Glané dans la rubrique "Ligue d'Action française" du quotidien... en construction
ANNÉE 1928...
• dans "le numéro des vingt ans", le Jeudi 22 Mars (page cinq) :
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ANNÉE 1928...
• dans "le numéro des vingt ans", le Jeudi 22 Mars (page cinq) :
À propos des appels à la haine émis par deux "influenceurs" (!) algériens...
"Ces deux influenceurs algériens sont des petits soldats numériques", dit avec raison Amaury Brelet, qui dénonce ce "djihadisme d'atmosphère qui sévit en France depuis des années..." :
(extrait vidéo 1'13)
https://x.com/CNEWS/status/1875798942341816520
6 janvier : Date traditionnelle de la célébration de l'Épiphanie
La Marche des Rois, composée - et toujours jouée - à cette occasion fait incontestablement partie de ce très important fond de traditions populaires qui, par leur richesse et leur variété, sont l'une des sources de la culture et de la civilisation française.
On l'écoute ici dans la version élégante et raffinée qu'en propose Lully (et qui servit également de marche au Régiment de Turenne) :
Lully Marche des Rois Marche pour le Régiment de Turenne.mp3
C'est en Provence que furent composées les paroles de la Marche des rois, reprise par Georges Bizet pour son Arlésienne : la tradition les attribuent à Joseph-François Domergue, curé-doyen d'Aramon, dans le Gard, entre 1724 et 1728; le texte en fut publié pour la première fois dans un Recueil de cantiques spirituels provençaux et françois, publié en 1749.
Notre lecture de L'Action française se poursuit, comme annoncé, et nous continuons d'y récolter de nombreux documents, les uns "pour servir à une histoire de l'URP" d'autres pour nos "Grandes Une" et pour faire connaître l'Action française, "vue de l'intérieur"...
Comme vous le savez, nous progressons par série de quatre années (c'est le maximum que peut contenir une note sur Hautefort). Nous avions déjà visité le tiers de la collection (le journal parut pendant 36 ans) avec :
• la première série (1908/1909/1910/1911);
• la deuxième (1912/1913/1914/1915);
• et la troisième (1916/1917/1918/1919).
Voici que nous terminons la quatrième série : 1920/1921/1922/1923, celle que nous mettrons en avant lundi (pour les Documents URP), mardi (pour l'Action française "vue de l'intérieur") et mercredi (pour les Congrès du mouvement).
Nous arrivons donc à seize années du journal, soit quasiment la moitié. Et nous entreprenons lundi la lecture de l'année 1924, qui nous emmènera - avec les trois suivantes, 25/26/27 - à vingt ans de "visités", soit deux ans de plus que la moitié...
La lecture de tout ceci apportera à beaucoup une grande quantité d'informations, peu ou mal (ou pas) connues, et pourra ainsi servir aussi bien "en interne" (pour les militants qui veulent bien connaître la tradition à laquelle ils se rattachent) et pour "l'extérieur", afin de montrer à tant de personnes à qui l'on a menti ce qu'ont réellement dit, fait, écrit nos Maîtres et nos prédécesseurs. Et comme nous ne nous basons que sur des extraits de journaux parus, les documents que nous fournissons ne sont pas sujet à caution...
Nous allons mettre à profit les deux mois de janvier et février pour réaliser notre cinquième série : 1924/1925/1926/1927.
À ce moment-là, comme je l'ai déjà expliqué, nous marquerons une pause, puisque ce sera la période de notre 18ème anniversaire et que nous avons résolu, à cette occasion, de réaliser le dernier feuilleton manquant dans notre trilogie Maurras, Daudet, Bainville; ce qui sera notre façon à nous de célébrer avec profit notre anniversaire, en donnant à connaître au maximum de personnes ce trio exceptionnel et unique dans son amitié qui dirigea l'Action française tout au long de son existence...
Ce travail nous mènera environ jusqu'à la mi juin/fin juin...
