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Au tout début de son admirable Histoire de France, Bainville termine la vingtaine de lignes du premier paragraphe du premier chapitre en écrivant ces mots lumineux :
"... Le peuple français est un composé. C'est mieux qu'une race. C'est une Nation."
Larousse ré-édite cette magistrale Histoire de France (qui ne cesse de l'être depuis sa parution) : bravo ! Mais en se permettant de "censurer" et ré-crire ce passage, qui devient, simplement :
"... Le peuple français est un composé C'est une Nation."
lafautearousseau partage entièrement la surprise, l'indignation et l'accusation d'Axel Joly (sur tweeter) :
"Bonjour @LAROUSSE_FR, de quel droit avez-vous censuré cette sublime phrase de Bainville ?"
Ainsi que les termes de la "réponse" de Christophe Dickès à Axel Joly :
"L'édition Tempus en poche de chez @EditionsPerrin, elle, n'est pas censurée (préface de FO Giesbert). Ce choix éditorial de @LAROUSSE_FR
est tout simplement honteux et absolument indigne d'un grand éditeur."
1. BRAVO, VALEURS, POUR CETTE "UNE" MAGISTRALE !
2. Bravo et soutien au commerçant d'Amiens qui a diffusé les images de vidéo-surveillance de plusieurs vols successifs, en janvier, dans son magasin, et qui a décidé de coller cette affiche dissuasive sur sa devanture. Il menace de recommencer pour chacun des vols dont il sera victime, et il a mille fois raison ! :
Résumons :
1. Le Système nous met en danger par l'importation massive, depuis plus de quatre décennies, d'envahisseurs, pas toujours (loin de là...) mais très/trop souvent délinquants...
3. Il n'assure plus la sécurité des personnes et des biens, ce qui est le rôle premier de tout État prétendûment civilisé...
4. Les Français doivent donc se défendre eux-mêmes, ils sont fondés à prendre leur défense en main, de façon pacifique, d'abord, en espérant que cela suffira, comme le fait ce commerçant d'Amiens...
5. Nous disons "d'abord" parce que, si d'aventure les moyens pacifiques ne suffisaient pas, et si le Système persistait à nous mettre tous en danger, il faudrait alors trouver d'autres moyens...
3. Verdict du #francocide d’ #AxelleDorier, 22 ans, écrasée et traînée sur 800 mètres par deux envahisseurs barbares : le chauffeur (Youcef Tebbal) condamné à seulement 12 ans de prison et le passager (Mohamed Yelloule) à 2 ans ferme. La vie d’une petite française vaut donc si peu ?
On s'arrête là, pour aujhourd'hui, c'est trop déprimant !...
Anne Hidalgo, ou : comment enlaidir la plus belle ville du mondce sans cesse, sans faiblir, sans arrêt...
Qui arrêtera cette équipe de folie à la tête de la Ville Lumière ?...
5. Voilà ce qu'il faut faire ! À Val-du-Layon, un viticulteur a planté 1.300 arbres pour retrouver les paysages d’autrefois.Replanter un espace boisé comme il en existait à l’époque de son grand-père, tel est l’objectif de Quentin Cailleau, viticulteur au domaine de Sauveroy, à Saint-Lambert-du-Lattay, commune de Val-du-Layon, au sud d’Angers (Maine-et-Loire). En décembre dernier, il a planté 1.300 arbres - surtout des néfliers, des chênes et des merisiers - et ce n’est pas fini…
"J’espère que mes petits-enfants joueront dans ce bois..." Il va falloir patienter. Pour l’instant, le bois de Quentin Cailleau se présente sous la forme de petits plants proprement alignés sur une parcelle d’un hectare dans le vignoble du Layon à Saint-Lambert-du-Lattay, au sud d’Angers (Maine-et-Loire). "Je participe modestement au retour de la biodiversité souvent invisible, dans le sol et dans les airs, celle des insectes et des invertébrés..."
Sur cette parcelle, à proximité du domaine de Sauveroy, à Saint-Lambert-du-Lattay, Quentin Cailleau a planté ce qui deviendra un bois dans une dizaine d’années. (source : OUEST-FRANCE)
"Nouvelle attaque contre le catholicisme aujourd’hui à #Rennes, avec le vol de cette bannière. À Rennes, entre les tags blasphématoires des gauchistes qui ont pignon sur rue, les vols et les agressions sur les prêtres, ce sont bien les catholiques qui sont en danger."
"Néanmoins, personne ne s’en émeut, ni la maire @nathalieappere, ni le ministre @GDarmanin, qui a pourtant fait le déplacement à Rennes pour… des tags sur une mosquée."
Imprimés à Neuchâtel sous l'instigation du pasteur François Antoine Marcourt, les "placards" sont des sortes d'affiches protestantes : elles sont "placardées", dans la nuit du 17 au 18 octobre, dans toute la France, et jusque dans les appartements du roi François 1er à Amboise.
Cet épisode aura des conséquences dramatiques pour les protestants de France. François 1er, croyant au complot, décidera de faire la chasse aux "hérétiques", mettant ainsi un terme à la tolérance religieuse qui régnait en France depuis quelques années.
Calvin (ci dessous), compromis dans cette affaire, s'enfuit à Nérac, auprès de la bienveillante Marguerite de Navarre, puis à Bâle...
Le Roi soleil met fin à 87 ans de tolérance religieuse en abolissant l'Édit signé par son grand-père Henri IV (en 1598) au profit de l'Édit de Fontainebleau.
Si l'on se replace dans le contexte de l'époque, force est de constater que Louis XIV a eu raison de révoquer l'Édit de Nantes, que son père - Louis XIII - et son principal ministre - Richelieu - auraient d'ailleurs très bien pu révoquer sans difficulté en 1629, comme l'explique très clairement François Bluche :
"...Seul un Louis XIII pouvait, en son temps, abolir les clauses de Nantes en évitant les horreurs de celles de Fontainebleau. On peut dire qu'il a laissé à son fils un cadeau empoisonné. Car, en 1629, après la guerre subversive du Midi, tout le monde eût trouvé logique - et, c'est le cas ou jamais de le dire, de bonne guerre - de voir abolir les privilèges (provisoires, circonstanciels, encore récents) de 1598. Mais cela ne convenait point au cardinal de Richelieu, ménager des princes protestants de l'Empire. Parmi les responsables de la Révocation, il ne faut jamais oublier Louis XIII et son ministre..." (François Bluche, Louis XIV, Fayard, page 613).
