mercredi 23 octobre 2024 23h50

Grandes "Une" de L'Action française : la vie du mouvement, vue de l'intérieur (1/2) : informations diverses et variées, joies et peines touchant la grande famille d'Action française...

(EN CONSTRUCTION - AJOUTS À VENIR...)

(Le deuxième volet de cette "vie de l'Action française, vue de l'intérieur", est "en construction" aussi : il concerne les Congrès, le nombre d'abonnés au journal, la structuration du mouvement en onze zones sur tout le territoire métropolitain (la onzième zone étant : l'Algérie !). Il est publié dès maintenant, et sera augmenté au fur et à mesure de l'avancée de notre lecture de la collection complète du quotidien... )

Nous proposons donc, en somme, une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

Rappel : pour lire les articles, après avoir cliqué sur les liens que nous vous donnons à chaque fois...

En bas de page, une courte "barre de tâches" vous permet d'utiliser le zoom (tout à gauche de la barre) et de changer de page (flèche tout à droite); une fois appuyé sur "zoom", vous aurez, cette fois tout en haut de la page, une autre "barre de tâches" : en cliquant sur le "+", il ne vous restera plus, avec votre souris, qu'à vous promener sur la page, puis passer à la deuxième pour lire la suite...

• 1 : de 1908 à 1914 (premier numéro du journal - le 21 Mars 1908, jour du Printemps - à la déclaration de guerre à la France par Guillaume II)...

• Naissance des trois enfants du couple Daudet :

• numéro du Vendredi 8 Janvier 1909 (en milieu de la "Une") :

- Et, dans le numéro du Lundi 11 Janvier (en page deux) on lit ces touchants messages de sympathie "au nouveau ligueur" des royalistes de Grenoble et de Saint Rémy de Provence :

- Tandis que, dans le numéro du Samedi 16 Janvier, toujours en page deux, chronique "Ligue d'Action française", c'est le couple Mistral, Paul Bourget, d'Elbée, Flachaire de Roustan, les stéphanois, les catalans Bertran de Balanda et le groupe de Salon qui félicitent "le nouveau Camelot" :

Léon Daudet eut quatre enfants (trois garçons et une fille) : d'abord, Charles, de son premier mariage, raté et qui ne dura pas, avec la petite-fille de Victor Hugo; puis trois enfants avec sa seconde épouse, Marthe Allard, que toute l'Action française appelait affectueusement "Pampille" : Philippe, François et Claire.

Philippe sera ignoblement assassiné, l'année de ses quatorze ans, par la police politique du Régime, associée aux anarchistes, pour faire taire son père; François écrira un très bel article, d'espérance contre toute espérance, dans le dernier numéro du quotidien, celui du Jeudi 24 Août 1944 (le dernier) : Paris, ce vendredi 16 septembre...

Ainsi, les Daudet, du premier au dernier numéro (le premier avec Léon, le dernier avec son fils François) ont-ils participé à la grande et magnifique aventure de L'Action française, de ceux qui ont tout fait, tout ce qui était en leur possible, pour servir la France et lui éviter les désastres que lui infligeait la République...

• numéro du Lundi 15 Mars 1915 :

• numéro du Mercredi 13 Mars 1918 :

ci-dessous, Claire aux côtés de Maurras, lors d'un Rassemblement royaliste, en 1938...

• Dans le numéro du Mardi 25 Mai 1909 (page deux) : le journal ne donnant pas d'autre précision, on peut penser qu'il s'agit d'un frère de Robert de Boisfleury, évoqué dans notre Album Léon Daudet, ou, tout simplement, d'une "coquille" sur le prénom (Robert de Boisfleury, né en 1870, avait alors 39 ans).

• Dans le numéro du Vendredi 22 Avril 1910 (page deux) :

• Dans le numéro du Vendredi 1er Juillet 1910 (page deux) : évidemment, avant la malheureuse séparation d'avec le premier, qui fut une vraie perte pour l'Action française...

