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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 9

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Réarmer l'Europe ?

    Oui, bien entendu !

    Mais à condition que ce soit en achetant des matériels européens...

    Il est tout de même comique de voir des pays se plaindre que les États-désunis nous lâchent, aujourd'hui, mais, - après avoir passé plus de cinquante ans à  "acheter états-unien" - veulent se ré-armer, maintenant... en continuant d'acheter "états-unien" !

    Comme d'habitude, nos excellent ennemis de "Berlin/la Prusse" s'opposent à la France : c'est dans leurs gènes !

    Dans le Financial Times (l'article est en anglais, mais une fenêtre s'ouvre, en haut à droite, proposant la traduction en français) :

    "La France et l'Allemagne s'affrontent sur la question de l'achat d'armes dans l'UE"

    https://www.ft.com/content/76937db3-0b3b-44d4-9005-9709512acd53



    L'exposition de Safran au salon de la défense l'année dernière

     

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  • Éphéméride du 10 mars

    1607 : Aux origines de la Place Dauphine  

     

    Espace triangulaire, dans l'ouest de l'Île de la Cité, la Place Dauphine fut ainsi nommée en l'honneur du Dauphin, futur Louis XIII, fils de Henri IV.

    À ce grand roi bâtisseur on doit la Place Royale - aujourd'hui "des Vosges" -, la Galerie du Bord de l'eau, reliant le Louvre aux Tuileries,  et le grandiose projet, hélas non réalisé du fait de son assassinat, de ce qui aurait été la superbe Place de France (voir l'Éphéméride du 5 avril).

    Henri IV fit aménager la Place Dauphine sur l'emplacement de trois îlots alluvionnaires à fleur d'eau - l'île aux Bœufs, l'îlot de la Gourdaine et l'île aux Juifs, sur laquelle fut brûlé Jacques de Molay, le Grand maître des Templiers, le 18 mars 1314 (voir l'Éphéméride du 18 mars).

    La construction du Pont neuf (de 1578 à 1607, voir l'Éphéméride du 16 mars), entreprise par Henri III avait entraîné, logiquement, l'unification des trois îlots et leur rattachement à l'Île de la Cité : Henri IV décida de faire aménager cette nouvelle "pointe ouest" de l’Île de la Cité en bel espace résidentiel, et en fit don - par un bail à cens et à rentes du 10 mars 1607 - à Achille de Harlay, premier Président à mortier du Parlement de Paris. Henri IV récompensait ainsi celui qui l'avait loyalement et fidèlement servi durant les troubles de la Ligue

    Achille de Harlay reçut donc l'autorisation de créer une place triangulaire, à charge pour lui de construire les nouveaux bâtiments dans l'esprit de la Place Royale et conformes au plan imposé par le roi et le Grand Voyer Sully : un "promenoir" entouré de maisons "d’un même ordre", comprenant deux étages, dont les trumeaux seraient décorés de tables de pierre se détachant sur la brique, et dont les arcades du rez-de-chaussée abriteraient les boutiques.

    Achille de Harlay fit bâtir originellement trente-deux maisons identiques en chainage de pierre blanche, briques et combles en ardoise, de deux étages, avec un rez-de-chaussée à arcades pleines (comportant un rez-de-chaussée à galerie, deux étages carrés et un étage de comble), autour d'une place triangulaire quasiment fermée, ne s'ouvrant que par deux passages à ses extrémités, dont seul celui situé à l'ouest subsiste encore de nos jours, et débouche sur la statue équestre d'Henri IV.

    Malheureusement - et à l'inverse de ce qui s'est passé Place Royale, qui a conservé intégralement son splendide ordonnancement originel - les propriétaires successifs défigurèrent la place, ne respectant pas l'uniformité primitive : des trente-deux maisons uniformes d'origine, il ne reste intacts que les deux pavillons d'angle sur le Pont Neuf, les autres bâtiments étant modifiés ou rehaussés.

    Mais le pire devait arriver en 1874, à l'initiative de Viollet-le-Duc - qu'on avait connu mieux inspiré - qui fit démolir le côté pair de la rue De Harlay (la base du triangle de la place) pour dégager la façade arrière du Palais de Justice, construite à partir de 1854 ! Des arbres sont aujourd'hui plantés à l'espace qu'occupaient les maisons, jadis. 

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    La Place Dauphine partage donc avec la Place des Victoires (voir l'Éphéméride du 26 mars) le triste privilège d'avoir été largement défigurée et mutilée, au point d'avoir perdu, sinon la totalité, du moins une très large part de sa splendeur d'antan.

