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(Avant-hier, sur LCI ("24 Pujadas") puis sur le JT DE 20h de TF1...)
À propos de cette remigration, indispensable pour en finir avec cette "submersion migratoire" dont a parlé François Bayrou :
1. Sur LCI, d'abord, Robert Ménard a proféré une énormité (et, au vu de la tragédie que ce fut, une insanité) à propos de la remigration. Il a dit, en substance, que c'était une absurdité que d'y penser seulement, que cela était impossible et que jamais personne n'avait fait cela nulle part.
Faux et archi faux !
Qu'ont fait les terroristes/assassins soviétisés du FLN en 62, vis-à-vis de nos compatriotes d'Algérie ? Ce fut "la valise ou le cercueil", et un million de nos compatriotes chassés de leur petite patrie; non pas "rapatriés" (puisque leur petite patrie était l'Algérie) mais "réfugiés" en métropole, pour ne pas être assassinés, torturés...
Question "remigration", on a là l'exemple type de ce qui s'est passé (en mal), hier, et qui peut et doit se repasser (en bien) demain, mais dans l'autre sens, et pour une autre population...
2. Une petite demi-heure plus tard, pendant le JT de 20h de TF1, une femme musulmane, voilée, exprime ses peurs et ses angoisses : elle ne se sent plus en sécurité en France, et dit qu'il va falloir penser sérieusement à "activer le plan B". Question faussement naïve, à un centime d'euro, du journaleux : "Qu'est-ce que le plan B ?". Et la voilé de répondre, évidemment : "Quitter la France"...
Mais, allez-y, chère Madame, n'hésitez pas, n'hésitez plus : activez ! Activez votre "plan B" ! Et quittez la France, qui était beaucoup plus "vivable" avant que les scélérats décrets Chirac de 75/76 ne viennent "changer le peuple" comme ils l'ont fait.
Tout le monde s'en trouvera mieux : vous, qui n'aurez plus peur, et nous, qui retrouverons le pays que nous avons connu, "avant"...
Il s'éteint au Clos Lucé, à l'âge de 67 ans : il vient d'écrire "Nul être ne va au néant", et de recevoir les sacrements de l'Église.
Ci dessous, son autoportrait (sanguine).
C'est François Premier, désireux d'introduire l’art italien dans le royaume, qui a décidé d’inviter le plus grand artiste de son temps, à le rejoindre en France avec le titre de "premier peintre, ingénieur et architecte du roi".
En 1517, Léonard, qui a déjà 65 ans, est universellement reconnu pour son génie et ses talents multiples dans le dessin, la peinture (il est à l'origine du sfumato, technique de l'estompé), la sculpture et l’architecture :
Voici le lien conduisant à la "Une" du Samedi 19 Avril 1924... C'est Maurras qui parle, ce jour-là, à l'occasion du quatre-vingtième anniversaire de la naissance de l'écrivain; nul ne sait, alors, que, six mois plus tard, ce sera Daudet qui écrira l'éloge funèbre de France (de son vrai nom, François Anatole Thibault), décédé le 12 Octobre...
L'article de Maurras occupe l'intégralité de la première colonne et quasiment toute la deuxième...
1802 : Fondation de l'École Spéciale militaire de Saint Cyr
1402 : Jean de Béthencourt quitte La Rochelle avec son associé, Gadifer de la Salle
Jean de Béthencourt est alors Chancelier de Charles VI.
Il débarque à Lanzarote, île peu peuplée de l’archipel des Canaries, et soumet facilement les Guanches qui habitent l’île. Il conquiert ensuite les îles voisines de Fuerteventura et de El Hierro, reconnaissant la suzeraineté du roi de Castille, Henri III. Celui-ci lui concède en retour le titre de Roi des îles Canaries.
Originaire de Grainville-la-Teinturière, dans le pays de Caux, en Normandie, il meurt sans descendance, transmettant ses biens et son nom à ses familiers. Il est ainsi à l'origine des diverses familles Bettencourt ou Betancour (l'orthographe variant selon les zones géographiques et linguistiques).
1 : 1402 : Début de l'expédition de Jean de Béthencourt. 1449 : Institution par les Orfèvres parisiens de l’Offrande du May à Notre-Dame de Paris. 1569 : Charles IX lance la coutume du muguet du premier mai. 1635 : Pose de la première pierre de la Chapelle de la Sorbonne. 1633 : Naissance de Vauban. 1802 : Fondation de l'École militaire de Saint Cyr. 1822 : Inauguration du Pont de pierre de Bordeaux. 1909 : Délimitation de l'aire de production du Cognac. 1957 : Millénaire de la Foire du Trône...
