Solidarité Kosovo !
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1943 : Mort de Folco de Baroncelli (ici, coucher de soleil sur une Croix gardianne, emblème de la Camargue)
1613 : Naissance de La Rochefoucauld
Auteur des Sentences et Maximes morales, La Bruyère lui décerne ce bel éloge :
"(La Rochefoucauld)...est la production d'un esprit instruit par le commerce du monde, et dont la délicatesse était égale à la pénétration...; observant que l'amour-propre est dans l'homme la cause de tous ses faibles, l'attaque sans relâche quelque part où il le trouve; et cette unique pensée, comme multipliée en mille autres, a toujours, par le choix des mots et par la variété de l'expression, la grâce de la nouveauté." (Discours sur Théophraste)
• "Il faut une plus grande force de caractère pour supporter la bonne fortune que la mauvaise".
• "Les grandes âmes ne sont pas celles qui ont moins de passion ou plus de vertu que les âmes communes, mais celles seulement qui ont de plus grands desseins".
• "Celui qui sort de votre entretien content de lui l'est de vous parfaitement".
La déclaration "hénaurmément" scandaleuse, mais révélatrice, de Gabriel Attal :
"Le rôle de l'école française est de former des républicains... Jamais je n'accepterai qu'à l'école de la République on refuse de regarder un tableau. Une procédure disciplinaire a été ouverte à l'endroit des 3 élèves à l'origine de cette situation...".
Si Attal a raison, dans "l'affaire du tableau", de s'opposer frontalement aux trois énergumènes manipulées par leurs non moins énergumènes de parents butés et bornés, sa déclaration est évidemment scandaleuse pour le reste, c'est-à-dire pour l'essentiel : en proférant son "hénaurmité", il définit tout simplement le Totalitarisme, à la Pol Pot, Mao, Staline etc... et les camps de "ré-éducation" !
Non, le rôle de l'école n'est pas de former des républicains, ni des royalistes, ni des impérialistes, anarchistes ou quoi que ce soit du même tonneau : le rôle de l'école est d'instruire, d'apprendre à lire, à écrire et à compter, pour commencer : en aucun cas "la politique", ès-qualité, n'y a sa place.
S'agirait-il d'un lapsus, comme on tâchera, peut-être, d'essayer de nous le faire croire, pour réparer le dégât de cette déclaration ahurissante ?
En tout cas, et si tel était le cas, le lapsus serait révélateur, car, oui, notre Système, la République idéologique, sont totalitaires...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Mardi 28 Juillet 1936 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k766408s
Ce numéro ressemble assez à celui de la veille : Daudet et les nouvelles du front sur les deux colonnes de gauche; et un article incendiaire, comme la veille, mais signé, de Pujo ("Le crime va s'accomplir") sur le mauvais coup de Blum (à l'international cette fois, après son mauvais coup "à l'intérieur", lors de sa sordide machination durant les obsèques de Bainville, il y a six mois à peine...).
Puis on aura les nouvelles de la guerre sur les quatre premières colonnes de la page trois; et un sujet nettement plus long et plus technique de la Revue de Presse en page quatre; à noter : une courte note en page deux, dans la rubrique "Les faits du jour" : "Allons-nous armer le Front populaire espagnol ?"...
La manchette de ce numéro est encore, comme les précédentes, et toujours à bon droit, une "manchette anti-Blum" :
2004 : Inauguration du Viaduc de Millau
720 : Célébration de Sainte Odile
Patronne de l'Alsace, elle est morte en réalité le 13 décembre : sa fête a été déplacée au 14 pour la distinguer de celle de Lucie.
Elle fut abbesse du monastère de Hohenbourg (Mont Saint Odile, ci dessous ) fondé par son père, où elle est enterrée (son tombeau se trouve dans une chapelle attenante au cloître) :
Élizabeth Borne a "le sentiment que la violence augmente".