    Telles qu'elles nous apparaissent aujourd'hui, cependant, ces deux Places conservent assez d'éléments de leur beauté passée pour que l'on puisse se faire une idée assez précise de ce que fut cette très grande beauté. 

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Après la déclaration misérable d'Apathie sur l'action de la France en Algérie, Philippe de Villiers sèchement ce "Français renié" à sa place :

    "Assimiler les colons français aux nazis exterminateurs est une faute contre l'Histoire. Jean-Michel Aphatie est un Français renié qui n'entend pas la voix suppliante de Boualem #Sansal. Il s'inscrit dans le sillage honteux de la caste des mondialistes qui voudrait transformer la France en un laboratoire planétaire du paradis diversitaire..."

     

     

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  • Éphéméride du 9 mars

    1945 : Sortie du film Les enfants du paradis

     

     

     

    1107 : Le Pape Pascal II consacre La Charité sur Loire  

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    http://medieval.mrugala.net/Architecture/France,_Nievre,_La_Charite_sur_Loire,_Eglise_Notre-Dame 

     

    Pour avoir une idée de la diffusion de l'art roman et de l'art ogival (en France et en Europe) voir, dans notre album L'aventure France racontée par les cartes, les deux photos :

    Expansion de l'Art roman et  Expansion de l'Art ogival (ou Art français)

     

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  • Reçu de nos amis du GAR (Groupe d'Action Royaliste)...

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Dans Famille chrétienne :

    "Partout en France, des prêtres se félicitent d’un raz-de-marée inédit pour les messes du mercredi des cendres. Une vague de jeunes a franchi en nombre les portes des églises pour l’ouverture du Carême..."

    Commentaire de Gabrielle Cluzel :

    La jeunesse est l'avenir du redevenir chrétien !

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Gloire et honneur, le 1er Régiment étranger de cavalerie...

    1921 : Création du Premier Régiment étranger de Cavalerie à Sousse (Tunisie)
     

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    Insigne porté, sans avoir subi de modification majeure, depuis 1936.

    "Dans une couronne de feuilles de laurier d'argent, un écu tiercé au 1 vert, au 2 rouge et au 3 bleu frappé d'un soleil d'or entouré par la devise "NEC PLURIBUS IMPAR", posé sur deux sabres croisés, surmonté d'une grenade à sept flammes d'argent frappée du chiffre "1" et soutenue par une banderole d'argent portant l'inscription "HONNEUR FIDELITE" entourant les dates "1635" et "1921".

    L'insigne a été dessiné en 1936 par le maréchal des logis Allnikine.
    Le vert et le rouge sont les couleurs de la légion et la grenade à sept flammes est son symbole.
    Le bleu est la couleur traditionnelle de la cavalerie, le soleil d'or et la devise évoquent les régiments de Louis XIV qui arboraient tous ces deux symboles sur leurs étendards; le "Royal Étranger" (1659-1791) dont le régiment revendique l'héritage était de ceux -là (voir, dans notre Album Drapeaux des Régiments du Royaume de France, voir plus particulièrement la partie 4, les Régiments étrangers et, à partir de la partie 6, les Régiments de cavalerie...; ).
    La date de 1921 est celle de la création du régiment sous sa forme actuelle. Pour celle de 1635, la tradition violente quelque peu la vérité historique car elle évoque les "Carabins étrangers" levés en 1635 par Saint-Simon qui ne peuvent être rattachés directement au Royal Étranger. Créé le 16 février 1659 avec les débris de plusieurs régiments étranger licenciés, ce fut principalement le reste d'un régiment levé par le comte de Roye le 3 février 1657, dont la compagnie de mestre de camp, qui forma la meilleure partie de ce nouveau régiment.
     

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    C'est à la fois le seul régiment de cavalerie au sein de la Légion étrangère et le seul régiment de la Légion au sein de la cavalerie, ce qui justifie sa devise "À nul autre pareil" qui était aussi celle du Roi Soleil.
    C'est dans ce Régiment que servit, comme Officier instructeur, le jeune Henri d'Orléans, avant de devenir, à la mort de son père, le Comte de Paris (de jure, Henri VI), comte de Paris lui-même, et, de jure, Henri VII.
    Le Prince devait recevoir la Croix de la Valeur militaire (en 1959) en raison de ses faits d'armes durant la Guerre d'Algérie, et aussi la Croix du combattant. En 2009, il fut fait Chevalier de la Légion d'honneur à titre militaire.
     
