Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

"La plus grande pensée de mon règne" (Louis XIV)
Dans "Valeurs actuelles" :
"L’Institut des Invalides fête 350 ans de gratitude

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"La plus grande pensée de mon règne" (Louis XIV)
Dans "Valeurs actuelles" :
"L’Institut des Invalides fête 350 ans de gratitude
1913 : Mort d'Auguste Desgodins, missionnaire et savant linguiste, spécialiste du Tibet (ci-dessus : le Palais du Potala, à Lhassa, VIIème siècle)
1369 : victoire de Bertrand du Guesclin à la bataille de Montiel
C'est à la suite de cette grande victoire que du Guesclin reçoit le titre de Connétable de France.
Ce mot de Connétable vient du latin "comes stabuli" (le "compagnon des étables", c'est-à-dire l'homme de confiance du seigneur, qui accompagne celui-ci lorsqu'il se rend dans ses écuries pour monter à cheval, partir à la guerre ou s'adonner aux plaisirs de la chasse...).
Par extension, le "comes" (d'où provient le mot "Comte") devient celui qui est chargé par le seigneur de s'occuper des écuries, donc, peu à peu, de la force militaire que représente la cavalerie; il sera nommé, finalement... Chef des armées.
C'est le troisième roi capétien, Henri 1er - époux d'Anne de Kiev - qui crée officiellement la charge de Connétable en 1060; à partir de 1191, celle-ci se transforme radicalement et son titulaire devient "Chef souverain des armées du roi".
Après la trahison du Connétable de Bourbon, en 1523, François premier se nommera lui-même "chef des armées", ôtant à la fonction toute substance réelle, et l'office de Connétable sera définitivement supprimé le .
https://www.herodote.net/14_mars_1369-evenement-13690314.php
"Paris se réveille quand les cloches sonnent dans les tours de Notre-Dame "… et vous les avez entendues : les voici de retour, prêtes à nous réjouir à nouveau les oreilles, le cœur et l’âme.
C’est pour nous réveiller avec elles et la reine de beauté qu’elles servent que nous vous avons préparé une surprise : une grande et belle soirée des Éveilleurs consacrée à Notre-Dame de Paris !
Son histoire, sa tragédie, son espérance, l’œuvre des artisans qui, fils de saint Louis, l’ont rebâtie et restaurée, sa place contemporaine dans l’Église et la vie de foi des baptisés…les mystères de la cathédrale, de sa chute à sa renaissance nous serons racontés et – qui sait – joués, lors d’une soirée mémorable.
Ne manquez pas ce rendez-vous des amoureux de Notre-Dame.
C’est le jeudi 27 mars à l’Espace Bernanos, à Paris.
Venez nombreux, Notre-Dame brille !
Je prends ma place |
Sur OpexNews, ce texte excellent, que nous dédions à tous ces pays insensés et à très courte vue politique qui se sont crus finauds en se jetant dans les bras des états-uniens pour leurs achats d'armements, sans se rendre compte, un seul instant, qu'ils se plaçaient eux-mêmes en état de vassalisation....
L'orgueil a un prix... ou : "Il était une fois..."
Certes, tous les documents étant sur nos deux ordinateurs, nous avons eu la tâche plus facile que lorsque nous devons travailler avec le site Gallica de la BNF, et supporter patiemment - mais sans rien pouvoir y faire... - ses lenteurs, ses "plantages" et autres "joyeusetés" (!), surprenantes pour un site d'une Institution aussi prestigieuse que la BNF...
Nous avons eu l'impression d'un "travail/TGV" !
Enfin, quoi qu'il en soit, les deux derniers épisodes viennent d'être confectionnés et "placés" : au rythme de deux par jour, ce Feuilleton (dont les 27 premiers épisodes sont déjà parus) comptera en tout 138 épisodes, et les deux derniers paraitront le Jeudi 8 Mai prochain.
Il est plus long que "le Maurras" (87 épisodes) mais nettement moins long que "le Daudet" (244), à travers lequel nous avons - il est vrai - esquissé "une" histoire de l'Action française, et, donc, largement débordé du simple sujet de Daudet lui-même...
Comme les deux autres, nous espérons que vous prendrez autant de plaisir à lire ce troisième et dernier Feuilleton que nous en avons pris à le réaliser. Et que vous en tirerez profit, chacun d'entre vous selon son degré de connaissance de cet immense personnalité que nous pouvons légitimement être fiers de compter dans nos rangs...
Bonne lecture !
François Davin, Blogmestre
À Paris, le Jardin des Tuileries de nos jours
Il y a treize jours, dans l’année, pendant lesquels il ne s’est pas passé grand-chose, ou bien pour lesquels les rares événements de ces journées ont été traités à une autre occasion (et plusieurs fois pour certains), à d'autres dates, sous une autre "entrée".
