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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 45

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    La "folie Rima Hassan", grande amie de Mélenchon et de La France islamiste...

    Attention : cette personne est dangereuse ! Elle lance pas moins qu'une incitation à envahir l'ambassade d'Israël !

    Elle a perdu la raison ? Si c'est le cas, qu'on la soigne, mais qu'on "la retire du circuit", le temps de son traitement...

    Comme le dit Simon Weinberg, son message insensé, autant qu'incendiaire, "constitue une menace directe contre un État souverain et pourrait avoir des conséquences diplomatiques et sécuritaires graves." 

    Simon Weinberg poursuit, avec raison :

    "Les ambassades sont des lieux protégés par le droit international. Un tel acte serait une violation flagrante des conventions diplomatiques et un affront aux principes de la paix et de la sécurité. Les appels à la violence et à l'incitation doivent être fermement condamnés."

     

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    Sinon, Mélenchon, un commentaire ? Un appel au calme ?...

    Goldnadel prévient : 

    "Si le gouvernement français ne demande pas immédiatement des poursuites contre Rima Hassan, il devra être tenu pour responsable de ce qui va advenir..."

     

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Frédéric Amouretti, Maurras et le Fédéralisme...

    1863 : Naissance de Frédéric Amouretti

     

    S’il est vrai que la pensée régionaliste trouva son véritable maître en Charles Maurras, de nombreux auteurs en bâtirent les premières fondations : des plus connus comme Frédéric Mistral à de plus méconnus comme Frédéric Amouretti, ces auteurs ont, apporté les premières pierres essentielles à l’édification de la véritable pensée régionaliste.

    Frédéric Amouretti naquit le 18 juillet 1863 à Toulon, et mourut le 29 août 1903, tout juste âgé de 40 ans...

    Parti à Paris pour décrocher sa Licence ès lettre Amouretti rencontra à Paris Frédéric Mistral et fut reçu félibre en 1882. Revenu en Provence, il entama une carrière de journaliste et de publiciste. Dès 1890, à peine âgé de 27 ans, il lança son premier journal avec son ami Bérenger, Le réveil du Provençal : Organe des revendications autonomistes de la Provence.

    Prônant le fédéralisme et luttant résolument contre le jacobinisme républicain, Amouretti écrira, près de 30 ans avant l’Idée de Décentralisation de Maurras :

    "En adoptant le plan de Sieyès, et en découpant la France comme matière inerte en départements tracés arbitrairement sur la carte, la Convention a anéanti ces admirables cadres historiques où les hommes, unis par l’identité des souvenirs, de la langue, des mœurs, des intérêts pouvaient bien s’entendre pour s’occuper de tout ce qui les touchait de près...".

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    Pour Amouretti, au contraire, et pour les "fédéralistes", il faut respecter la liberté des communes reliées entre elles selon "sis enclin istouri, ecounoumi, naturau...", ce qui passe par la suppression des départements au profit des anciennes provinces avec à leur tête "uno assemblado soubeirano, à Bourdèus, Toulouso, à Mount-Pelié, à Marsiho o à-z-Ais". Ces assemblées devant jouir d'une autonomie complète en ce qui concerne l'administration, la justice, l'enseignement, les travaux publics…

    L'engagement régionaliste d'Amouretti se concrétisa davantage avec la Déclaration des Félibres Fédéralistes du 22 février 1892, co-rédigée avec le jeune Charles Maurras, Amouretti pouvant être considéré, à bon droit, comme "lou paire e lou redatour de la declaracioun", les deux amis se lançant donc face à l’ennemi républicain et jacobin.

    Face aux multiples reproches de séparatisme ou d’anarchisme, Amouretti répondait ceci :

    "Quelle erreur ! C’est l’unitarisme au contraire qui mène la France au séparatisme. La fusion, c'est-à-dire l’anéantissement des nationalités particulières où vivent et se distinguent les citoyens en une nationalité abstraite que l’on ne respire ni ne connaît plus, voilà l’unité. Le fédéralisme au contraire, respectant les diversités ethniques et favorisant le libre développement de chaque région, est le plus grand ennemi du séparatisme en le rendant inutile". 

     

    Amouretti avait compris que seule la voie monarchique et la présence d'un Roi au sommet de l'Etat pourrait permettre cette fédération :

    "Il faut rétablir les provinces, leur rendre la gestion des intérêts provinciaux, surtout en matière de travaux publics, et rétablir les assemblées provinciales avec une compétence assez étendue pour qu’elles aient des sessions fréquentes, longues, fécondes, de nature à attirer l’attention, le respect, la vue."