Et ensuite - ou avant, si c'est possible - nous reprendrons notre lecture méthodique du quotidien...
D'avance, donc, bonne lecture !
François Davin,
Blogmestre
ENSEMBLE POUR LES LIBERTÉS publie ce message sur "X"...
Tout à fait d'accord; mais ce qui doit être aboli, c'est le Régime qui prend des mesures antisociales pareilles, tout en se prétendant "du peuple, pour le peuple et par le peuple", alors qu'il est asservi à tout (Partis, Étranger, groupes de pression...) et, surtout, à l'Argent, à "la fortune anonyme et vagabonde"...
135 films vus en salle durant cet an de (dis)grâce 2024, dont 20 % sortent du lot, quand j'aurais pu ou dû en éviter quelque 40 %.
Oserais-je écrire que les deux plus grands films sont ceux de Marcel Pagnol, La Fille du puisatier (1940) et Angèle (1934) ?
Mais j'entends certains me dire que je suis aussi « réac » et « facho » au cinéma qu'en politique (qualificatifs qui m’honorent, quand la situation lamentable et décadente de notre pays me confirme dans l'idée qu'un certain « populiste » des années 1980-2015, seul contre tous, avait raison !).
Je confesse que la liste ci-dessous de 12 films sortis et vus dans l 'année, établie avec mon épouse, est très subjective : ils auraient pu être inscrits dans un autre ordre et d'autres auraient pu être retenus.
Je constate, sans l'avoir recherché, que si le 1er est franco-cambodgien et le second américain, les dix autres sont français :
1. Rendez-vous avec Pol Pot, de Rithy Panh, adapté du livre Les larmes du Cambodge, d’Elizabeth Becker… un film qui me paraît d’une brûlante actualité quand se félicitent de la victoire des Islamistes en Syrie les mêmes qui se félicitaient de « la libération de Phnom Penh » ;
2. Tatami, de Guy Nattiv et Zar Amir Ebrahimi, sur l’Iran des Islamistes qui étrangle son peuple comme ses athlètes, alors que le Président démocrate Jimmy Carter vient de décéder – Paix à son âme – coupable d’avoir lâché et trahi le Shah et au profit de l’ayatollah Khomeiny ;
3. Paternel, de Ronan Trochot, qui raconte l’histoire d’un prêtre face à son passé... sujet que l’on retrouvera d’ailleurs dans Conclave d’Edward Berger ;
4. Monsieur Aznavour, de Grand Corps Malade et Mehdi Idir, un beau récital, un merveilleux hommage à ce grand chanteur, au centenaire de sa naissance… alors qu’en début d’année Pierre Godeau nous a desservi un médiocre Sous le vent des Marquises pour ne pas nous faire entendre du Brel ;
5. Un P'tit truc en plus, de Artus, un hommage aux handicapés que notre société assassine pourtant à 95 % avant leur naissance à la suite d’un Diagnostic PréNatal ;
6. Le Choix, de Gilles Bourdos, « un « one man show » original sur le choix de la vie ;
7. La Vallée des fous, de Xavier Beauvois, un film qui m’a beaucoup appris sur la navigation marine virtuelle et le Vendée Globe ;
8. Prodigieuses, des père et fils, Frédéric et Valentin Potier, sur l’histoire vraie de deux pianistes contemporaines, sœurs jumelles d’une quarantaine d’années, victimes d’une maladie génétique incurable, Audrey et Diane Pleynet ;
9. Bonnard, Pierre et Marthe, de Martin Provost, encore un film magnifique dans ce monde de l’art qui m’est malheureusement étranger, et particulièrement la peinture ;
10. Trois amies, d’Emmanuel Mouret, une réflexion sur l’amour dans un décor lyonnais magnifique ;
11. DAAAAAALI !, de Quentin Dupieux ; Salvador Dali aurait eu 120 ans cette année, et le réalisateur nous réjouit d’un portrait surréaliste de cet artiste, aristocrate espagnol, qui se revendiquait anarchiste et monarchiste ;
12. Les Survivantes, de Pierre Barnérias, un documentaire particulièrement difficile, qui fait écho à l’excellent Sound of freedom de l’an dernier, sur la pédocriminalité ; le 2ème trafic international après la drogue ; un film interdit aux moins de 16 ans parce que s’il ne montre rien, il dit tout sur la chasse-à-l’enfant, les tortures et les sévices sexuels…
Bonne année cinématographique 2025 !
