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1927 : Le château de Villandry et ses jardins, inscrits aux Monuments Historiques
1229 : Fin de la Croisade des albigeois
Un traité est signé à Paris entre Blanche de Castille, régente, mère de Louis IX, et Raymond VII, comte de Toulouse, contraint, par sa défaite, à en accepter les termes.
L’accord met fin à la Croisade menée contre les Albigeois, ou cathares, depuis 1209.
Le comte doit céder une grande partie de ses terres au royaume de France (par exemple, les sénéchaussées de Beaucaire et Carcassonne) mais conserve le comté de Toulouse et le Lauragais.
Il s’engage également à marier Jeanne de Toulouse, sa fille unique et, donc, son héritière, à Alphonse de Poitiers, frère cadet du roi : le Comté de Toulouse ira aux enfants de ce mariage, et à défaut d'enfants, reviendra à la Couronne.
Ainsi, à sa mort, le reste de son territoire reviendra définitivement au royaume de France (sur l'importance de la Croisade des Albigeois dans l'extension territoriale du Royaume de France, voir notre Éphéméride du 16 mars)
Ratification du traité de Paris par Raymond VII, comte de Toulouse.
Acte en latin donné le 12 avril 1229, scellé d'un sceau de cire verte appendu sur lacs de soie verts
11 Avril 1975 : Bernard Pivot reçoit Soljénitsyne dans "Apostrophes..."
Le 13 Février 1974, Alexandre Soljénitsyne est expulsé d'URSS;. Il souhaite venir résider en France, et demande l'asile politique, qui lui est refusé par le Président socialiste Mitterand, empêtré dans une coalition de gauche, où le Parti communiste joue encore un rôle primordial : à peine cinq ans auparavant, à la dernière élection présidentielle (de 1969), le candidat du Parti communiste, Jacques Duclos, a obtenu presque 22% des voix, au premier tour ! Pas question, donc pour Mitterand, et à cause de ces misérables calculs politicards, d'accorder l'asile politique à l'immense Soljénistsyne, qui a dénoncé l'enfer sur terre que fut l'Archipel du Goulag, ouvrage majeur dont il demanda l'impression en Décembre 1973 (la version française étant publiée le 1er Juin 1974).
Soljénitsyne partit donc en exil dans le Vermont, aux Amériques.
À la France fut ainsi infligée - par la république idéologique - cette honte indélébile d'avoir refusé asile et protection à ce grand résistant à la Révolution : mais c'est logique, la république idéologique étant, par nature, révolutionnaire, et mère et matrice de toutes les révolutions qui sont nées d'elle, dont la bolchévique...
Bernard Pivot (ci dessous) et Philippe de Villiers sauveront l'honneur national, le premier en 1975 (en recevant Soljénitsyne) et le second en le recevant en Vendée, aux Lucs-sur-Boulogne, en 1993...
1. Bernard Pivot raconte :
"...J'ai rencontré Alexandre Soljenitsyne quatre fois, quatre moments extraordinaires. Avant même de l'inviter dans Apostrophes, le 11 avril 1975, je lui avais consacré, fin 1973, au moment de la sortie de L'Archipel du Goulag, l'une des émissions d'Ouvrez les guillemets. Le débat avait été fort animé, notamment entre Jean Daniel et Max-Pol Fouchet. Le premier parlait d'un témoignage capital, tandis que le second minimisait son importance. Tout comme Alain Bosquet, également sur le plateau, qui était fort dubitatif. Car, il faut bien le rappeler aujourd'hui, il n'y avait pas alors de belle unanimité au sein de l'intelligentsia française. Nombre d'intellectuels critiquaient l'aspect partiel du récit de Soljenitsyne, d'autres encore considéraient qu'il n'était pas de grande qualité littéraire. Début 1975, alors que, expulsé d'URSS, il résidait en Suisse, je l'ai convié à l'occasion de la sortie de ses Mémoires, Le Chêne et le Veau. C'était l'une de mes premières émissions d'Apostrophes et je venais d'avoir Nabokov. Deux grands Russes coup sur coup. Quel bonheur ! C'était formidable. L'auteur d'Une journée d'Ivan Denissovitch et du Pavillon des cancéreux était vraiment impressionnant. Par sa stature, sa barbe, son physique. Tout ce qu'il représentait, la guerre, le goulag, le cancer, bref, tout ce que à quoi il avait échappé, et son courage incroyable faisaient que vous vous sentiez bête et tout petit en face de lui. C'est comme si vous aviez reçu de Gaulle ! On me disait qu'il n'avait pas bon caractère. Comment aurait-il pu survivre sinon ? Cela dit, il a fait montre, à chacune de nos rencontres, d'une vraie gentillesse et d'une grande disponibilité. Il tenait à sa femme, à ses enfants, à la Russie, à Dieu et au temps. Le temps était son bien le plus précieux, car il savait qu'il pouvait mourir d'un moment à l'autre et qu'il lui fallait finir La Roue rouge, sa monumentale histoire de la Russie d'avant 1917. Aussi, lorsque je suis allé le retrouver dans son refuge du Vermont, aux États-Unis, en 1983, pour un long tête-à-tête, j'avais conscience qu'il s'agissait là d'un cadeau inestimable. Une fois le principe de l'interview télévisée accepté - j'étais le seul à m'être entretenu avec lui dans le Vermont - il était tout à vous. Plus tard, je l'ai reçu, dans le cadre de Bouillon de culture ; enfin, je suis allé tourner un reportage en 1998, après son retour en Russie, dans sa maison des environs de Moscou. Chaque fois, j'ai eu le sentiment d'avoir en face de moi un témoin et un acteur capital de l'Histoire..."