L'erreur de Louis XIV, et même sa faute politique, ne fut pas de révoquer l'Édit de Nantes, mais de persécuter les protestants. L'Édit de Nantes, en effet, aucun État digne de ce nom ne pouvait s'en accommoder, et il n'avait, du reste, aucun équivalent, en aucun autre royaume ou État de l'époque; la particularité de cet Édit était que, au moment où il fut signé par le grand-père (Henri IV) il était indispensable de le signer, car il était la seule façon de ramener la paix civile en clôturant définitivement le désastreux chapitre des Guerres de religion; mais, les réalités ayant changé un siècle après, il était tout aussi indispensable que le petit-fils (Louis XIV) le révoquât si l'on voulait construire un État moderne, ou tout simplement normal.
Louis XIV a donc bien fait de ramener le Royaume de France à la normalité; c'est la persécution - inutile et condamnable - qui accompagna la Révocation qui doit être critiquée.
D'ailleurs, toujours en se référant au contexte de l'époque - et même si l'argument n'est pas des plus valables... - il faut bien voir l'extraordinaire popularité de la mesure :
"...Dans Paris, ville de la Ligue, la Révocation a porté à l'extrême la popularité un peu ternie du monarque. Jamais on ne le sentit autant que le 30 janvier 1687. Le Roi, rapporte l'abbé de Choisy, atteignit "au comble de la gloire humaine lorsqu'il vint dîner à l'Hôtel de Ville après sa maladie : il se vit aimé de son peuple; jamais on ne témoigna tant de joie, les acclamations ne finissaient point. Il était dans son carrosse avec Monseigneur (son fils, le Dauphin, ndlr) et la famille royale. Cent mille voix criaient : Vive le Roi !"..." (François Bluche, Louis XIV, Fayard, page 609).
Dans son magistral Louis XIV - ouvrage en tous points remarquable et qui ne mérite que des éloges... - François Bluche (lui-même "réformé"...) dresse une sorte de bilan de la Révocation.
Il y voit six "suites fâcheuses", mais "un nombre au moins égal de conséquences favorables au Royaume" (pages 614, 615, 616) :
1. Les "suites fâcheuses"
• même s'il y eut des conversions sincères, les convertis "sont, en majorité, mal convertis";
• les communions pascales seront, en conséquence, "des communions forcées et sacrilèges";
•"...Bien plus qu'auparavant, et on le leur avait déjà reproché durant la guerre de Hollande, les protestants du royaume (qui voient dans une déroute française l'espérance d'un traité contraignant le Roi à revenir à l'Édit de Nantes) ressembleront au parti de l'étranger;
•"...La révolte des camisards, qu'on se gardera de condamner en bloc ou de transformer en épopée, va s'ajouter aux difficultés intérieures de la France et au poids de la guerre extérieure";
•"...Avec l'émigration de 200.000 réformés, notre pays entame son capital démographique, perdant chemin faisant une élite économique, sociale, intellectuelle."
• Enfin, "Nos ennemis - la Prusse-Brandebourg, les Provinces-Unies, la Grande-Bretagne - y gagnent plus encore que ce que nous perdons. Le Refuge francise l'Europe, mais fortifie les pays d'accueil et renforce leur hostilité native envers la France."
2. "Les conséquences favorables au Royaume"
"...Il existe en revanche, on l'oublie trop, un nombre au moins égal de conséquences favorables au royaume :
• En abolissant l'Édit de Nantes, le Roi retourne aux règles traditionnelles de notre droit public.
• Il cesse, en particulier, de parjurer le serment du sacre (haereticos exterminare...). Henri IV n'avait pas eu le temps d'amender sa législation; Louis XIII n'avait fait le travail qu'à moitié.
• L'unité religieuse, rêve du règne et obsession du clergé, est obtenue, même si la suite des évènements va faire apparaître cette unité plus abstraite que réelle.
• L'unité nationale est étonnamment confortée. La politique anti-protestante de Louis XIV resserre pour trente ans, autour du Roi et de l'État, les évêques, le clergé moyen et petit, la bourgeoisie, le menu peuple. Ce consensus apparaîtra surtout en 1709, quand le monarque appellera à la mobilisation générale contre l'envahisseur. De Malplaquet (1709) à Denain (1712, ci contre, ndlr), le réveil des militaires et des civils n'est explicable, à ce degré de force et de constance, que dans l'esprit de cette union nouvelle. Ce n'est plus l'alliance du trône et de l'autel, mais à nouveau l'union du trône, de l'autel et du peuple.
Hausse permanente des prix des carburants et des péages autoroutiers...
LE GOUVERNEMENT NE NOUS TRANSPORTE PAS,
IL NOUS ROULE !
1. Amine Elbahi (Dans Le Figaro Vox; l'article est réservé aux abonnés, envoici l'entame) : "Roubaix est devenu le symbole de la faiblesse de l'État face à l'islamisme"...
FIGAROVOX/TRIBUNE - Le juriste et militant associatif de la ville de Roubaix, Amine Elbahi, est menacé de mort et placé sous protection policière depuis la diffusion du documentaire de Zone interdite sur l'islam radical, diffusé sur M6. Il déplore la faiblesse de l'État, qui peine à agir contre le séparatisme et établit des propositions.
Amine Elbahi est juriste en droit public et militant associatif à Roubaix. Depuis la diffusion du documentaire de «Zone interdite» sur l'islam radical, il est menacé de mort et placé sous protection policière.
Il aura fallu un nouveau reportage pour montrer l'ampleur de la fracture économique et sociale à Roubaix, là où se trouvent les fondements du séparatisme islamiste enraciné dans plusieurs de nos quartiers. Je m'étonne de notre capacité à nous émouvoir collectivement d'une situation que nous connaissons depuis bien longtemps. Comme un certain nombre de citoyens, j'avais déjà alerté en 2016 sur la carence de l'État et la montée progressive de l'islam radical dans une tribune que j'avais intitulée « Elle est partie défier la République qui n'a pas su la retenir »*. Roubaix comme de nombreux territoires en France sont devenus le symbole de l'échec de l'État, incapable d'affirmer son autorité...
Le juriste et militant associatif, Amine Elbahi, a pointé du doigt l'islamisme dans la ville de Roubaix, dans un documentaire de "Zone interdite". Il est depuis menacé de mort et placé sous protection policière. Capture d'écran BFM TB
NDLR : Amine El Bahi est menacé de mort, comme Ophélie Meunier. Voilà dans quel état le Système a mis la France : dès que l'on dit la vérité, les terroristes/barbares que le Système a volontairement installés chez nous menacent de mort. C'est ce Système dont il faut débarrasser la France...
1 BIS. La courageuse réponse d'Amine El Bahi : "Je dis aux islamistes que je ne me tairai pas" :
Chateaubriand a raison, comme Jean-Paul II, quand il nous exhortait : "N'ayez pas peur !". Les Totalitarismes, quels qu'ils soient, ne tiennent que par la peur : nazisme, marxisme-léninisme, islamisme...
