Reçu de nos amis Les Eveilleurs...
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Christine Kelly revient sur l'hypocrisie de "la laïcité selon la République idéologique" : laïcisme de fait, cette soi-disant "laïcité" n'est qu'un instrument contre la religion chrétienne... :
(extrait vidéo 0'22)
https://x.com/FredGaulois/status/1904287304610464028
On le dit tous les jours, sur lafautearousseau, en redonnant ces trois manchettes de L'Action française :
Cette place circulaire, d'environ 80 mètres carrés de diamètre, a été créée à l'initiative du maréchal de La Feuillade, vicomte d'Aubusson, et de la Ville de Paris, pour célébrer les victoires de Louis XIV.
Les plans sont de Jules Hardouin-Mansart.
En son centre, la statue originelle de Louis XIV en pied était l'oeuvre de Martin Desjardins. Le socle comportait quatre personnages en bronze, des bas-reliefs et des inscriptions sur la gloire militaire du règne. Quatre fanaux y brûlaient en permanence. En 1792, la statue fut abattue par les révolutionnaires et la place renommée place des Victoires Nationales en 1793 (mais les éléments de décoration du socle ont été conservés et sont visibles au Musée du Louvre).
La statue du général Desaix - représenté entièrement nu - fut érigée à sa place en 1810 : elle n'eut qu'une durée de vie assez courte, et son bronze fut refondu pour réaliser la statue équestre d'Henri IV, au Pont Neuf.
L'actuelle statue équestre de Louis XIV est de François Joseph Bosio, et fut érigée au centre de la place en 1828.
Malheureusement, l'harmonie primitive de la place n'a pas été respectée, et le percement de plusieurs rues a irrémédiablement défiguré l'ensemble : la Place des Victoires partage ainsi avec la Place Dauphine (voir l'Éphéméride du 10 mars) le triste privilège d'avoir été largement dénaturée et mutilée, au point d'avoir perdu, sinon la totalité, du moins une très large part de sa splendeur d'antan.
Telles qu'elles nous apparaissent aujourd'hui, cependant, ces deux places conservent assez d'éléments de leur beauté passée pour que l'on puisse se faire une idée assez précise de ce que fut cette très grande beauté.
http://paris1900.lartnouveau.com/paris02/place_des_victoires.htm
1785 : Naissance de Louis-Charles, duc de Normandie
Terrible destin que celui de l'enfant qui naît ce jour-là : il sera l'Enfant massacré, qui ne devint jamais grand; il sera le deuxième Roi martyr...
"Les Français le savent-ils ? Au coeur de leur Histoire, il y a un infanticide. Cet infanticide fonde la légitimité de leur État moderne. Un enfant-roi a été sacrifié volontairement sur l'autel du Moloch républicain... Il mourut, il avait dix ans... Le crime est là, injustifiable" (Hilaire de Crémiers)
lafautearousseau
Plus qu'extrêmement intéressant et important : FONDAMENTAL !
C'est dans Valeurs, où Marc Eynaud présente les Académies Saint-Louis :
"Il est essentiel de former une jeunesse dotée d’un esprit critique, libre et capable d’argumenter", plaide François-Xavier Clément...
https://www.valeursactuelles.com/?p=363799
1914 : Mort de Frédéric Mistral (Ici, le Pavillon de la reine Jeanne, aux Baux de Provence)
507 : Date possible de la bataille de Vouillé
Neuf ans auparavant, Clovis avait finalement connu le triomphe, contre les Alamans, lors de la terrible bataille de Tolbiac, alors qu'il y avait d'abord frôlé le désastre.
Les conséquences de ce succès militaire furent immenses pour le futur de ce qui n'était pas encore la France, mais qui était en train de le devenir, et pour une très large part grâce à Clovis, qui venait de redonner à la Gaule sa frontière "romaine" du Rhin, en refoulant les Alamans sur l'autre rive du fleuve (voir l'Éphéméride du 10 novembre).
