UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

LAFAUTEAROUSSEAU - Page 9

  • Éphéméride du 2 Janvier

    Compiègne, aujourd'hui

     

     

     

    876 : Charles le Chauve fonde la basilique Notre-Dame de Compiègne 

     

    Toutes proportions gardées, cette Basilique (qui deviendra par la suite Saint Corneille) représentera pour les Mérovingiens ce que Saint-Denis représentait pour les Capétiens.

    Elle sera à l'origine de la ville de Compiègne, en attirant les pèlerins mais aussi en étant un centre intellectuel rayonnant, avec l'irlandais Jean Scot Érigène qui retraduisit, vers 827, les manuscrits grecs. Au XIème siècle, Roscelin, chanoine de l'abbaye, fut le maître d'Abélard (sur "l'affaire" d'Héloïse et d'Abélard, voir notre Éphéméride du 16 juin).

    Il ne reste que le cloître de cette abbaye (ci dessous) : là comme ailleurs, la Révolution, qui a anéanti entre le quart et le tiers de notre Patrimoine, a accompli son oeuvre destructrice.  

     
     

    8 janvier,philibert delorme,diane de poitiers,chenonceau,catherine de medicis,verlaine,stavisky,vincennes,tuileries

     

    Lire la suite

  • À la France, à tous : les meilleurs voeux, les plus sincères de lafautearousseau...

     

    À LA FRANCE,

    À NOTRE CHÈRE FAMILLE DE FRANCE,

    ET SPÉCIALEMENT AU DAUPHIN, QUI A EU QUINZE ANS CETTE ANNÉE,

    À VOUS TOUS, CHERS AMIS, LECTEURS, DIFFUSEURS INLASSABLES DE

    LAFAUTEAROUSSEAU,

    LA RÉDACTION PRÉSENTE SES VOEUX LES PLUS CHALEUREUX

    POUR CETTE ANNÉE QUI COMMENCE...

    Certes, à bien des égards, elle ne commence vraiment pas très bien : on souffre beaucoup en France, en ce moment, et partout :

    • En métropole, où l'insécurité et la violence sont maintenant notre lot quotidien à tous, où que nous soyons et quoi que nous fassions; où les conditions matérielles d'existence deviennent de plus en plus dures pour un nombre toujours de plus en plus grand de nos compatriotes; où la détresse de la ruralité atteint les limites de l'extrême; où, dans tant de domaines, nous ne voyons que trop combien tant de choses changent, dans notre environnement immédiat, et pas dans le bon sens...

    • Dans nos Outre-mer, à Mayotte évidemment, petit morceau de paradis temporairement transformé en enfer, qui fait hélas l'actualité immédiate; mais aussi, et depuis plus longtemps, en Nouvelle-Calédonie, en Martinique...

    Et cette trop rapide énumération n'est, hélas, pas exhaustive...

    Alors, la tentation du découragement est forte, il ne faut pas se le cacher; et les voeux et les souhaits peuvent paraître bien dérisoires, voire incongrus...

    Pourtant, nous ne voulons pas céder au découragement, et nous n'y cèderons pas, même - et surtout ! - si les apparences sont contraires : nous avons fait nôtre la devise de ce Géant nommé François-Athanase Charette de la Contrie :

    "Combattu, souvent; battu, parfois; abattu, jamais !"

    Car, malgré tout, malgré ces maux et ces dangers qui nous assaillent, de partout, nous voyons poindre et se lever, de partout aussi, des signes et des lueurs qui nous montrent que, comme le disait magnifiquement notre immense Jacques Bainville, "pour des Renaissances il est encore de la foi".

    Certes, 2024, en bien des points, aura été une bien mauvaise année.

    Et pourtant, nous autres, Français, au milieu d'un environnement aussi déprimant, n'avons-nous pas eu, aussi, de grands, de bons et de beaux moments, qui nous ont montré que le cher et vieux pays continuait d'être notre Douce France ? Qui nous ont montré magnifiquement comment la fertilité du Peuple français se jouait, se moquait de la stérilité de ses gouvernants de rencontre ?

