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"...Notre société n'a que des banques pour cathédrales; elle n'a rien à transmettre qui justifie un nouvel "appel aux conservateurs"; il n'y a, d'elle proprement dite, rien à conserver. Aussi sommes-nous libres de rêver que le premier rebelle, et serviteur de la légitimité révolutionnaire, sera le Prince chrétien..." (in Reprendre le pouvoir")
Trésor d'érudition maîtrisée, François Brigneau écrit de lui qu'il "écrivait un français admirable quand il s'appliquait à ne pas être obscur. C'était son penchant, qui alla s'aggravant. Il ressemblait à Picasso. Le premier trait était lumineux. Ensuite, hélas, il compliquait. Seule une élite intellectuelle, dont je ne faisais pas partie, pouvait le suivre et l'apprécier....".
Paul-François Paoli, de Valeurs actuelles, demanda un jour à quatre philosophes qui "se souviennent" d'évoquer chacun un maître. Jean-François Mattéi choisit d'évoquer Pierre Boutang, l'homme en colère. Cela donna le petit billet suivant :
Il y a des coups de foudre de l'esprit. C'est ce qui est arrivé à Jean-François Mattéi quand il a rencontré le philosophe et polémiste Pierre Boutang, qui prit la succession d'Emmanuel Lévinas comme professeur de métaphysique à la Sorbonne, en 1976.
"Ma première impression, confirmée par la suite, fut celle d'un géant de la pensée. Il se mouvait avec une aisance incroyable dans les textes les plus difficiles et récitait par coeur le Parménide de Platon et les poésies de Rimbaud... Il m'impressionnait, moins par son immense culture, que par le détachement avec lequel il la maîtrisait",explique Jean-François Mattéi. Hélléniste, auteur de nombreux essais, dont Europe, le regard vide(Flammarion), Jean-François Mattéi est devenu un fidèle de Pierre Boutang, mais il n'est pas sûr que celui-ci "ait été un maître en attente d'un disciple".
Jean-François Mattéi a souvent fait le voyage de Collobrières, dans le Var, où Pierre Boutang possédait une maison sans électricité. Là, ils ont devisé à la belle étoile en dégustant un Tavel bien frais, aux côtés de ceux que Boutang admettait dans sa proximité et qui prenaient le risque de se faire "engueuler" s'ils n'avaient pas lu Platon, Aristote, Saint Thomas et tant d'autres. Catholique et royaliste, Boutang, qui n'avait jamais renié Maurras, était un homme chez qui la tendresse s'accouplait souvent avec la colère. Mais quel personnage !
"Je garde de lui le souvenir d'une fidélité à l'enfance", affirme Mattéi, qui a écrit la préface de la nouvelle édition de L'Ontologie du secret, grand oeuvre de Boutang, que réédite les PUF à la rentrée.
"C'était un arpenteur de l'être qui, comme Platon et Heidegger, avait compris que la philosophie est une variation permanente sur l'archétype du voyage est que l'homme est bien un "homo viator". Il m'a appris, mieux que tout autre, le souci de la transcendance"...
Enfin, pour se rapprocher encore un peu plus de "ce géant", écoutez les quarante trois minutes pendant lesquelles l'un de ses élèves, Rémy Soulié, parle de lui :
49 avant J-C : Première victoire de la flotte de César - qui assiège Massalia - sur la flotte Massaliète
À l'époque, Rome - en pleine expansion dans tous les domaines... - est en pleine guerre civile : le grand César et le grand Pompée, tous deux grands serviteurs de la puissance romaine, se font la guerre, dans l'avant-dernier conflit intérieur de la République romaine. César gagnera ce conflit, puis sera assassiné : son neveu Octave le vengera, durant la dernière guerre civile, cette fois, puis, victorieux, il établira... l'Empire romain.