2. À consulter : nos deux Grands Textes qui sont de Soljénitsyne :
• Son discours prononcé le 25 septembre 1993 aux Lucs-sur-Boulogne, pour l'inauguration de l'Historial de Vendée : texte intégral...
1975 : Bernard Pivot reçoit Soljénitsyne dans "Apostrophes..."
Le 13 Février 1974, Alexandre Soljénitsyne est expulsé d'URSS;. Il souhaite venir résider en France, et demande l'asile politique, qui lui est refusé par le Président socialiste Mitterand, empêtré dans une coalition de gauche, où le Parti communiste joue encore un rôle primordial : à peine cinq ans auparavant, à la dernière élection présidentielle (de 1969), le candidat du Parti communiste, Jacques Duclos, a obtenu presque 22% des vois, au premier tour ! Pas question, donc pour Mitterand, et à cause de ces misérables calculs politicards, d'accorder l'asile politique à l'immense Soljénistsyne, qui a dénoncé l'enfer sur terre que fut l'Archipel du Goulag, ouvrage majeur dont il demanda l'impression en Décembre 1973 (la version française étant publiée le 1er Juin 1974).
Soljénitsyne partit donc en exil dans le Vermont, aux Amériques.
À la France fut ainsi infligé - par la république idéologique - cette honte indélébile d'avoir refusé asile et protection à ce grand résistant à la Révolution : mais c'est logique, la république idéologique étant, par nature, révolutionnaire, et mère et matrice de toutes les révolutions qui sont nées d'elle, dont la bolchévique...
Bernard Pivot (ci dessous) et Philippe de Villiers sauveront l'honneur national, le premier en 1975 (en recevant Soljénitsyne) et le second en le recevant en Vendée, aux Lucs-sur-Boulogne, en 1993...
1. Bernard Pivot raconte :
"...J'ai rencontré Alexandre Soljenitsyne quatre fois, quatre moments extraordinaires. Avant même de l'inviter dans Apostrophes, le 11 avril 1975, je lui avais consacré, fin 1973, au moment de la sortie de L'Archipel du Goulag, l'une des émissions d'Ouvrez les guillemets. Le débat avait été fort animé, notamment entre Jean Daniel et Max-Pol Fouchet. Le premier parlait d'un témoignage capital, tandis que le second minimisait son importance. Tout comme Alain Bosquet, également sur le plateau, qui était fort dubitatif. Car, il faut bien le rappeler aujourd'hui, il n'y avait pas alors de belle unanimité au sein de l'intelligentsia française. Nombre d'intellectuels critiquaient l'aspect partiel du récit de Soljenitsyne, d'autres encore considéraient qu'il n'était pas de grande qualité littéraire. Début 1975, alors que, expulsé d'URSS, il résidait en Suisse, je l'ai convié à l'occasion de la sortie de ses Mémoires, Le Chêne et le Veau. C'était l'une de mes premières émissions d'Apostrophes et je venais d'avoir Nabokov. Deux grands Russes coup sur coup. Quel bonheur ! C'était formidable. L'auteur d'Une journée d'Ivan Denissovitch et du Pavillon des cancéreux était vraiment impressionnant. Par sa stature, sa barbe, son physique. Tout ce qu'il représentait, la guerre, le goulag, le cancer, bref, tout ce que à quoi il avait échappé, et son courage incroyable faisaient que vous vous sentiez bête et tout petit en face de lui. C'est comme si vous aviez reçu de Gaulle ! On me disait qu'il n'avait pas bon caractère. Comment aurait-il pu survivre sinon ? Cela dit, il a fait montre, à chacune de nos rencontres, d'une vraie gentillesse et d'une grande disponibilité. Il tenait à sa femme, à ses enfants, à la Russie, à Dieu et au temps. Le temps était son bien le plus précieux, car il savait qu'il pouvait mourir d'un moment à l'autre et qu'il lui fallait finir La Roue rouge, sa monumentale histoire de la Russie d'avant 1917. Aussi, lorsque je suis allé le retrouver dans son refuge du Vermont, aux États-Unis, en 1983, pour un long tête-à-tête, j'avais conscience qu'il s'agissait là d'un cadeau inestimable. Une fois le principe de l'interview télévisée accepté - j'étais le seul à m'être entretenu avec lui dans le Vermont - il était tout à vous. Plus tard, je l'ai reçu, dans le cadre de Bouillon de culture ; enfin, je suis allé tourner un reportage en 1998, après son retour en Russie, dans sa maison des environs de Moscou. Chaque fois, j'ai eu le sentiment d'avoir en face de moi un témoin et un acteur capital de l'Histoire..."