Un autre danger subsistait cependant : celui de la puissance wisigothique, qui s'étendait alors sur la plus grande partie de la péninsule ibérique et sur un très large quart sud/sud-ouest de la France actuelle, comme on le voit sur la carte ci dessous
D'une part, les rapports entre Francs et Wisigoths n'avaient jamais été bons. D'autre part, devenu le champion du catholicisme depuis sa conversion, Clovis était soutenu indéfectiblement par l'Église catholique, et regardé comme un espoir par la masse des populations gallo-romaines catholiques, sur laquelle régnaient des souverains tous acquis à l'hérésie arienne (notamment les Wisigoths).
Dans les années 500, l'agitation des catholiques est à son comble dans le royaume wisigoth d'Alaric II : celui-ci exile à Bordeaux les évêques Rurice (de Limoges) et Césaire (d'Arles), accusés de comploter avec les Burgondes, alliés de Clovis.
Théodoric le Grand, roi des Ostrogoths d'Italie, essaye de calmer les esprits, et pense pouvoir jouer les médiateurs, car il est marié à une soeur de Clovis, et le roi Alaric est marié à sa propre fille : il veut faire semblant de croire que l'opposition Francs/Wisigoths est purement territoriale et politique, et feint d'ignorer la détestation des ariens par les masses catholiques. Sur le conseil de Théodoric, Clovis et Alaric se rencontrent à la frontière de leurs deux royaumes, sur l'Île d'Or (ou Île Saint Jean), au milieu de la Loire, face à Amboise. Mais la guerre est en réalité inévitable, car Clovis veut à la fois redonner à la Gaule son autre frontière naturelle des Pyrénées et redonner ce vaste ensemble de territoires à la catholicité...
Ainsi, donc, après de vaines tentatives de médiations, Clovis attaqua Alaric II, dans la plaine de Vouillé (ou peut-être de Voulon, mais, dans les deux cas, tout près de Poitiers), "au printemps 507", disent les historiens, sans donner de jour précis pour cet événement considérable qui, de toutes façons, recouvrait une période de temps bien plus étendue qu'une ou même plusieurs journées.
Au même moment, l'Empereur d'Orient, Anastase, allié de Clovis, attaquait Théodoric le Grand, pour lui reprendre l'Italie, privant ainsi les Wisigoths de leur unique soutien.
Lafautearousseau Royaliste - LFAR
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Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Oui, le 16 Janvier 36, soit trois semaines et trois jours avant sa mort !
Il aura donc gardé jusqu'au bout intactes et sa lucidité et l'intégralité de ses facultés intellectuelles. Et aussi son désir de servir son Pays par la plume...
Paul Valéry en témoigne : "...Le jeudi 6 février, avant-veille de sa mort, j'ai trouvé Jacques Bainville à la Bibliothèque de l'Institut. Il demandait quelques livres qu'il désirait emprunter; ce qui me parut admirable et me serra le coeur..."
Voici le lien conduisant à la "Une" du numéro du Jeudi 16 Janvier 1936...
L'article de Bainville - assez court et écrit juste avant les élections espagnoles - occupe les deux tiers de la dernière colonne de droite, et s'intitule : "L'âge d'or".
Il ne reste que 24 jours à vivre à Bainville; la Guerre civile qu'il "annonce" commencera 6 mois et 2 jours plus tard, avec le "Soulèvement national" du 18 juillet...
"La garnison de Melilla s’est soulevée en armes contre la République espagnole", titre La Dépêche, ce dimanche 19 Juillet, en "Une" dès 5 heures du matin…
L'entrée "Jean-François Mattéi" de Wikipedia...
(vous remarquerez que la "note 1" de cette page Wikipedia - donc, au tout début - renvoie... à lafautearousseau, premier organe de presse à avoir annoncé le décès...)