Depuis le 19 avril, donc, César assiège Massalia, qui n'a pas voulu prendre parti pour l'un ou l'autre des deux belligérants, les considérant tous deux comme ses amis. Mais il n'arrive pas à vaincre militairement la ville, abritée derrière ses murailles infranchissables et remarquablement armée, et décide donc d'établir un blocus total de la cité, aussi bien sur terre que sur mer.
Le 27 juin, la flotte massaliète - avec 17 navires - tente de briser le blocus maritime et attaque la flotte romaine - forte de 12 navires seulement - commandée par Decimus Junius Brutus Albinus.
Ne pouvant passer plus de temps devant une ville qui lui résistait avec tant d'énergie, et comprenant bien que seule la famine - donc, le temps... - lui livrerait la cité, César part combattre Pompée en Espagne, laissant le commandement des opérations terrestres à Caius Trebonius, et des opérations navales à Albinus.
L'archipel du Frioul - où s'était installée la flotte romaine - peut à la fois bloquer et/ou protéger la rade de Marseille. Il se compose de trois îles : Ratonneau, à gauche sur la photo, qui est la première que l'on rencontre en venant du large et que les Grecs appelèrent donc, tout naturellement, "Proté" (qui signifie "premier", en grec); Pomègues, (du grec "Mésé", qui signifie "moyenne"), ici à droite; et If, la plus petite des trois (petit se disant "Hypea", en grec) que l'on voit devant les deux autres.
La première des deux batailles navales du siège de Massalia - le 27 juin - eut lieu dans la rade même, à quelques encablures des murailles de la ville; la seconde - le 31 juillet - eut lieu un peu plus loin, à Saint-Cyr-Les Lecques, à une vingtaine de kilomètres, les Massaliotes ayant réussi à percer le blocus maritime, "profitant d'un vent favorable", dit César.
Sur les raisons de la guerre que mena César contre Massalia, voir notre Éphéméride du 19 avril; sur la seconde victoire navale remportée par la flotte de César sur celle de Massalia, voir notre Éphéméride du 31 juillet; et, plus généralement, notre évocation :
Excellente nouvelle pour le nucléaire français : Framatome obtient un financement pour remplacer le nucléaire russe en Europe de l’Est... (Source : Framatome)...
Depuis Jospin, Premier ministre, qui a laissé les escrolos massacrer et ruiner notre magnifique Superphénix et l'a abandonné en 97, jusqu'à Macron qui a tout simplement "arrêté" notre autre magnifique "Projet Astrid; en passant par Borne qui avait acté - au nom de la candidate Royal - la fermeture de l'ultra moderne centrale de Fessenheim et qui fut autorisé à exécuter son sale boulot par Macron, Président, "ils" s'y sont tous mis, à gauche, contre notre nucléaire. Qui était l'une de nos fiertés nationales, l'un de nos pôles d'excellence, l'un des garants de notre indépendance nationale; et qui nous plaçait loin devant la Chine et les États-désunis, largement en tête et loin devant tous les pays du monde en ce domaine stratégique s'ile en est, plaçant la France - comme dirait de Gaulle - à la place qui doit être la sienne : la première...
Tous ces coups de couteau dans le dos - portés par des traîtres à la Nation - ont bien failli avoir la peau de notre nucléaire. Et pourtant, il va revivre. Enfin, Flamanville est en activité et d'autres sont programmés. Surtout, d'autres pays (comme nos ennemis allemands) ont commis la folie que la hideuse alliance politicarde "escrolos/socialos" a failli nous imposer : l'abandon pur et simple du nucléaire. Enfin, les anciens pays de la monstrueuse URSS sont bien obligés de rénover/redéfinir/repenser leur nucléaire stalinien : vers qui se tourner, sinon vers... la France, bien entendu !
C'est dans ce contexte, enfin redevenu favorable à notre filière d'excellence du nucléaire, que Framatome, filiale d'EDF, vient d'obtenir un financement de 10 millions d'euros de l'Union européenne afin de poursuivre le développement d'un combustible adapté aux réacteurs russes (VVR) exploités en Europe : c'est v raiment l'occasion de se souvenir que... le Phénix renaît de ses cendres !