1875 : Inauguration de l'Opéra Garnier, à Paris
1465 : Mort de Charles d'Orléans
Petit-fils de roi (Charles V), neveu de roi (Charles VI) et père de roi (Louis XII), Charles d'Orléans ne fut jamais roi lui-même; du moins dans l'ordre politique des choses, car c'est dans la littérature qu'il devint vraiment roi : c'est en effet surtout par ses poésies qu'il est resté célèbre (Je meurs de soif au bord de la fontaine, Hiver vous n'êtes qu'un vilain, Les fourriers d'Eté sont venus, En regardant vers le païs de France... (on a tous ses poèmes sur le lien ci-dessous)
Mais aussi par son exceptionnelle force de caractère et sa joie intérieure que rien ne pouvait atteindre : pas même une captivité de 25 ans en Angleterre !
Enfin libéré, il écrivit le rondeau fameux "Encore est vive la souris" :
...Jeunesse sur moi a puissance;
Mais Vieillesse fait son esfort
De m'avoir en sa gouvernance,
A présent faillira son sort :
Je suis assez loin de son port...
...Loué soit Dieu de paradis
Qui m'a donné force et pouvoir
Qu'encore est vive la souris.
(retrouvez l'intégralité des textes et documents de ce sujet, sous sa forme de Feuilleton ou bien sous sa forme d'Album)
Illustration : portrait de Jacques Bainville par Marie-Lucas Robiquet; couverture du "Jacques Bainville, La Monarchie des Lettres, Histoire, Politique et Littérature", Édition établie et présentée par Christophe Dickès, Bouquins, Robert Laffont (1.149 pages).
Aujourd'hui : Au sommaire...; présentation du feuilleton...
L'idéologie au pouvoir, la bêtise à la manoeuvre...
Attention à la révolte des gueux : les jacquouilles sont partout autour de nous; et nous sommes tous des jacquouilles, des gueux, pour ces "hommes petits qui criez de grands mots" et croient nous gouverner, alors qu'ils nous mènent droit sur l'iceberg....
Alors, oui, vivement la jacquerie des jacqouilles, qui ne doit cependant pas rester simple révolte passagère, mais devenir
la révolution de la Révolution !
Excellent, l'édito de Pascal Praud :
(extrait vidéo 2'07)
https://x.com/CNEWS/status/1875091353559822726
Notre lecture de L'Action française se poursuit, comme annoncé, et nous continuons d'y récolter de nombreux documents, les uns "pour servir à une histoire de l'URP" d'autres pour nos "Grandes Une" et pour faire connaître l'Action française, "vue de l'intérieur"...
Comme vous le savez, nous progressons par série de quatre années (c'est le maximum que peut contenir une note sur Hautefort). Nous avions déjà visité le tiers de la collection (le journal parut pendant 36 ans) avec :
• la première série (1908/1909/1910/1911);
• la deuxième (1912/1913/1914/1915);
• et la troisième (1916/1917/1918/1919).
Voici que nous terminons la quatrième série : 1920/1921/1922/1923, celle que nous mettrons en avant lundi (pour les Documents URP), mardi (pour l'Action française "vue de l'intérieur") et mercredi (pour les Congrès du mouvement).
Nous arrivons donc à seize années du journal, soit quasiment la moitié. Et nous entreprenons lundi la lecture de l'année 1924, qui nous emmènera - avec les trois suivantes, 25/26/27 - à vingt ans de "visités", soit deux ans de plus que la moitié...
