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La guerre que nous a déclarée un Kaiser "sûr de lui et dominateur" commence vraiment mal pour les Français : avancée générales des Prussiens, et, par voie de conséquence, recul général des Français et de leurs alliés anglais, partout.
Démoralisation et début de panique s'installent : le gouvernement quitte Paris pour Bordeaux !
Il faut dire que l'armée allemande fonce sur Paris...
Jusqu'à ce que, le 3 Septembre, des aviateurs français remarquent une chose surprenante : les Allemands de la 1ère Armée ont cessé leur progression vers la capitale - que les troupes du kaiser voulaient "envelopper" - et, pour une raison qu'ils ne comprennent pas, les aviateurs les voient infléchir leur marche vers le sud, offrant ainsi leur flanc droit à une possible attaque.
Ils en avertissent immédiatement l'officier avec qui ils sont en contact, et qui n'est autre que... Alfred Dreyfus.
Et Joffre, tout aussi immédiatement, va comprendre l'occasion inespérée qui s'offre à nous et saisir la main que lui tend la Fortune : il va attaquer la 1ère armée allemande sur ce flanc droit, du 5 au 12 Septembre. Une armée probablement rendue trop confiante par son avancée constante vers Paris depuis plus d'un mois et par la retraite non moins constante des français.
La bataille durera sept jours, même si, dès le 9, les allemands donnent l'ordre du repli : c'est la victoire qui sauve la France.
Le Kaiser comprend qu'il ne gagnera pas "sa" guerre...
Mais les Français - et L'Action française - attendent le 12 pour crier, officiellement, victoire...
Simon de Montfort, qui vient de conquérir Carcassonne le 1er août, s'empare de Mirepoix le jour de la saint Maurice. Il donnera la ville, le 1er décembre 1212, avec un domaine d'environ 200 Km2, à son fidèle lieutenant, Guy de Lévis.
Celui-ci est à l'origine de la lignée dont est issue le duc de Lévis-Mirepoix, successeur de Charles Maurras à l'Académie française, et qui prononça donc l'éloge de son prédécesseur lors de son Discours de réception, le jeudi 18 mars 1954, conformément à l'usage.
Il y prononça cette phrase :
"Il connut sans fléchir les pires vicissitudes et la plus cruelle de toutes. Un nom vient naturellement à mes lèvres. Il eut à subir comme Socrate la colère de la cité..."
1640 : Naissance de Philippe, second fils de Louis XIII, à l'origine des représentants actuels de la Famille de France...
Louis XIII et Anne d'Autriche n'auront que deux enfants - mâles - et encore, après 23 et 25 ans de mariage : Louis Dieudonné - le futur Louis XIV - en 1638, et son frère cadet, Philippe, né deux ans plus tard, en 1640.
Ce dernier est à l'origine de l'actuelle Famille de France, couramment appelée "d'Orléans" mais, évidemment, aussi "Bourbon" que les descendants de Louis XIV, ce que certains ont tendance à oublier...
1. C'est à partir de la fin du XVIème siècle que l'on prit l'habitude d'appeler "Monsieur" le frère du Roi, ou l'aîné de ses frères : aussi Philippe devint-il "Monsieur" en 1660, à la mort de son oncle Gaston d'Orléans, frère de Louis XIII. Il épousa d'abord, en premières noces, Henriette d'Angleterre, la fille du roi Charles 1er (le roi décapité, dont le très beau portrait, acheté par Louis XVI - qui devait l'être quelques années plus tard... - fit ainsi son entrée dans les collections royales, donc, plus tard, au Louvre...).
À la mort d'Honorius, c'est Valentinien III qui devient le nouvel Empereur d'Occident. Avec l'aide du général Aetius, Valentinien lutte pour enrayer la progression des barbares. L'illustre général romain parvient à contenir successivement les assauts de chaque peuple. Il repousse les Wisigoths chez eux, refoule les Francs vers le nord et la rive droite du Rhin, puis écrase les Burgondes.
Enfin, à la tête d'une armée très largement composée de guerriers barbares alliés, il chasse les Huns de Gaule : c'est la victoire des Champs catalauniques (voir l'Éphéméride du 20 juin).
Elle vous parlera des origines de la famille du duc de Lévis-Mirepoix, dont l'ancêtre, Guy de Lévis, reçut de Simon de Montfort, en récompense de sa bravoure, la ville de Mirepoix et les terres alentour..