Nous en profiterons donc, dans notre évocation politico/historico/culturelle de notre Histoire, de nos Racines, pour donner un tour plus civilisationnel à notre balade dans le temps; et nous évoquerons, ces jours-là, des faits plus généraux, qui ne se sont pas produits sur un seul jour (comme une naissance ou une bataille) mais qui recouvrent une période plus longue.
Ces jours creux seront donc prétexte à autant d'Évocations :
• 1. Essai de bilan des Capétiens, par Michel Mourre (2 février)
• 5. Quand Le Nôtre envoyait à la France et au monde le message grandiose du Jardin à la Française (13 mars)
• 7. Quand Louis XIV a fait de Versailles un triple poème : humaniste, politique et chrétien (28 avril)
• 9. Quand la cathédrale Saint-Pierre de Beauvais a reçu, au XIIIème siècle, son extraordinaire vitrail du Miracle de Théophile (28 mai)
• 10. Quand Chenonceau, le Château des Dames, à reçu la visite de Louis XIV, âgé de douze ans, le 14 Juillet 1650 (26 juillet)
• 11. Le Mont Saint Michel (11 août)
• 12. Quand François premier a lancé le chantier de Chambord (29 septembre)
• 13. Quand Léonard de Vinci s'est installé au Clos Lucé (27 octobre)
Aujourd'hui : Quand Le Nôtre envoyait à la France et au monde le message grandiose du Jardin à la Française.
Lafautearousseau Royaliste - LFAR
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Le Député Matthieu Bloch écrit à la Présidente de l'Assemblée :
"L’insoumis Raphael Arnault, député fiché S, organise à l'assemblée nationale une table ronde avec le CCIE, reconstitution en Belgique d'une organisation dissoute par le gouvernement Français (CCIF). Madame la Présidente @YaelBRAUNPIVET, allez vous laisser organiser une telle réunion au sein du temple de la République ?"
Ce n'est pas que Matthieu Bloch soit antipathique, ou porteur d'idées fausses, en lui-même. C'est simplement qu'il n'a pas compris ce qu'est la République française...
• d'abord, elle n'est ni une république ni une démocratie (comme l'est la Suisse, par exemple);
• ensuite, cette république est idéologique et totalitaire, car elle est révolutionnaire. Elle se fonde sur les "principe de 1789", comme le dit le mauvais préambule (écrit par Michel Debré) de la bonne Constitution de la Vème (écrite par de Gaulle, intimement royaliste);
• il s'ensuit de ce qui précède que ceux qui président aujourd'hui cette république idéologique totalitaire (Macron) ne sont que les héritiers du "chaos explosif des révolutionnaires" (de leur Terreur et de leur Génocide vendéen); ne sont que les garants du "chaos figé des conservateurs du désordre" républicain idéologique...
Donc, n'en déplaise à ce sympathique Matthieu Bloch (que nous ne connaissons pas plus que cela), c'est Raphaël Arnault qui a raison dans cette affaire, et ses copains enragés de LFI, les "revenants de la Section des piques de 1793". Ce sont eux qui sont chez eux à l'Assemblée nationale républicaine, révolutionnaire par essence. Et ils y font ce pourquoi ils sont faits : pour poursuivre et parachever la Révolution.
Si l'on veut s'opposer à cela, il ne faut évidemment pas en appeler à la cause du mal et du désordre (la République idéologique totalitaire et révolutionnaire) mais, au contraire, faire "la révolution de la Révolution".
Et, comme le disait Léon Daudet,
mener "une action réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement l subversion du Régime"
Les expressions « Vieille Europe » et « Nouveau monde » n’auront malheureusement jamais été aussi actuelles. En observant les tourmentes incessantes provoquées par les initiatives de Donald Trump, Elon Musk et maintenant le discours de J.D. Vance prononcé à Munich, l’Europe semble très âgée. Nos dirigeants, même les plus jeunes d’entre eux, paraissent sortir de l’âge de pierre face au tourbillon provoqué par un homme de 78 ans.
Avec d’autres septuagénaires, l’Indien Modi, le Chinois Xi Jinping et le Russe Vladimir Poutine, Donald Trump met fin aux structures multilatérales en place depuis 1945 pour discuter en direct avec ceux qu’il estime devoir rencontrer ou appeler au téléphone. La France, l’Angleterre et l’Allemagne sont reléguées aux oubliettes de l’histoire. Les dirigeants de ces pays parlent beaucoup, agissent peu et mal. Ils sont plus jeunes pourtant mais beaucoup plus vieux en réalité.