C'est le mardi 23 mai 2013 que lafautearousseau publia le premier article que lui envoya Jean-François Mattéi, traitant d'un sujet qu'il connaissait bien et qui lui tenait à coeur, la théorie du genre...
Le Père Goriot et la Mère Vauquer, par Jean-François Mattéi
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Pour qui souhaiterait avoir un petit aperçu de la culture et de la profondeur de Jean-François Mattéi, lafautearousseau a réalisé un PDF :
Le regard vide - Essai sur l'épuisement de la Culture européenne est peut-être le livre majeur de Jean-François Mattéi.
Ce PDF reprend les vingt-cinq extraits de cet Essai que nous avons publiés, dont trois chapitres complets qui constituent nos XIVème, XVème et XVIème Grands Textes :
Le regard vide, de Jean-François Mattéi
24 mars 2014 : Mort de Jean-François Mattéi
1776 : Turgot crée la Caisse d'Escompte, à l'origine directe de la Banque de France
Organisée par le banquier suisse Isaac Panchaud, la Caisse d'escompte eut pour mission d'escompter les lettres de change et autres effets de commerce afin de faire baisser le taux d'intérêt du crédit commercial.
Elle est considérée comme l'ancêtre directe de la Banque de France, de la direction du Trésor et de la Caisse des dépôts et consignations. Elle n'avait cependant pas pouvoir de battre monnaie.
Supprimée par la Révolution, en 1793, Bonaparte, Premier Consul, la réorganisera de fait, en 1800, lorsqu'il instituera la Banque de France.
sceco.univ-poitiers.fr/hfranc/CaisseEscompte.htm
Lafautearousseau Royaliste - LFAR
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Le feuilleton Bainville paraît donc normalement, et le 50ème épisode sera là mardi matin.
Après la lecture méthodique de la moitié des numéros de L'Action française (de 1908 à 1925, soit 18 années sur les 36 pendant lesquelles a paru le quotidien) qui nous a permis d'enrichir grandement nos "Documents pour servir à une Histoire de l'URP" et nos "Grandes "Une" de L'Action française", ce Feuilleton enrichit grandement, lui aussi, ce que nous proposons quotidiennement sur notre Site, qui devient ainsi chaque jour, un peu plus, un peu mieux, un peu plus complètement un vrai "Fonds lafautearousseau", incontournable pour qui souhaite découvrir et connaître (ou mieux connaître) ce que furent nos Maîtres, ce qu'ils ont vraiment dit, écrit, pensé.
Nous créons ainsi, peu à peu, une véritable "banque de données", aisément consultable (grâce, entre autres, aux très nombreux liens hypertextes : la plupart des sujets se renvoyant les uns aux autres, ou aux Éphémérides, aux Grands Textes, aux Feuilletons et Albums etc...).
Et tout ceci pouvant être utilisé à la fois "en interne" (pour la formation des militants, dans les Cercles d'études...) et, surtout, pour le public extérieur, qui ne nous connaît pas du tout, ou si mal, ou armé de solides préventions contre nous, gavé qu'il est par le mensonge officiel "H24" diffusé partout...
Ce fut un gros travail, depuis septembre dernier, que de "lire" ces 18 années du quotidien (merci, Gallica et ses lenteurs !...); puis de réaliser le feuilleton Bainville, troisième et dernier de la série des trois sur Maurras, Daudet, Bainville. Mais nous sommes heureux d'avoir pu le mener à bien; juste un peu déçus de n'avoir pu faire tout ce que nous avions imaginé au début (nous pensions arriver à l'année 31, puis, devant les difficultés rencontrées sur Gallica, nous espérions au moins finir l'année 27 : il a fallu nous arrêter à l'année 25, pour passer au Bainville...).
Qu'allons-nous faire, maintenant ?
Deux solutions s'offrent à nous : soit reprendre sur le champ la lecture du quotidien, afin de l'achever complètement, jusqu'en 44; soit réaliser un grand nombre de "Grandes "Une"...", puisque nous avons trouvé et "réservé" un grand nombre de sujets pour cette Catégorie.