Puisque c'est le totalitarisme islamiste barbare qui nous menace ici et maintenant, chez nous, c'est de lui qu'il ne faut pas avoir peur et dont il faut libérer la France.
Le prix à payer sera peut-être - probablement ?... - une guerre de libération nationale. N'oublions pas, alors, la parole prophétique de Maurras :
"Ce pays-ci n’est pas un terrain vague. Nous ne sommes pas des bohémiens nés par hasard au bord d’un chemin. Notre sol est approprié depuis vingt siècles par les races dont le sang coule dans nos veines. La génération qui se sacrifiera pour le préserver des barbares et de la barbarie aura vécu une bonne vie."
1 TER. Ophélie Meunier, Amine El Bahi et tous ceux qui précèdent et suivront : la meilleure solution, pour Maître Richard Malka (qui a raison) :
4. Apprécié (sur tweeter) le bon jeu de mots de Grégory Roose, chroniqueur à Valeurs actuelles :
"Le représentant légal de la France au Mali a été expulsé. Les représentants illégaux du Mali en France ont été relogés."
Et, puisque nous parlons de Grégory Roose, profitons-en pour faire un peu de pub à son "Journal d'un Remplacé" :
264 Pages, 10 euros
Ce livre est un journal de bord, témoignage des évolutions qui menacent ce que nous sommes en tant que peuple et individu : le Grand Remplacement ou le changement de peuple, et le Petit Remplacement ou le changement de paradigme, le second nourrissant le premier, le premier justifiant le second. Nous en sommes les esclaves, conscients ou inconscients, serviles ou rebelles.
L'auteur offre au fil de ces pages des pistes de réflexion et des propositions d’action utiles pour nommer, alerter et s’opposer aux Grand et Petit Remplacements, terribles menaces qui pèsent sur notre siècle.
4 BIS. Et, sur le sujet du Mali, ou plutôt de la présence française au Mali, comment ne pas approuver ceci :
6. Martin Hirsch est un menteur, doublé d'un sale esprit, d'une sale mentalité. Il aurait fait "un bon petit soldat" au service du Parti, au Goulag ou pour Pol Pot... Charlotte d'Ornellas et Alexandre Devecchio démontent son mensonge :
"Martin Hirsch explique que les non-vaccinés doivent payer leurs soins car l'état de l'hôpital serait de leur faute. Un document de l'AP-HP révèle que la majorité des déprogrammations ne sont dues pas au covid, mais au manque de personnel."
1823 : Inauguration de la Colonne et de la la statue de Louis XVI, à Nantes
Des cinq communes françaises qui possèdent une statue de Louis XVI, Nantes est certainement celle qui offre au souverain la plus monumentale.
La Colonne Louis XVI fut érigée en 1790, mais resta inachevée. La Restauration relança le projet. On fit appel, en 1823, au sculpteur Dominique Molknecht qui réalisa la statue de Louis XVI, inaugurée la même année au sommet de sa colonne. Elle donne aujourd'hui son nom à la place au centre de laquelle elle se dresse : bien que celle-ci porte officiellement le nom du Maréchal Foch, pour la plupart des Nantais, elle est "la place Louis XVI".
• Et, bien sûr, à Paris, le Square Louis XVI et la Chapelle expiatoire (voir notre Éphéméride du 11 janvier)
La ville de Montpellier, elle, a offert sa statue de Louis XVI, en marbre de Carrare (ci dessus), à sa ville jumelle de Louisville, dans le Kentucky (voir l'Éphéméride du 17 juillet)
1893 : Apparition du Permis de conduire et des Immatriculations automobiles
Le Permis de conduire et les immatriculations automobiles apparaissent en France, par un arrêté de Louis Lépine (ci dessous), préfet de police. L'article 18 de l'arrêté dispose que "nul ne pourra conduire un véhicule à moteur mécanique s'il n'est porteur d'un certificat de capacité délivré par Monsieur le préfet de police". Le terme "permis de conduire" remplacera l’ancienne appellation en 1922.
L'ordonnance stipule également que "tout véhicule à moteur doit se voir apposer sur le côté gauche une plaque métallique sur laquelle sont inscrits le nom et l'adresse du propriétaire ainsi qu'un numéro d'autorisation".
La France est le premier pays à immatriculer les automobiles.
Le procès du maréchal Pétain avait débuté le 23 juillet 1945 devant la Haute Cour de Justice (voir l'Éphéméride du 23 juillet). Il s’acheva le 15 Août 1945, à l’aube.
La cour déclara Philippe Pétain coupable d'intelligence avec l'ennemi et de haute trahison. Elle le condamna à mort, à l'indignité nationale et à la confiscation de ses biens, assortissant toutefois ces condamnations du vœu de non-exécution de la sentence de mort, en raison de son grand âge.
Le général de Gaulle, chef du Gouvernement provisoire de la République, commua la sentence de mort en peine de réclusion à perpétuité.
1952 : Apparition de l'expression "Tiers-Monde"
C'est le démographe Alfred Sauvy, dans un article intitulé "Trois mondes, une planète" et publié dans l'hebdomadaire L'Observateur (devenu "Le Nouvel Observateur"), qui l'emploie pour la première fois.
Selon lui, l'opposition du monde occidental et soviétique, nie l'existence d'un troisième monde, l'ensemble des pays sous-développés, d'ailleurs convoités par les deux blocs, et qui aspire, comme le Tiers-état de l'Ancien régime, à devenir "quelque chose".
Alfred Sauvy élève à l'École polytechnique, promotion 1920 "spéciale". Cette promotion regroupait des élèves mobilisés avant de pouvoir passer le concours d'entrée (Photo École Polytechnique)
Commencé en 1959, les équipes Italiennes et Françaises se rejoignent, après avoir fait sauter les trois derniers mètres : la "percée" est une réussite complète, l’écart d’axe étant inférieur à 13 centimètres !...
1226 : La crue du Rhône emporte le Pont Saint Bénezet, "le pont d'Avignon"...
Le pont est détruit aux trois quarts.
Constamment reconstruit, de 1177 à 1185, et toujours démoli, soit par les hommes, soit par les éléments, il ne reste aujourd’hui que quatre arches de ce pont qui reliait, à l'origine, Avignon à Villeneuve-lès-Avignon sur 920 mètres, possédait 22 arches mais n'avait que 4 mètres de largeur (impossible donc, comme il est dit dans la chanson, d'y "danser tous en rond" !).
Cette destruction intervient dans un contexte tragique : celui de la Croisade contre les Albigeois. Huit ans auparavant, en 1218, Simon de Monfort a perdu la vie durant le siège de Toulouse, laissant son fils, Amaury, avec une armée insuffisante, affronter les barons méridionaux qui, peu à peu, reconquièrent toutes les possessions du Comte de Toulouse, qui se révoltent l'une après l'autre contre les "barons du Nord".