Francesco est né vers 1430, à Vrana, près de Zara (l'actuelle Zadar, en Croatie), ville qui s'appelait La Vrana à l'époque où elle était dominée par les Vénitiens : c'est la déformation de ce nom en Laurana qui a donné son patronyme à l'artiste, dont on ne connaît que le prénom.
Il commence son apprentissage à Naples, pour Alphonse V d'Aragon et, après le mort de celui-ci, en 1458, il est appelé en France, à la cour de René, duc d'Anjou, comte de Provence et roi de Naples.
Ensuite, de 1466 à 1471, il est en Sicile, à Palerme.
En 1471, il retourne à Naples, puis part à Urbino pour trois ans, et repart ensuite en France, où il introduit le travail à l'antique, c'est-à-dire le style de la Renaissance italienne.
Il se fixe à Marseille, où il passa la plus grande partie des dernières années de sa vie. Son atelier produit l'Autel Saint-Lazare à la Cathédrale de Marseille, le Tombeau de Jean Cossa à Sainte-Marthe de Tarascon, celui de Charles IV du Maine au Mans, et le Retable du Portement de Croix pour l'église des Célestins d'Avignon.
Sa fille épousa Jean de la Barre, peintre avignonnais, et Francesco vint s'installer en Avignon en 1498. Il y mourut en 1502, et fut inhumé dans la chapelle de Notre-Dame-la-Belle, qui jouxtait le couvent des Augustins.
À Marseille, dans l'ancienne cathédrale, Laurana édifia le superbe autel de Saint Lazare, en marbre de Carrare, de 1475 à 1481. Cet autel - non loin d'un autre chef d'oeuvre, de Della Robbia - est situé dans le croisillon nord du transept, et présente une arcature jumelée de style Renaissance; il est la première manifestation de ce mouvement en France :
On consultera avec profit l'étude suivante sur ce splendide travail, dans la cathédrale de La Major, où François 1er maria son fils, le futur Henri II, la cérémonie étant présidée par le Pape lui-même... :
http://provence-historique.mmsh.univ-aix.fr/Pdf/2015-65-259_2.pdf
et aussi ce lien, qui ne manque pas non plus d'intérêt :
http://cathedrale.marseille.free.fr/vieille/laza/laza.htm
Enfin, notre Éphéméride du 28 octobre, qui évoque le mariage "royal et papal" du futur Henri II donne d'autres renseignements sur cette splendeur mutilée qu'est la Vieille Major de Marseille...
Lafautearousseau Royaliste - LFAR
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Notre dissuasion nucléaire fait des jaloux, et/ou des envieux...
Mais c'est uniquement la faute de Macron : quelle mouche l'a donc piqué de lancer cette idée folle d'un "partage" de cette dissuasion avec d'autres pays européens, qui, jusque là, ne demandaient rien ?
À force de dire n'importe quoi, n'importe quand et sur n'importe quel sujet (quitte à dire exactement le contraire quelques mois plus tard...) celui que Luc Ferry à très exactement jugé (le "gamin"...) ne cesse de jouer avec le feu, là où il serait si simple... de ne rien dire !
Voilà maintenant que les Polonais et le "monstre Allemagne" de "Berlin/la Prusse" demandent, sérieusement, à profiter de ce "parapluie" nucléaire français, que Macron a follement mis sur le tapis.
On nous pardonnera l'expression, mais ils sont "gonflés", Tusk (le Polonais) et Merz (le "Prussien") !
• La Pologne s'est gavée de matériels américains depuis sa libération, sabotant par là-même l'idée d'Europe dont elle ne cesse de parler. Les hangars polonais sont remplis et débordent de F35 au lieu de Rafales, de chars Abrams au lieu de Leclerc, d'hélicoptères Apache au lieu des français (Caracal, Cougar, Guepard ou Tigre...), d'Himars au lieu de nos LRU... et on va s'arrêter là. Et, maintenant, les Polonais voient que, sans accord US préalable, ils ne peuvent faire voler leurs F35 (par ailleurs hors de prix par rapport au Rafale et bien moins maniables, car beaucoup trop sophistiqués : quand il y a trop de technologies de pointe quelque part, chaque "fonction" géniale en gêne ou en bloque une autre...); sans parler du problème de la maintenance et des pièces de rechange, qui dépend exclusivement des USA et de leur bon (ou mauvais) vouloir...
Voilà donc que les Polonais se rendent compte que, comme dans le conte d'Andersen, "le roi est nu"; et qu'ils commencent sérieusement à s'affoler, devant les décisions de la maléfique Maison blanche. Mais, comme pour le corbeau de La Fontaine, c'est "un peu tard...". Qu'à cela ne tienne : plus c'est gros, plus ça passe (comme disait Goebbels) ! Le Premier ministre polonais, Donald Tusk, s'est dit ouvert, ce vendredi 7 mars, à la proposition d'aller s'abriter sous le parapluie nucléaire français, souhaitant toutefois "avoir la certitude" de pouvoir décider de son usage potentiel !