2. À consulter : nos deux Grands Textes qui sont de Soljénitsyne :
• Son discours prononcé le 25 septembre 1993 aux Lucs-sur-Boulogne, pour l'inauguration de l'Historial de Vendée : texte intégral...
Il y a treize jours, dans l’année, pendant lesquels il ne s’est pas passé grand-chose, ou bien pour lesquels les rares événements de ces journées ont été traités à une autre occasion (et plusieurs fois pour certains), à d'autres dates, sous une autre "entrée".
Nous en profiterons donc, dans notre évocation politico/historico/culturelle de notre Histoire, de nos Racines, pour donner un tour plus civilisationnel à notre balade dans le temps; et nous évoquerons, ces jours-là, des faits plus généraux, qui ne se sont pas produits sur un seul jour (comme une naissance ou une bataille) mais qui recouvrent une période plus longue.
Ces jours creux seront donc prétexte à autant d'Évocations :
Aujourd'hui : Quand Massalia, la plus ancienne ville de France, rayonnait sur toute la Gaule et, préparant la voie à Rome, inventait avec les Celtes, les bases de ce qui deviendrait, un jour, la France.
Dénoncer, en paroles, le danger des Frères Musulmans, c'est bien.
Les combattre vraiment, dans les faits, ce serai tellement mieux !
De Marion Maréchal à Bruno Retailleau :
"Monsieur le Ministre @BrunoRetailleau, cela fait 7 mois que vous êtes aux manettes. Il n’y a pas besoin d’un rapport pour connaître la dangerosité des Frères musulmans. Qu’attend le gouvernement pour les interdire et fermer leur centre de formation de Château-Chinon ?"
On sait que, à l'Action française, Daudet et Bainville partageaient le même "bureau" (quel que fût le local : rue de la Chaussée d'Antin, rue Caumartin, rue de Rome, rue du Boccador) en parlant de pièce; et aussi... le même "bureau", en parlant de meuble, cette fois : cette "table magique", qui n'était pourtant que "de bois blanc", dont parla Bainville dans la courte allocution qu'il prononça à l'occasion de son élection à l'Académie (BAINVILLE VERTU DE L'AMITIE.pdf).
Que de discussions entre les deux amis, sur tant et tant de sujets, elle a du entendre, cette table de bois blanc ! Et, par exemple, sur ce sujet de l'évolution.
C'est pourquoi on nous permettra de commencer par donner, avant le sujet de Daudet, cette très courte note de Jacques Bainville, tirée de "Lectures" (Fayard, 1937, pages 109 - 110), et qui parle de ce sujet qui - très certainement - aura été évoqué entre les deux hommes, et plusieurs fois, autour de la fameuse table :
"Je regrette de ne plus savoir dans quel journal j'ai lu par hasard l'autre jour (comme on lit en chemin de fer) une chronique scientifique où se trouvait une remarque excellente. L'auteur (je regrette aussi d'avoir oublié son nom) y parlait de certains champignons que les transformistes regardent comme étant à l'origine de toutes les plantes.
Alors, demandait-il, pourquoi ont-ils subsisté ?
Pourquoi restent-ils tels qu'ils étaient au principe de toute botanique ? Pourquoi n'ont-ils pas évolué ?
