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François Premier promulgue l'Édit de Chateauregnard, portant création d'une "Loterie royale" - ancêtre de l'actuelle Loterie nationale... - "pour porter remède aux jeux dissolus et empescher nostables bourgeois, marchans et aultres de blasphemer Dieu, de consommer leur temps, labeur, vertues et necessaire en jeux de hasard..."
Entre autres sujets, le sinistre Bergeret commence sa sinistre besogne : brûler Paris ("Paris sera à nous ou n'existera plus", disait sa comparse, la non moins sinistre Louis Michel...)
Mais, aussi, la mort de Victor Hugo, parfaite girouette politique, au point d'en être caricaturale... L'occasion de séparer ce qui relève de sa période royaliste de ce qui relève de sa période "d'après"...
De sa période royaliste, le Notre Dame de Paris, qui réhabilite le Moyen-Âge et rend à l'art ogival ou français, improprement appelé "gothique", ses lettres de noblesse; Hugo le qualifie même, avec justesse, comme l'archétype de l'art français... Avec Chateaubriand, Victor Hugo, dans sa période royaliste, est celui qui a rendu son art médiéval, et donc une partie de son âme, à la France...
Nous nous souviendrons toujours que, par une belle journée ensoleillée, il avait reçu le Prince Jean, actuel Comte de Paris mais alors seulement Duc de Vendôme, dans son Hôtel de Ville de Marseille, sur la façade duquel, dominant le Vieux Port et en face de Notre-Dame de la Garde, trône le buste de Louis XIV.
Dans un Album consacré au Prince Jean, nous avions écrit alors, en légende d'une des photos illustrant cette visite :
Marseille: sur le balcon d'honneur de la mairie de Puget, sous le buste de Louis XIV et face à la Bonne Mère, Jean-Claude GAUDIN remet au Prince la médaille de la ville.
Il lui déclare : "Ce sont mes deux sources d'inspiration".
La Nouvelle Calédonie est de nouveau livrée à un déchaînement de violence, qui a fait plusieurs morts, dont, déjà, deux gendarmes. Voici le témoignage d’un habitant membre de l’Alliance Champlain (Nouméa).
« Nous vivons des moments éprouvants. Des évènements difficiles à vivre se sont déroulés au cours des derniers jours. Des hordes de jeunes de 10 à 20 ans à peine, alcoolisées et « cannabisées », commandités par des leaders indépendantistes ont brulé et pillé à tout va. La raison politique est un élargissement du corps électoral étendu à dix ans de résidence ; il faut savoir qu’actuellement ce corps électoral est gelé depuis 1998 soit 26 ans. Il n’était pas envisageable qu’il le soit éternellement. Les indépendantistes s’y opposent absolument car ils perdraient définitivement le contrôle du pays vu que les Kanaks ne représentent que 41% de la population. Le gouvernement actuel est indépendantiste par le jeu d’alliances contre nature.
Le calme revient progressivement avec l’état d’urgence. Mais il y a de nombreuses conséquences pour le vivre ensemble. Les dégâts sont incommensurables. Nous avons passé plusieurs nuits à protéger notre quartier avec des barrages de fortune dans les rues l’avoisinant ce qui a permis de limiter les conséquences. On était plusieurs centaines de personnes à se relayer 24 heures sur 24.
Voilà ce que je peux dire. Je suis épuisé par ces derniers jours. »
Le chef de l’État, ici comme ailleurs, obsédé par la soumission de la France à Bruxelles où se dessine le gouvernement du nouvel empire, est impuissant devant une situation prévisible.
Nous condamnons bien sûr cette violence, mais aussi l’incapacité d’un État qui ne croit pas en la France comme nation souveraine et qui gère les situations critiques qu’il génère lui-même par une politique hésitante et au doigt mouillé. Nous réaffirmons également la souveraineté de la France sur ce territoire qui a choisi par trois fois de rester dans son giron.
Cette jeunesse dont on nous parle si peu... Et qui aspire à construire, à reconstruire...
De Gabrielle Cluzel :
"Une colonne à perte de vue, qui surprend les Parisiens sur les trottoirs. On parle toujours, dans les médias, des « jeunes » qui manifestent et veulent tout détruire en vue du Grand soir. Il y a aussi les jeunes qui pélerinent au petit matin et n’aspirent qu’à reconstruire. Cette jeunesse comptera dans les années à venir, c’est certain."