2 : 1519 : Mort de Léonard de Vinci. 1598 : Paix de Vervins. 1688 : Paix d'Aix-la-Chapelle (Lille devient française). 1684 : La Fontaine entre à l'Académie française. 1808 : Soulèvement du peuple de Madrid contre les Français, et début de la Guerre d'Espagne... 1841 : La Ville de Paris offre une épée, pour son baptême, au fils du Duc d'Orléans, Philippe VII. 1857 : Mort d'Alfred de Musset. 1888 : Naissance de Maxime Real del Sarte.
3 : 1324 : Première remise du Prix des Jeux Floraux de Toulouse. 1753 : Naissance de Jeanne-Renée de Bombelles. 1766 : Création de l'Agrégation. 1803 : La cession de la Louisiane aux États-Unis devient définitive. 1822 : Inauguration du Canal Saint-Martin. 1902 : Naissance d'Alfred Kastler. 1908 : Inauguration de la statue de Notre-Dame du Liban, à Harissa. 1925 : Décès de Clément Ader, père de l'aviation. 1938 : Début du voyage de Maurras en Espagne, "chez Franco"... 1958 : Réouverture du Musée de la Chartreuse de Douai. 2002 : Lancement du satellite SPOT 5.
62 légionnaires du capitaine Danjou résistèrent jusqu’au bout face à 2.000 Mexicains. La vie plutôt que le courage les abandonna. Hommage aux héros de la Légion étrangère.
Le Portugal hésite encore; en Suisse la très grande majorité des décideurs veut annuler le "contrat F35" imposé par Biden, pour acquérir des Rafales, ce qui était le voeu de tous les experts...
Phoebus est le nom latin d'Apollon, dieu du soleil. Gaston de Foix et de Béarn - qui prit d'ailleurs le soleil comme emblème - reçut ce surnom flatteur dès sa naissance, en raison de sa grande beauté et de son éclatante chevelure blonde.
Ce n'est pas pour ses qualités politiques qu'il restera dans l'Histoire, car son action fut plutôt erratique : d'abord ami et allié du roi de France Philippe VI, il se brouilla avec son successeur Jean II le Bon, se rapprochant des Anglais, au tout début de la Guerre de Cent ans, puis se réconcilia avec Charles V, et laissa même tous ses biens en héritage à Charles VI, juste avant de mourir.
Ce sont plutôt ses qualités reconnues d'homme de goût, raffiné et grand amateur d'art qui font se souvenir de cet ami de Froissart, qui écrivit de lui :
"J'ai vu bien des chevaliers, des rois, des princes. Mais jamais je n'en vis qui fut de si magnifique stature et de si merveilleuse prestance. Son visage était très beau, coloré et rieur. Ses yeux étaient verts et amoureux. En toutes choses il était parfait. Il aimait ce qu'il devait aimer, haïssait ce qu'il devait haïr. Il était aimable et accessible à toutes gens et il leur parlait doucement et amoureusement. Mais dans son courroux nul n'avait pardon."
Gaston Phoebus avait pris pour devise Toca-i se gausas (Touches-y si tu oses, qui est encore aujourd'hui la devise des villes de Foix et d'Orthez). Grand amateur de chasse, il écrivit le Livre de chasse, qui reste l'un un des meilleurs traités médiévaux sur le sujet, et curieusement écrit en français, alors que la langue maternelle de Gaston était le béarnais : même Buffon, dans sa célébrissime Histoire naturelle y puisera de nombreuses, et précieuses, informations !
Il composa également un Livre des oraisons, recueil de prières rédigées également en français, mais aussi - poète, grand amateur de musique et compositeur d'œuvres musicales - un recueil de chansons, le chansonnier provençal dit de Saragosse, conservant 18 pièces écrites, elles, non pas en français mais en langue d'oc.
Une tenace tradition orale - loin d'être absurde, ou impossible... - lui attribue la paternité du magnifique chant Se canto(ouAquelas montanhas), qui est de nos jours encore comme une sorte d'air commun, de signal de ralliement dans la beauté, la musique et le chant de tous les peuples du Midi.
Gaston Phoebus aurait composé cette sorte d'hymne, magnifique, en l'honneur de sa première épouse, Mirabel, assassinée alors qu'elle attendait leur premier enfant, par un envoyé de Charles le Mauvais; ou alors parce qu'elle l'aurait quitté, lassée de ses infidélités; ou encore, elle aurait été contrainte de se réfugier en Navarre, loin de lui, et de l'autre côté de ces montagnes, "que tan auto soun"...
Il existe un grand nombre de "textes" de ce chant, chaque province ayant, en quelque sorte le sien. La plus ancienne version écrite connue date de 1349, et elle est en béarnais. Nous donnons ci-après la version provençale, selon la graphie mistralienne...
Refrain
Se canto, que cante ! S'il chante, qu'il chante !
Canto pas pèr iéu : Il ne chante pas pour moi :
Canto pèr ma miò, Il chante pour ma mie,
Qu'es au liuen de iéu. Qui est loin de moi !
I
Aquéli mountagno Ces montagnes
Que tan auto soun Qui si hautes sont
M'empachon de vèire M'empêchent de voir
Mis amour ount soun. Mes amours là où elles sont.