En janvier 1224, il ne reste que Carcassonne à Amaury de Montfort : aussi conclut-il une trêve avec le nouveau Comte de Toulouse, Raymond VII; il repart vers l’Île-de-France, cédant tous ses droits sur le Languedoc au roi de France, Louis VIII.
Deux ans plus tard, en 1226, le roi réunit son armée (l' "Ost") à Bourges, le 17 mai : celle-ci arrive à Lyon le 28 mai et devant Avignon le 6 juin, le roi lui-même n'arrivant que le 10 juin. Le siège sera long et difficile, et Louis VIII n'entrera dans la ville que le 12 septembre.
La forte crue du Rhône, et l'inondation qui s'ensuivit, se produisant le 17 septembre, soit huit jours après la reddition de la ville, à quelques jours près, les assaillants auraient été noyés et la cité sauvée...
Ensuite, l'histoire du pont n'est que celle de destructions et de réparations sans fin, leur coût finissant par décourager les autorités de le reconstruire encore : en 1479, à cause des inondations, deux arches furent entièrement détruites, et Louis XI ordonna de les relever; puis une première arche s'effondra en 1603, ensuite trois autres en 1605 : toutes furent rebâties en 1628. En 1633, deux nouvelles arches s'effondrèrent et, en 1669, une nouvelle crue du Rhône emporta plusieurs autres arches, pour ne laisser subsister que celles que l'on voit aujourd'hui...
Louis XIV est le dernier roi à l'avoir utilisé "normalement"...
En réalité, cette nouvelle Cour des Comptes prend la suite des douze "Chambres des Comptes" de l'Ancien Régime, le roi Philippe V - l'un des trois derniers Capétiens directs - ayant été le premier a créer une Cour de ce genre; ensuite, sous la Révolution, une "Commission de la comptabilité nationale" fut mise en place .
La mission de notre actuelle Cour des Comptes est de vérifier les comptes, non de vérifier la légalité des dépenses. Son rapport annuel pointe donc les dérives financières des administrations et entreprises publiques. La Cour exerce ainsi un contrôle externe sur les opérations budgétaires, comptables et financières de l'État.
Il présente, ce 17 septembre 1822, devant l'Académie des Inscriptions et Belles-lettres de Paris son Mémoire sur l'écriture égyptienne, et dévoile le secret des hiéroglyphes :
"C'est un système complexe, une écriture tout à la fois figurative, symbolique et phonétique, dans un même texte, une même phrase, je dirais presque dans un même mot".
"Je suis tout à l'Égypte, elle est tout pour moi", avait-il l'habitude de dire...
Découverte par les Français, lors de l'Expédition d'Égypte (voir l'Éphéméride du 19 juillet), elle a été cédée - comme tout ce qu'ils avaient mis au jour... - par l'armée du général Menou, lors de sa reddition, le 31 août 1801, devant les troupes anglaises du général Abbercromby (voir l'Éphéméride du 31 août).
Elle est exposée au British Muséum.
1836 : Mort d'Antoine Laurent de Jussieu
Georges Cuvier a loué ainsi ses travaux (sur la classification des végétaux en fonction de la morphologie des plantes):
"...un livre admirable, qui fait dans les sciences d'observation une époque peut-être aussi importante que la chimie de Lavoisier dans les sciences d'expérience"
(Une vue d'ensemble de son action vous est proposée dans dans notre Éphéméride du 27 janvier et, en ce qui concerne plus particulièrement la réhabilitation de Notre-Dame de Paris, dans notre Éphéméride du 31 mai)
Le lien suivant permet d'avoir une vue d'ensemble sur les travaux remarquables de Viollet le Duc en Bourgogne :
Toujours et partout l'odieuse "ré-éducation" est dans les gènes des révolutionnaires, qu'ils soient Français, chinois ou d'ailleurs...
L'Ambassadeur de Chine a été à deux doigts de le dire "carrément", il s'est malheureusement (diplomatie oblige !) arrêté juste avant : oui, la Révolution en France (et pas "la Révolution française") a pratiqué la "ré-éducation" avec les Colonnes infernales et le Génocide, en Vendée, et la Terreur partout ailleurs. Le Parti communiste chinois (comme l'URSS, héritier des révolutionnaires français) fait pareil : pourquoi s'étonner, s'en étonner ?
Et la République idéologique, le Système, qui se basent sur cette Révolution, pratiquent, avec leur ministère de la des-Éducation nationale, une ré-éducation permanente du Peuple français, un bourrage de crâne quotidien ininterrompu, maintenant que, depuis 45, il n'y a plus l'Action française, et maintenant que le Système a le monopole des médias du "Sévice public" (le mot est de Goldnadel).
Alors, oui, ce que fait la Chine communiste est horrible : elle martyrise les catholiques, elle martyrise les Ouïgours, elle martyrise et "efface" peu à peu le Tibet, elle martyrise Hong-Kong, qu'elle a rudement "mis au pas" et, demain, elle s'apprête à "mettre au pas" Taïwan, en martyrisant ceux qui résisteront.
Qu'a fait d'autre la Révolution en France, la République idéologique, le Système ? Sinon s'imposer par l'émeute, la violence, la Terreur. Puis, une fois installée, remplacer cette Terreur violente par une Terreur douce, un conformatage des esprits par la double propagande de "son" école et de ses médias aux ordres, depuis 45 ?
Comme le disait si justement Thibon : "le chaos figé des conservateurs du désordre" a remplacé "le chaos explosif des révolutionnaires", mais Macron, c'est toujours Robespierre, en cravate/costard (sauf avec ses très jeunes "admirateurs" antillais !...) et le Système aujourd'hui saccage toujours les fondements de la France, comme sous la Terreur...
1. Dans Boulevard Voltaire : "Limoges : une ville française..." encore un exemple des conséquences inéluctables de la folle politique d'immigration/invasion imaginée, planifiée, puis imposée par "le Système contre la France"...
3. Pour la République des copains et des coquins, la soupe est bonne, et il faut en faire profiter les copins et les copines... Alors que Macron a dit qu'il suffisait de traverser la rue pour trouver un boulot, Emmanuelle Wargon a choisi d'aller pantoufler dans une commission bidon, payée par nos impôts, en partie stérilisés et gaspillés dans cette sur-administration de folie qui caractérise le Système. Elle ne pourrait pas trouver un vrai boulot ? Pour info, son poste bidon est à la "Commission pour la Régulation de l'Énergie" : importantissime, vital même, pour le Pays, non ?
4. Aymeric Caron veut faire interdire la corrida. Pourquoi pas ? Mais, puisqu'il parle de "barbarie indigne", pourquoi, dans un souci de logique et de cohérence, n'ajoute-t-il pas "l'abattage rituel" - qu'il soit halal ou casher - à sa demande d'interdiction ?