    Souvenons-nous de ces moments de joie intense, sans le moindre incident ni la moindre ombre au tableau, que furent, pêle-mêle :

    • le Mondial de Rugby et la ferveur aussi saine qu'enthousiaste qu'il déclencha, partout dans le pays;

    • d'un point de vue plus protocolaire, peut-être, mais tout de même, bien mené, de la visite du Roi d'Angleterre;

    • puis de la venue du Pape à Marseille, durant laquelle, dans la joie et la ferveur populaire, là aussi, les Marseillais ont su montrer que, décidément, ils étaient bien "À jamais les premiers", comme le souligna malicieusement, au Stade Vélodrome, l'Archevêque Jean-Marc Aveline;

    • puis ces grandioses Jeux Olympiques et Paralympiques, durant lesquels même les ombres sinistres projetées par deux tristes sires ne servirent, finalement, qu'à mieux faire briller les lumières éclatantes et joyeuses de la Fête : beauté de Paris, notre Ville Lumière, originalité merveilleuse de ce défilé sur la Seine des athlètes du monde entier, triomphes de nos champions, joie et bonheur aussi simples qu'intenses pendant cette période, dont on aurait aimé qu'elle ne s'achevât point...

    • et, enfin, point d'orgue venant couronner ces moments qui redonnent de l'espoir, la récupération de Notre-Dame, et la puissance du symbole que furent ces jours de ré-ouverture, de redécouverte du monument et, surtout, de ce qu'il exprime, de ce qu'il représente, et de ce qui se maintient, chez nous, envers et contre tout :

    Notre-Dame, chez nous, est reine, et de nouveau, depuis la coeur de Paris, elle rayonne sur la Ville entière, le pays entier, devenue Notre-Dame-de-tous-les-Français, et chérie dans le monde entier...

    Comment ne pas lire et comprendre ce Signe ?

    •  sans oublier, bien sûr, cette magnifique journée d'Ajaccio, encore avec le Pape ! Dans cette Corse que les Grecs appelaient déjà "Kallisté" ("la très belle", "la plus belle"...) il y a deux mille ans... Le plus beau, dans cette inoubliable journée qui éleva les coeurs, les esprits, les âmes fut rendu comme palpable par le splendide chant "Dio vi salvi, Regina" chanté naturellement, sans emphase, et, pour tout dire, "habituellement" et qui nous ramenait à ces journées précédente de Notre-Dame de Paris...

    Alors, lorsqu'on a eu la chance de vivre tout cela, tous ces moments - quelle que soit leur nature - où l'on est fier et heureux d'être Français, on sait bien, certes, que le mal est là; mais on sait aussi que" le remède est à côté du mal", pour citer à nouveau notre cher Jacques Bainville.

    Alors, oui, même si les temps sont durs, et justement parce que les temps sont durs, affrontons-les "hardiment !" (là, nous citons Jeanne d'Arc) en nous ressourçant dans nos Racines et Traditions, dans tout ce qui fait notre Être profond...

    - Du parvis de Notre-Dame, levons les yeux jusqu'au sommet des tours, tutoyant le ciel, et nous retrouvons cette verticalité dont ont voulu nous priver des idéologues insensés ("hommes petits qui criez de grands mots...") qui ont voulu nous amputer du spirituel et de la transcendance, pour nous soumettre à la désolante horizontalité de leur matérialisme révolutionnaire...

    - du parvis du stade Vélodrome, à Marseille, levons les yeux jusqu'à l'immense statue de Notre-Dame-de-la-Garde, notre Bonne Mère, et de là aussi, nous retrouvons le ciel, et "les choses d'en haut"...

    - du parvis de la très belle cathédrale d'Ajaccio, qui s'ouvre sur la Méditerranée, contemplons la mer et, là aussi, nous retrouvons le ciel, la transcendance, la  verticalité des hommes debout, et qui resteront debouts...

    Alors, oui, nous connaissons parfaitement toutes ces laideurs, dangers et monstruosités qui nous assaillent; mais nous sommes soutenus et confortés par une espérance qui ne faillira pas, et nous pouvons former les voeux les plus fervents de bonne et heureuse année; et...

    "TANT L'ON CRIERA :  NOËL ! NOËL ! QU'À LA PARFIN NOËL VIENDRA !

     1AZZ.jpg

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    PAS DE PAYS SANS PAYSANS !