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  • Éphéméride du 18 juillet

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    1921 : Mise au point du BCG

     

     

     

     

     

    390 Avant JC : Brennus écrase les Romains à la bataille de l'Allia 

     

    18 juillet,koch,calmette,guerin,bcg,tuberculose,polonium,radium,pierre et marie curie,watteauÀ cette époque, la croissance démographique des tribus gauloises est telle qu'une partie d'entre elles part chercher de nouvelles terres, pour s'y établir : les unes s'en vont vers l'Est, et d'autres vers le Sud, franchissant les Alpes.

    À cette époque, aussi, Rome avait déjà grandi, mais n'était évidemment pas encore ce qu'elle allait devenir.

    Le chef qui, vers le Sud, menait les Sénons - l'une des nombreuses tribus gauloises, originaires de la région de Sens - s'appelait Brenn, nom latinisé en Brennus (illustration : figure de proue du cuirassé Brennus - la dernière figure de proue d'un vaisseau de guerre - à partir d'un buste de Cérès, retravaillé)

    Brennus ne cherchait, à proprement parler, ni à piller ni à conquérir pour conquérir : cette migration était simplement destinée à trouver de nouvelles terres pour s'y établir définitivement.

    Mais, arrivés dans l'actuelle Romagne, les Gaulois trouvèrent des villes déjà bien implantées, qui n'avaient nulle envie de laisser s'installer les nouveaux venus, et qui, pour se défendre, firent appel à Rome - dont l'ascension, quoique lente, commençait...

    Après avoir pris et pillé Clusium, Brennus se dirigea vers Rome - qui devait d'ailleurs, plus tard, appeler ager gallicus ces terres où elle vainquit finalement les Gaulois, après avoir été prise et ravagée par eux. Et les Romains parlèrent à cette occasion du "tumultus gallicus" - comme plus tard, lors des Guerres d'Italie - on parlera, là-bas, de la "furia francese"...

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    1919 : Aux origines de la Revue universelle

     

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    Dans Le Figaro du 19 juillet 1919, Jacques Bainville et Henri Massis publient un manifeste "Pour un parti de l'intelligence".

    Dès 1920 sera fondée La Revue universelle, avec Bainville pour directeur et Henri Massis comme rédacteur en chef. 

    La revue avait pour programme :

    "Rassembler tout ce qui, dans le monde, prend parti contre la destruction, fortifier et étendre les relations entre les groupes dévoués à la cause de l'esprit".

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Nous aussi, en France, nous avons une sorte de Greta Thunberg, mais au masculin : il a17 ans, il s'appelle Manès Nadel, c'est un gosse de riche, un "fils de" bobos/gauchos/trotskos, qui répète bien sagement les leçons apprises douillettement chez papa/maman (papa, professeur d'économie, et maman, Préfète et Conseillère à la Cour des Comptes : on ne va tout de même pas être prolo, quoi, enfiler un bleu de travail et pointer à l'usine ! non, mais... !). Et ce petit fils de bourges friqués jouerait presque à "faire le dur", à "parler viril" : il tweete fièrement un "rien à foutre des défiles militaires"; ça, c'est parlé !; ça, c'est un mec ! Un vrai, un dur, un tatoué !

    Là il doit penser qu'il va en imposer aux gonzesses (peut-être aux gonzes, aussi, qui sait ? C'est tellement "tendance", aujourd'hui, surtout dans le douillet milieu de Manès...). Et il fait le kéké, il se croit - dans son bel appartement de bourge parisien - en train de promener une tête au bout d'une pique, comme au bon vieux temps de leur "Terreur"...

    Ce Manès bizarroïde n'est qu'un bizarre mélange du "hors-sol contemporain" - totalement déconnecté du réel accablant que nous a légué le Système - et de l'héritage mental pourri de la sinistre révolution de 89, qui promena les têtes au bout des piques : il est bon que Boulevard Voltaire lui ait réglé son compte avec le très bon article de Georges Michel...

    Et, nous, on va s'arrêter là car, au fond, tu n'intéresses personne, pauvre petit personnage insignifiant. Personne, à part, bien sûr, BFM/TV, qui t'ouvre grandes ses portes et te tend ses micros : "sévice public" oblige, comme dit Goldnadel !

