ont-il offensé une jeune fille, ou bien des enfants, qu’ils auraient insultés ? Leur auraient-ils jeté des pierres ? Quel que soit la cause, difficile à établir avec certitude, l’ensemble des Français et des Italiens qui les soutiennent est massacré, au cri de "Mort aux Français !".

    Une seule commune ne participe pas à la rébellion, et donc au massacre des Français : celle de Sperlinga, dont le château (ci-dessous) porte encore, sur l’arc en ogive de sa première chambre, la devise gravée sur deux pierres :  

    Quod Siculis Placuit Sola Sperlinga Negavit : ce que les Siciliens ont aimé, seule Sperlinga l’a nié 

    henri ii,claude de france,francois premier,saint denis,chateaubriand,bourbons,bonaparte,napoléon,tour eiffel,saint john perse

    henri ii,claude de france,francois premier,saint denis,chateaubriand,bourbons,bonaparte,napoléon,tour eiffel,saint john perse

     

    Lire la suite

  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

     
    lfar flamme.jpg
     
     
     
    1834 : Naissance de François-René de la Tour du Pin...
     
    Avec Albert de Mun, Le Play, Alban de Villeneuve Bargemon et d'autres il fait partie de ces Légitimistes, royalistes parce que sociaux, qui sont l'honneur du royalisme français et qui montrent, aujourd'hui encore, la voie de l'authentique monarchie populaire...
     
    lafautearousseau

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Mathieu Bock-Côté défend Éric Zemmour, condamné pour ses propos sur l'assassinat de Thomas à Crépol :

    "A ce jour 100% des personnes condamnées dans le drame de Crépol sont des défenseurs de Thomas"

    Le Système et sa pseudo justice pourrie (à son image) a choisi son camp, il y a longtemps qu'on le sait : ses amis, c'est la racailles; ses ennemis, ce sont les Français qui s'en plaignent...

    (extrait vidéo 10'20)

    https://x.com/F_Desouche/status/1905622646139605241

    Mort de Thomas à Crépol : en garde à vue, les suspects confirment la  présence de couteaux - Le Parisien

     

    1AZZZ.jpg

     

    Lire la suite

  • Éphéméride du 30 mars

    3O mars 1930 : première élection de la Reine d'Arles

     

     

     

    1349 : Par le Traité de Romans, le Dauphiné est réuni à la France...

     

    30 mars,charles v,dauphiné,dauphin,vauban,louis xiv,saint simon,verlaine,bourse de paris,mistral,reine d'arles,vigee lebrun

    En 1349, le roi de France Philippe VI conclut le Traité de Romans qui donne, contre une forte somme, le Dauphiné à son petit-fils qui, après le règne de Jean le Bon, devient roi sous le nom de Charles V en 1364.

    Pour le Royaume de France, l'avancée territoriale, à l'est du Rhône, est très importante; elle est surtout le premier pas dans l'acquisition de la "frontière naturelle" du sud-est : les Alpes. Un processus qui demandera cependant cinq siècles et demi :

    un siècle et demi plus tard, en 1482, la Provence deviendra française (voir l'Éphéméride du 15 janvier);

    puis, en 1601, Henri IV réunira le Bugey, la Bresse et le pays de Gex, permettant ainsi à la France d'atteindre la rive nord du Léman (ou Lac de Genève) avec la possession de la ville de Versoix. Malheureusement, en guise de punition après les Cent Jours, Versoix et sept communes voisines nous furent enlevées et données au Canton de Genève, en 1815.

    enfin, en  1860, Nice et la Savoie deviendront françaises (voir l'Éphéméride du 24 mars). Les deux communes de Tende et La Brigue, qui avaient voté pour le rattachement, furent laissées au roi d'Italie (comme domaine de chasse !...) et durent attendre une nouvelle consultation, en 1947, pour être, à leur tour rattachées à la France. Le Val d'Aoste avait été malencontreusement "oublié" par les plénipotentiaires de Napoléon III, et ne fut donc pas consulté : il y a fort à parier qu'il aurait voté dans le même sens.

    30 mars,charles v,dauphiné,dauphin,vauban,louis xiv,saint simon,verlaine,bourse de paris,mistral,reine d'arles,vigee lebrunUne des clauses du Traité de Romans stipule que le Prince héritier portera dorénavant le nom de Dauphin, le Dauphiné ayant à perpétuité le prestigieux honneur d'être l'apanage du fils aîné du roi de France, donc son héritier.

    Le blason évolue et indique le statut de fils de France par la juxtaposition des armes traditionnelles du Dauphiné de Viennois et des armes de France :

    Écartelé de :
    1 et 4 - France moderne (d'azur à trois fleurs de lys d'or)
    2 et 3 - Dauphiné de Viennois (d'or au dauphin d'azur, crêté, barbé, loré, peautré et oreillé de gueules)
     

     

    30 mars,charles v,dauphiné,dauphin,vauban,louis xiv,saint simon,verlaine,bourse de paris,mistral,reine d'arles,vigee lebrun
     

    Lire la suite