    Le parler vrai et clair de la Coordination rurale :

    “Soit on continue, comme depuis des années, dans un système où le nombre d'exploitations diminue régulièrement et où nos exploitations deviennent quasiment industrielles OU on défend les 400 000 exploitations que l'on a actuellement, et notre modèle d'exploitation familial..."
    (Thierry-James Facquer, président de la #CR71 et de la CR Bourgogne Franche-Comté)
     
    (extrait vidéo 0'42)
     
     
    Qu'est-ce que le « terroir » ? - Définition | MNHN
     
     
    UN DES PLUS BEAUX MOTS
     
    DE LA LANGUE FRANÇAISE :
     
     
     LE TERROIR !
     
     
     
     

     

    1AZZZ.jpg

     

    Lire la suite

  • Éphéméride du 1er Janvier

    Salle des pôvres - Hospices de Beaune

     

     

     

    1452 : Le premier malade est reçu aux Hospices de Beaune 

     

    Le tout nouvel hôpital des Hospices de Beaune, l'Hôtel-Dieu, crée à l'initiative de Nicolas Rolin (chancelier du duc de Bourgogne, Philippe II le Bon) et de son épouse Guigone de Salins, accueille son premier patient :   

    http://www.hospices-de-beaune.com/   

    1er janvier,hospices de beaune,charles quint,françois premier,chambord,charles ix,edit de roussillon,racine,phèdre,louis xv,la gazette de france,théophraste renaudot,maurras

     
    Sur la fondation de ces Hospices, le 4 août précédent, voir notre Éphéméride du 4 août ; et, sur le rôle et l'importance politique du chancelier Rolin, voir notre Éphéméride du 18 janvier 
     
    C'est dans ces Hospices que se trouve l'extraordinaire Polyptique du Jugement dernier, de Van der Weiden : 

    1er janvier,hospices de beaune,charles quint,françois premier,chambord,charles ix,edit de roussillon,racine,phèdre,louis xv,la gazette de france,théophraste renaudot,maurras 

     
     

    8 janvier,philibert delorme,diane de poitiers,chenonceau,catherine de medicis,verlaine,stavisky,vincennes,tuileries

     

    Lire la suite

  • Éphémérides du mois de Janvier : Table des Matières...

    fleur de lys divers.jpg1 : 1452 : Les Hospices de Beaune reçoivent leur premier patient. 1515 : Mort de Louis XII. 1540 : Entrée de Charles Quint dans Paris. 1560 : Mort de Du Bellay. 1565 : pour la première fois, l'année civile commence le premier janvier. 1677 : Première de Phèdre. 1697 : Naissance de Dupleix. 1762 : Louis XV refonde la Gazette de France. 1776 : Naissance de Cadoudal. 1777 : Premier numéro du Journal de Paris. 1860 : Paris passe de 12 à 20 arrondissements.

    : 876 : Fondation de Notre-Dame de Compiègne. 1322 : Mort de Philippe V, le Long. 1512 : Fondation de la Confrérie des Gardians. 1812 : Benjamin Delessert développe l'exploitation méthodique de la betterave à sucre. 1873 : Naissance de Thérèse de Lisieux. 1880 : Naissance de Louis-Charles Bréguet. 1913 : Mort de Léon Teisserenc de Bort.

    3 : 512 : Célébration de Sainte Geneviève, patronne de Paris. 1875 : Mort de Pierre Larousse. 1931 : Mort du Maréchal Joffre. 1953 : Découverte du Cratère et de la Dame de Vix.

    Lire la suite

  • Résister par la Culture : L'Album des Éphémérides, L'aventure France racontée par les Cartes...(200 photos).

    FRANCE SATELLITE.JPGIl s'agit dans cet album de donner aux Français qui l'ont perdue, ou qui ne l'ont jamais reçue - notamment les jeunes - la fierté de leurs origines, dans toutes leurs facettes, brillantes ou sombres; mais pour avoir cette fierté de ses racines, encore faut-il les aimer; et, pour les aimer, encore faut-il, d'abord, les connaître.

    Or, notre Ministère de la des-Éducation nationale supprime maintenant l'Histoire de France - après l'avoir racontée, mais faussée, travestie, dénaturée... dans ses manuels pendant plus d'un siècle; et notre Système croit et proclame que la France commence en 1789/1792; et il s'est bâti, pensé et voulu contre nos racines profondes.