    On va s'arrêter là car, si tu n'en as "rien à foutre des défilés militaires", il faut quand même que tu saches que, nous, le pays réel, on n'en a rien à foutre de toi, de ta diarrhée verbale creuse de gosse de riches à l'esprit irrémédiablement faussé et carrément tordu...

    https://www.bvoltaire.fr/rien-a-foutre-des-defiles-militaires-mais-bien-sur-mon-petit/?feed_id=3702&_unique_id=669564ce7a0f0&fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTEAAR32XwsMVCHWTjfhoJ0NwkOZRQwioBf4_wa-8eWIs_i13rtiP-m0CIY-Dgc_aem_4cn3LlkMdnc2hoRAG_9dew

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  • Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP (68) : le 9 Septembre 1940, Maurras est à Marseille, pour célébrer Mistral...

     

    Une histoire de l'Union Royaliste Provençale... en lisant L'Action française !

    (retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...

     

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    La première annonce de la conférences de Maurras, en "Une" du quotidien est la photo d'en-tête, ci-dessus, est parue le samedi 7; elle repasse, à l'identique, le lendemain dimanche, mais pas dans le numéro commun aux Lundi 9 et Mardi 10...

    Dans le numéro du Mercredi 11, Léon Daudet donne un article, assez court, sorte de "souvenirs" sur "Le Mistral de 1875"...

    Et c'est dans le numéro du Jeudi 12 que l'on a le compte-rendu de

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    auquel assistait, évidemment Maurras; mais il faudra attendre le numéro du Samedi 14 Septembre pour avoir le compte-rendu de sa conférence du 9 à Marseille (en page une et deux)...

    • Voici donc, d'abord, le compte-rendu de ce qui s'est passé à Maillane, le Jeudi 12 (signe Henry Hugault) :

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  • Au cinéma : Blaga’s lessons, par Guilhem de Tarlé

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    Festival Reims Polar : Blaga’s lessons, un film bulgare (VOSTF) de Stephan Komandarev, avec Eli Skorcheva (Blaga Naumova, enseignante à la retraite).

    Blaga’s lessons… Même s’il commence comme une blague, il ne s’agit pas de cours d’humour, et ce n’est pas une comédie, ou alors une comédie dramatique.

    Depuis quelque temps l’offre cinématographique ne cesse de m’étonner qui « bande-annonce » nombre de films relativement tentants, alors que les grandes salles affichent toujours les mêmes titres que l’on pourrait ne pas voir, à l’exception notable du p’tit truc en plus.


    Au cinéma d’Art et d’essai, nous avons vu, en un mois, 4 films du Festival Reims Polar. Evidemment, ils ne figureront pas sur le podium 2024 mais, après Borgo, on ne jette pas son argent par la fenêtre avec ces Blaga’s lessons dont le scénario est assez original.

    Dommage quand même que ce long-métrage soit, précisément, et une fois de plus, un peu long (1h54).

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  • Éphéméride du 17 juillet

    1429 : Jeanne d'Arc fait sacrer Charles VII à Reims

     

     

     

     

     

     

    1342 : Jean de Louvres commence la construction du Palais neuf, dans le Palais des Papes d'Avignon...

     

     

    De 1309 à 1376, sept Papes résidèrent en Avignon.

     

    C'est le premier d'entre eux, Clément V, qui est à l'origine du Palais des Papes, en ordonnant la construction du premier palais, le Palais vieux (voir l'Éphéméride du 23 juin).

     

    Le troisième Pape d'Avignon, Clément VI, jugea ce palais trop modeste, car il désirait centraliser - et ce, pour la première fois depuis les origines de l'Église catholique... - tous les services de l'administration papale dans la même ville.

     

    Il lui fallait donc un espace beaucoup plus grand, et surtout un architecte capable de relever les nombreux défis techniques que posait - malgré d'indéniables avantages - le lieu où s'élevait le Palais de son prédécesseur : il fit appel à un architecte originaire d'Île-de-France, Jean de Louvres, natif de Louvres-en-Parisis, près de Luzarches.