"La semaine prochaine je déposerai une proposition de loi à l‘Assemblée nationale, soutenue par la FI et j’espère par les autres partis de la NUPEs, pour interdire la corrida en France. Il faut que cesse cette barbarie indigne de notre époque et de nous-mêmes."
5. Si c'est Darmanin lui-même qui le dit !...
Gérald Darmanin : "Aujourd’hui, les étrangers représentent 7 % de la population française et commettent 19 % des actes de délinquance. À Lyon et à Paris, 39 % et 48 % des actes de délinquance sont le fait d’étrangers."
Question de la Rédaction : puisque tu le sais, tu fais quoi depuis cinq ans ?
On dit ça, on dit rien...
EXPULSION GENERALE ET MASSIVE DES DÉLINQUANTS ÉTRANGERS !
FERMETURE DES FRONTIÈRES PAR ARRÊT DE LA DÉLIVRANCE DE VISAS À TOUT VA, ET SURTOUT À N'IMPORTE QUI !
6. Trouvé sur tweeter; pas mal...
7. Et l'on terminera cette série d'aujourd'hui par une bonne nouvelle, venue du Puy du Fou, qui annonce la sortie de son premier film en décembre. Son héros sera le grand Charette, campé par le talentueux Hugo Becker.
La fière devise du Chevalier de Charette est reprise par lafautearousseau :
"Combattu, souvent; battu, parfois; abattu, jamais !"
1896 : le Tsar Nicolas II est à Paris; il pose la première pierre du Pont Alexandre III (son père)
1285 : La paroisse Saint-Matthieu l'ancienne, de Perpignan, reçoit quatre épines de la couronne du Christ
C'est à sa mort, dans le Palais des rois de Majorque, à Perpignan, que Philippe le Hardi, qui les tenait de son père Louis IX (Saint Louis) confie ces reliques à la paroisse Saint-Matthieu, alors la plus proche du Palais. On l'appelle maintenant Saint-Matthieu l'ancienne car, en 1639, la ville étant assiégée par les troupes de Louis XIV, les Espagnols firent raser le monument et les maisons environnantes, afin que leur artillerie puisse atteindre les troupes françaises.
La nouvelle église de Saint-Mathieu (aujourd'hui, avec un seul "t") se trouve, maintenant, sur la rive gauche de la Basse, à Perpignan, et c'est elle qui conserve ces épines, que le roi Philippe III portait, auparavant, dans le pommeau de son épée.
La Couronne d'épines, conservée à Notre-Dame de Paris, ne conserve en effet plus que les joncs tressés de la couronne : toutes les épines furent confiées, au fur et à mesure, par Saint louis à diverses Institutions ou personnes privées, comme, en l'occurrence, son fils Philippe le Hardi.
1688 : Colbert règlemente définitivement l'appellation "Savon de Marseille"
Avec Louis XIV, Colbert met de l'ordre dans tout, et dans tout le Royaume, s'occupant aussi bien d'Art et de Sciences que d'économie; et aucun domaine n'échappe à cette réorganisation générale, à cette impulsion donnée, partout, à tout ce qui peut favoriser l'activité et l'enrichissement du pays...
Au XVIIème siècle, l'industrie du savon était florissante : en 1660, Marseille comptait 7 savonneries. En 1666, Colbert, contrôleur général des finances sous Louis XIV, donna le monopole de fabrication à la ville de Toulon, mais la mesure se révéla être un échec, ce qui le poussa deux ans plus tard à légiférer de nouveau : l'industrie du savon revint à Marseille, et y resta.
Colbert pensa protéger également les savonneries en instaurant une taxe décourageant les importations de savons étrangers : mais, assurés du coup de vendre leur marchandise, les savonniers finirent par produire un savon de moindre qualité, détériorant ainsi l'image du Savon de Marseille, et amenant l'augmentation des importations de savon, c'est-à-dire à l'effet exactement inverse de celui escompté !
Ce 5 octobre 1688, l'Édit du Roi se fixa pour but de redresser une fois pour toute la situation de cette industrie, soumettant les savonneries à un cahier des charges très strict :
"Le roi, ayant été informé que la mauvaise qualité des savons qu'on fabrique maintenant en Provence, en a considérablement diminué le débit, qui était très-grand; et que l'altération qu'on y fait pour le poids, et les défauts qui s'y rencontrent pour le peu de soins qu'on a de préparer les matières, a pu donner lieu aux étrangers d'attirer et d'établir cette manufacture chez eux, ce que Sa Majesté désirait empêcher, elle a résolu, pour remédier aux abus qui se sont introduits, de remettre cette fabrique dans sa perfection, et ordonne ce qui suit :
"ART.1er. Les manufactures de savon, de quelque qualité qu'elles soient, cesseront entièrement pendant les mois de juin, juillet et août de chaque année, sous peine de confiscation du savon.
"ART.2. Les huiles nouvelles ne pourront être employées à cette manufacture avant le 1er mai de chaque année, aussi à peine de confiscation de la marchandise.
"ART.3. Il est défendu de se servir dans la fabrique du savon, avec les barilles, soudes ou cendres, d'aucune graisse, beurre ni autres matières, mais seulement des huiles d'olive pures sans mélange de graisse, à peine de confiscation."
1795 : Bonaparte mitraille les royalistes sur les marches de l'église Saint Roch
Craignant une victoire des royalistes aux élections prévues pour la composition des deux nouvelles assemblées créées par la constitution de l'An III (Conseil des Cinq Cents et Conseil des Anciens), la Convention décide, le 20 Août, que les deux tiers des membres de ces deux futures assemblées seraient pris dans son sein; les électeurs n'en choisissant donc qu'un tiers.
Les royalistes se soulèvent, et une colonne de près de 25.000 personnes marche sur les Tuileries, siège de la Convention.
Celle-ci étant cernée, Barras fait appel au jeune général Bonaparte, qui laisse ses canonniers tirer pendant trois quarts d'heure...
Ce jour-là, le jeune général Bonaparte a définitivement choisi son camp : lui qui détestait le désordre et méprisait "la canaille" (voir l'Éphéméride du 20 juin, sur les sentiments du jeune Bonaparte face à la populace qui envahit les Tuileries), il va devenir "le général Vendémiaire", le sabre de la Révolution.
Pour le malheur de la France, il le restera pendant vingt ans, jusqu'à Waterloo, épuisant la France dans une guerre perdue d'avance...
Le futur Napoléon obéissait, ce jour-là, en choisissant son camp, à cette Convention nationale élue par... 5% de la population, ce qui constitue bien la plus grande escroquerie démocratique de tous les temps : voir l'Éphéméride du 21 septembre...
Et, pour connaître encore mieux le sujet, lisez cet excellent article de Patrick Barrau : les canons contre la démocratie...