La lecture de tout ceci apportera à beaucoup une grande quantité d'informations, peu ou mal (ou pas) connues, et pourra ainsi servir aussi bien "en interne" (pour les militants qui veulent bien connaître la tradition à laquelle ils se rattachent) et pour "l'extérieur", afin de montrer à tant de personnes à qui l'on a menti ce qu'ont réellement dit, fait, écrit nos Maîtres et nos prédécesseurs. Et comme nous ne nous basons que sur des extraits de journaux parus, les documents que nous fournissons ne sont pas sujet à caution...
Nous allons mettre à profit les deux mois de janvier et février pour réaliser notre cinquième série : 1924/1925/1926/1927.
À ce moment-là, comme je l'ai déjà expliqué, nous marquerons une pause, puisque ce sera la période de notre 18ème anniversaire et que nous avons résolu, à cette occasion, de réaliser le dernier feuilleton manquant dans notre trilogie Maurras, Daudet, Bainville; ce qui sera notre façon à nous de célébrer avec profit notre anniversaire, en donnant à connaître au maximum de personnes ce trio exceptionnel et unique dans son amitié qui dirigea l'Action française tout au long de son existence...
Ce travail nous mènera environ jusqu'à la mi juin/fin juin...
Et ensuite - ou avant, si c'est possible - nous reprendrons notre lecture méthodique du quotidien...
D'avance, donc, bonne lecture !
François Davin,
Blogmestre
Place Royale de Bordeaux (aujourd'hui, dite "de la Bourse")
1782 : Mort d'Ange-Jacques Gabriel
Premier architecte du roi, et jouissant de toute la confiance de Louis XV, on lui doit quelques unes des plus belles réussites architecturales de notre Patrimoine.
Véritables merveilles, expressions achevées d'un art et d'une civilisation raffinées parvenues à leur apogée, les constructions d'Ange-Jacques Gabriel symbolisent et résument parfaitement la société du XVIIIème siècle français, arrivée au plus haut degré de perfectionnement.
• 984 véhicules incendiés à travers la France dont 80 en Ile-de-France;
• 420 personnes interpellées... et 310 individus placés en garde à vue...
• Il faut mobiliser 100 000 policiers dans les rues de France pour la Saint-Sylvestre...
Question impertinente de lafautearousseau :
cela existait-il "avant" ?
Avant Chirac, par exemple, et ses scélérats décrets sur le regroupement familial, qui ont ouvert toutes grandes les portes au changement de peuple...
On dit ça, on dit rien...
Le Panthéon, vu depuis la rue de la Montagne Sainte-Geneviève
512 : Célébration de Sainte Geneviève, patronne de Paris
Née en 422, à Nanterre, c'est elle qui fait édifier la première église sur l'emplacement de ce qui deviendra la Basilique de Saint-Denis.
Elle a 29 ans lorsque, en 451, Attila franchit le Rhin et envahit la Gaule. Les Parisiens prennent peur et veulent fuir. Geneviève les convainc de demeurer dans la ville. Elle rassemble les femmes dans l'église-baptistère près de Notre-Dame et leur demande de supplier le Ciel d'épargner leur ville.
On attribue sur le champ le Nobel de la cinglerie de foldingue (de l'année, du siècle, du millénaire : eh, oui ! Même Sandrine Rousseau est battue !) à Sébastien Delogu, députe La France Islamiste de Marseille !
Il veut légaliser la vente du cannabis et confier son commerce aux vendeurs condamnés, afin de leur permettre de se ré-insérer, puisqu'ils auront... un travail et un métier !!!!!
Non, non, vous n'avez pas trop bu hier et avant-hier; vous avez bien lu; sis, si : il l'a dit, Delogu !
En réponse à ce flot de folie furieuse, "lunaire", l'édito de Thomas Bonnet, sur CNews : "Drogue : Bruno Retailleau répond à Sébastien Delogu..."
(extrait vidéo 3'12)
https://x.com/CNEWS/status/1874349784774971825