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    De Documentaire et Vérité, sur "X" :

    Quand François Lenglet évoque l’industrie naissante des batteries européennes :

    "...tout ça commence à ressembler à un bon fiasco industriel..."

    https://x.com/DocuVerite/status/1812726351180308933

     

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  • Au cinéma : Le Comte de Monte-Cristo, par Guilhem de Tarlé

    Le Comte de Monte-Cristo - Film 2024 - AlloCiné

     

    Cannes 2024 : Le Comte de Monte-Cristo, un film français de Matthieu Delaporte et Alexandre de La Patellière, avec Pierre Niney (dans le rôle-titre, alias Edmond Dantès), Anaïs Demoustier (Mercédès Herrera), Bastien Bouillon (Fernand de Moncef), Laurent Lafitte (Gérard de Villefort, le Procureur), Patrick Mille (Danglars), Pierfrancesco Favino (l’Abbé Faria), Anamaria Vartolomei (Haydée), Julien de Saint-Jean (Andrea, fils illégitime du Procureur),
    d’après l’œuvre d’Alexandre Dumas (1844).

    Le Comte de Monte-Cristo… un livre que je pense avoir lu, enfant, mais dont je n’avais aucun souvenir autre que le Château d’If et l’existence de l’abbé… Je ne le retrouve d’ailleurs pas dans ma bibliothèque. De toutes façons, 800 pages c’est trop pour moi et je ne le lirai ou relirai plus maintenant que j’ai vu ce film dont l’intrigue, a priori simple, me paraît compliquée à loisir avec énormément de personnages (une trentaine dans le texte)…

    La durée du film (3h) et la bande-annonce ne me tentaient pas, et c’est faute de mieux que nous y sommes allés.

    Tant mieux ! je suis content d’avoir redécouvert ce roman au cinéma, et j’ai  passé un bon moment dans ce long-métrage à grand spectacle et cette histoire d’amour et d’amours, de trahisons, de justice et de vengeance…

    Sans doute les Royalistes n’’y sont pas présentés sous un beau jour, mais peut-on pinailler à l’ère des Macron, Mélenchon et autre Edouard Philippe qui appellent à voter communiste ?

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  • Éphéméride du 16 juillet

    1965 : Inauguration du Tunnel du Mont-Blanc

     

     

     

     

     

    1054 : Humbert de Moyenmoutier dépose la Bulle d'excommunication du Patriarche de Constantinople sur l'autel majeur de Sainte Sophie 

     

    De Michel Mourre (Dictionnaire Encyclopédique d'Histoire, pages 2245/2246) :

    "Cardinal français. Originaire de Lorraine ou de Bourgogne, moine bénédictin à l'abbaye de Moyenmoutier, il devint le secrétaire de Bruno de Toul, qui, devenu le pape Léon IX, l'appela à Rome et le fit cardinal (1050). Il fut avec Hildebrand (futur Grégoire VII) l'un des plus actifs artisans de la réforme de l'Église au milieu du XIème siècle. En 1054, il fut envoyé comme légat pontifical  à Constantinople, où son manque de diplomatie contribua à rendre définitif le schisme byzantin."

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    C'est l'Empereur Justinien qui fit édifier la basilique Sainte-Sophie (du grec Ἁγία Σοφία / Hagía Sophía, qui signifie "sainte Sagesse", "Sagesse Divine", en turc Ayasofya) ; lorsqu'il pénétra dans l'édifice, enfin terminé, et stupéfait par tant de splendeur, il s'écria "Je t'ai surpassé, Salomon !", faisant allusion à la magnificence du Temple de Jérusalem.

    C'est pourtant dans ce monument si splendide qu'eut lieu - en 1054 -  l'épisode peut-être le plus tragique de l'histoire de l'Eglise chrétienne... 

    http://medieval.mrugala.net/Architecture/Turquie,_Istanbul,_Basilique_Sainte-Sophie/Turquie,_Istanbul,_Basilique_Sainte-Sophie.htm

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Sur OpexNews :

    Le programme Barracuda, piloté par la @DGA, a franchi un jalon majeur avec la première sortie à la mer du sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Tourville le 12 juillet 2024. Cette nouvelle étape marque le démarrage des essais à la mer du navire, faisant suite aux travaux d’achèvement et à une série d’essais à quai menés avec succès à Cherbourg par les équipes étatiques et industrielles du programme.  Sous la direction de la DGA, en collaboration avec le @CEA_Officiel, et en partenariat avec les industriels, l’équipage Marine nationale du SNA Tourville conduira les essais en mer qui se poursuivront jusqu’à la livraison du SNA prévue fin 2024."

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    Cette bonne nouvelle est l'occasion de redire encore une fois qu'il faut à la France 

    UN BUDGET MILITAIRE ÉGAL A 4% DU PIB :

    1% POUR CHACUNE DES TROIS ARMES

    (AIR, TERRE, MER),

    ET 1% POUR LE NUCLÉAIRE

    (LES TROIS ARMES CONFONDUES)

     

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  • Documents pour servir à illustrer une histoire de l'URP (67) : Marseille, 11 Décembre 1932, un banquet médical mémorable, autour de Maurras et Daudet...