1896 : Début de la visite du Tsar Nicolas II à Paris
Nicolas II, qui vient de ceindre la couronne en 1894, souhaite poursuivre le rapprochement politique avec la France déjà opéré par son père, Alexandre III.
La capitale garde de cette visite une trace impressionnante dans son paysage urbain : c'est pendant ce voyage que Nicolas II posa à Paris la première pierre d’un pont qui va porter le nom de son père - Alexandre III - et qui sera inauguré en 1900 :
Le pont Alexandre III enjambe la Seine dans le prolongement de l'avenue des Invalides et présente la particularité d'être le seul pont de Paris constituée d’une seule arche (107 mètres de long) d’une rive à l’autre, c’est-à-dire qu’il est dépourvu de "pile" dans l’eau pour le soutenir en son milieu.
Cette prouesse est rendue possible par la maîtrise de l’acier dans la
construction (les ponts de Paris sont jusque-là essentiellement en pierres) et par l’existence de quatre colonnes qui renforcent les berges sur lesquelles s’exerce une pression considérable.
Richement décoré, c’est probablement le pont le plus élégant et le plus célèbre de la capitale.
La Chronique de Mathieu Bock-Côté, dans Le Figaro (extrait) :
"Tandis qu’elle fait usage de l’idéologie universaliste pour détruire ce qu’il reste de l’école libre, la République tolère la progression de la civilisation islamique en France.
Cela fait quelques mois, déjà, que l’abaya est devenue le symbole de l’offensive islamiste à l’école et, plus encore, de la sécession culturelle d’une partie de la jeune génération issue de l’immigration, qui entend marquer visiblement une forme de différence conquérante. Certains veulent voir dans sa présence une «atteinte à la laïcité». Cela nous rappelle à quel point le discours public français n’envisage le commun que sous le signe de la laïcité, comme s’il s’agissait de la seule identité collective autorisée.
Mieux vaudrait, si ce vocabulaire était autorisé, parler d’une atteinte à l’identité française, d’une agression symbolique explicite contre le peuple français ou, plus exactement, de l’effet inévitable d’un changement démographique qui ne peut s’accompagner que d’un changement culturel. Un pays ne change pas de peuple sans changer d’identité. La laïcité ne survivra jamais à la mutation démographique française..."
1. Encore des violences, à Brest cette fois, des "faux antifas/vrais terroristes". D'accord avec Bruno Attal :
"La racaille d’extrême-gauche qui agresse des partisans de #Zemmour à #Brest crie : "policiers collabos". Dissolution d’urgence M. @GDarmanin des (anti)fas et autres groupuscules de fachos gauchos. Merci aux #FDO"
1 BIS. La relation des faits, par Éric Zemmour... :
"Une attaque est en cours et c’est un triple scandale : 1- des milices d’extrême gauche, soutenues par LFI, attaquent cet après-midi ma dédicace à Brest. Ils s’en prennent à des adolescents et à des personnes âgées sans défense, les tabassant jusqu’au sang. Le reste des sympathisants est confiné à l’intérieur de l’hôtel, en panique entre les jets de projectiles et les gaz lacrymogènes. 2- les antifas les plus violents ont été capables d’approcher mes sympathisants : pourquoi ? Pourquoi ne sont-ils pas enfin empêchés de nuire ? Pourquoi le pouvoir arrive-t-il à neutraliser des manifestants inoffensifs avec des casseroles et pas des voyous qui jettent des barrières sur des sympathisants et des policiers ? Le @Prefet29, le même qui a « géré » la catastrophe du stade de France, choisit-il les citoyens qui méritent d’être protégés ? 3- le comble : je vois que la presse, au lieu de s’indigner d’une telle violence, parle désormais d’affrontements, de heurts entre sympathisants et opposants. Ce signe égal entre les agresseurs et les agressés est insupportable. Les images parlent d’elles-mêmes, regardez-les."
Ce lien donne accès à quatre très courtes vidéos sur ces violences :
"A #Brest, les milices d'extrême gauche ont de nouveau utilisé la violence contre les lecteurs d'@ZemmourEric, sans épargner des femmes, enfants et personnes âgées. La responsabilité du @Prefet29 est clairement engagée. Il y a une défaillance absolue dans la gestion des contre-manifestants qui ont pu approcher de la salle sans qu’aucune charge de police ne soit donnée."
4. L’abaya n’est pas un signe religieux musulman, selon le Conseil français du culte musulman. En quarante secondes, Michel Onfray dit ce qu'il en pense...
6. Autres violences, lors de la manifestation (?) contre la ligne TGV Lyon/Turin : d'accord avec Matthieu Valet : "Soulèvement de la terre" ? Une association violente à dissoudre, tout simplement...
Mathilde Panot, porte-parole de LFI, participait à cette manifestation interdite. Elle devrait être interpellée et présentée à la justice...
7. Et l'on terminera cette série d'aujourd'hui en "ouvrant" la semaine avec un grand BRAVO ! à nos amis de VOX et à leur chef, Santiago Abascal, qui "entrent" dans la direction de plusieurs grandes villes espagnoles. Les journaleux de BFM, qui n'ont rien compris ou font exprès, les appellent "d'extrême-droite" alors qu'ils sont, simplement, d'extême patriotisme...
C'est lui qui a proposé cette belle définition de la politique :
"La politique n'est pas l'art du possible, mais l'art de rendre possible ce qui est nécessaire"
(par Philippe de Champaigne)
Il fut l'un des principaux artisans de la création de l'État moderne.
Au chapitre XI de son Histoire de France, Jacques Bainvile écrit :
"Il fut un grand homme d'État non pas tant par ses calculs et ses desseins que par l'exacte appréciation des moyens nécessaires pour arriver au but et des rapports de la politique et de l'administration intérieures avec la politique extérieure...
On était en 1635. Il y avait vingt-cinq ans que la France écartait la guerre. Cette fois, elle venait nous chercher et Richelieu dut s'y résoudre. Et l'on vit, comme au siècle précédent, quelle grande affaire c'était que de lutter contre la maison d'Autriche. Après quelques succès, dans les Pays-Bas, nos troupes furent débordées et l'ennemi pénétra en France. La prise de Corbie par les Espagnols en août 1636 rappela que notre pays était vulnérable et Paris dangereusement voisin de la frontière. Louis XIII et Richelieu restèrent dans la capitale, ce qui arrêta un commencement de panique et aussitôt il se produisit un de ces mouvements de patriotisme dont le peuple français est coutumier, mais qu'on avait cessé de voir pendant les guerres civiles.
L' "année de Corbie" a beaucoup frappé les contemporains. La France y donna en effet une preuve de solidité. Elle prit confiance en elle-même. C'est l'année du Cid, l'année où Richelieu fonde l'Académie française. L'annonce du siècle de Louis XIV est là..."