    Lire la suite

  • Musique dans les Éphémérides

    euterpe.jpg

    Euterpe, muse de la Musique

     

    JANVIER

     

    • 6 janvier (Épiphanie) : Lully Marche des Rois Marche pour le Régiment de Turenne.mp3 (The Brass Ensemble of the Tonkuenstler Orchestra Lower Austria, Werner Hackl - (arrangement Lully)

    Lire la suite

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    LE PROBLÈME DE "CETTE" EUROPE ET DU MONSTRE QU'ELLE EST DEVENUE...

    QUAND ON SONGE À L'EUROPE DES SIX, OÙ IL N'Y AVAIT - SI L'ON PEUT DIRE - QU'UNE DEMI-ALLEMAGNE...

    IL NE S'AGIT PAS FORCÉMENT DE QUITTER - COMME L'A FAIT LE ROYAUME DESUNI - CE MONSTRE ANTI-NATIONS QU'EST DEVENU L'EUROPE PREMIÈRE, MAIS LA FRANCE DOIT REDEVENIR UNE NATION LIBRE, ET RECOUVRER SA PLEINE SOUVERAINETÉ - QUE LE SYSTÈME A BRADÉ - À L'INTÉRIEUR DE CE "MACHIN" BRUXELLOIS QUE LE SYSTÈME A LAISSÉ SE CONSTRUIRE ET QU'ON APPELLE "UNION EUROPÉNNE"...

    UN EXEMPLE : NOUS NE DEVONS PAS ÊTRE SOUMIS À DES ARRÊTS DÉLIRANTS DE LA COUR DE JUSTICE DE L'UNION EUROPÉENNE, TEL QUE CELUI-CI, DONT PARLE VALEURS ACTUELLES :

    "Allocations familiales : l’UE condamne la France pour son refus de verser les prestations à une famille de clandestins..."

    https://www.valeursactuelles.com/societe/allocations-familiales-lue-condamne-la-france-pour-son-refus-de-verser-ces-prestations-a-une-famille-de-clandestins

    CELA VA FAIRE DU BOPULOT ?

    ALORS, AU BOULOT !...

    Yann Bizien on X: "Il faut cesser de nous soumettre aux injonctions de l'UE  qui écrase notre souveraineté. Il y a 3300 Md € de dette en France et plus  de 600
     

    1AZZZ.jpg

     

     

     

    Lire la suite

  • Au cinéma : Vingt Dieux… , par Guilhem de Tarlé

    Vingt dieux - Film 2024 - AlloCiné
     
     

    Cannes 2024 : Vingt Dieux…  Le premier long-métrage de Louise Courvoisier, avec des acteurs non professionnels : Maïwène Barthelemy (Marie-Lise), Clément Faveau et Luna Garret (Totone et sa petite sœur, Claire).

    Vingt Dieux, je regrette de m’être laissé avoir par la pub, et d’avoir dépensé temps et argent à ce spectacle insipide, inodore et sans saveur… même pas celle du Comté !
    Vingt Dieux, Dieu me pardonnera de transgresser ainsi son 3ème Commandement, ce qui n’est pas dans mes habitudes, mais Il et chacun conviendra qu’exceptionnellement le titre s’y prête, et qu’il n’y a pas de quoi en faire un fromage…

    Je sais, là encore, cette expression est nulle, mais elle est à l’image de ce film et de son scénario.

    On observera d’abord que la situation de départ manque de réalisme car il est évident qu’une petite orpheline de 7 ans aurait été prise en charge par les autorités civiles, et non pas laissée à la garde d’un garçon de 18 ans qui, selon le synopsis, « passe le plus clair de son temps à boire des bières et écumer les bals du Jura ».

    C’est donc à partir de cette absurdité que la réalisatrice nous sert un semblant de documentaire sur la fabrication du Comté, avec, pour épicer le fromage, une « Marie (-Lise), Couche-toi-là » !

    Bref, un film sans intérêt, et pas tout public, même si, au contraire de mon entourage, j’ai bien aimé la petite Claire.


    Le bon usage interdit de prendre deux fois du fromage… Je m’y conformerai sans aucun état d’âme, même si je déplore de clôturer aussi médiocrement mon année cinématographique 2024.

