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Social, Économie... - Page 92

  • Chiffre officiels de la mauvaise gestion du Système...

                     "En 2008, la dette publique brute de la France a progressé de 10 %, passant de 1 209 milliards d'euros à 1 327 milliards, soit 20 600 euros par habitant et 47 400 par actif. La charge d'intérêts a atteint 54,6 milliards d'euros, soit 850 euros par habitant et 1 950 euros par actif. En matière de déficit, la France fait moins bien que ses partenaires européens (3,4 % contre 1,5 %).

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    Jean-Jacques Jégou, sénateur du Val de Marne, trésorier du Modem

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  • Du temps pour sa famille et pour le culte.....

                Trouvé sur Le salon beige. N'est-il pas "parlant" cet avis au public ? Une chaîne de magasins qui ferme le dimanche, pour permettre à ses employés d'avoir du temps à consacrer à leur famille, et au culte !.....
              
                Sans commentaire(s), autre(s) qu'approbatif(s).....
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  • Déficit record: on était plus critique et plus sévère, "avant"...

                Le déficit du budget de l'Etat français a plus que doublé au cours des douze derniers mois, atteignant 109 milliards d'euros au 31 juillet contre 51,4 milliards un an plus tôt, sur fond d'effondrement des recettes fiscales. Le chiffre est tombé, sinon dans l'indifférence générale, du moins dans une absence quasi complète de remise en cause et d'interrogations.

                Il fut un temps où l'opinion publique, en France, était largement plus remuante qu'aujourd'hui. Moins anesthésiée, moins conditionnée ? Probablement. Nous vivons dans une époque de conformisme triomphant, ce qui n'a pas toujours été le cas...

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  • Quand "la crise" fait surgir des convergences inattendues. Et prometteuses ?...

                Jean-Marie Harribey, 61 ans, est Professeur de sciences économiques et sociales et Maître de conférences d’économie à l’Université Bordeaux IV.

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    Avec Aurélie Trouvé, qui assure comme lui la co-présidence d'Attac



                Pendant la première moitié de sa vie professionnelle, il a enseigné en lycée, et, pendant la seconde, à l‘Université où ses recherches portent sur la critique de l’économie politique, les concepts de valeur et de richesse, le travail, la protection sociale et le développement soutenable.

                Il a publié notamment L’économie économe, Le développement soutenable par la réduction du temps de travail (L’Harmattan, 1997), Le développement soutenable (Economica, 1998), La démence sénile du capital (Le Passant Ordinaire, 2002), Raconte-moi la crise (Le Bord de l'eau, 2009). Il a dirigé Le développement a-t-il un avenir ? (Mille et une nuits, 2004), Le Petit Alter, dictionnaire altermondialiste (Mille et une nuits, 2006). Et il a co-dirigé Capital contre nature (PUF, 2003), Le développement en question(s) (PUB, 2006), et Sortir de la crise globale, vers un monde solidaire et écologique (La Découverte, 2009)

                Jean-Marie Harribey est chroniqueur à Politis et co-président d’Attac France depuis 2006.

     

                Voilà ce que l'on peut lire dans Libération du 14 septembre, en guise de petit texte de présentation du très intéressant article qu'il y publie, sous le titre « La crise financière est le fruit des “trente mortifères” ». Ne voit-on pas, dans cet article, un auteur lucide et sans parti pris qui, même s'il s'en étonnerait au cas où on le lui ferait remarquer, n'est pas loin du tout de la doctrine sociale de l'Eglise, d'une part, et, d'autre part, du Maurras annonciateur de l'Âge de fer, dont il a prédit la survenue en en analysant les causes dans L'Avenir de l'Intelligence. Jean-Marie Harribey veut "en sortir", et nous avec lui, et -on peut le penser- tous les gens de bonne volonté, dans quelque camp qu'ils se trouvent. Mais où trouvera-t-on la "force" qui permettrra d'en sortir, face à l'Argent devenu roi ?.....

                 A coup sûr, Jean-Marie Harribey, par delà tous les clivages et toutes les pesanteurs, est bien quelqu'un avec il serait bon d'ouvrir un débat. Qu'on en juge, voici son texte (intégral)....

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  • Affaire Molex : le ton nouveau et le discours nouveau du gouvernement.

                La direction internationale -états-unienne- de l'équipementier automobile Molex a prévu de fermer fin octobre le site français de Villemur-sur-Tarn. Conciliation, médiation, rebondissements : le conflit dure depuis des mois.

                Face à l'attitude offensive des salariés – soutenus en paroles par Matignon – , les dirigeants de Molex ont fait mine d'ouvrir des négociations avec un groupe disposé à reprendre le site. Des négotiations qu'ils ont, depuis, rompues.

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  • Un délégué CGT traite Bernard Thibault de "racaille".

                En revenant sur les propos incisifs de Xavier Matthieu -délégué CGT, tout de même...- à propos de Bernard Thibault (mais il épingle aussi Chérèque et, de fait, l’établissement syndical…) nous ne chercherons évidemment pas à prendre parti dans une querelle interne qui ne nous concerne en rien.

                Nous trouvons simplement dans ces propos, tenus par un ouvrier de la base –comme on dit…- une preuve supplémentaire de ce que chacun a pu voir et constater ces dernières années, et dont les ouvriers français sont les premières victimes : l’abandon de la défense des intérêts des ouvriers –ce qui est tout de même sa justification centrale et essentielle…- par l’établissement syndical.

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    Croqués par Aldo...

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  • La CGT veut-elle la mort du Port de Marseille ?...

