On dira peut-être, un jour, que la guerre de libération nationale a commencé à Béziers...
Wolf poste, sur X", cette courte vidéo, très instructive pour les aveugles et les sourds, qui ne veulent ni voir ni entendre ce qui, pourtant se passe autour d'eux, depuis longtemps déjà... :
"Béziers : Un individu d’origine maghrébine crève les quatre pneus d’un véhicule de la police municipale et laisse un message à Robert Ménard, maire de la ville. Des Maghrébins présents applaudissent devant la dépanneuse en attendant de récupérer le véhicule endommagé."
(extrait vidéo 1'17)
https://x.com/PsyGuy007/status/1954295009743609933
En tout cas, comme le dit le perroquet du conte de Bainville ("Jaco et Lori") : "ça finira mal !..."
Mais pour eux.
Car toute cette racaille, cette armée barbare d'invasion, il faudra bien l'expulser du territoire national; et, le Système l'ayant volontairement faite entrer, il faudra la faire sortir.
Comme le disait Maurras :
"...Ce pays-ci n'est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d'un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie..."
Il semble bien que ce "temps" annoncé par Maurras en 1926, ce soit aujourd'hui, maintenant; et que cette génération, ce soit la nôtre.
Cette racaille que l'on voit ici, sur cette courte vidéo, elle est partout, en France, là où la république idéologique l'a installée : elle a monté son économie parallèle, à base de tous les trafics imaginables (oeuvres d'art, armes, drogue évidemment...) et, aussi, elle profite "à mort" de notre système socail (allocs et autres...), elle brûle nos églises, elle tue...
Le temps de nettoyer à fond les écuries d'Augias, en quoi la république idéologique a transformé notre douce et belle France, est arrivé : tout le montre...
Et une chose est sûre : les tensions montent, montent, montent... et cela ne pourra pas durer éternellement...
Comme on dit en castillan :
¡ AFUERA !

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