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Rappeler les racines chrétiennes de l'Europe sans faire référence à un lointain Moyen-Âge, mais à la plus efficace des économies européennes ? C'est possible...
C'est inattendu, et même surprenant : c'est dans Famille chrétienne n° 1725, du 5 au 11 février 2011, et c'est signé Pierre-Yves Gomez, Directeur de l'Institut français de gouvernement des entreprises, à Lyon :
...erreur en-deça ? En tout cas, il semblerait que ce soit le cas pour les socialistes, vu leur programme présenté pour 1980.
Pardon, pour 2012...
On n'y compte plus les interventions d'Etat, et on nous y ressort, sous une autre forme, les emplois-jeunes et autres vieilleries.... Pendant ce temps-là, aux USA, le représentant Républicain déclare : "Nous nous sommes battus pour obtenir une réduction significative des dépenses publiques, car c'est cela qui créera des emplois" !....
Si Démocrates et Républicains ont choisi, respectivement l'âne et l'éléphant, au PS, c'est carrément l'écrevisse qui devrait être prise pour emblème. Vous savez, l'écrevisse, le petit crustacé qui avance... à reculons !
(Article paru dans le n° 94 de Politique Magazine, de mars 2011)
Au début du mois de février, le président de la République déclenchait un début de polémique avec la Commission européenne à propos de l’influence de la spéculation sur la variation des cours des matières premières. Certains économistes en ont alors profité pour expliquer tout l’intérêt de la spéculation dans le monde économique d’aujourd’hui.
(Article paru dans Politique magazine n° 94, de mars 2011)
G 20, Discours et réalités
Il est bien de songer à l’ordre international. Mais encore faut-il en avoir les moyens et le premier d’entre eux : un État solidement installé dans la durée et l’efficacité.
Deux réflexions spontanées, à la lecture de cette info vue dans La Croix :
- D'abord, on peut dédier à ce symposium la formule si juste de Gustave Thibon, qui répétait volontiers qu'une société saine était une société avec un maximum de moeurs et un minimum de lois...
- Ensuite, on ne peut qu'être étonné que, dans ce fatras de normes en tous genres et sur tous les sujets, il n'y ait qu'une seule corporation qui échappe en totalité à la moindre norme : celle des journalistes de la cléricature médiatique, auto-proclamés diseurs du vrai et du bien, en tous lieux et toutes circonstances; énonceurs de règles et de normes morales pour la terre entière, eux qui, justement, ne s'en fixent aucune à eux-mêmes, de norme(s), et fonctionnent (!) très bien sans (de leur point de vue, évidemment...)
(Article paru dans Politique Magazine n° 93 de février 2011).
Entre le risque d’explosion sociale en Chine et celui de l’effondrement monétaire aux États-Unis l’euro flotte au gré de décisions qui ne lui appartiennent pas.
Depuis le second semestre de l’année 2010, l’euro est ballotté au rythme des décisions américaines relatives au dollar et des difficultés rencontrées par les États du Sud de l’Europe pour refinancer leur dette sur les marchés financiers, quoique l’importance des dettes de ces États, eu égard à leur produit intérieur brut, n’est pas significativement plus élevée que celle de la France ou des États-Unis. La différence de traitement, face à des situations objectivement très voisines, s’explique par la marge de manœuvre dont disposent les fonds spéculatifs : elle leur permet de gagner quasiment à coup sûr de l’argent sur les mouvements qu’ils provoquent sur les économies des États sud-européens alors que pour les économies plus importantes les espérances de gain seraient pour l’instant moins élevées. Dans la mesure où les États ne peuvent plus continuer à s’endetter, ils sont contraints de diminuer leur train de vie et donc de limiter leurs importations.
Pour parler comme chez Molière, On dit toujours la même chose parce que c'est toujours la même chose; si c'était pas toujours la même chose, on dirait pas toujours la même chose...
On a vu récemment le conflit d'un autre âge du Livre, voulu par une CGT qui, si elle a perdu de sa superbe, n'a rien perdu et n'entend rien perdre de son pouvoir de nuisance hérité de 45. Revoici, pour la énième fois, une grève des Ports. Tant qu'on n'aura pas liquidé les derniers résidus empoisonnés de la soviétisation d'une partie de la société française imposée par les révolutionaires au sortir de la deuxième Guerre, les choses continueront à mal marcher. Évidemment, il faut pour cela prendre les Bastilles (Ports, Transports, EDF, Livre, Enseignement....) et supprimer les privilèges, défendus becs et ongles par les privilégiés de notre actuel ancien régime. Bref, il faut être - ce que nous sommes... - révolutionnaires de fait de ce Système, autant bloqué que corrompu, dont il n'y a rien à conserver.....
Outre l'intérêt, en soi, de la pensée d'Edgar Morin, malgré ce qui le sépare de nous , et compte tenu de ce qui nous le rend finalement assez proche, on notera que, sur France inter, c'est la deuxième fois en cinq jours qu'une personnalité marquante cite Maurras : Edgar Morin, aujourd'hui, après Ivan Levaï samedi dernier.....