     
    8 mars,napoléon iii,saint germain en laye,dame de brassempouy,musée d'archéologie nationale,roissy charles de gaulle,berlioz,paléolithique,préhistoireLe 1er REC a été crée avec des contingents de cavaliers tsaristes, les "Russes Blancs", qui fuyaient la révolution bolchévique.
     
    On connaît le mot célèbre des révolutionnaires bolchéviques, "Février, c'est 1789, Octobre c'est 1793". Les marxistes léninistes avaient pleinement conscience de revivre, mais en accéléré, la Grande Révolution fondatrice de 1789, qu'ils voulaient pousser jusqu'à ses extrêmes limites, et dont ils voulaient que "leur" révolution fut la quintessence, l'expression la plus achevée...
    Alexandre Soljénitsyne a parfaitement dressé le parallèle entrer Vendéens et Russes Blancs. Au moment où la Révolution française, puis la Bolchévique, ont lancé au monde leur message idéologique, porteur du Totalitarisme, de la Terreur, du Génocide et du Goulag, Vendéens et Russes blancs ont envoyé au monde le message exactement contraire : celui de la liberté intérieure de l'homme, face au Totalitarisme; celui de l'enracinement dans une Terre, une Histoire, des Traditions, face à l'Idéologie, abstraite et désincarnée. "Leur Patrie, ils l'ont dans le cerveau - disait Charette - nous l'avons sous les pieds..."
     
    Voici comment Soljénitsyne évoque l'héroïque petite Vendée de Tanbow...:

    "...La révolution russe, elle, n'a pas connu de Thermidor qui ait su l'arrêter. Elle a entraîné notre peuple jusqu'au bout, jusqu'au gouffre, jusqu'à l'abîme de la perdition. Je regrette qu'il n'y ait pas ici d'orateurs qui puissent ajouter ce que l'expérience leur a appris, au fin fond de la Chine, du Cambodge, du Vietnam, nous dire quel prix ils ont payé, eux, pour la révolution. L'expérience de la Révolution française aurait dû suffire pour que nos organisateurs rationalistes du bonheur du peuple en tirent les leçons. Mais non ! En Russie, tout s'est déroulé d'une façon pire encore et à une échelle incomparable.
    De nombreux procédés cruels de la Révolution française ont été docilement appliqués sur le corps de la Russie par les communistes léniniens et par les socialistes internationalistes. Seul leur degré d'organisation et leur caractère systématique ont largement dépassé ceux des jacobins. Nous n'avons pas eu de Thermidor, mais - et nous pouvons en être fiers, en notre âme et conscience - nous avons eu notre Vendée. Et même plus d'une.
     

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    Ce sont les grands soulèvements paysans, en 1920-21. J'évoquerai seulement un épisode bien connu : ces foules de paysans, armés de bâtons et de fourches, qui ont marché sur Tanbow, au son des cloches des églises avoisinantes, pour être fauchés par des mitrailleuses. Le soulèvement de Tanbow s'est maintenu pendant onze mois, bien que les communistes, en le réprimant, aient employé des chars d'assaut, des trains blindés, des avions, aient pris en otages les familles des révoltés et aient été à deux doigts d'utiliser des gaz toxiques. Nous avons connu aussi une résistance farouche au bolchévisme chez les Cosaques de l'Oural, du Don, étouffés dans les torrents de sang. Un véritable génocide..."

    Extrait du discours prononcé par Alexandre Soljénitsyne, le samedi 25 septembre 1993, aux Lucs-sur-Boulogne, pour l'inauguration de l'Historial de Vendée, et qui forme le premier de notre série de Grands Textes
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     Écouter en l’honneur de ces héroïques Russes blancs (ci-dessus) qui, comme nos vendéens, ont tout tenté pour détruire la Révolution, le magnifique chant des "Partisans Blancs", qui exalte leur grandeur. D’abord superbement chanté dans l’une de ses nombreuses versions historiques par un chœur régimentaire russe. Ensuite en français, dans une des versions de nos traditions militantes contre-révolutionnaires. 
     
     

     
     
     
     
  • Éphéméride du 8 mars

     1974 : Inauguration de l'Aéroport de Roissy Charles de Gaulle

     

     

     

    1549 : Hugues Sambin est reçu Maître menuisier, à Dijon...

