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"Nouveau bond spectaculaire des baptêmes d'adultes et d'adolescents en 2025
Ils seront plus de 10 300 adultes et 7 400 adolescents à recevoir le baptême dans la nuit de Pâques. Une progression de 45% par rapport à 2024 qui confirme la tendance observée depuis cinq ans..."
De Jacques Bainville, Histoire de France, chapitre X, Henri IV restaure la monarchie et relève l'État :
"...Presque en même temps que la paix de Vervins fut signé l'Édit de Nantes (13 avril 1598). Les protestants avaient été aussi longs que la Ligue et l'Espagne à reconnaître le fait accompli. Depuis la conversion du roi, ils ne cessaient de s'agiter, de tenir des assemblées, d'adresser au gouvernement des plaintes et des sommations, de chercher des appuis au-dehors, et même de profiter, pour accroître leurs exigences, des embarras et des revers du gouvernement, comme ce fut le cas au désastre d'Amiens. C'est quand ils virent que la paix avec l'Espagne allait être conclue qu'ils réduisirent leurs prétentions et acceptèrent un accord.
"...De toutes les religions qui ont jamais existé, la religion chrétienne est la plus poétique, la plus humaine, la plus favorable à la liberté, aux arts et aux lettres.
Le monde moderne lui doit tout, depuis l'agriculture jusqu'aux sciences abstraites, depuis les hospices bâtis pour les malheureux jusqu'aux temples élevés par Michel-Ange et décorés par Raphaël.
Il n'y a rien de plus divin que sa morale, rien de plus aimable, de plus pompeux que ses dogmes, sa doctrine et son culte; elle favorise le génie, épure le goût, développe les passions vertueuses, donne de la vigueur à la pensée, offre des formes nobles à l'écrivain et des moules parfaits à l'artiste..."
Visionnaire et "fulgurant", comme souvent, Chateaubriand prévenait, par ailleurs : "Ôtez le Christianisme, et vous aurez l'Islam...", pensée d'il y a un siècle et demi, mais qui s'applique, d'évidence, à nos jours...
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Macron a eu tort de se déclarer favorable à la création d'un État palestinien.
Rien n'est "sur la table", nulle part, pour parler vraiment de cela, hors des "paroles verbales", en ce moment, et le contexte ne s'y prête absolument pas : on parle de beaucoup de préoccupations tout à fait immédiates, dans les capitales du monde entier, et particulièrement en Europe, et particulièrement en France : et voilà que celui qui se croit encore - en dépit de ses échecs partout - "le magicien Macron", tout d'un coup, nous sort ce lièvre incongru de son chapeau : de la frime, de l'esbrouffe, de la poudre aux yeux, encore et toujours...
Soit pour masquer ses échecs; soit pour faire croire qu'il existe encore (politiquement, s'entend); soit, et c'est plus grave parce que c'est probablement la vraie raison, ou l'une des principales : parce qu'il a peur de "la rue arabe" en France, dans ces plus de 1.500 Cités, banlieues, "zones de non-droit" dans lesquelles l'armée barbare d'invasion pousse de plus en plus profondément ses racines, jusqu'à inquiéter, maintenant, ceux qui ont créé ce monstre et l'ont implanté chez nous.
Il y a peu, c'est pour la même raison (qu'il refusait d'ailleurs de reconnaître) qu'il refusait de participer à la Marche contre l'antisémitisme, croyant, par là, "acheter la paix sociale" (comme on dit)...
Goldnadel a bien commenté la chose :
"C’est bien gentil d’aller manifester en faveur des civils palestiniens, mais j’aurais aimé qu’il aille manifester en faveur des civils juifs français en proie à l’antisémitisme des banlieues et de LFI..."
Le Figaro du mercredi 9 avril, page 17, a eu l’honnêteté de présenter sur la même page deux thèses opposées, celles d’une personne intelligente et réaliste, madame Julie Girard, avec son article intitulé « Trump, le président du peuple contre l’élite financière ?» et un autre article écrit par Bertille Bayart, journaliste de la pensée unique, ayant pour titre : « Pourquoi la Chine risque de gagner la guerre commerciale », alors qu’il est plus que certain que l’Empire du milieu va la perdre !