Ici, Edgar Morin déplore qu'il n'y ait plus, dans nos sociétés, de pensée politique d'envergure, comme il y en eut aux XIXème et XXème siècles. Et il cite celles qui comptent : la pensée de Marx, pour la Révolution, celle de Tocqueville pour le courant libéral, celle de Maurras, pour la pensée réactionnaire. Ce dernier terme n'a, d'ailleurs, dans ce cadre, aucune connotation péjorative. Simplement, pour Edgar Morin, l'absence de toute pensée politique contribue à cette "réduction du Politique à l'Economique" qui est, pour lui, comme pour nous, l'un des vices profonds de la modernité. En somme, Edgar Morin appelle de ses vœux, tout simplement, la renaissance de la pensée politique. C'était aussi, on le sait, l'objectif de Pierre Boutang lorsqu'ii écrivait, il y a quelques trente ans, son "Reprendre le Pouvoir".
Nous n'avions pas relevé ceux de Rachida Dati, Brice Hortefeux ou Luc Chatel, parce qu'ils ne portaient pas sur la chose politique à proprement parler. Mais celui de Christine Lagarde, lui, mérite qu'on le note car, même si tout lapsus est, par définition, involontaire, on retrouvera malgré tout dans celui-là quelque chose de la tendance lourde de notre Système idéologique : taxer toujours plus, taxer sans cesse, taxer tous azimuts... ( mais quand taxera-t-on les taxeurs ?...)
Interrogée sur Canal+, la ministre de l'Économie a déclaré que la France était "sortie du gros de la crise". "J'avais dit que le jour où on sortira de la crise, on en sera certain car l'économie française recommencera à créer des impôts", a-t-elle déclaré dans Le Grand journal. "A créer des emplois", a-t-elle rapidement corrigé...
Tout de même, c'est dit.... Et, comme c'est juste !.....
Dans notre république idéologique, "La Bastille" est devenue "les Bastilles", qui se comptent maintenant par centaines et par milliers; et les privilèges et les privilégiés, bien loin de disparaître, ont eux aussi explosé, en nombre et en étendue.
De ce point de vue-là, c'est incontestable, la république - idéologique... - est bien supérieure à la Royauté, elle a fait beaucoup mieux qu'elle, et nous sommes des ingrats, nous, les royalistes, de ne pas reconnaître cet apport du nouveau régime par rapport à l'Ancien, cette supériorité évidente du Système sur ce point....
Ce court préambule pour rappeler que, une fois de plus, la CGT vient de lancer un mouvement de blocage des ports français, qui n'en finissent plus - avec ces sabotages à répétition - d'être distancés, malgré leurs atouts évidents, par tous les autres ports d'Europe et du monde....
Insurrection du Pays Réel contre les privilèges et les privilégiés du Système...
Un premier PDF de 38 pages, consultable en permanence dans notre Catégorie "PDF A TELECHARGER", regroupe déjà 8 articles de François Reloujac, parus dans Politique Magazine entre mai et décembre 2010 et - pour l'un d'entre eux - dans la Lettre de Gens de France.
Dans un domaine où nous n'excellons pas toujours, Politique Magazine et François Reloujac, qui poursuit en 2011 sa réflexion d'ensemble entamée depuis de nombreux mois, continuent donc à rendre un service signalé, apportant une utile contribution à l'ensemble des royalistes français.
Lafautearousseau continuera, pour sa part, à donner à cette suite économique la plus large diffusion possible. En attendant de regrouper dans un second PDF un nombre de textes conséquents, nous plaçons d'ores et déjà dans nos Pages ce premier texte de janvier, et nous lui adjoindrons ceux qui suivront, afin d'en rendre la consultation plus aisée...
Voici donc Zone euro - Les boussoles s'affolent, de François Reloujac (tiré de Politique Magazine de janvier 2011, numéro 92) :
Dans son intervention télévisée du lundi 13 juillet, Nicolas Sarkozy a appelé les collectivités à suivre l'exemple de l'État en ne remplaçant pas un départ à la retraite sur deux : « Il n'y a aucune raison que l'État s'impose une gestion rigoureuse et que les collectivités territoriales, notamment les Régions, continuent une politique d'augmentation du nombre de fonctionnaires. »
Georges Tron, secrétaire d'État à la Fonction publique, en a remis une couche dans Les Échos, deux jours après, évoquant « 340 000 emplois supplémentaires » entre 1997 et 2007 : « Il faut arrêter cette dérive. »
Le Chef de l'Etat, interrogé le 14 juillet 2010 par David Pujadas
En rappelant tout d'abord que la personne dont nous allons parler a écopé de dix mois d'exclusion, dont six avec sursis. Elle a été "punie pour avoir manqué à son devoir de réserve et de discrétion" : il s'agit de la fonctionnaire, auteur du pamphlet Absolument dé-bor-dée! dénonçant les dysfonctionnements du conseil régional d'Aquitaine......
Lors d'un débat sur LCI consacré au finances locales - c'était peu avant sa mort... - Jacques Marseille avait littéralement craché le morceau en déclarant tout net, devant Christophe Barbier et quelques autres, que les collectivités locales engageaient à tour de bras afin "de se fidéliser une clientèle".
Coup de froid sur le plateau, mais la vérité toute simple était dite, et bien dite.
On vient de parler, par ailleurs, de la sur-administration, que l'on peut appeler "le" mal français : et pour illustrer à la fois le propos de Jacques Marseille, et celui de Bruno Cavalier, comme nous n'avions pas encore évoqué ce sujet (abondance de l'actualité !...), voici un très court rappel de l'affiare tragi-comique de Zoé Shepard.
Qui en dit long sur l'état des moeurs du Pays Légal.