     

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    Porte du Parlement de Bourgogne, à Dijon, sculptée par Hugues Sambin en 1580. 

    https://beaux-arts.dijon.fr/sites/default/files/Collections/pdf/hugues_sambin.pdf

     

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  • Sylvain DURAIN communique...

     
    "Chers amis, J'aurai l'immense plaisir de tenir une conférence le vendredi 7 mars à Orléans, en compagnie d'Alain Pascal. Merci à France Souveraineté pour l'organisation de cet évènement. Informations et réservations indiquées sur l'affiche."

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    ARIANE 6 ET L'INDÉPENDANCE SPATIALE DE LA FRANCE ET DE L'EUROPE :

    C'EST PARTI !

    • PREMIER REPORTAGE DE FRANCE INFO : "ARIANE 6 A RÉUSSI SON VOL INAUGURAL LE 9 JUILLET 2024 ET DEVAIT RÉALISER SON PREMIER VOL COMMERCIAL CE LUNDI (3 mars, ndlr) AIS EN RAISON D'UNE "ANOMALIE AU SOL" CE LANCEMENT NE POURRA PAS AVOIR LIEU AVANT MERCREDI..." (5 mars, ndlr)

    ARIANE 6 (1)

    • SECOND REPORTAGE HIER, JEUDI : Pour son premier vol commercial, Ariane 6 va placer en orbite un satellite militaire "espion" de l’armée française. Ce satellite doit notamment permettre de dresser des cartes militaires de façon très précise. Le décollage de la fusée Ariane 6 doit avoir lieu jeudi dans l'après-midi.

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    La fusée Ariane 6, lanceur de satellites de l'Agence spatiale européenne (ESA), se dirige vers la rampe de lancement avant son décollage au Centre spatial guyanais de Kourou, en Guyane française, le 9 juillet 2024. (JODY AMIET / AFP)

     

    C'EST FAIT, ET BIEN FAIT !

     

    BRAVO, ARIANE !

     

    BRAVO, LA FRANCE !

     

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  • Éphéméride du 7 mars

    1875 : Naissance de Maurice Ravel

     

     

     

    1274 : Mort de Saint Thomas d'Aquin 

     

    Âgé de quarante-neuf ans, il se rendait au Concile de Lyon, où il avait été convoqué comme expert.

    Thomas avait fait trois séjours à Paris :

     D'abord, à partir de 1248, sous le règne de Louis IX (voir l'Éphéméride du 15 novembre);

     Puis il suivit son maître, Albert le Grand (dominicain lui aussi, et commentateur d'Aristote) à Cologne jusqu'en 1252 : en 1252, il revint  à Paris, où il resta sept ans, prenant en charge la chaire de Bachelier en Écritures, pour continuer comme Bachelier Sentenciaire (il fut, à trente et un ans, maître d’une chaire pour laquelle il en fallait trente cinq, selon les statuts et l’approbation pontificale).

    Au bout de ces sept années parisiennes, il fut appelé à Rome par le pape Alexandre IV, pour être incorporé à sa suite comme théologien pontifical;

    Enfin, il fit un troisième et dernier voyage à Paris, envoyé par le supérieur des Dominicains - avec le consentement du Pape - pour arbitrer et éteindre, dans l'université, de graves querelles doctrinales, grâce à son autorité et à son prestige. Après avoir brillamment accompli cette double mission, il retourna définitivement à Rome, au côté du pape. Mais c'est en se rendant une nouvelle fois en France, au Concile de Lyon, qu'il y mourut, en 1274.

     

    https://www.notredamedeparis.fr/decouvrir/peintures/saint-thomas-d-aquin-fontaine-de-sagesse/

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    Saint Thomas d’Aquin par Antoine NICOLAS, 1648, Notre-Dame de Paris. Don du couvent dominicain de l’Annonciation du faubourg Saint-Honoré, en 1974, à l’occasion du septième centenaire de la mort de saint Thomas.

    Avec ce tableau, Paris se souvient du "Docteur Angélique", de la "Fontaine de Sagesse", qui professa la théologie à la Sorbonne, et écrivit plusieurs ouvrages dont une partie de la "Somme" au couvent Saint-Jacques, et vint sûrement se recueillir à la cathédrale, dont il vit construire le transept au temps de saint Louis.

    Sur saint Thomas d'Aquin et ses rapports avec la France, voir aussi l'Éphéméride du 28 janvier et l'Éphéméride du 7 mars.

     

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