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Cannes 2024 : Le Procès du chien , un film français, le premier de Laetitia Dosch, avec Laetitia Dosch (l’avocate Avril Lucciane), Pierre Deladonchamps (Jérôme, le responsable du cabinet d’avocats), François Damiens (Darius, le propriétaire du chien) et le chien Kodi (Cosmos).
Je l'écrivais à propos du Fil... J'aime les Procès... et mon épouse aime les chiens... Nous ne pouvions donc pas passer à côté de ce Procès du chien. De fait, constatons que ce toutou est attachant et qu'il est le meilleur acteur du scénario. Dommage qu'il n'ait pas mordu son avocate et la réalisatrice qui se complaisent dans la vulgarité jusqu'à flirter avec la zoophilie.
Dommage, en effet, car le sujet est original, qui aurait dû donner une œuvre à la fois amusante et intéressante.
Amusante quand l'avocate explique avec justesse - reconnaissons-le - que le chien n'est ni une chose ni un être humain ; intéressante, à notre époque du « Parti Animaliste » et de l' « antispecisme » qui prône l'égale dignité de l'animal et de l'homme, refusant la spécificité de ce dernier.
J’insiste, c’est Laetitia Dosch qui mériterait d’être traduite devant les tribunaux, avec les acteurs qui se sont « vendus » pour un tel gâchis.
Simon de Montfort, qui vient de conquérir Carcassonne le 1er août, s'empare de Mirepoix le jour de la saint Maurice. Il donnera la ville, le 1er décembre 1212, avec un domaine d'environ 200 Km2, à son fidèle lieutenant, Guy de Lévis.
Celui-ci est à l'origine de la lignée dont est issue le duc de Lévis-Mirepoix, successeur de Charles Maurras à l'Académie française, et qui prononça donc l'éloge de son prédécesseur lors de son Discours de réception, le jeudi 18 mars 1954, conformément à l'usage.
Il y prononça cette phrase :
"Il connut sans fléchir les pires vicissitudes et la plus cruelle de toutes. Un nom vient naturellement à mes lèvres. Il eut à subir comme Socrate la colère de la cité..."
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Au sommaire de ce numéro :
Page 1 – Cible : V(irtuelle) République.
Page 2 – Nouveau gouvernement : touchez pas au grisbi !
Page 3 – Les JO, une réussite française. – In memoriam Me Henri Leclerc. - Sur le mur de Jean Chouan.
Page 4 - Le nucléaire français sans stratégie. - La politique au crible.
Page 5 – Déficit français : dans les griffes de Bruxelles.
Page 6 - Communiquer librement ? – La Quinzaine sociale.
Page 7 – Asie du sud : l’Inde dans le cercle de feu.
Page 8 – Royaume Uni : la décade meurtrière.
Page 9 – Voix étrangères - Les Faits marquants.
Pages 10-11 - Aux origines du Parlement.
Page 12 - La nébuleuse écologique (1) : le cas des ONG multinationales.
Page 13 - Lectures : Sacrés mousquetaires. La Reine jaune.
Page 14 - Roman : la bonne nouvelle de Jean-Baptiste de Froment.
Page 15 – Idées : un certain Tacite.
Page 16 – Exposition à Versailles : le cheval, l'homme et le pouvoir.
Page 17 - Les sardinières de Douarnenez. - Brèves expositions.
Page 18 – Des royalistes contre les nazis : Marthe et Xavier de Gavelle.
Page 19 - Brèves royales. - Actualités NAR. - Maison de France.
Page 20 – Éditorial : tout changer pour ne rien changer.
C'est un scandale d'État que l'affaire du jeune délinquant Merzouk, mis hors d'état de nuire par la Police :
M'Bappé qui parla d'un "petit ange", les journaleux hurlant - comme LFI - à "la police qui tue", l'Assemblé nationale se déshonorant (en admettant qu'elle ait un "honneur" !!!) en observant une minute de silence pour un vulgaire délinquant, et, le pire, le président de la républiquouille en personne qui, le jour-même, bafouant la présomption d'innocence, parla d'un acte "inexplicable" et inexcusable, faisant ainsi le procès avant même la manifestation définitive de la vérité...
"Jeté aux chiens", comme aurait dit Mitterand, le courageux policier Florian fit six mois de prison !
Les excuses publiques, la réhabilitation et les réparations s'imposent envers lui !
Aujourd'hui, cette manifestation de la vérité est enfin définitivement établie, et elle est accablante pour le Système, son Président, ses journaleux, sa gauche moraline :
1640 : Naissance de Philippe, second fils de Louis XIII, à l'origine des représentants actuels de la Famille de France...