La réponse cinglante de Philippe de Villiers :
"Sentiment que la #violence augmente" / Elisabeth Borne est dans le narratif de l'esquive : par idéologie, elle nie le réel. Ses trois présumés coupables sont : l’#ultradroite, les psychiatres et le peuple se laissant aller à ses sentiments. La mission de Madame #Borne est d’installer des paravents : elle est la princesse Potemkine du déni de réalité !
(extrait vidéo 2'13):
https://x.com/PhdeVilliers/status/1734295171431313528?s=20
Pour suivre l'émission entière (46'12) :
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Lundi 27 Juillet 1936 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k766407d
Dans cette "Une", sur la Guerre d'Espagne, "il n'y a que", si l'on peut dire, l'article de Daudet, qui met en garde contre un possible "embrasement européen" (et, de fait, c'est bien ce qui se passera, peu de temps après la fin de cette guerre en Espagne...); puis les nouvelles du front (qui se poursuivent sur les trois premières colonnes de la page cinq) et un court article, non signé, sur les livraisons d'armes déguisées du Front populaire français à son homologue du "front crapulaire" espagnol...
Voici d'abord la manchette de cette "Une"... :
...et l'article non signé, véritable mise en garde et dénonciation de l'action "pro Frente popular" de Blum, obligé de reculer, en apparence, mais qui ne se résout pas à ne pas aider - en leur livrant des armes - ses comparses du Frente crapular... : ce serait de "la contrebande révolutionnaire", est-il écrit dans cet article, qui demande par ailleurs la démission de Pierre Cot, pour "forfaiture" !... :
Cannes 2023 : Le Théorème de Marguerite, un film d’Anna Novion, avec Jean-Pierre Darrousin (le professeur Laurent Werner), Ella Rumpf et Julien Frison (les étudiants Marguerite et Lucas).
Mathématiques quand tu nous tiens !
Après avoir passé difficilement mon Bac Mathélem (« je vous parle d’un temps… »), j’ai décidé d’en finir définitivement avec les sciences et de me tourner vers le Droit. A bien y réfléchir j’ai eu tort : j’aime les règles écrites (les articles) et déteste la jurisprudence de la même façon que j’aime les postulats et les théorèmes mais déteste les sciences expérimentales, chimie et physique, qui constituaient le « panier garni » de ce deuxième Bac.
C’est d’ailleurs une question qui me revient souvent : quelles études voudrais-je faire si je devais repartir à O ? Histoire ? Lettres ? Mathématiques ? et même tout simplement comptabilité ?
Il se trouve qu’il y a quelques jours j’ai suivi avec intérêt une vidéo sur YouTube qui traitait du calcul d’une hauteur à partir de 2 triangles, et j’ai été particulièrement déçu de constater que j’avais tout oublié des sinus et des cosinus. J’ai aussi lu cet été le Claudine à l’école de Colette, et comme je ne savais plus rien je me suis surpris à rechercher les cours d’arithmétique pour faire, comme Claudine, les exercices préparatoires à l’École Normale d’Instituteurs. J’ai ainsi retrouvé les nombres entiers et les nombres premiers avec les PGCD et autres PPCM…
C’est aussi sur les nombres premiers que planche Marguerite, au niveau cette fois-ci de l’École Normale Supérieure, pour tenter de démontrer la conjecture de Goldbach selon laquelle « tout nombre entier pair supérieur à 2 peut s’écrire comme la somme de deux nombres premiers ». inutile d’écrire qu’avant Marguerite, Je n’en avais jamais entendu parler.