     

    Une histoire de l'Union Royaliste Provençale... en lisant L'Action française !

    (retrouvez notre sélection de "Documents..." dans notre Catégorie "Documents pour servir à une histoire de l'URP"...

     

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    Ce banquet avait été annoncé une seule fois, en "Une" du quotidien, dans le numéro du Mercredi 7 Décembre... :

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    ... et, dans les numéros des 8 et 9 précédents, dans la Rubrique Ligue d'Action française, on le ré-annonça, en en profitant pour inviter également aux deux conférences que donnerait Daudet - puisqu'il serait sur place - à Marseille et à Toulon, "sur François Rabelais" :

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    Voici le lien conduisant au numéro du lendemain, Lundi 12 Décembre 1932, qui rend compte de ce "triomphal banquet des médecins d'AF" :

    "plus de deux cent médecins" étaient présents et "plus d'une centaine s'étaient excusés en des lettres d'entière adhésion" !...

    Le compte-rendu commence en "Une", au milieu de la deuxième colonne, juste après l'article de Daudet, et s'achève en page deux, dans la moitié supérieure des deux colonnes centrales (trois et quatre)...

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : à propos des Croisades...

    1099 : Les Croisés s'emparent de Jérusalem 

     

    Partis de France en 1096, à l'appel du pape Urbain II, qui avait prêché la Croisade à Clermont (voir l'Éphéméride du 27 novembre), les Croisés, emmenés par Godefroy de Bouillon et le comte de Toulouse, font leur entrée dans la ville (enluminure d'époque ci-dessous) : c'est la naissance du Royaume latin de Jérusalem, Godefroy de Bouillon prenant en charge l'administration du lieu, au titre d'Avoué du Saint-Sépulcre.  

     

    Écouter : Chanson de Croisade, de Thibaut IV, Comte de Champagne et Roi de Navarre : THIBAUT CHANSON 4.mp3

     

    Et, dans notre album L'Aventure France racontée par les cartes, voir les deux photos "La route des Croisades (I/II)" et "...et les États latins d'Orient (II/II)" 

     
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    Les Croisades, une agression de l'Occident chrétien contre les musulmans ? Contrairement à cette "idée" (?) répandue par certains, les Croisades visèrent simplement à libérer des lieux saints, interdits d'accès par un Islam fanatique.
     
    "J'ai décidé de tuer Jean-Paul II, commandant suprême des croisés" avait déclaré Ali Agca avant de tirer sur la pape le 13 mai 1981.
     
    Et, dans Les croisades vues par les Arabes, l'écrivain franco-libanais Amin Maalouf écrit :
    "Au-delà de cet acte individuel, il est clair que l'Orient arabe voit toujours dans l'Occident un ennemi naturel. Contre lui, tout acte hostile, qu'il soit politique, militaire ou pétrolier, n'est que revanche légitime. Et l'on ne peut douter que la cassure entre ces deux mondes date des croisades, ressenties par les Arabes, aujourd'hui encore, comme un viol." 
     
    Fort bien, sauf que...

    Les croisades se sont déroulées sur une période de deux cents ans, allant du XIème au XIIIème siècle : il est donc nécessaire, comme le note Jean Sévillia, dans son Historiquement correct, de "séparer le bon, grain de l'ivraie", de re-situer les croisades dans leur contexte et de rappeler leur but initial.

    15 juilllet,croisades,jerusalem,godefroy de bouillon,barnave,louis xvi,revolution,roi,paris,hotel de ville de paris,françois premier,porte saint martinDès les premiers temps de la chrétienté, les fidèles affluèrent vers Jérusalem pour se recueillir sur le tombeau du Christ, comme sainte Hélène, la mère de Constantin, vers 330.

    Or, après la mort de Mahomet (632), les musulmans lancèrent un grand mouvement de conquêtes, et s'emparèrent de Jérusalem en 638, mais aussi des deux tiers de l'Empire romain d'Orient, de toute l'Afrique du Nord, de l'Espagne et du Portugal et entrèrent même en France (carte ci dessus)...

    À Jérusalem et dans les autres lieux saints (Bethléem, Nazareth...), les chrétiens, réduits à l'état de dhimmis, conservèrent le droit de pratiquer leur culte; les pèlerins venus du monde entier, eux, conservèrent celui d'accéder aux différents lieux saints, moyennant le paiement d'une taxe.