Louis XIII et Anne d'Autriche n'auront que deux enfants - mâles - et encore, après 23 et 25 ans de mariage : Louis Dieudonné - le futur Louis XIV - en 1638, et son frère cadet, Philippe, né deux ans plus tard, en 1640.
Ce dernier est à l'origine de l'actuelle Famille de France, couramment appelée "d'Orléans" mais, évidemment, aussi "Bourbon" que les descendants de Louis XIV, ce que certains ont tendance à oublier...
1. C'est à partir de la fin du XVIème siècle que l'on prit l'habitude d'appeler "Monsieur" le frère du Roi, ou l'aîné de ses frères : aussi Philippe devint-il "Monsieur" en 1660, à la mort de son oncle Gaston d'Orléans, frère de Louis XIII. Il épousa d'abord, en premières noces, Henriette d'Angleterre, la fille du roi Charles 1er (le roi décapité, dont le très beau portrait, acheté par Louis XVI - qui devait l'être quelques années plus tard... - fit ainsi son entrée dans les collections royales, donc, plus tard, au Louvre...).
À la mort d'Honorius, c'est Valentinien III qui devient le nouvel Empereur d'Occident. Avec l'aide du général Aetius, Valentinien lutte pour enrayer la progression des barbares. L'illustre général romain parvient à contenir successivement les assauts de chaque peuple. Il repousse les Wisigoths chez eux, refoule les Francs vers le nord et la rive droite du Rhin, puis écrase les Burgondes.
Enfin, à la tête d'une armée très largement composée de guerriers barbares alliés, il chasse les Huns de Gaule : c'est la victoire des Champs catalauniques (voir l'Éphéméride du 20 juin).
Elle vous parlera des origines de la famille du duc de Lévis-Mirepoix, dont l'ancêtre, Guy de Lévis, reçut de Simon de Montfort, en récompense de sa bravoure, la ville de Mirepoix et les terres alentour..
Ce Guy de Lévis est à l'origine de la lignée dont est issue le duc de Lévis-Mirepoix, successeur de Charles Maurras à l'Académie française, et qui prononça donc l'éloge de son prédécesseur lors de son Discours de réception, le jeudi 18 mars 1954, conformément à l'usage.
Il y prononça cette phrase : "Il connut sans fléchir les pires vicissitudes et la plus cruelle de toutes. Un nom vient naturellement à mes lèvres. Il eut à subir comme Socrate la colère de la cité..." (Discours de réception proposé en intégralité...)
Tout à fait exceptionnellement, et pour la première fois depuis son lancement, notre Revue de Presse ne paraîtra pas ce vendredi. Tout simplement parce que nous étions tous à Martigues, ce mercredi et ce jeudi, afin de préparer les Journées du Patrimoine...
Mais aussi, profitant de l'occasion, nous ne voulions pas laisser retomber l'enthousiasme et la dynamique qui ont conduit, récemment, à ce que, pour la première fois depuis 45, le Député de Martigues ne soit plus communiste, mais Patriote !
La prochaine échéance est pour dans moins de deux ans, avec les Municipales de 2026 : si le succès d'Emmanuel Fouquart est plus important dans l'ensemble de la circonscription qu'à Martigues même - où il est majoritaire, mais de peu - il faut travailler dès maintenant à ce que la dynamique de la dernière élection non seulement ne retombe pas mais s'amplifie, afin que, cette fois-ci, ce soit le Mairie qui devienne Patriote, et qu'on en finisse avec cette bourrique de municipalité d'union de la gauche, présidée par un Maire communiste.
Voilà pourquoi nous avons "calé" tous les rendez-vous qui nous semblaient prioritaires sur les quatre demi-journées de mercredi et jeudi prochain, afin de rencontrer les martégaux et martégales qui ont, enfin, gagné - à l'élection législative dernière - et afin de voir avec eux ce qu'il convenait de faire pour poursuivre et amplifier le mouvement de reconquête de la ville de Maurras...
Ne pouvant tout faire, ni être partout à la fois, et ne souhaitant épuiser ni le lecteur, ni nous-mêmes, nous avons donc décrété une pause d'un jour, afin d'aller, pour une fois, "travailler ailleurs", mais toujours, au fond, pour la même cause...
Vous retrouverez bien votre Revue de Presse dès demain, samedi...
une conférence de plus d'une heure et demie, donnée à Marseille, le 31 mars 1988 :
Son Ontologie du secret a fait l'objet d'une soutenance de thèse d'État en Sorbonne, le 27 janvier 1973.