Mathématiques, quand tu nous tiens… C’est donc le sujet du film et précisément parce que celui-ci peut paraître rébarbatif, Anna Novion a réalisé une œuvre curieuse et, au sens propre, « extraordinaire ». Même mon épouse a beaucoup aimé, alors que le seul mot « chiffre » lui hérisse le poil et qu’elle cauchemarde encore sur les robinets qui fuient, les baignoires qui débordent et les trains qui se suivent à des vitesses différentes. Ce film, véritablement pour tous, plaira évidemment particulièrement aux étudiants et aux anciens des prépas et des grandes écoles qui y retrouveront la peinture de la vie qu’ils vivent ou qu’ils ont vécue. Il paraît même que les mathématiciens peuvent faire des arrêts sur l’image pour vérifier que tout ce qui est écrit au tableau noir est juste.
Comme avec les nombres, même premiers, nous sommes dans le domaine de l’infini, il ne me paraît pas possible de donner une note / 20 à ce long-métrage, mais avec les Félicitations du jury, on peut sans doute écrire le commentaire contraire à celui que je lisais sur mes livrets scolaires : « Ne peut pas mieux faire ».
Tous nos lecteurs connaissent bien Antoine de Lacoste, qui nous offre très régulièrement ses chroniques moyen orientales. Qui nous offre aussi ses très intéressants et précieux conseils de lecture, que nous "passons" chaque vendredi dans notre Chronique "Littérature" ∗ : Les livres d'Antoine.
Aujourd'hui, c'est sa soeur, Odile, qui a les honneurs de notre quotidien, dans notre Éphéméride du jour. Celle-ci relate un fait d'arme évidemment passé sous silence par la vérité officielle, qui n'est qu'un grossier mensonge; et, pour rédiger cette "entrée", nous nous sommes basés sur la très intéressante monographie d'Odile de Lacoste : Vendée créole - La chouannerie en Martinique, dont nous conseillons la lecture à tous...
∗ Page facebook : https://www.facebook.com/pages/category/Book/Les-livres-dAntoine-1636571 566438413/
lafautearousseau, c'est plus de 28.000 Notes ou articles (et autant de "commentaires" !), 21 Albums, 49 Grands Textes, 33 PDF, 16 Pages, 366 Éphémérides...
Il est naturel que nos nouveaux lecteurs, et même certains plus anciens, se perdent un peu dans cette masse de documents, comme dans une grande bibliothèque, et passent ainsi à côté de choses qui pourraient les intéresser...
Aussi avons-nous résolu de "sortir", assez régulièrement, tel ou tel de ces documents, afin d'inciter chacun à se plonger, sans modération, dans ce riche Fonds, sans cesse augmenté depuis la création de lafautearousseau, le 28 février 2007...
Aujourd'hui : 1986 : René Sédillot publie Le coût de la Révolution française... (tiré de notre Éphéméride du 1er Décembre)
(retrouvez l'ensemble de ces "incitations" dans notre Catégorie :
À la découverte du "Fonds lafautearousseau")
Décembre 2009, le Prince Jean de France, à Rome, pour l'ouverture de l'Année Henri IV (ici, à Saint Jean de Latran, devant la statue de son ancêtre)
Célébration d'Urcisin de Cahors, ou Saint Urcize : dans l'église du village qui porte son nom, en Auvergne, se trouve le calice de la dernière Messe de Louis XVI...
Ursicin (aussi appelé saint Urcisse ou Urcize), évêque de Cahors mourut vers 595.
La petite commune de Saint Urcize, en Auvergne, porte son nom : elle possède un Belvédère du rocher de la Vierge, au centre du village sur lequel s'élevait autrefois le donjon d'un château fort. De ce château fort, ne subsiste aujourd'hui qu'une tour carrée, bien conservée, datant du XIIIème siècle.
Mais c'est surtout son Église Saint-Pierre-et-Saint-Michel qui retient l'attention : jolie église romane classée, datant du XIIIème siècle également, pourvue d'un clocher à peigne et du seul déambulatoire de haute Auvergne, elle abrite surtout le calice utilisé lors de la dernière messe de Louis XVI avant son assassinat, le
Saint Urcize, aujourd'hui...