    ********************

    « Bon Bout d’an, à l’an que vèn », comme on dit ici, à La Ciotat, dans le « plus ancien cinéma du monde ».

    guilhem de tarlé.jpg

  • Éphéméride du 31 décembre

    1578 : Henri III fonde l'Ordre du Saint Esprit (ici, Collier, époque Restauration)

     

     

     

    406 : Les tribus barbares franchissent le Rhin 

     

    La tradition rapporte que cela s'est passé dans la région de Mayence, durant la nuit du 31 décembre : cette année-là, en effet, un hiver exceptionnellement rigoureux a gelé le fleuve durablement et en profondeur.

    Mais il a certainement fallu, en fait, beaucoup plus d'une nuit...

    Et, en réalité, cette grande poussée des peuples barbares n'est qu'une conséquence : au fin fond de l'Asie, les Huns ont entamé leur migration vers l'ouest, et chassent les Vandales et les Sarmates, qui à leur tour chassent les Goths (Wisigoths et Ostrogoths) et ainsi de suite, par effet de domino...

    Le limes rhénan (ci dessous, reconstitution dans la région de Mayence) ne peut plus suffire à contenir la poussée : ce sont les Grandes Invasions... 

    https://whc.unesco.org/fr/list/430/

    31 décembre,mayence,grandes invasions,limes,henri iii,ordre du saint esprit,franklin,louis xvi,jacques cartier,matisse,d'orbay,escalier des amabassadeurs

    Une partie du Limes, tel qu'il devait se présenter, reconstituée dans la région de Mayence...

    31 décembre,mayence,grandes invasions,limes,henri iii,ordre du saint esprit,franklin,louis xvi,jacques cartier,matisse,d'orbay,escalier des amabassadeurs

     

    Lire la suite

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Sur OpexNews :

    "Ils n’ont plus la protection de la Nation." En silence, les tombes des soldats tombés pour la France disparaissent des cimetières communaux, victimes d’une législation inadaptée et d’une mémoire collective défaillante. Que reste-t-il de notre respect pour ces hommes qui ont offert leur vie sur les champs de bataille ? La réduction du délai pour réclamer une sépulture à un an, sous prétexte d’optimisation des espaces funéraires, rase non seulement des caveaux, mais aussi l’histoire et le sacrifice. Ces soldats, hier héros, aujourd’hui relégués à des fosses communes, méritent mieux qu’un oubli bureaucratique. Où est l’honneur dans cette amnésie légale qui les mélange à des inconnus, effaçant leur ultime lieu de repos ?"

    Image

    Image

    https://www.ladepeche.fr/2024/12/29/dans-les-cimetieres-de-laude-des-societes-privees-font-main-basse-sur-les-tombes-a-labandon-12417752.php

     

    1AZZZ.jpg

     

    Lire la suite

  • Éphéméride du 30 décembre

    1671 : aux origines de l'Institut...

     

     

     

    987 : Hugues Capet fait sacrer son fils Robert  

     

    Les six premiers Capétiens directs procéderont ainsi : après Hugues, Robert II le Pieux, Henri 1er, Philippe 1er, Louis VI et Louis VII feront sacrer leur fils de leur vivant.

    Philippe Auguste, septième roi de la dynastie sera le dernier sacré du vivant de son père, Louis VII : à sa mort, le trône était suffisamment solide pour qu'il se dispensât de cette précaution.

    Et, en effet, son fils Louis VIII lui succédera sans qu'aucune contestation ne s'élève. 

    FRANCE DE HUGUES CAPET.JPG

    Lire la suite

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Découvrez cette femme qui a osé ce que personne n'ose faire dans notre Système pourri : ne plus forcément taper dans les poches de cette

    classe moyenne qui paye l'impôt plein pot;

    pour donner - en partie - son argent à la caste des cultureux bons à rien (ou mauvais à tout, comme disait Pagnol, on en parle longuement plus bas...).

    Jules Torres a raison : "Il nous faut pluS de Christelle Morançais"...

    Il ne nous faut, surtout, PLUS (ne pas prononcer le "s") DE SYSTÈME !

    (extrait vidéo 4'43)

    https://x.com/CNEWS/status/1872917266666336760

     

    1AZZZ.jpg

     

    Lire la suite

  • Au cinéma : Le Panache, par Guilhem de Tarlé

    Critique du film Le Panache - AlloCiné

    Festival du Film de Demain (FFD) : Le Panache,  un film français de Jennifer Devolder, avec José Garcia (M. Devarseau, professeur de français), Aure Atika (Giula, la mère, divorcée), Joachim Arseguel (Colin), Tom Meusnier (Max ou Maxence, condisciple de Colin).