Évidemment. Si nous descendons du singe, on ne comprend pas pourquoi il y a encore des singes. Ou bien c'est qu'il y avait dès la genèse des singes-singes et des singes qui n'étaient pas singes. Si l'homme est un singe supérieur, il y a autant de raisons pour que le singe soit un homme dégénéré.
Qui nous assure d'ailleurs qu'au lieu de venir du protoplasma primitif nous n'allons pas à la cellule finale, que la marche n'est pas du simple au composé mais du composé au simple ? La paléontologie nous fait connaître des fossiles bien plus compliqués que les animaux qui existent aujourd'hui. Survivance des plus aptes ? Alors le plus apte serait peut-être l'infiniment petit. Nous retournerions à l'atome."
Passons donc, maintenant, au Daudet du jour. Voici le lien conduisant à la "Une" du Lundi 15 Octobre 1923 :
1916 : Bataille de Verdun (photo : l'Ossuaire de Douaumont)
1028 : Mort de Fulbert de Chartres
De L'Encyclopedia universalis :
"Né près de Rome dans une famille pauvre, Fulbert eut pour maître un évêque italien, séjourna un peu à Rome, puis, vers 984, vint à Reims pour y suivre les leçons de l'illustre Gerbert d'Aurillac, le futur pape Silvestre II. En 992, il se rendit à Chartres pour apprendre la médecine. Bientôt il fut nommé maître, chancelier et chanoine. En 1006, la faveur du roi Robert le Pieux, qu'il connaissait depuis longtemps, le porta à l'évêché de Chartres. Fulbert acquit un prestige considérable auprès de ses contemporains; sa correspondance est une source importante de l'histoire de son temps. Après l'incendie de 1020, il reconstruisit sa cathédrale; la crypte actuelle est son œuvre.
Fulbert est vénéré comme saint à Chartres.
Disciple de Gerbert et utilisant comme celui-ci les grands texte de la logica vetus Fulbert donne, par son enseignement à l'École cathédrale de Chartres, l'élan qui fera d'elle, au XIIème siècle, un centre d'études important, illustré par des penseurs de premier ordre (tels Bernard et Thierry de Chartres, Gilbert de La Porrée, Guillaume de Conches) et caractérisé par son intérêt pour les arts libéraux ainsi que par ses recherches philosophiques sur l'origine et la nature de l'univers.
C'est à Fulbert que la célèbre école de Chartres doit ce goût de la science et des études profanes qui l'amènera à déborder les cadres du quadrivium dans le sens d'un "humanisme avant la lettre."
1968 : Premier lancement au Centre spatial de Kourou, en Guyane
1553 : Mort de François Rabelais
Du XVIème au XXème siècle, les jugements les plus opposés ont été portés sur son œuvre si complexe, si riche en contrastes de toutes sortes. Les deux tendances de la critique sont assez bien résumées par le jugement de La Bruyère :
"Où il est mauvais, il passe bien loin au-delà du pire, c’est le charme de la canaille; où il est bon, il va jusques à l’exquis et à l’excellent, il peut être le mets des plus délicats"
Défense : la France et l'Égypte vont signer un partenariat stratégique
"Les industriels de l'armement français vont passer leur tour lors de la visite d’État d'Emmanuel Macron en Égypte (6-8 avril). Seul Dassault Aviation devrait signer un contrat de maintenance pour les Rafale en service dans l'armée de l'air égyptienne.
L'armée de l'air égyptienne est la seconde au monde, après l'armée de l'air française, à avoir commandé autant de Rafale (soit 55 au total, dont un a été perdu à la suite d'un crash : 24 en 2015, 31 en 2021)
Ni Rafale supplémentaires, ni sous-marins, ni systèmes de défense aérienne... Bien qu'accompagné par certains PDG de groupes de défense comme celui de Dassault Aviation (Eric Trappier), Emmanuel Macron ne reviendra pas d'Égypte à l'issue de sa visite d'État (du 6 au 8 avril) avec de très grands contrats signés dans le domaine de la défense. A l'exception certainement d'un nouveau contrat portant sur la maintenance des Rafale (Dassault Aviation) de la classe des 300 millions d'euros. Pour l'heure, Le Caire n'a pas encore la capacité à engager de lourds investissements pour renouveler une partie de sa flotte d'avions de combat (F-16) et sa marine (sous-marins).