Le château du Cardinal, à Richelieu (reconstitution par image de synthèse)...
Le Cardinal a fait construire à Richelieu un merveilleux château (ci dessus), presque entièrement démoli par les révolutionnaires, et dont il ne reste quasiment rien, ainsi qu'une ville nouvelle, à côté, qui, elle, a été préservée.
Là comme ailleurs, comme en tant d'autres endroits et pour tant de merveilles d'un Patrimoine inestimable, Révolution, qui a détruit entre le quart et le tiers du patrimoine culturel français, a commis ainsi un crime contre la France, son Histoire, ses Arts et son Patrimoine; mais aussi un crime contre la Culture universelle et contre l'humanité; un crime imprescriptible...
Les deux vidéos suivantes permettent de se faire une petite idée de ce crime :
Le siège de Sébastopol fut le principal épisode de la Guerre de Crimée. Le général Patrice de Mac-Mahon fut chargé de s'emparer du fort de Malakoff, clé de la défense russe (ci dessous).
Après trois jours d'une préparation d'artillerie intense, la division Mac-Mahon s'élança, le 8 septembre 1855 à midi, avec une impétuosité telle que l'ennemi fut littéralement submergé. Le nettoyage du fort fut rapide, malgré la résistance héroïque des Russes. Dans le courant de l'après-midi, le général Niel prévint Mac-Mahon que les Russes allaient faire sauter l'ouvrage et lui recommanda de l'évacuer. Celui-ci répondit seulement: "J'y suis, j'y reste !"...
1949 : Le château de Barbentane et son Parc classés aux Monuments historiques
Surnommé Le Petit Trianon de la Provence - ou le plus italien des châteaux provençaux de la Renaissance - le château fut bâti en 1674 par l’architecte Louis-François de Royers de la Valfenière, pour Paul François 1er de Puget de Barbentane.
Il fut remodelé par Paul François II, fils du précédent en 1741, recevant alors ses fameuses voûtes plates et surbaissées.
L’intérieur fut encore embelli au XVIIIème siècle par Balthazar de Puget de Barbentane, fils de Paul François II, ambassadeur de Louis XV en Toscane. Le château fut sauvegardé pendant la Révolution du fait que Paul François Hilarion de Puget, marquis de Barbentane, ancien officier du roi, accepta de devenir général de la république...
C'est tout l'ensemble formé par le château et son parc, ainsi que les bâtiments de la basse-cour et les sculptures et décors du parc, qui ont été classés Monument historique le 9 septembre 1949...
Le cerveau et le jugement (?) de Mélenchon sont-ils "hors service" ? Sont-ils "en état de mort cérébrale", pour reprendre un propos récent de qui vous savez ?...
Sans aucune crainte du ridicule, Méluche n'a pas craint de tweeter cet incroyable message :
Jean-Luc Mélenchon
"La présidence #LREM élue avec l'abstention du RN... un moment de honte est vite passé ? Bienvenue dans le monde d'un pouvoir battu dans les urnes qui se maintien avec des petits arrangements d'amis."
De la part de quelqu'un qui a fait ré-élire Macron, en répétant par trois fois "Pas une voix à Madame Le Pen !...", voilà qui ne manque pas de sel !!!!!
En parlant de "petits arrangements d'amis", à propos d'une prétendue alliance RN/LaRem, Méluche ne s'est même pas (même plus ?) rendu compte qu'il parlait, en réalité, du gros et bien réel - lui - "arrangement d'amis" entre lui-même et Macron !
Vraiment, il est fatigué, Mélenchon... Il devrait lui aussi "consulter"...
1. Amusante mais surtout juste remarque d'Olivier Babeau, à propos d'un ministre à "démissionner" d'urgence :
"Un ministre de l’éducation nationale qui met ses enfants dans le privé d’excellence, c’est un peu comme un militant vegan qui dévore des côtes de bœuf chez lui…"
"Ben, voyons !", comme dit Zemmour... Et les gens modestes, les "gueux" qui ne peuvent pas payer à leur(s) enfant(s) une scolarité de privilégiés, de "gosses de riches", ils font comment ?
Ils les mettent où, leurs enfants ?
SYSTEME POURRI DE PRIVILÉGIÉS QUI EN PROFITENT BIEN, MAIS SE FICHENT BIEN PAS MAL DES PROBLÈMES DES VRAIS GENS, DANS LA VRAIE VIE !
POUR EUX, C'EST "AU BON BEURRE" TOUS LES JOURS, ALORS LE PETIT PEUPLE...
2. (Sur Europe 1, invité par Sonia Mabrouk) Alain Finkielkraut dit tout haut ce que tout le monde sait et pense, mais tout bas pour trop d'entre nos concitoyens. Alors, puisque ce qui va sans dire va encore mieux en le disant, disons-le et re-disons-le gaîment, avec Finki :
"La France Insoumise mise sur le Grand remplacement pour arriver un jour ou l’autre au pouvoir"
3. Danger, Allemagne ! Le Système n'a pas écouté Bainville et l'AF (et les patriotes) en 14, perdant la paix gagnée par le sacrifice d'un million et demi de jeunes Français; et Clemenceau, démembrant l'Empire Autrichien mais pas l'unité allemande, nous a... donné Hitler, vingt ans après, comme le prophétisait Bainville. Le Système va-t-il recommencer aujourd'hui ? Mike Borowski a raison de tweeter ceci :
"Le chancelier allemand annonce fièrement que l’Allemagne aura très vite la plus grande armée d’Europe continentale et la France macroniste l’accepte très gentiment. Y a pas des traités de non-réarmement signés 1945 par l’Allemagne ? La France doit les faire respecter."
Notre réponse à Mike Borowski, en deux mots, forcément trop courts, mais l'essentiel y sera : la France, oui; mais elle ne le pourra pas plus aujourd'hui qu'elle ne l'a pu hier. Pourquoi ? Parce qu'elle est gouvernée par un Système, une République idéologique anti nationale qui l'affaiblit et qui a créé, par germanophilie, depuis les Encyclopédistes, le "monstre "Allemagne unie" qui nous a fait tant de mal : 1870, 1914, 1939... demain ?
Une seule solution, Mike Borowski : renouer avec la Royauté, le régime qui a fait la Franc et sa grandeur, en n'ayant en vue que l'intérêt national, comme le prouvent les Traités de Westphalie, morcelant les Allemagnes : un "chef-d'oeuvre" absolu, selon Bainville...