• dans le numéro du Mardi 24 Janvier 1911, en "Une" (troisième colonne)... :

... et dans le numéro du Dimanche suivant, toujours en "Une" (troisième colonne) :

• dans le numéro du Mardi 28 Février 1911 (le 24 précédent, vers minuit, Daudet - et quelques autres - avait été conduit "au Poste" et brutalisé, après une manifestation contre une pièce de théâtre ) :

• dans le numéro du Dimanche 23 Avril 1911 (page deux) :

• dans le numéro du Mercredi 3 Mai 1911 (page deux) :

• dans le numéro du Jeudi 4 Mai 1911 (page deux) :

• En "Une" du numéro du Samedi 19 Août 1911 (troisième colonne) :

• dans le numéro du Jeudi 30 Novembre 1911 (page deux) :

• Mariage de Jacques Bainville :

• numéro du Dimanche 23 juin 1912 :

Malheureusement, le lendemain, au même endroit de la "Une" (numéro du Lundi 24 Juin 1912) :

• numéro du Lundi 15 Juillet 1912 :

• Mort du Père de Maxime Réal del Sarte :

• en "Une" du numéro du Dimanche 17 Janvier 1909 (moitié inférieure de la sixième colonne et suite en page deux (moitié supérieure de la première colonne) : en "Une"...

...et la suite en page deux :

• dans le numéro du Jeudi 30 Janvier 1913 (page deux) :

• dans le numéro du Dimanche 30 Mars 1913 (page deux) :

• dans le numéro du Samedi 13 Septembre 1913 :

À Marseille, "Les Mets de Provence", chez Maurice Brun, c'était bien plus qu'un restaurant : si on ose la formule, on pourrait dire que c'était la tradition vécue, au jour le jour, dans le domaine de la "maintenance" (au sens Mistralien et félibréen du terme) des traditions et du goût de la Provence; de sa façon et de son art de vivre, à travers la nourriture; au dessert, Brun allait à son piano et jouait La Royale ! Lorsque Maurras fut emprisonné, il lui apporta un jour une "bouillabaisse maison", beau geste qui est à rapprocher de celui de Georges Claude, qui envoya sa belle pelisse à Maurras, sachant la rudesse de ses conditions de rétention...

(ndlr, en général, et de François Davin, en particulier : la femme de Maurice Brun s'appelait Thérèse, comme la mère de mon père, décédée en lui donnant le jour; ce n'est, évidemment, qu'une pure coïncidence, mais j'y vois comme un signe, expliquant l'amitié entre mon père et Maurice Brun; celui-ci, qui devait respecter les formalités purement légales et administratives, gérait une entreprise et devait, chaque année, tenir une réunion au cours de laquelle les administrateurs du restaurant certifiaient les comptes etc... Maurice Brun choisit mon père comme "administrateur" et, chaque année, début décembre, celui-ci se rendait sur le Vieux-Port, 18 Quai de Rive neuve, où se trouvait ce temple de la gastronomie et du bon goût provençal. Il en revenait avec une bouteille de "vin cuit" de Palette (le petit village où Brun se fournissait) alors que, chez nous, nous prenions le "Vian et Vieil". Enfant, intrigué, je demandais à Papa où il allait, et il me répondait que, dès que je serai un peu plus grand, je pourrais venir avec lui; et, lorsque j'eus mes sept ans, il m'emmena, chaque année à cette sorte de "formalité/cérémonie" solennelle (pour moi), et c'est moi qui portais, avec précaution, la fameuse bouteille, en rentrant à la maison...

"Maurice" était mort depuis bien longtemps : le 24 Mai 1955 il se tua, dans un aussi stupide que banal accident de la circulation, survenu en Espagne, à Castellón de la Plana; il avait 67 ans...

• en "Une" du numéro du Mercredi 6 Novembre 1913 (troisième colonne) :

• en "Une" du numéro du Mercredi 10 Décembre 1913 (milieu de la quatrième colonne) :

• en "Une" du numéro du Lundi 23 Février 1914 (3ème et 4ème colonne) :

avec ce rappel le lendemain, en bas de la quatrième colonne de la "Une" :

Le compte-rendu de la cérémonie se trouve en page deux, dans la rubrique "Ligue d'Action française", du numéro du Jeudi 26 Février 1914...