Au cours de son intervention le philosophe Gabriel Marcel, qui avait accepté d'être membre du jury, s'adressa en ces termes à l'auteur :
"Je pense, sans aucune exagération, que c'est là un des ouvrages les plus considérables et profondément originaux que nous ayons pu lire depuis des années ; c'est un « monument ». et ceci de bien des manières : par la richesse de l'analyse, par la profondeur de la méditation, et surtout par quelque chose d'autonome qui est exceptionnel. Et, en même temps, cette autonomie n'est pas présomptueuse : on sent que vous êtes toujours heureux de pouvoir vous référer aux plus grands philosophes, à Platon, certes, à Aristote quelquefois, mais aussi à d'autres plus modernes comme Nicolas de Cuse et Vico. Vous ne vous référez pas seulement aux philosophes, mais aussi aux poètes, et il est extrêmement important de noter que ces poètes — je pense à Blake, à Rimbaud — ont joué un rôle absolument positif dans le développement de votre pensée.
... J'ai dit que votre thèse est un monument ; je le maintiens, bien que le mot convienne assez mal à quelque chose qui est en effet un itinéraire, le récit d'un voyage; et ici nous pouvons penser à ce qu'a pu être, par exemple, l'Odyssée de la conscience pour Schelling... Mais Schelling, comme Fichte, a cru à la possibilité de définir un périple de « la conscience en général » (même si ces mots ne se trouvent pas chez lui) ; cela ne me semble pas du tout conforme à votre manière de penser : nous sommes ici plutôt en présence d'un voyage, je dirais presque une aventure, qui a été vécue. Le mot indique par lui-même ce qu'il y a quelquefois d'un peu hasardeux, de toujours intrépide dans votre démarche."
Elle vous parlera - entre autres choses... - de la plus grande escroquerie "démocratique" de tous les temps avec la pseudo élection" de la Convention par dix pour cent de la population, seulement masculine, les femmes ne votant pas, ce qui nous donne... à peine cinq pour cent de la population totale du pays !
Mais aussi elle rappelle la naissance de Philippe, titré duc d'Orléans, second fils de Louis XIII : il est à l'origine des actuels représentants de la Famille de France : le prince Jean, Comte de Paris et son frère, le prince Eudes.
Une bonne occasion pour ceux qui mélangent tout - ou qui sont dans l'ignorance, tout simplement... - de présenter au public le descendant direct d'Henri IV et de Louis XIII...
On ne sait plus quel(s) terme(s) employer, tant l'odieux le dispute au ridicule...
Pendant que les Français souffrent (augmentation des pauvretés, "mal logement", précarité...); que la France vit dans l'insécurité permanente (bientôt, ce sera un assassinat par jour, à ce rythme-là...); qu'elle ne cesse de reculer, au plan mondial, dans quasiment tous les domaines... la classe politique fait mu-muse : La France Islamiste, pour faire oublier que la guerre civile a commencé en son sein) lance une grotesque procédure de destitution du semble-président; le PS accepte et "vote pour" qu'on la présente mais déclare qu'il ne la votera pas ! Mais de qui se moquent-ils, ces "bien nourris" du Pays légal ? Avec leurs très confortables salaires assurés à la fin du mois, et tous les très confortables avantages qui vont avec, alors que - pour de plus en plus de Français - les difficultés matérielles continuent d'augmenter, inexorablement...
Eh, bien ! De nous ! Oui, ces bouffons du Pays légal se moquent de nous, des Français, de la France !
lafautearousseau fait sienne la juste réaction de Noir Lys, sur "X", à ce grand guignol de très mauvais goût et pas drôle du tout; à cette insulte, à ce crachat sur tous les Français :
"Quelle perte de temps. Allons à l'essentiel : refermer définitivement la ridicule, mais si coûteuse, parenthèse républicaine. (et revenir au seul régime qui mena la France au pinacle de la civilisation occidentale )"
1996 : Jean-Paul II aux cérémonies du 1.500ème anniversaire du baptême de Clovis
1356 : Désastre de Poitiers
Vaincu par les Anglais, le roi Jean II le Bon est encerclé, dans les plaines de Maupertuis, en compagnie de son troisième fils, Philippe le Hardi ("Père, gardez-vous à droite; père, gardez-vous à gauche...").
Emmené prisonnier à Londres, le roi y restera quatre années. Il sera ainsi, après Saint Louis, le deuxième roi de France à être fait prisonnier (voir l'Éphéméride du 11 février).
C'est pendant la lieutenance de son premier fils, le Dauphin Charles (futur Charles V), qu'aura lieu la tentative révolutionnaire d'Étienne Marcel : le Dauphin, prisonnier de fait des révolutionnaires, se résoudra à quitter la ville, pour mieux y revenir, en vainqueur, cette fois (voir l'Éphéméride du 21 mars).
D'Alesia au Millénaire de la cathédrale de Strasbourg elle vous parlera - entre autres choses encore... - de Jacques Bainville, élevé au grade de Chevalier de la Légion d'honneur, et de Pierre Boutang, à l'occasion de l'anniversaire de sa naissance...