Ce Guy de Lévis est à l'origine de la lignée dont est issue le duc de Lévis-Mirepoix, successeur de Charles Maurras à l'Académie française, et qui prononça donc l'éloge de son prédécesseur lors de son Discours de réception, le jeudi 18 mars 1954, conformément à l'usage.
Il y prononça cette phrase : "Il connut sans fléchir les pires vicissitudes et la plus cruelle de toutes. Un nom vient naturellement à mes lèvres. Il eut à subir comme Socrate la colère de la cité..." (Discours de réception proposé en intégralité...)
François Gemenne - qui sévit régulièrement sur France info - a-t-il, tout simplement, perdu la tête ? La raison ? Ou les deux ,...
D'une suffisance himalayenne, content de lui comme il n'est pas possible de l'être, évidemment persuadé qu'il détient LA vérité, puisqu'il est de gauche, il assène chaque samedi ses élucubration à l'auditeur, pontifiant à l'extrême, s'écoutant parler avec ravissement, et avec cette certitude qu'il fait l'aumône au pauvre petit peuple inculte que nous sommes, en lui distribuant les parole que Sa Fatuité daigne laisser tomber de son auguste bouche.
Dans les Évangiles, on parle, justement, de ces petits chiens qui se régalent des miettes qui tombent de la table des enfants : c'est tout à fait cela, Gemenne ! Il a la grande bonté de laisser tomber, pour nous les gueux, les incultes et ignares, quelques miettes de ce qu'il pense être son auguste savoir, sa science infuse, qui est, pour lui, omniscience...
Il vient donc de débiter sa petite dernière sornette/fadaise :
"Le chat est une catastrophe pour la biodiversité, le chien est une catastrophe pour le climat"
Nous écrivons souvent, ici, que, si la vieillesse est un naufrage, l'Apathie aussi (étant donné la grande quantité de cingleries que débite, lui aussi, Apathie).
Que dire, alors de Sa Suffisance François Gemenne ?
Finalement, il nous emble qu'il n'y a qu'à reprendre son propos de conclusion : ce qu'il faut - mais, de toute urgence - c'est
LIMITER L'IMPACT DU GEMENNE, NON PAS SUR L'ALIMENTATION OU LA BIO-DIVERSITÉ, MAIS SUR L'AUDITEUR !...
Pour terminer cette entame de fin de semaine, et puisqu'il nous a bien fait rigoler, en cadeau pour Sa Condescendance, cette photo - non dédicacée, il ne faut tout de même pas exagérer... - de notre troisième mascotte, Bianca (avec un peu de retard, puisque c'est tous les 26 Août que l'on célèbre la Journée Mondiale du chien)...
La République est désespérante… Alors que la situation géopolitique et les diverses crises qui affectent notre société (en particulier la crise de la dette et celle de la confiance des Français à l’égard des institutions et du monde de l’économie) devraient forcer les principales forces politiques à penser un peu plus (et un peu mieux, surtout) au bien commun et au destin du pays, celles-ci ne s’intéressent qu’à leur « bout de gras » et aux places qu’elles pourraient espérer dans un prochain gouvernement ou après une prochaine dissolution, dans la longue suite des désordres parlementaires comme de la rue : triste, et révélateur de cette idéologie du « toujours plus » mâtinée de cette insatisfaction permanente qui, en définitive, constitue le fonds de commerce des partis du pays légal.
une conférence de plus d'une heure et demie, donnée à Marseille, le 31 mars 1988 :
Son Ontologie du secret a fait l'objet d'une soutenance de thèse d'État en Sorbonne, le 27 janvier 1973.
Au cours de son intervention le philosophe Gabriel Marcel, qui avait accepté d'être membre du jury, s'adressa en ces termes à l'auteur :
"Je pense, sans aucune exagération, que c'est là un des ouvrages les plus considérables et profondément originaux que nous ayons pu lire depuis des années ; c'est un « monument ». et ceci de bien des manières : par la richesse de l'analyse, par la profondeur de la méditation, et surtout par quelque chose d'autonome qui est exceptionnel. Et, en même temps, cette autonomie n'est pas présomptueuse : on sent que vous êtes toujours heureux de pouvoir vous référer aux plus grands philosophes, à Platon, certes, à Aristote quelquefois, mais aussi à d'autres plus modernes comme Nicolas de Cuse et Vico. Vous ne vous référez pas seulement aux philosophes, mais aussi aux poètes, et il est extrêmement important de noter que ces poètes — je pense à Blake, à Rimbaud — ont joué un rôle absolument positif dans le développement de votre pensée.