Ben voyons ! Nous renvoyons les cinéphiles avertis à la réplique de Bruno Solo (dans "La vérité si je mens") "que rigoureusement ma mère / m'a défendu de nommer ici", comme chantait Brassens.
Emmanuel Macron a bien été obligé, en catastrophe, de se fendre d'un communiqué genre "halte au feu !", précisant bien que la décision d'appuyer sur le bouton resterait "entre les mains" de la France.
Voilà ce qui arrive quand des gamins jouent aux grands...
• Quant au "monstre Allemagne politiquement unie" par la Prusse, elle ne peut plus, depuis 45, nous refaire les coups de Bismarck, Guillaume Premier et Hitler. Elle a donc, tout simplement, changé son fusil d'épaule, et poursuit, depuis sa réunification, le même expansionnisme agressif et conquérant, en utilisant, cette fois, l'arme de l'économie. Mais c'est toujours la même brutalité cynique anti-française, doublée de la volonté acharnée de saboter notre nucléaire (avec l'appui d'une partie du pays légal de notre Système, avec la hideuse alliance socialo/escrolo).
Heureusement, leur coup a raté, en ce qui concerne notre nucléaire, qui renaît de ses cendres, alors que, outre-Rhin, les dirigeants ont - heureusement pour nous ! - pris la calamiteuse décision d'abandonner le nucléaire civil. Ils étaient unijambistes (le nucléaire militaire leur étant fermé depuis 45) ils ont chois de devenir culs-de-jatte : tant mieux pour nous ! En plus, le monstre s'affaisse, à la fois démographiquement, mais aussi par une "turquisation" inquiétante et aussi par l'affaiblissement des piliers de sa force : son économie (perte du gaz russe avec "l'affaire NordStream; droits de douane "promis" par Trump sur les automobiles; pays en récession pour la deuxième année consécutive...). Qu'à cela ne tienne ! Merz, futur chef de cette maudite entité qui nous a fait tant de mal (dont les Rois nous avaient débarrassé mais que les révolutionnaires ont recréé) Merz, donc, vient, sans vergogne lui non plus, dire qu'il veut être protégé par le bouclier nucléaire français : re-Ben voyons !
Ni pour l'un ni pour l'autre, ni pour les autres, il ne saurait être question de partager notre dissuasion nucléaire.
Quant à Macron, on sait qu'on n'a plus longtemps à le supporter (ouf !) mais s'il pouvait s'arrêter de faire et dire n'importe quoi, n'importe où et n'importe quand, cela simplifierait les choses, qui sont assez compliquées et, surtout, assez dangereuses comme cela !
Pour une fois qu'on est d'accord avec LFI, il serait dommage de ne pas le signaler !
Comme "hier", avec la CED, tous les Français raisonnables et patriotes, d'où qu'ils viennent, doivent s'unir pour faire capoter, dès maintenant, ce début de débat (?) qui n'est rien d'autre que... jouer avec le feu, en l'occurrence nucléaire...
1794 : Création de l'École Polytechnique par Lamblardie, Monge, Carnot et Prieur
L'adjectif "polytechnique", apparu pour la première fois dans un document publié par Claude Prieur - Programmes de l'enseignement polytechnique de l'École centrale des Travaux publics - a été choisi afin de symboliser la pluralité des techniques enseignées.
Elle est aujourd'hui installée à Palaiseau :
1814 : Bordeaux proclame Louis XVIII Roi de France...
Le désastre est total : déclarée en 1792, à l'instar des Girondins et de Brissot, dans le but exprès de faire chuter la monarchie, la folle "guerre à l'Europe" s'achève, 22 ans et un million et demi de morts après, par l'invasion du territoire national, inviolé depuis cent ans (deux vies d'homme...)...
Russes, Autrichiens, Prussiens, Anglais : c'est toute l'Europe, où régnait l'esprit, le goût, les moeurs, la civilisation et la langue française qui s'est liguée contre le bellicisme xénophobe révolutionnaire; la République, dont l'Empire et Napoléon ne sont que "le sabre", a réussi le prodige d'agréger à nos ennemis traditionnels nos anciens amis et alliés, ligués maintenant contre nous; elle a épuisé la France; elle a soulevé des forces qui retomberont lourdement sur elle et sur ses enfants en lançant le principe des nationalités, c'est-à-dire, dans les faits, l'unité allemande : 1870, 1914, 1939 sortiront de ces nuées révolutionnaires, créatrices de l'Allemagne unie... par nous-mêmes !...
lafautearousseau
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