    Mais, en 1009, le sultan Hakem ordonne la destruction de la basilique du Saint-Sépulcre et inaugure une vague de persécutions : les chrétiens doivent se convertir à l'Islam ou devenir esclaves.

    Puis, plus grave encore, les Turcs Seldjoukides s'emparent de Jérusalem en 1078 et, là, en interdisent carrément l'accès aux chrétiens : comme l'écrit encore Jean Sévillia, "la croisade, c'est une riposte à l'expansion militaire de l'Islam, une réplique à l'implantation des Arabes et des Turcs en des régions dont les villes, berceau du christianisme au temps de saint Paul, ont été le siège des premiers évêchés. Des régions où les fidèles du Christ sont désormais persécutés..."

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    Il est bien clair que l'agression première, la persécution et la provocation première sont le fait des musulmans eux-mêmes, à qui les Chrétiens n'ont fait que "répondre" par les Croisades, même si la réponse ne fut pas forcément - c'est bien clair aussi... - exempte de tout excès et de toute erreur...

    Imaginons, aujourd'hui, que l'Arabie Saoudite mène une guerre contre une puissance étrangère; que l'Arabie perde cette guerre, et se voit intégralement conquise par son adversaire, qui fermerait les lieux saints musulmans de La Mecque et Médine, et en interdirait l'accès aux musulmans du monde entier : que feraient ceux-ci ? Poser la question c'est, évidemment, y répondre, et répondre à cette autre question (en fait, la même) : pourquoi les Croisades ?...

     

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    Prenant encore un peu plus de recul historique, et un peu de hauteur, René Grousset, dans son magistral "Bilan de l'Histoire", ne dit pas autre chose :

    "...La catastrophe de 1453 qui était à la veille de survenir dès 1090 sera reculée de trois siècles et demi… Pendant ce temps, la civilisation occidentale acheva de se constituer et devint capable de recevoir l'héritage de l'hellénisme expirant… La croisade ne fut pas autre chose que l'instinct de conservation de la société occidentale en présence du plus redoutable péril qu'elle ait jamais couru. On le vit bien quand l'Occident renonça à cet effort..."  

     

      Enfin, Chateaubriand a proposé une belle "défense des Croisades" dans son "Itinéraire de Paris à Jérusalem..." : dans notre Album Écrivains royalistes (I) : Chateaubriand, voir la photo "Défense des Croisades"...

  • Éphéméride du 15 juillet

    Napoléon à Sainte-Hélène, après s'être livré aux Anglais le 15 juillet 1815

     

     

     

     

     

    1099 : Les Croisés s'emparent de Jérusalem 

     

    Partis de France en 1096, à l'appel du pape Urbain II, qui avait prêché la Croisade à Clermont (voir l'Éphéméride du 27 novembre), les Croisés, emmenés par Godefroy de Bouillon et le comte de Toulouse, font leur entrée dans la ville (enluminure d'époque ci-dessous) : c'est la naissance du Royaume latin de Jérusalem, Godefroy de Bouillon prenant en charge l'administration du lieu, au titre d'Avoué du Saint-Sépulcre.  

     

    Écouter : Chanson de Croisade, de Thibaut IV, Comte de Champagne et Roi de Navarre : THIBAUT CHANSON 4.mp3

     

    Et, dans notre album L'Aventure France racontée par les cartes, voir les deux photos "La route des Croisades (I/II)" et "...et les Etats latins d'Orient (II/II)" 

     
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    Les Croisades, une agression de l'Occident chrétien contre les musulmans ? Contrairement à cette "idée" (?) répandue par certains, les Croisades visèrent simplement à libérer des lieux saints, interdits d'accès par un Islam fanatique.
     
    "J'ai décidé de tuer Jean-Paul II, commandant suprême des croisés" avait déclaré Ali Agca avant de tirer sur la pape le 13 mai 1981.
     
    Et, dans Les croisades vues par les Arabes, l'écrivain franco-libanais Amin Maalouf écrit :
    "Au-delà de cet acte individuel, il est clair que l'Orient arabe voit toujours dans l'Occident un ennemi naturel. Contre lui, tout acte hostile, qu'il soit politique, militaire ou pétrolier, n'est que revanche légitime. Et l'on ne peut douter que la cassure entre ces deux mondes date des croisades, ressenties par les Arabes, aujourd'hui encore, comme un viol." 
     
    Fort bien, sauf que...

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