1927 : Le château de Villandry et ses jardins, inscrits aux Monuments Historiques
1229 : Fin de la Croisade des albigeois
Un traité est signé à Paris entre Blanche de Castille, régente, mère de Louis IX, et Raymond VII, comte de Toulouse, contraint, par sa défaite, à en accepter les termes.
L’accord met fin à la Croisade menée contre les Albigeois, ou cathares, depuis 1209.
Le comte doit céder une grande partie de ses terres au royaume de France (par exemple, les sénéchaussées de Beaucaire et Carcassonne) mais conserve le comté de Toulouse et le Lauragais.
Il s’engage également à marier Jeanne de Toulouse, sa fille unique et, donc, son héritière, à Alphonse de Poitiers, frère cadet du roi : le Comté de Toulouse ira aux enfants de ce mariage, et à défaut d'enfants, reviendra à la Couronne.
Ainsi, à sa mort, le reste de son territoire reviendra définitivement au royaume de France (sur l'importance de la Croisade des Albigeois dans l'extension territoriale du Royaume de France, voir notre Éphéméride du 16 mars)
Ratification du traité de Paris par Raymond VII, comte de Toulouse.
Acte en latin donné le 12 avril 1229, scellé d'un sceau de cire verte appendu sur lacs de soie verts
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11 Avril 1975 : Bernard Pivot reçoit Soljénitsyne dans "Apostrophes..."
Le 13 Février 1974, Alexandre Soljénitsyne est expulsé d'URSS;. Il souhaite venir résider en France, et demande l'asile politique, qui lui est refusé par le Président socialiste Mitterand, empêtré dans une coalition de gauche, où le Parti communiste joue encore un rôle primordial : à peine cinq ans auparavant, à la dernière élection présidentielle (de 1969), le candidat du Parti communiste, Jacques Duclos, a obtenu presque 22% des voix, au premier tour ! Pas question, donc pour Mitterand, et à cause de ces misérables calculs politicards, d'accorder l'asile politique à l'immense Soljénistsyne, qui a dénoncé l'enfer sur terre que fut l'Archipel du Goulag, ouvrage majeur dont il demanda l'impression en Décembre 1973 (la version française étant publiée le 1er Juin 1974).
Soljénitsyne partit donc en exil dans le Vermont, aux Amériques.
À la France fut ainsi infligée - par la république idéologique - cette honte indélébile d'avoir refusé asile et protection à ce grand résistant à la Révolution : mais c'est logique, la république idéologique étant, par nature, révolutionnaire, et mère et matrice de toutes les révolutions qui sont nées d'elle, dont la bolchévique...
Bernard Pivot (ci dessous) et Philippe de Villiers sauveront l'honneur national, le premier en 1975 (en recevant Soljénitsyne) et le second en le recevant en Vendée, aux Lucs-sur-Boulogne, en 1993...