... J'ai dit que votre thèse est un monument ; je le maintiens, bien que le mot convienne assez mal à quelque chose qui est en effet un itinéraire, le récit d'un voyage; et ici nous pouvons penser à ce qu'a pu être, par exemple, l'Odyssée de la conscience pour Schelling... Mais Schelling, comme Fichte, a cru à la possibilité de définir un périple de « la conscience en général » (même si ces mots ne se trouvent pas chez lui) ; cela ne me semble pas du tout conforme à votre manière de penser : nous sommes ici plutôt en présence d'un voyage, je dirais presque une aventure, qui a été vécue. Le mot indique par lui-même ce qu'il y a quelquefois d'un peu hasardeux, de toujours intrépide dans votre démarche."
C’est croire en ce détour qui vient du creux de l’être
Que l’on recherche et fuit dans la haine et l’amour.
Ce qu’on appelle vie est la peine de naître;
Ce qu’on appelle mort est le plus grand soupçon,
Le regard d’en dessous vers l’être qui s’éveille
Et la peine de vivre a trouvé sa raison
« La rose est sans raison », sa racine est merveille."
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• En 1976, Boutang fut élu à la chaire de métaphysique de la Sorbonne (par 11 voix contre 6), précédemment occupée par Levinas; il l'occupa jusqu'en 1986. Si plusieurs universitaires de gauche (Pierre Bourdieu, Jacques Derrida, Pierre Vidal-Naquet) se discréditèrent en protestant contre cette élection, d'autres personnalités s'honorèrent, au contraire, en blâmant leur "pétition" : Maurice Clavel, Jean-François Kahn ainsi que... L'Humanité ! Et Levinas déclara à des étudiants qui vinrent le voir pour protester contre la venue de Boutang : "Mais, vous avez là un Maître..."
• Dans son désire de rénover et rajeunir le royalisme, Boutang fonda l'hebdomadaire La Nation française, dont le premier numéro parut le
Son objectif était de rénover et rajeunir le royalisme, l'adaptant aux réalités nouvelles de l'après-guerre, en restant fidèle absolument à Charles Muaurras et en rejetant tout aussi absolument l'antisémitisme : l'une de ses "formules" était : "Être à l’abri de Sartre" et des "entrepreneurs en nihilisme..."
Boutang sut réunir - dans cet hebdomadaire qui fit honneur à la pensée française et au royalisme - une belle pléiade autour de lui, dont : Pierre Andreu, Philippe Ariès, Emmanuel Beau de Loménie, Antoine Blondin, Jean Brune, Gilbert Comte, , Pierre Fresnay, Raoul Girardet, Daniel Halévy, Roland Laudenbach, Jean de La Varende, François Léger, le duc Antoine de Lévis-Mirepoix, Gabriel Marcel, Henri Massis, Gabriel Matzneff, Jules Monnerot, Roger Nimier, Louis Pauwels, le Colonel Rémy, Michel de Saint Pierre, Philippe de Saint Robert, Louis Salleron, Gustave Thibon, Pierre Varillon, Vladimir Volkoff...
La principale "intelligence" qui ne rejoignit pas La Nation française fut celle de Pierre Debray, un espoir du Parti communiste, d'abord, "retourné" par Boutang lui-même, qui le convertit au catholicisme et à la royauté. Boutang en fut surpris, et déçu. Probablement, venu du Parti communiste, Debray (de son vrai nom Sadi Couhé) avait-il gardé un vieux fond/réflexe stalinien de fidélité au "Parti" !...
Elle vous parlera - entre autres choses... - de la plus grande escroquerie "démocratique" de tous les temps avec la pseudo élection" de la Convention par dix pour cent de la population, seulement masculine, les femmes ne votant pas, ce qui nous donne... à peine cinq pour cent de la population totale du pays !
Mais aussi elle rappelle la naissance de Philippe, titré duc d'Orléans, second fils de Louis XIII : il est à l'origine des actuels représentants de la Famille de France : le prince Jean, Comte de Paris et son frère, le prince Eudes.
Une bonne occasion pour ceux qui mélangent tout - ou qui sont dans l'ignorance, tout simplement... - de présenter au public le descendant direct d'Henri IV et de Louis XIII...