• en page deux du numéro du Vendredi 13 Mars 1914 :

• en "Une" du numéro du Jeudi 9 Avril 1914 (5ème colonne, "Échos")... :

... puis, en "Une" du Lundi 27 Avril 1914 (3ème colonne, "Échos")... :

... et, enfin, le compte-rendu de la cérémonie, en "Une" (colonnes 4 et 5) du numéro du Vendredi 1er Mai 1914 :

• 2 : de 1914 à 1918 (l'effroyable hécatombe de la guerre et "L'Action française au Champ d'honneur")...

• en "Une" du numéro du Lundi 3 Août 1914 (deuxième colonne) :

• Pour plus d'informations - données par Daudet lui-même - sur cet accident, voir la photo L'accident de La Roche, dans notre Album Léon Daudet...

• et, en "Une" du numéro du Mercredi 5 Août (deuxième colonne) :

• la "Une" du Vendredi 7 donne des nouvelles encore rassurantes de Léon Daudet; par contre, Maurras écrit un long et bel article en hommage à Jules Lemaitre, qui vient de mourir (colonnes une et deux); ses obsèques sont relatées en "Une" du numéro du Dimanche 9 Août (milieu de la 3ème colonne) :

• en "Une" du numéro du Jeudi 13 Août :

• en "Une" du numéro du Mardi 8 Septembre 1914 :

• en "Une" du numéro du Vendredi 25 Septembre (en bas de la 3ème et en haut de la 4ème colonne) :

• en "Une" du Vendredi 2 0ctobre 1914 ...:

... et, sur la même "Une"... :

... et toujours "pour nos blessés", mais en "Une" du Mardi 6 Octobre :

• en "Une" du numéro du Jeudi 15 Octobre 1914 :

• en "Une" du numéro du Dimanche 1er Novembre 1914 (c'est lui qui est évoqué par Léon Daudet) :

• dans le numéro du Samedi 5 Décembre 1914 (page deux) :

• dans le numéro du Vendredi 22 Janvier 1915 (page deux)... :

... Mais, en "Une" du Mardi 2 Février 1915 :

... et en "Une" du numéro du Lundi 8 Février :

• en "Une" du numéro du Samedi 6 Mars 1915; Bainville aimait citer cet alexandrin parfait de Lionel des Rieux, parlant de Mistral :

"Sous un toit de Maillane, Homère vit encore..."

... et, dans le numéro du lendemain, Dimanche 7, toujours en "Une" :

• ... Jacques Bainville rend un très bel hommage à son cher ami en page trois (colonnes trois et quatre) dans ce même numéro du Dimanche 7...

• ... et Charles Maurras, dans un long article, occupant les trois premières colonnes de la "Une" (et la moitié inférieure de la quatrième) du Lundi 15 Mars 1915 évoque "Lionel des Rieux - Un patriote provençal"

• en "Une" du numéro du Dimanche 23 Mai 1915 : c'était, évidemment, avant la bien triste et dommageable "rupture" qui surviendra, hélas, plus tard...

• en "Une" du numéro du Dimanche 20 Juin 1915 :

• en "Une" du numéro du Mardi 22 Juin :

• en "Une" du numéro du Jeudi 24 Juin 1915 :

• en "Une" du numéro du Dimanche 11 Juillet 1915 :

• en "Une" du numéro du Mercredi 21 Juillet 1915 :

• en "Une" du numéro du Vendredi 30 Juillet 1915 :

• en "Une" du numéro du Mardi 17 Août 1915, Maurras consacre les deux premières colonnes et un quart de la troisième à "La vie et la mort d'Octave de Barral"... Avec une "suite et fin" dans le numéro du lendemain...

• en "Une" du numéro du Dimanche 29 Août 1915 :

• Numéro du 8 Octobre 1915 :

Léon de Montesquiou Mort au Champ d'honneur...