Vue 3D d’un dessin d’assemblage combustible VVER 440 de Framatome
Extrait de l'article d'Elsa Bembaron, dans Le Figaro :
DÉCRYPTAGE - L’Union européenne octroie une aide de 10 millions d’euros à l’entreprise française.
Bonne nouvelle pour la filière nucléaire française mais aussi pour la souveraineté énergétique européenne. Framatome, une filiale d’EDF, vient d’obtenir un financement de 10 millions d’euros de l’Union européenne afin de poursuivre le développement d’un combustible adapté aux réacteurs russes (VVR) exploités en Europe. La filière nucléaire russe a échappé aux sanctions mises en place par l’Europe depuis le début de la guerre en Ukraine.
Ce qui n’empêche pas les pays européens de tenter de trouver des solutions pour réduire leur dépendance aux produits russes dans ce domaine. Les plus exposés sont les anciens pays du bloc de l’Est, dont les centrales nucléaires existantes sont de technologie russe, VVR donc ; elles fonctionnent avec un combustible sensiblement différent de celui utilisé dans les centrales de technologie française. Dans l’Hexagone, tous les réacteurs destinés à la production d’électricité sont des réacteurs à eau pressurisés (REP).
• Le journal relate l'immense succès de cette réunion ("cette foule énorme"...), d'abord dur les deux moitiés inférieures des deux dernières colonnes de droite de la "Une; puis sur l'intégralité des deux premières colonnes de la page deux et sur le haut des colonnes trois et quatre (les 17 premières lignes) :
• Mais aussi en donnant la parole à Léon Daudet lui-même, c'est-à-dire en publiant sa péroraison de la veille : "nous donnons ci-dessous la péroraison du discours prononcé par Léon Daudet, hier soir à Luna Park". Cette péroraison occupe la place habituelle de l'article de Daudet : l'intégralité de la première colonne et le tiers supérieur de la deuxième...
• Nous évoquons ces réunions monstres de Luna Park (car il y en eut beaucoup) dans notre Album Léon Daudet : Luna Park... : voir notre "Une" suivante, du Jeudi 30 Avril 1925 : cette année-là, le Cortège de Jeanne d'Arc s'annonçait houleux...
• Commençons donc par le compte-rendu proprement dit de la réunion du 27 Novembre, qui débute dans la partie inférieure des deux colonnes de droite...
A l’affiche : Le Tableau volé, un film français de Pascal Bonitzer, avec Alex Lutz et Léa Drucker (André Masson, commissaire-priseur, et sa collègue et ex-épouse Bertina), inspiré d’une histoire vraie.
Honte à moi, je n’avais jamais entendu parler du peintre Egon Schiele, et encore moins de son tableau Les Tournesols fanés, retrouvé par hasard dans un pavillon de la banlieue de Mulhouse au début des années 2000.
Egon Schiele, Les Tournesols fanés, le Vol des œuvres d’art par les Nazis, « l’art dégénéré », le marché des œuvres d’art, les salles des ventes… autant de sujets qui auraient pu faire l’objet de scénarios passionnants et que Pascal Bonitzer survole dans une fiction confuse.
2005 : le site de Cadarache est retenu pour la construction du réacteur expérimental Iter
363 : Mort de Julien l'Apostat
S'il fut seul maître de l'Empire romain pendant deux ans - de 361 à sa mort, en 363 - il fut aussi gouverneur et César en Gaule pendant six ans, à partir de 355.
Il y fut envoyé par Constance II, car la pression des Barbares aux frontières devenait intenable : les Francs s'étaient même emparés de Cologne. Julien rétablit la situation, reprit Cologne aux Francs et, par la suite, écrasa et refoula les Alamans, en remportant la brillante victoire de Strasbourg (Argentorate) en 357 (voir l'Éphéméride du 15 août).