Première cliente de l'avion de combat tricolore à l'export, l'armée de l'air égyptienne est la seconde au monde, après l'armée de l'air française, à avoir commandé autant de Rafale (soit 55 au total, dont un a été perdu à la suite d'un crash : 24 en 2015, 31 en 2021). En outre, la visite d'Emmanuel Macron coïncide avec la livraison du premier Rafale en Égypte dans le cadre de la mise en œuvre du second contrat..."
L'armée de l'air égyptienne est la seconde au monde, après l'armée de l'air française, à avoir commandé autant de Rafale (soit 55 au total, dont un a été perdu à la suite d'un crash : 24 en 2015, 31 en 2021)
Ni Rafale supplémentaires, ni sous-marins, ni systèmes de défense aérienne... Bien qu'accompagné par certains PDG de groupes de défense comme celui de Dassault Aviation (Eric Trappier), Emmanuel Macron ne reviendra pas d'Égypte à l'issue de sa visite d'État (du 6 au 8 avril) avec de très grands contrats signés dans le domaine de la défense. A l'exception certainement d'un nouveau contrat portant sur la maintenance des Rafale (Dassault Aviation) de la classe des 300 millions d'euros. Pour l'heure, Le Caire n'a pas encore la capacité à engager de lourds investissements pour renouveler une partie de sa flotte d'avions de combat (F-16) et sa marine (sous-marins).
Première cliente de l'avion de combat tricolore à l'export, l'armée de l'air égyptienne est la seconde au monde, après l'armée de l'air française, à avoir commandé autant de Rafale (soit 55 au total, dont un a été perdu à la suite d'un crash : 24 en 2015, 31 en 2021). En outre, la visite d'Emmanuel Macron coïncide avec la livraison du premier Rafale en Égypte dans le cadre de la mise en œuvre du second contrat.
Louis XIII achète la Seigneurie de Versailles à Jean-François de Gondi, archevêque de Paris.
Il y construira un petit château que Louis XIV, venu à Versailles pour la première fois en 1651 (il avait 13 ans !...) ne voudra jamais démolir (ci dessous).
À côté des immenses travaux d'agrandissement et d'embellissement qu'il fera réaliser, il chargera ses architectes d'envelopper le château de son père, d'où le nom d'Enveloppe...
INFO FRONTIÈRES : Un militant de l’Action Française de Lens a été TABASSÉ PAR 3 FAUX ANTIFAS / VRAIS TERRORISTES. Il a été hospitalisé et doit procéder à des examens neurologiques. Une plainte va être déposée.
dont un des militants a été sauvagement agressé par 3 militants antifas. Ne nous laissons pas intimider par ces minables attaques "en horde"…
On s’en souvient très bien, l’un des nôtres à la Rédaction a échappé de peu au fauteuil roulant pour le restant de ses jours. C’était il y a 10 ans, peu ou proue.
Dans la série "Cela se discute", ce que lui répond Charles Gave mérite d'être entendu, même si l'on peut en discuter tel ou tel aspect...
Car ce que propose ici Charles Gave ne ressemble-t-il pas à... une révolution ? :
• Remettre l'État là où il doit être mais où il n'est plus;
• le retirer de là où il s'est mis et où il ne doit pas être;
• et renvoyer les inutiles et les privilégiés qui vivent à nos crochets...
En somme, une "révolution de la Révolution"...
Car, bien entendu, la République idéologique et le Système dont elle a accouché - qui est "le" mal - ne saurait être le remède à ce mal, qu'elle a elle-même installé.
Il faut donc chercher ailleurs.
Du côté du Régime traditionnel de la France, par exemple, celui qui l'a faite (ayons "la reconnaissance du ventre" !) et qui en avait fait la première puissance du monde au moment où éclata la funeste et maléfique Révolution, dite française...
Extrait vidéo proposé par Artemis, revue de presse indépendante, amoureuse de la liberté et de la tronçonneuse; avec ce commentaire :
"Régler le problème de la France est enfantin" selon Charles Gave L'économiste dénonce la "corruption" des plus de 1.400 agences publiques et propose leur suppression, impliquant une économie de 130 milliards d'euros par an, id est une réduction d'impôts de 130 milliards d'euros pour les Français. De plus, il préconise des baisses d'impôts à chaque réduction de dépenses publiques."
S'il obliqua très vite vers le monde du journalisme et de la Politique, Léon Daudet était de formation médicale et voulait, d'abord, devenir médecin. Il professa toujours une grande admiration pour Louis Pasteur, comme on va le voir ici, dans ce bel article écrit à l'occasion du centenaire de sa naissance (le 27 décembre 1822, à Dole).
L'admiration de Daudet pour Pasteur se résume parfaitement dans ces quelques lignes :