1. Bernard Pivot raconte :
"...J'ai rencontré Alexandre Soljenitsyne quatre fois, quatre moments extraordinaires. Avant même de l'inviter dans Apostrophes, le 11 avril 1975, je lui avais consacré, fin 1973, au moment de la sortie de L'Archipel du Goulag, l'une des émissions d'Ouvrez les guillemets. Le débat avait été fort animé, notamment entre Jean Daniel et Max-Pol Fouchet. Le premier parlait d'un témoignage capital, tandis que le second minimisait son importance. Tout comme Alain Bosquet, également sur le plateau, qui était fort dubitatif. Car, il faut bien le rappeler aujourd'hui, il n'y avait pas alors de belle unanimité au sein de l'intelligentsia française. Nombre d'intellectuels critiquaient l'aspect partiel du récit de Soljenitsyne, d'autres encore considéraient qu'il n'était pas de grande qualité littéraire. Début 1975, alors que, expulsé d'URSS, il résidait en Suisse, je l'ai convié à l'occasion de la sortie de ses Mémoires, Le Chêne et le Veau. C'était l'une de mes premières émissions d'Apostrophes et je venais d'avoir Nabokov. Deux grands Russes coup sur coup. Quel bonheur ! C'était formidable. L'auteur d'Une journée d'Ivan Denissovitch et du Pavillon des cancéreux était vraiment impressionnant. Par sa stature, sa barbe, son physique. Tout ce qu'il représentait, la guerre, le goulag, le cancer, bref, tout ce que à quoi il avait échappé, et son courage incroyable faisaient que vous vous sentiez bête et tout petit en face de lui. C'est comme si vous aviez reçu de Gaulle ! On me disait qu'il n'avait pas bon caractère. Comment aurait-il pu survivre sinon ? Cela dit, il a fait montre, à chacune de nos rencontres, d'une vraie gentillesse et d'une grande disponibilité. Il tenait à sa femme, à ses enfants, à la Russie, à Dieu et au temps. Le temps était son bien le plus précieux, car il savait qu'il pouvait mourir d'un moment à l'autre et qu'il lui fallait finir La Roue rouge, sa monumentale histoire de la Russie d'avant 1917. Aussi, lorsque je suis allé le retrouver dans son refuge du Vermont, aux États-Unis, en 1983, pour un long tête-à-tête, j'avais conscience qu'il s'agissait là d'un cadeau inestimable. Une fois le principe de l'interview télévisée accepté - j'étais le seul à m'être entretenu avec lui dans le Vermont - il était tout à vous. Plus tard, je l'ai reçu, dans le cadre de Bouillon de culture ; enfin, je suis allé tourner un reportage en 1998, après son retour en Russie, dans sa maison des environs de Moscou. Chaque fois, j'ai eu le sentiment d'avoir en face de moi un témoin et un acteur capital de l'Histoire..."
2. À consulter : nos deux Grands Textes qui sont de Soljénitsyne :
• Son discours prononcé le 25 septembre 1993 aux Lucs-sur-Boulogne, pour l'inauguration de l'Historial de Vendée : texte intégral...
1975 : Bernard Pivot reçoit Soljénitsyne dans "Apostrophes..."
Le 13 Février 1974, Alexandre Soljénitsyne est expulsé d'URSS;. Il souhaite venir résider en France, et demande l'asile politique, qui lui est refusé par le Président socialiste Mitterand, empêtré dans une coalition de gauche, où le Parti communiste joue encore un rôle primordial : à peine cinq ans auparavant, à la dernière élection présidentielle (de 1969), le candidat du Parti communiste, Jacques Duclos, a obtenu presque 22% des vois, au premier tour ! Pas question, donc pour Mitterand, et à cause de ces misérables calculs politicards, d'accorder l'asile politique à l'immense Soljénistsyne, qui a dénoncé l'enfer sur terre que fut l'Archipel du Goulag, ouvrage majeur dont il demanda l'impression en Décembre 1973 (la version française étant publiée le 1er Juin 1974).
Soljénitsyne partit donc en exil dans le Vermont, aux Amériques.
À la France fut ainsi infligé - par la république idéologique - cette honte indélébile d'avoir refusé asile et protection à ce grand résistant à la Révolution : mais c'est logique, la république idéologique étant, par nature, révolutionnaire, et mère et matrice de toutes les révolutions qui sont nées d'elle, dont la bolchévique...
Bernard Pivot (ci dessous) et Philippe de Villiers sauveront l'honneur national, le premier en 1975 (en recevant Soljénitsyne) et le second en le recevant en Vendée, aux Lucs-sur-Boulogne, en 1993...