Le CENTRE LESDIGUIERES, associé au Cercle Dauphinois de Documentation et de
Communication Culturelle , vous convie, ce mardi 19 décembre à 19 heures, à la conférence de PHILIP BOYER /
CHARTREUX, VEILLEURS SILENCIEUX...
qui se déroulera à la salle des vignes, 3 bis avenue Maréchal Randon, à l’Ile Verte
38000 GRENOBLE ( station tramway ligne B « la Tronche Hôpital » )
Allo : 0612344339
Philip BOYER
Ancien journaliste Figaro Lyon, directeur des relations presse et publiques de la Chartreuse puis directeur du Musée de la Grande Chartreuse jusqu’en 2021.
« La vocation des chartreux reste un paradoxe pour beaucoup. A la suite de saint Bruno, ils traversent le temps, solitaires dans le coeur du monde, sans rien en ignorer, sans rien en mépriser. Depuis 1084, ils excellent même dans tout ce qu’ils abordent. Un secret ou un mystère ? Une hyper-absence ou une hyper-présence ? Laquelle ? Et qu’a-t-elle a à nous dire, à nous, aujourd’hui ? »
Merci de vous inscrire. N’hésitez pas à inviter vos proches
courriel : centrelesdiguieres@gmail.com
Merci de prévoir votre participation aux frais et buffet !
5,00 euros pour les adhérents, chômeurs et étudiants, lycéens
10,00 pour les autres
Une bien belle image de la France, envoyée par les supporteurs du club lyonnais...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
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Voici la "Une" du Dimanche 26 Juillet 1936 :
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k7664061
Comme celle du Vendredi précédent, elle est quasiment toute consacrée aux affaires espagnoles, avec un Daudet ("L'état de danger de guerre"), un Pujo ("La trahison en panne"), les nouvelles du "front" et les deux premiers des cinq paragraphes de "La Politique", de Maurras...
Ce sont toujours Blum et Cot qui sont - à juste titre - le plus attaqués : par solidarité idéologique révolutionnaire (!), eux qui n'arment pas la France contre une Allemagne nazie qui se sur-arme depuis des années, essaient d'aider militairement leurs compères du "Frente popular / Frente crapular"...
Dans ce numéro, l'article de Pujo et les nouvelles du "front" se poursuivront sur la quasi totalité de la page trois; et, en page quatre, Pierre Tuc consacrera à l'Espagne deux des sujets de sa Revue de presse
Voici la manchette anti-Blum du numéro :
Le pèlerinage de Compostelle, de nos jours
460 ou 461 : Célébration de Saint Corentin
Évêque de Quimper, il fait partie des Sept-Saints qui évangélisèrent la Bretagne :
Né en Armorique, Corentin vécut pendant plusieurs années la vie érémitique, dans les bois qui couvraient le versant sud du Ménez-Hom, en Plomodiern. Le prince Gallon s'égara un jour dans ces bois, au cours d'une partie de chasse et prit avec sa suite un repas dans la cabane de Corentin. Pour le récompenser, le prince lui fit don d'un vaste domaine. Corentin y construisit un monastère et une école pour les enfants.
Quelques années plus tard, Gallon, désireux de fonder un évêché dans sa province, envoya Corentin à saint Martin de Tours, dont la juridiction s'étendait sur toute la Bretagne, et qui lui donna la consécration épiscopale. Au retour de Corentin, Gallon lui offrit son château de Kemper pour en faire une église.
Aujourd’hui, on l’oublie souvent, le nom complet de Quimper est Quimper Corentin
Les reliques du saint, dispersées lors des invasions normandes (Marmoutier - Abinbdon, Waltham et Glastonbury en Grande-Bretagne), furent partiellement restituées à la cathédrale de Quimper (ci-dessous) en 1623.
La cathédrale de Quimper Corentin, joyau de l'art ogival breton
http://www.quimper.bzh/624-la-cathedrale-saint-corentin.htm