Après en avoir bien discuté, c'est cette deuxième solution qui a été retenue.
Nous publierons donc, jusqu'à la fin juin, et deux fois par semaine (les lundi et jeudi) des "Grandes "Une"...", en commençant par... Bainville, justement.
Ce lundi, sa prévision de la guerre civile espagnole, dans l'AF du 16 Janvier 36 (qui nous permettra de redonner les liens hypertextes de ce qui est déjà publié sur cette guerre; en attendant de nouvelles publications, sur l'énorme mensonge de Guernica ou l'épisode héroïque de l'Alcazar de Tolède. On verra que ce qui se trouve sur lfar est déjà conséquent...).
Puis nous consacrerons trois "Une" à l'Histoire de deux Peuples" - parue en pleine guerre de 14 - puis au magistral Conséquences politiques de la Paix - en réponse au livre de Keynes - et à Histoire de France, parue dans les années vingt... Ensuite nous reparlerons de Proust, puis de Barrès (à l'occasion de leur décès); mais aussi de Lénine (à l'occasion, aussi, de son décès), de Radiguet et Guénon; de l'évolutionnisme; du Romantisme et de la Révolution; et aussi de bien d'autres choses encore !...
D'avance, donc, bonne(s) lecture(s) à tous !
François Davin,
Blogmestre
Au cours des trois dernières années, les dépenses de fonctionnement de l'État ont augmenté de 92 milliards d'euros, soit quasiment 20% !
Merci à Marc Touati de travailler pour nous, pour nos idées, en montrant que ce Système est bien - comme nous le disons tous les jours - un Système de folie et en folie...
100 milliards d'euros, très bientôt, cela va être la somme jetée par la fenêtre chaque année, pour la charge de l'intérêt de la Dette !
Un tel soi-disant Système, cataclysmique, qui gère aussi mal, qui est aussi fou, qui est un tel danger public, qui gaspille NOTRE argent, qu'est-ce qu'on en fait ?
IL FAUT LE RENVOYER,
ET RETROUVER NOTRE PRÉCÉDENT RÉGIME,
NOTRE RÉGIME TRADITIONNEL : LA ROYAUTÉ,
QUI A FAIT LA FRANCE,
PREMIÈRE PUISSANCE DU MONDE, "AVANT"...
1821 : Découverte de la Bauxite, qui tire son nom du village des Baux-de-Provence
1594 : Première partie de Jeu de Paume pour Henri IV, un jour après son entrée dans Paris
La veille, le roi a fait son entrée dans Paris (voir l'Éphéméride du 22 mars), la ville qu'il assiégeait depuis le 30 juillet 1589 (presque cinq ans !...) et qui se refusait obstinément à lui...
Pourquoi donc, car cela paraît surprenant plusieurs siècles après, commencer en quelque sorte ses activités dans une capitale si chèrement et si longuement convoitée par... une partie de Jeu de Paume ? On le comprendra mieux si l'on se replonge quelques instants dans la mentalité, les moeurs et les goûts de l'époque...
Ancêtre direct du Tennis, mais aussi de la Pelote basque et, plus généralement de tous les jeux de raquette, le Jeu de Paume était extraordinairement populaire sous la Royauté (le mot anglais "tennis" vient du français "tenez !", mot que dit le joueur à son partenaire en lançant le service).
La paume consistait à se renvoyer une balle, appelée éteuf, au-dessus d'un filet; on jouait en individuel (1 contre 1) ou en double (2 contre 2).
Très vite (XIIIème siècle) les joueurs portèrent un gant de cuir, afin de protéger la main qui frappait la balle; au début, la paume se pratiquait en plein air, mais à partir du XIVème siècle on se mit à jouer dans des terrains de jeu couverts : les salles de jeu de paume, également appelées tripots...