Voici le lien menant au numéro du Mardi 5 Septembre 33, relatant normalement "le magnifique rassemblement" du dimanche précédent, qui fut menacé par une bizarre coalition "laïco-socialiste" et par une non moins bizarre intervention hostile des archevêque de Rennes et évêque de Quimper. Les uns et les autres en furent pour leurs frais, et connurent "un ridicule fiasco" : "trois cent vingt individus, bien comptés", seulement, se retrouvèrent, pour palabrer dans un champ voisin, se gardant bien de venir troubler la réunion des dix mille royalistes, qu'ils dénonçaient... :
Ces manifestations hostiles de la gauche laïcarde et d'une partie de la hiérarchie catholique, unies à la mauvaise volonté des autorités et de l'administration, firent que, le lendemain du rassemblement, lundi 4, on n'eut, en "Une" qu'une courte annonce du succès de la journée; voici le lien menant à ce numéro du lundi et à sa "Une" assez sobre :
• Et voici donc, d'abord, la courte annonce du lundi, en "Une" (deuxième colonne, juste en dessous de l'article de Daudet) :
(Cliquez sur les images pour les agrandir)
• On peut donc reprendre, ensuite, avec le numéro du mardi (deux jours après, tout de même...) le cours normal de la relation : le compte-rendu occupe l'intégralité de la sixième colonne, et la partie supérieure de la cinquième (dans la "Une") et l'intégralité des deux premières colonnes (dans deuxième page) :
1983 : le VIH, virus responsable du Sida, est identifié
1677 : Présentation du projet du premier Pont-canal de France
Ce projet est établi par Emmanuel de l'Estang, qui le soumet à Pierre-Paul Riquet : l'ouvrage du Répudre sera le premier pont-canal construit en France. Accompagné d'un devis-contrat (uniquement consultable aux Archives du Canal), il décrit précisément les étapes de la construction de l'ouvrage.
Pierre-Paul Riquet accepte le projet, et le démarrage des travaux prendra effet au 8 septembre 1677, par la signature du contrat entre Emmanuel de l'Estang et M. de Contigny, représentant de Riquet.
Statue d'Anne de Kiev à Senlis, inaugurée par le président ukrainien Victor Iouchtchenko en 2005
Petit-fils d'Hugues Capet, Henri 1er est le troisième roi de la dynastie capétienne. Par ce mariage, il inaugure la première alliance franco-russe, qui ne devait pas être bien longue, car Henri 1er mourut brusquement à Vitry-aux-Loges, le 4 août 1060...
En arrivant en France, Anne apporta un livre qui allait beaucoup compter pour tous les sacres des rois de France à Reims. À compter de 1059 et jusqu'à la fin du XVIIIème siècle, tous les rois de France, en accédant au trône auraient prêté serment sur un très ancien Évangéliaire ruthène, écrit en écritures cyrillique et glagolitique. Ce livre est l'un des plus anciens textes connus de la langue russe et l'un des plus anciens documents de la langue littéraire ruthène (ukrainienne) et sa première partie (cyrillique) pourrait avoir été écrite par saint Procope, qui mourut vers 1030.
Pierre le Grand au XVIIème siècle et Nicolas II au début du XXème, voyageant en France, se le feront présenter. On l’appelle aujourd’hui l’Évangéliaire de Reims, et il est conservé à la Bibliothèque Nationale de Paris.
Anne de Kiev eut quatre enfants avec Henri 1er : c'est elle qui introduisit le prénom Philippe - venant de ses ancêtres macédoniens - à la Cour de France en le donnant au fils aîné de son premier mariage qui régnera sous le nom de Philippe 1er...
À quoi, joue le Pays légal de la république idéologique ?...
Tout le monde le sait, le dit : à coté de la Chine et de la nouvelle Urss, en cours et essai de reconstruction, l'Azerbaïdjan est à la base des troubles en Nouvelle Calédonie. Et ce sont bien les "nazéris" de Bakou qui tirent une partie des ficelles (tellement grosses que même les naïfs les plus endurcis s'en rendent compte...).
Mais le Pays légal fait ami/ami avec ces nazéris !