Il mena même, par la suite, trois expédition militaires en Germanie, sur la rive droite du Rhin. Il ramena ainsi la paix et la sécurité en Gaule.
Il se plaisait à résider dans sa chère Lutèce, dont il avait fait son quartier général, et où, disait-il, l'eau est bonne à voir et à boire ! Mais c'était en 355 !
À propos du défunt "bloc central" que voulait instaurer Macron, Vincent Trémolet de Villers - dans Figaro Vox - trouve les mots justes pour parler du vide qu'a toujours été ce que certain appellent pompeusement "la macronie" (extraits) :
"Emmanuel Macron a dissous son propre camp.C’était un chef déraisonnable… Depuis le soir du 9 juin, ministres et députés de la majorité se répètent sur tous les tons, et dans des formes autrement plus directes, cette terrible vérité. Emmanuel Macron, en une décision, a dissous le crédit politique et économique de son camp. Il a effacé le sentiment de supériorité qui caractérise trop souvent les vainqueurs de 2017. Il a offert à ses adversaires les conditions inespérées d’une victoire prématurée. Groggy, Gabriel Attal, Édouard Philippe, Bruno Le Maire ont d’abord décidé de repousser leur rancune au-delà du 7 juillet pour ne pas compromettre un peu plus un scrutin qui s’annonce périlleux.
Une armée en déroute
Désormais, ils parlent haut et mènent leurs propres flottilles avec l’espoir d’échapper au naufrage. Le vernis craque et laisse voir l’impensable : un premier ministre qui demande à son président de rester à l’écart, un ancien premier ministre qui accuse celui qui l’a nommé d’avoir «tué la majorité», un ministre de l’Économie qui s’en prend aux «cloportes»...
...Une force fondée sur la seule répulsion des "extrêmes" tient aussi longtemps que durent les émotions. Le bloc central ne peut plus faire l’économie d’une profonde réflexion sur les sujets qui le désagrègent : l’immigration, l’écologie punitive, l’autorité..."
1927 : Le plus grand canular de l'histoire de France : Léon Daudet s'évade "légalement" de la Prison de la Santé !
Il s'agit, en fait, du énième rebondissement de la tragique "affaire Philippe Daudet" : le fils de Léon Daudet, Philippe, âgé de quatorze ans, a été assassiné le 24 Novembre 1923; admettant d'abord la "version officielle" du suicide (son fils étant fugueur et d'une personnalité fragile...) Léon Daudet acquiert très vite la conviction qu'il s'agit d'une machination destinée à l'intimider, pour le faire taire (dans notre Album Maîtres et témoins (III) : Léon Daudet, voir les six photos consacrés à cette tragédie : "L'assassinat de Philippe Daudet (I)"et les cinq suivantes).
Léon Daudet mène alors sa propre enquête, pour faire éclater la vérité, ce qui le conduira - entre autres péripéties... - à déposer plainte contre le chauffeur du taxi dans lequel son fils a été retrouvé agonisant... Résultat du procès, plusieurs années après : Daudet est condamné à cinq mois de prison, et incarcéré à la Santé, où il arrive le 13 Juin.
Il n'y restera que douze jours, suite à un invraisemblable et stupéfiant canular parfaitement organisé - et réussi - par les Camelots du Roi. Tout est raconté ici : "Le canular "hénaurme" des Camelots du Roi"(on pourra voir également les quatre photos précédentes, qui restituent le contexte; et, pour ce qui est du long exil en Belgique qui s'ensuivit, les sept photos suivantes...)
864 : Création de La Monnaie de Paris (illustration : l'Hôtel de la Monnaie, aujourd'hui)
841 : Bataille de Fontenay en Puisaye
Elle se déroule en Bourgogne, entre les petits-fils de Charlemagne.
Charles le Chauve et Louis le Germanique, alliés pour la circonstance, battent leur frère aîné, Lothaire, et se partagent son royaume, la Lotharingie (de Lorthringen, Lothaire).