• dans le numéro du lendemain, dans lequel Henri Vaugeois lui rend hommage (après l'hommage de Maurras, la veille) :

• et dans le numéro du surlendemain, Dimanche 10 Octobre :

• et dans le numéro du Mercredi 13 Octobre :

• en "Une "du numéro du Jeudi 28 Octobre 1915 :

• en "Une du numéro du Vendredi 5 Novembre 1915 :

• en "Une" du numéro du Mercredi 10 Novembre 1915 :

• En "Une" du numéro du Jeudi 20 Janvier 1916 : pour quelques informations sur les raisons de ce voyage, c'est ici...

• en "Une" du numéro du Lundi 14 Février 1916 : sur deux frères de "Pampille", l'épouse de Léon Daudet...

... et, en "Une" du Jeudi 17 Février 1916 :

• en "Une" du numéro du Dimanche 2 Avril 1916 :

• en "Une" du numéro du Lundi 3 Avril 1916... :

.... et en "Une" du numéro du Dimanche 9 Avril suivant :

Le numéro du Mercredi 12 Avril 1916 : c'est Charles Maurras qui, sur trois colonnes et demie sur les cinq de la "Une" rend à Henri Vaugeois l'hommage mérité, commençant par ces mots :

• le lendemain, dans le numéro du 13, en "Une", Pierre Lassere rend hommage sur les deux premières colonnes à "un très vieil ami" : "nul n'a mieux connu que moi cette âme de feu dont l'incessante ardeur a consumé prématurément une vie fragile..."; et on annonce les obsèques :

• le surlendemain, en "Une" du numéro du 14, c'est Léon Daudet qui rend hommage à "Henri Vaugeois orateur et propagandiste"; et l'on publie le télégramme suivant :

• avant celui du Prince, le lendemain, samedi 15; Louis Dimier et un ami de Vaugeois, resté républicain (Vaugeois venait de la gauche, son grand-père était un Conventionnel régicide...) lui rendent hommage, et l'on a le compte-rendu des obsèques... :

• en "Une" du numéro du Mercredi 26 Avril :

• en "Une" du numéro du Premier Mai 1916 :

pour mémoire, le communiqué publié la veille :

• en "Une" du numéro du Dimanche 14 Mai 1916 :

• dans le numéro du Mardi 6 Juin 1916, en page deux, on peut lire le compte-rendu de la conférence prononcée par Madame Alphonse Daudet, mère de Léon :

• en "Une" du numéro du Lundi 10 Juillet 1916 :

• en "Une" du numéro du Jeudi 3 Août 1916 :

• en "Une" du numéro du Dimanche 13 Août 1916 :

• en "Une" du numéro du Lundi 14 Août 1916 :

• en "Une" du numéro du Mardi 15 Août 1916 :

l'article n'occupe que quelques lignes de la "Une", tout en bas de la sixième colonne, qui peuvent donc être lues en utilisant le lien ci-dessus; voici le lien de la page deux, permettant de lire la suite, sur les deux premières colonnes et les huit premières lignes de la troisièmes...

• en "Une" du numéro du Mercredi 6 Septembre 1916 :

• en "Une" du numéro du Dimanche 24 Septembre 1916 :

• en "Une" du numéro du Mercredi 27 Septembre 1916 :

• Naissance de Guy Réal del Sarte :

• en "Une" du numéro du Samedi 7 Août 1920

• numéro du Mercredi 22 Septembre 1920 : c'est sous le modeste titre "ECHOS" que le journal annonce - en plein milieu de sa "Une", tout de même, que Bainville vient d'être nommé Chevalier de la Légion d'honneur (le Décret a été pris le lundi précédent, 20 septembre)...

Naissance d'Hervé Bainville :

• numéro du Vendredi 21 Octobre 1921 :

Mort de Madame Maurras :

• numéro du Dimanche 12 Novembre 1922 (intégralité de la troisième colonne de la "Une") :

Mort de Joseph, frère de Maurras :

• numéro du Mardi 25 Novembre 1924 : la mort du frère de Maurras, Joseph, "Monsieur "Allez !..." : le journal lui rend hommage sur les trois colonnes centrales de ce numéro :

- C'est d'abord Léon Daudet qui, juste après son article du jour, rend hommage à son confrère médecin et signe ce bel article (moitié inférieure de la deuxième colonne, avec huit lignes de conclusion tout en haut de la troisième colonne) :