Front populaire (entre autres...) le dénonce, et fait bien :
"Nouvelle-Calédonie, Guyane, Corse... L’Azerbaïdjan sur tous les fronts pour déstabiliser la France
ARTICLE. Tandis que l’Azerbaïdjan s’agite pour pousser à l'insurrection les indépendantistes aussi bien kanaks que guyanais ou corses, la France reste coincée entre ses propres intérêts et ceux de l’Union européenne, qui a signé un accord avec le président azéri pour doubler les importations de gaz après le déclenchement de la guerre en Ukraine..."
Film d’ouverture du Festival de Cannes 2024 : Le Deuxième acte, un film français de Quentin Dupieux, avec Léa Seydoux (Florence), Louis Garrel (David), Vincent Lindon (Guillaume) et Raphaël Quenard (Willy).
Le Deuxième acte… j’ignore en quoi consiste le premier, en revanche je m’interroge sur la signification du dernier acte… un lecteur pourra-t-il me mettre sur les rails ? Je ne vois pas non plus l’intérêt de ce long dialogue final du « couple » homosexuel, hormis l’obligation de cocher la case…
Tout cela est dommage et rend ce film médiocre alors que le caractère iconoclaste des scènes précédentes était de la même bonne veine que Yannick ou DAAAAAALI.
804 : Mort d'Alcuin, originaire d'York (ici, la cathédrale illuminée)
804 : Mort d'Alcuin
Originaire d'York, en Angleterre, appelé à sa cour par Charlemagne, il fut l'un des principaux artisans de la Renaissance carolingienne :
L'un des principaux services qu'il ait rendu fut de restituer les textes anciens dans leur authenticité, et de les débarrasser des erreurs et rajouts qui en obscurcissaient le sens. C'est dans cet esprit qu'il fit réaliser la célèbre Bible, dite Bible d'Alcuin (ci dessous, le Christ en majesté, entouré des symboles des quatre Évangélistes) :
On lira ci-après, avec le plus grand intérêt, le Communiqué de presse publié - à propos de la Nouvelle Calédonie - par une Christiane Taubira que l'on ne savait pas si attachée aux moeurs, us et coutumes, traditions... de notre vieille France, héritière des Celtes et des Basques, vivant sur sa terre depuis largement plus de deux mille ans...
Et l'on se délectera d'apprendre qu'elle nous donne très clairement raison, à nous qui défendons l'identité française, héritée de notre Histoire plus que bi-millénaire, et menacée aujourd'hui - comme quasiment toute l'Europe, par la submersion migratoire.
En effet, Christiane Taubira écrit - elle est rédigée pour nous ! - cette belle phrase :
"Ils sont ainsi, les peuples, attachés à leurs racines, leurs cultures, leurs mythes, leurs histoires. Leur géographie."
Franchement, à lafautearousseau, on n'en revenait pas, mais... si, si ! C'est bien elle, c'est bien Christiane Taubira qui a écrit cette sorte d'ôde aux racines de la France, qui sont, tout le monde le sait bien, gréco-romaines et judéo-chrétiennes...
Prix du Jury, Reims Polar 2024 : Borgo, un film français de Stéphane Demoustier, avec Hafsia Herzi (Mélissa, surveillante pénitentiaire dans la prison de Borgo), inspiré de faits réels.
Nous avions beaucoup aimé La Fille au bracelet (2020) du même réalisateur. Contrairement à mon épouse, mon avis est plus réservé sur ce nouveau long-métrage, mais peut-être en avais-je écouté trop de critiques avant de le voir. Il s’agit pourtant d’un film d’une douloureuse actualité après « l’exécution » de deux agents pénitentiaires au péage d’Incarville dans l’Eure. Sans doute les assassins avaient-ils été informés des horaires et de l’itinéraire du détenu du Palais de justice de Rouen à sa prison d’Evreux.
Et nous voilà au cœur de ce « fait divers » de 2017…. qui, lui aussi, arrive ces jours-ci au tribunal et constitue le « fait réel » mis en scène par Stéphane Demoustier.
Marc Menant a évoqué avec passion l’autre soir sur C News la vie difficile de ces matons et matonnes dont, souvent pour le pire et 2 000 € par mois, les vies privées et professionnelles sont particulièrement imbriquées. Ce long métrage nous montre comment la situation peut parfois se corser… j’avoue y avoir découvert aussi l’existence de ces « prisons ouvertes »…