Il faut voir dans ces partages incessants des royaumes, à la mort de chaque souverain, l'une des deux causes majeures de l'échec des deux premières dynasties franques, la Mérovingienne et la Carolingienne, malgré leurs débuts brillants et prometteurs : "Les partages étaient l'erreur inguérissable de ces dynasties d'origine franque.", dit Jacques Bainville.
La deuxième raison fut la poursuite de la chimère impériale, le désir fou de rétablir l'Empire romain....
C'est essentiellement parce qu'ils bornèrent leur action au territoire de la seule France, et parce qu'ils supprimèrent la règle du partage des territoires à chaque décès du roi, que la troisième dynastie, celle des Capétiens, fut la bonne.
Et qu'elle réussit (sur huit siècles tout de même) à construire la France.
La victoire des deux frères alliés contre le troisième se concrétisera, huit mois plus tard, par le Serment de Strasbourg (voir l'Éphéméride du 14 février).
Législatives : au "Front popu qui pue", il y a vraiment "le feu au lac" ! :
• à l'intérieur de La France islamiste, où les "purgés" n'acceptent pas de l'être (le couple Garrido/Corbières, la Simonnet - qui a reçu en grande pompe l'antisémite anglais Corbyn, exclu depuis du Parti travailliste pour, justement, son anitisémitisme; les moins connus Henrick Davi et Frédéric Mathieu; surtout, François Ruffin, en opposition ouverte avec Mélenchon... Au fait : pourquoi Obono n'a-t-elle pas été purgée, comme Simonnet : elle aussi a reçu - hilare - l'antisémite Corbyn : c'est parce qu'elle est noire ? Et qu'elle aurait donc tous les droits? Il s'agirait, en somme d'un "racisme inversé", qui reste du racisme...
• France info donnait, ce matin, un sondage (qui ne vaut - comme tous les sondages - que ce qu'il vaut, surtout avant le premier tour; mais le journaliste faisait remarquer qu'il était clair :
- qu'une bonne partie des électeurs de Glucksmann ne voteraient certainement pas LFI (Glucksmann a failli être lynché par des l.f.istes à Saint Étienne, et le "palestinisme" incandescent de Méluche leur est insupportable...
- qu'une partie de la masse molle des escrolos était aussi bien "macron" que "gauche"...
A l’affiche : Hors du temps, un film français d’Olivier Assayas, avec Vincent Macaigne.
Commençons par dire que mon épouse a bien aimé, parlant d’humour décalé et de caricature…
J’en suis d’autant plus libre de dire tout le mal que j’en pense et d’évoquer un sujet gâché car on aurait pu espérer une attaque en règle de la « guerre » que le président – aujourd’hui en sursis - a prétendu mener contre le covid… Finalement le « quoi qu’il en coûte » au nom duquel le « Mozart de la Finance » a fini de ruiner notre pays, se retourne contre lui, et nous ne cacherons pas notre joie à lui dire « salut l’artiste ».
Olivier Assayas est revenu sur cet épisode du confinement pour, par acteurs interposés, se mettre en scène, se pavaner, avec son frère dans leur maison de famille, qui est finalement le seul attrait de ce film. Certes on a pu sourire – jaune – de quelques scènes – rares - comme le lavage de mains « tutoriélé » par un téléphone portable ! Le spectacle n’en est pas moins d’un ennui triste à pleurer de ces bobos qui étalent leur culture en des bavardages incessants tout en se soumettant – en adhérant – come les « veaux » du général de Gaulle, aux diktats des masques, des « distanciations » et autres gestes barrière.
Malheureusement - sur ce point mon épouse a raison - ce film est quand même très réaliste, car on les a vus, autour de nous, écouvillon dans le nez, pass sanitaire dans la poche, gel hydro-alcoolique plein les mains, applaudir aux restrictions de libertés… et l’on sait que sur un claquement de doigt audio-visuel, il sont prêts à en redemander.