1. Bernard Pivot raconte :
"...J'ai rencontré Alexandre Soljenitsyne quatre fois, quatre moments extraordinaires. Avant même de l'inviter dans Apostrophes, le 11 avril 1975, je lui avais consacré, fin 1973, au moment de la sortie de L'Archipel du Goulag, l'une des émissions d'Ouvrez les guillemets. Le débat avait été fort animé, notamment entre Jean Daniel et Max-Pol Fouchet. Le premier parlait d'un témoignage capital, tandis que le second minimisait son importance. Tout comme Alain Bosquet, également sur le plateau, qui était fort dubitatif. Car, il faut bien le rappeler aujourd'hui, il n'y avait pas alors de belle unanimité au sein de l'intelligentsia française. Nombre d'intellectuels critiquaient l'aspect partiel du récit de Soljenitsyne, d'autres encore considéraient qu'il n'était pas de grande qualité littéraire. Début 1975, alors que, expulsé d'URSS, il résidait en Suisse, je l'ai convié à l'occasion de la sortie de ses Mémoires, Le Chêne et le Veau. C'était l'une de mes premières émissions d'Apostrophes et je venais d'avoir Nabokov. Deux grands Russes coup sur coup. Quel bonheur ! C'était formidable. L'auteur d'Une journée d'Ivan Denissovitch et du Pavillon des cancéreux était vraiment impressionnant. Par sa stature, sa barbe, son physique. Tout ce qu'il représentait, la guerre, le goulag, le cancer, bref, tout ce que à quoi il avait échappé, et son courage incroyable faisaient que vous vous sentiez bête et tout petit en face de lui. C'est comme si vous aviez reçu de Gaulle ! On me disait qu'il n'avait pas bon caractère. Comment aurait-il pu survivre sinon ? Cela dit, il a fait montre, à chacune de nos rencontres, d'une vraie gentillesse et d'une grande disponibilité. Il tenait à sa femme, à ses enfants, à la Russie, à Dieu et au temps. Le temps était son bien le plus précieux, car il savait qu'il pouvait mourir d'un moment à l'autre et qu'il lui fallait finir La Roue rouge, sa monumentale histoire de la Russie d'avant 1917. Aussi, lorsque je suis allé le retrouver dans son refuge du Vermont, aux États-Unis, en 1983, pour un long tête-à-tête, j'avais conscience qu'il s'agissait là d'un cadeau inestimable. Une fois le principe de l'interview télévisée accepté - j'étais le seul à m'être entretenu avec lui dans le Vermont - il était tout à vous. Plus tard, je l'ai reçu, dans le cadre de Bouillon de culture ; enfin, je suis allé tourner un reportage en 1998, après son retour en Russie, dans sa maison des environs de Moscou. Chaque fois, j'ai eu le sentiment d'avoir en face de moi un témoin et un acteur capital de l'Histoire..."
2. À consulter : nos deux Grands Textes qui sont de Soljénitsyne :
• Son discours prononcé le 25 septembre 1993 aux Lucs-sur-Boulogne, pour l'inauguration de l'Historial de Vendée : texte intégral...
Il y a treize jours, dans l’année, pendant lesquels il ne s’est pas passé grand-chose, ou bien pour lesquels les rares événements de ces journées ont été traités à une autre occasion (et plusieurs fois pour certains), à d'autres dates, sous une autre "entrée".
Nous en profiterons donc, dans notre évocation politico/historico/culturelle de notre Histoire, de nos Racines, pour donner un tour plus civilisationnel à notre balade dans le temps; et nous évoquerons, ces jours-là, des faits plus généraux, qui ne se sont pas produits sur un seul jour (comme une naissance ou une bataille) mais qui recouvrent une période plus longue.
Ces jours creux seront donc prétexte à autant d'Évocations :
Aujourd'hui : Quand Massalia, la plus ancienne ville de France, rayonnait sur toute la Gaule et, préparant la voie à Rome, inventait avec les Celtes, les bases de ce qui deviendrait, un jour, la France.
•le plus grand nombre possible de textes et documents propres à faire connaître notre doctrine, nos positions, notre histoire,
• sous une forme facilement et aisément consultable, grâce aux liens hypertextes,
• pour le plus grand nombre possible de lecteurs (grâce au "partage" dans les trente-huit groupes privés auxquels nous appartenons, qui nous permettent de toucher des lecteurs qui ne font pas partie, pour la très grande majorité d'entre eux, des personnes que nous touchons habituellement "dans nos cercles")
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