II
Auto, bèn soun auto, Hautes, elles ont bien hautes,
Mai s'abeissaran Mais elles s'abaisseront,
E mis amoureto Et mes amourettes
Vers iéu revendran. Vers moi reviendront.
III
Souto ma fenèstro Sous ma fenêtre
I'a un auceloun : Il y a un petit oiseau :
Touto la niue canto, Toute la nuit il chante,
Canto sa cansoun Il chante sa chanson
IV
Avau dins la plano En-bas, dans la plaine
I'a'n pibòu trauca, Il y a un peuplier troué :
Lou couguiéu ié canto Le coucou y chante
Quand ié vai nisa. Quand il y va nicher.
V
A la font de Nimes, A la fontaine de Nîmes
I'a un amelié Il y a un amandier
Que fai de flour blanco Qui fait des fleurs blanches
Au mes de janvié. Au mois de janvier.
VI
S'aquéli flour blanco Si ces fleurs blanches
Eron d'ameloun Etaient de petites amandes (encore vertes)
1524 : Mort de Pierre Terrail, seigneur de Bayard (Musée de l'armée des Invalides : Salle des Armures)
1331 : Naissance de Gaston Phoebus
Phoebus est le nom latin d'Apollon, dieu du soleil. Gaston de Foix et de Béarn - qui prit d'ailleurs le soleil comme emblème - reçut ce surnom flatteur dès sa naissance, en raison de sa grande beauté et de son éclatante chevelure blonde.
Ce n'est pas pour ses qualités politiques qu'il restera dans l'Histoire, car son action fut plutôt erratique : d'abord ami et allié du roi de France Philippe VI, il se brouilla avec son successeur Jean II le Bon, se rapprochant des Anglais, au tout début de la Guerre de Cent ans, puis se réconcilia avec Charles V, et laissa même tous ses biens en héritage à Charles VI, juste avant de mourir.
Ce sont plutôt ses qualités reconnues d'homme de goût, raffiné et grand amateur d'art qui font se souvenir de cet ami de Froissart, qui écrivit de lui :
"J'ai vu bien des chevaliers, des rois, des princes. Mais jamais je n'en vis qui fut de si magnifique stature et de si merveilleuse prestance. Son visage était très beau, coloré et rieur. Ses yeux étaient verts et amoureux. En toutes choses il était parfait. Il aimait ce qu'il devait aimer, haïssait ce qu'il devait haïr. Il était aimable et accessible à toutes gens et il leur parlait doucement et amoureusement. Mais dans son courroux nul n'avait pardon."
68 : Aux origines de Saint Tropez, et de sa Bravade
C'est le 17 mai pour les uns, le 29 avril pour les autres (date officielle de sa célébration, aujourd'hui) que Caius Torpetius - devenu Torpés, puis Tropez... - fut décapité, à Pise, sur ordre de Néron, pour avoir refusé d'abjurer sa foi chrétienne.
Patricien, Officier de l’empereur, chef de sa Garde personnelle, Intendant de son palais, Torpés fut converti par Saint Paul, avec qui il avait été emprisonné, comme chrétien.
À l’occasion d’une cérémonie dans le temple de Diane, à Pise, sa ville natale, il refusa de sacrifier aux dieux et fit profession de foi chrétienne : Néron ordonna de le décapiter.
Avec Irénée - qui à connu Polycarpe, disciple de Saint Jean l'Évangéliste (voir l'Éphéméride du 28 juin), c'est donc un autre témoin direct des évènements de Palestine qui vient, dès les premières années du christianisme, implanter la nouvelle religion en Gaule; en Gaule où, par ailleurs, d'autres témoins directs de ces événements - mais non chrétiens, eux - ont terminé leurs jours : Ponce Pilate et le roi Hérode, qui, tous deux, jugèrent et condamnèrent Jésus (voir l'Éphémeride du 27 février).
Le corps supplicié de Torpetius fut placé dans une barque - entre un coq et un chien, dit-on - laissée à la dérive depuis Pise, et qui échoua sur la côte provençale, en un lieu qui prit son nom : Saint Tropez.
Fête double, civile et religieuse, à la fois fête historique et fête patronale, la fête de la Bravade lui rend hommage, chaque année, en mai, pendant trois jours, en même temps qu'elle commémore un autre événement : le 24 juin 1558 fut nommé un Capitaine de Ville, chargé de gérer la sécurité de Saint-Tropez, alors constamment assaillie par les Sarrasins; celui ci forma alors les Tropéziens à la défense et au maniement des armes à feu : escopettes, haquebutes (une sorte d'arquebuse) et bombardes...
"Ce n'est pas un fait divers, c'est un fait de société", dit Bruno Retailleau. Jean-Paul Brighelli revient sur le massacre de Nantes : quand l'idéologie écologiste provoque des drames...