                La CGT était en effet déjà directement à l’origine de l’arrêt –qu’on continue d’espérer temporaire…- de l’UNM (Union Navale Marseille, ex CMR, Compagnie Marseille Réparation).

                Une cessation définitive d’activité de cette Compagnie signifierait tout simplement la fin de la filière de la réparation navale sur le port de Marseille.

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  • Emprunt : Faut-il s'endetter pour rebondir ?

                 Tel est l'intitulé du très intéressant débat auquel se sont prêté Jean-Hervé Lorenzi (ci dessous), Président du Cercle des économistes, et Olivier Pastré, Professeur d'économie à Paris VIII.

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  • Rioufol reprend et relaie Finkielkraut...

                Du blog d'Ivan Rioufol:

                "...Pour ma part, je persiste à penser que les bouleversements qui ébranlent la société française (sans parler de l'état de l'Occident) ne peuvent se contenter de débats sur le travail dominical, la taxe carbone, la loi Hadopi, l'âge de la retraite ou l'emprunt national, pour ne retenir que les thèmes qui font l'actualité, et pour ne pas m'attarder sur la pipolisation de la politique, cet autre attrape-nigauds.

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  • Montée du chômage et accueil de clandestins : une provocation des autorités ?...

                On le sait, tout le monde le dit, impossible d'y échapper : la France a perdu 287.000 emplois en trois mois (entre le 1er janvier et le 31 mars) et, tout le monde est d'accord là-dessus, la barre des 10% de chômeurs sera, malheureusement, atteinte incessamment sous peu.

                C'est le moment que choisissent les autorités pour recevoir 80 Maliens clandestins, en provenance de Malte (1)...

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  • Le couple Giscard-Chirac, un duo funeste

                Sous le titre Un duo funeste, voici la note de lecture qu’Yvan Blot consacre au livre de Yves-Marie Laulan sur le couple Giscard/Chirac, dans le dernier numéro (73) de Politique magazine (http://www.politiquemagazine.fr/ ).

     
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    (1) : Le couple Giscard-Chirac, deux années de plomb qui amorcent le déclin, 1974-1976, de Yves-Marie Laulan. Edition François-Xavier de Guibert, 192 pages, 18 euros.

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  • L'éditorial de Politique Magazine : Si "la crise" pouvait faire "réagir" !...

                Voici quelques lignes extraites du dernier éditorial de Politique Magazine (1), qui, à propos de la crise, revient sur le retour de ces réalités qu'on avait cru pouvoir oublier, et d'abord sur ce retour des Etats, dont certains avaient annoncé un peu vite la mort (mais c'était aux temps - déjà lointains !... - d'une euphorie aussi anésthésiante qu'insensée).

                "...Ce qui va apparaître de plus en plus –et les suites du G 20 ne feront que confirmer cette tendance-, c’est que ce sont les Etats qui, confrontés aux problèmes, tentent de les résoudre, et d’abord évidemment par et pour eux-mêmes. Et même s’ils seront amenés à essayer de cordonner leurs efforts, ils ne le feront qu’au vu de leurs capacités et de leurs intérêts.

                C’est tout simplement parce que c’est à ce niveau-là que se trouve la réponse appropriée, s’il en est une.

    (1) : http://www.politiquemagazine.fr/  (numéro 73).

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  • Pour la première fois depuis longtemps, ils défilent ensemble pour le premier mai...

                Il y avait longtemps qu'on ne l'avait plus vu: les dirigeants de la CGT, de FO et de la CFDT sont ensemble aujourd'hui. Aldo les a croqué pour vous... 

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  • Face à la crise ... le bon sens du peuple, et l' "opinion" : rien à voir....

     

    L’on aurait sans-doute raison de distinguer le bon sens du peuple français, dans ce qui lui reste de tradition et d’enracinement, qui s’exprime encore, parfois, en certaines circonstances particulières et sur des sujets concrets, de façon nette et conforme à la simple sagesse ou à l’instinct de survie, de ce que l’on nomme abusivement l’opinion qui est, en fait, une création pure et simple du conditionnement médiatique au jour le jour et se caractérise par la frivolité, la superficialité, le caprice, la tyrannie de l’immédiateté, l’inconséquence. Ou, pour parler plus simplement, tout bonnement la sottise. On pourrait dire, en ce sens, que le sentiment populaire est sage et que l’opinion est stupide, conformiste et serve. Et le « système » veille en permanence à étouffer le sentiment spontané du peuple français au profit de son contraire qu’il crée, façonne, manipule à l’envi et qui est l’opinion. Le peuple, il s’en méfie. L’opinion, c’est sa chose, sa créature. Elle va toujours, comme lui, et il fait tout pour cela, dans le sens de la dissolution, de la médiocrité, du vulgaire.  

     

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  • Après Yvan Blot, Jacques Sapir.....

                Deux jours après qu'Yavn Blot ait prononcé sa conférence sur la Crise à Marseille, La Tribune de Genève (du vendredi 13 mars, donc) publiait l'article de Jacques Sapir que nous reproduisons intégralement ci-après.

                On le verra : la réflexion du second (dans le cadre étroit d'un article, finalement assez court) ne peut pas avoir la même envergure que celle du premier, qui a pu développer sa réflexion pendant une bonne heure. L'angle d'analyse, surtout, est très diffèrent, et c'est justement ce qui fait que la réflexion de Jacques Sapir complète, et fait comme une une sorte d'écho, et donc prolonge, en un certain sens, celle d'Yvan Blot.

                Nous avons donc jugé utile de la porter à la connaissance de nos lecteurs, afin de poursuivre, de préciser et d'enrichir en quelque sorte la réflexion entamée avant hier.....

    Le Français Jacques Sapir

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