    Le FFD a proposé à Vierzon en 2024, sous la présidence de Lambert Wilson, sa troisième édition, avec « une sélection de longs-métrages de fiction engagés ».
    Sans doute, si je l’avais su, aurais-je fait un autre choix de film, mais j’avoue que le panache, Cyrano de Bergerac et José Garcia nous donnaient trois bonnes raisons de nous y rendre.

    Le synopsis en outre était intéressant d’un jeune adolescent bègue qui apprend à parler et à s’extérioriser dans un atelier d’art dramatique animé par son professeur.
    Ajoutons que mes convictions, qu’ils appellent « d’extrême droite », me font adhérer totalement à son enseignement : « Si on assume vraiment qui on est, eh bien plus personne ne peut s’en servir comme une arme ».

    L’idée, enfin, m’a beaucoup plu d’émailler le scénario de répliques d’Edmond Rostand.

    Néanmoins, ce long-métrage : « Non, merci. »

    « Un baiser, mais à tout prendre qu’est-ce ?
    (…)
    Un point rose qu’on met sur l’i du verbe aimer »

    J’accuse la réalisatrice d’un véritable blasphème, dans cette scène du baiser de Roxane, en volant au bègue son premier rôle au profit du message qu’elle veut faire passer.
    Cette scène du baiser : « non, merci ! non, merci ! non, merci ! ».
    Mais il fallait bien qu’elle en parle… « C’est bien plus beau lorsque c’est inutile ! ».

    Mme Devolder, si elle n’était pas femme, mériterait d’être provoquée en duel

    « A la fin de l’envoi, je touche ».

    guilhem de tarlé.jpg

  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Quand l'Église "légale" a fait le jeu de la Révolution et de la Nouvelle Religion républicaine...

    1926 : Premières sanctions vaticanes contre l'Action française, décrétées par Pie XI

     

    • "Premières", car elles seront aggravées le 8 mars suivant : le 29 décembre 1926, c'est "seulement" - si l'on peut dire... - l'ensemble des ouvrages de Maurras ainsi que le quotidien L'Action française qui sont mis à l'Index par décret du Saint-Office; mais le 8 mars 1927, les adhérents de l'Action française seront carrément interdits de sacrements...

    • "Sanctions" et non "Condamnation", car ni l'Action française, ni Maurras, ni le Royalisme n'ont jamais été "condamnés" par l'Église catholique.
    Lorsque l'Église catholique "condamne" un mouvement, une doctrine, une théorie, une personne... il s'agit d'un acte définitif et irrévocable, absolument irréversible, sur lequel aucun Pape ne pourra jamais revenir, jusqu'à la fin des Temps.
    Ainsi, le pape Pie XI a "condamné" le nazisme le 14 mars 1937, par la Lettre Encyclique "Mit brenender sorge", et le communisme (mot usuellement employé pour définir le "marxisme-léninisme"), le 19 mars 1937, par la Lettre Encyclique "Divini redemptoris". Aucun Pape n'est revenu sur ces "condamnations", et aucun Pape n'y reviendra jamais : jusqu'à la fin des temps, il est impossible à quiconque se dit chrétien d'adhérer aux théories nazies et marxistes, ou alors il s'exclut par là-même, et de lui-même, de l'Église catholique.
    Rien de tel ne s'est passé pour l'Action française en 1926 : aucune Lettre Encyclique n'est venue "condamner" le Royalisme, ni Maurras, ni l'Action française, et l
    es choses sont donc radicalement différentes (émanant toutes trois d'un même Pape, Pie XI) : nazisme et marxisme-léninisme furent condamnés en tant que tels, irrévocablement, alors qu'l y a "seulement" eu des "sanctions" pontificales, le 29 décembre 1926, les ouvrages de Charles Maurras ainsi que le quotidien "L'Action française" ont "simplement" été "mis à l'Index", c'est-à-dire interdits de lecture pour les catholiques. Et, un peu plus de deux mois plus tard, le 8 mars 1927, ces "sanctions" furent aggravées : les catholiques qui restaient fidèles au mouvement royaliste se voyaient privés de tout sacrement, y compris au moment de leur mort...  

    29 décembre,jean goujon,phidias,cariatides du louvre,cour carrée,fontaine des innocents,carnavalet

    Lire la suite