4. "La police tue !" dit Mélenchon. Il y a bien une police politique du Système, pourrie à son image, qui se charge des "basses oeuvres" (celle qui a assassiné ou laissé assassiner Philippe Daudet, pour ne prendre qu'un exemple...). Celle-là, bien entendu, nous la vomissons. Mais "le policier de base", celui et celle qui nous protègent au quotidien et dont la tâche devient de plus en plus ingrate, pénible, dangereuse, celui-là, celle-là, nous les respectons et nous saluons leur difficile travail : combien d'attentats terroristes déjoués ou empêchés (et donc, combien de morts ?) grâce aux services de Police, Gendarmerie et associés ? Ceci pour dire que, contrairement à Mélenchon, nous n'avons aucune hostilité envers ces citoyens comme les autres qui exercent un métier plus qu'utile, de nos tristes jours : de plus en plus indispensable et vital. Et, au lieu de leur jeter scandaleusement une pierre, nous préférons saluer une belle initiative de leur part :
Les policiers de la BI récoltent de l'argent pour les enfants malades en relevant le défi de Monte-Cristo à Marseille. En relevant ce défi et en parcourant six kilomètres à la nage, les policiers de la BI ont récolté un peu plus de 3000 euros qui sont destinés à l'association Princesse Margot, qui aide les enfants touchés par la maladie :
6. (Dans Valeurs) "Paris est l’une des villes où on se fait le plus dépouiller" : les touristes pointent du doigt la délinquance dans la capitale... L'article (?) est bien court, mais au moins l'alerte est, non pas donnée car on le sait depuis longtemps, mais reprise et relayée... jusqu'à ce que les autorités fassent enfin quelque chose pour faire cesser ce lamentable état de fait ?...
7. Et puisqu'on parle de Paris saccagé, terminons sur une note d'humour, même s'il est bien triste, en fait, et si l'on ne peut que rire jaune... Au moins s'agit-il d'une dénonciation supplémentaire des responsables du désastre !
Quand un cyclone aux USA fait prendre conscience, ici, en France, de ce qui se cache dans la tête des soi-disant "anti-racistes", "bonnes âmes" auto-proclamées, qui ont fait en réalité de leur mauvais esprit un très juteux fonds de commerce...
C'est encore Gilles-William Goldnadel qui vise juste et fait mouche :
"Quand la vice présidente veut indemniser les victimes du cyclone en fonction de la couleur de peau. Présidente du vice racialiste. Scandale aux USA, silence coupable en France."
1. De Loïk Lefloch Prigent : "L’électricité coûte 30€ le KWH à produire et distribuer", si nous l’achetons à plus 3.000 euros, c’est que l’élite "à créé un marché artificiel avec des parasites ... qui spéculent." CQFD...
1 BIS. Olivier Marleix s'inquiète - à juste titre... - de la nomination de Luc Rémont à la tête d'EDF :
Bonne question d'Emmanuel de Villiers (sur tweeter) : "Avec l’état de la filière nucléaire etc. Est-ce qu’on peut encore s’offrir le luxe de nommer un pote à EDF ? Bonne intervention de @oliviermarleix"
1 TER. D'accord avec le sénateur communiste de Seine Saint Denis, Fabien Gay, sur la "spoliation" d'EDF et ces "requins qui, dès qu'ils peuvent se goinfrer, viennent le faire sur notre dos"...
4. (Dans La Dépêche) À Saint-Lys, au sud de Toulouse, le maire PS rameute la population pour dire "non" aux migrants que l'État veut installer dans leur ville...
SOUTIEN TOTAL À TOUS CEUX QUI REFUSENT DE SE VOIR IMPOSER
PAR UN ÉTAT HORS SOL ET ANTI NATIONAL
UNE POPULATION DE SUBSTITUTION/REMPLACEMENT !
LES ENVAHISSEURS, REBAPTISÉS "MIGRANTS"
ONT DÉJA UN PAYS, UNE TERRE : LES LEURS !
QU'ILS Y RESTENT ET QU'ILS LES METTENT EN VALEUR !
4 BIS. Nous parlions ici-même hier de cet élu municipal de gauche des Mureaux qui démissionnait et quittait "sa" ville, face aux violences dont il était l'objet de la part des "nouveaux venus" (!). Marion Maréchal et le "Francocide"... :
"L’idée du francocide, c’est de mettre un mot sur un phénomène de société. Une insécurité endémique principalement originaire d’une délinquance ou issue de l’immigration, ou de nationalité étrangère, à l’encontre de Français"
4 TER. Matthieu Valet dans commente les violences impressionnantes de Nantes :
"A Nantes, plus de 50% des voyous interpellés par les policiers sont de nationalité étrangère. Il y a des voyous étrangers qui prennent la France pour un Eldorado à victimes. Qui pensent qu’on peut dépouiller, cambrioler en toute liberté"
Pour lutter contre la destruction de notre Société (car c'est bien de cela qu'il faut parler, maintenant, et plus de violences ou d'ensauvagement) il faut commencer par le commencement :
la destruction de ce Système, qui détruit la France !
7. C’est confirmé ! La France s’apprête à livrer de nouveau canons CAESAR (entre 6 et 12) à l’Ukraine. Des exemplaires initialement prévus pour le Danemark. Alerté par l’EMA, Macron aurait renoncé à prélever de nouveaux Caesar dans le parc français. Motif : nombre insuffisant en dotation dasn notre arùée. Mais ce qui vaut pour l'excellent canon Caesar vaut pour tous nos matériels, danS les trois armes. Nous avons une excellente armée, dotée d'excellents matériels, mais en nombre insuffisant; une excellent armée d'échantillons. C'est de toute urgence qu'il nous faut le budget militaire à 4% du PIB : 1¨pour chacuend es trois Armes (Air, Terre, Mer) et 1% pour le nucléaire (toutes armes confondues)...
Philippe IV le Bel accorde à la ville de Cahors la permission de "lever et recevoir barre ou passage" pour la construction du Pont Neuf, ou Pont Valentré.
C'est aujourd'hui le plus beau et le mieux conservé des ponts médiévaux européens.
Il est le concepteur et le créateur - sur ses deniers... - du Canal du Midi, qui fut considéré légitimement, comme la prouesse technique du XVIIème siècle...
1793 : Deuxième loi de Lazare Carnot organisant le Génocide vendéen
Il est prévu l' "Extermination totale des habitants…" : comme le dit Pierre Chaunu, nous n'avons pas les ordres écrits des dirigeants nazis concernant les camps d'extermination, mais nous disposons de ceux de la Convention concernant le Génocide vendéen, voulu, approuvé, programmé et appliqué méthodiquement, par des gens qui savaient très bien ce qu'ils faisaient : tout est intégralement conservé au château de Vincennes...
• Pour la première loi de Carnot organisant le Génocide vendéen, voir l'Éphéméride du 1er août
2009 : mise au jour au Mans (Sarthe) de deux charniers datant des guerres de Vendée. Parmi la vingtaine de squelettes exhumés, "de nombreux corps portent les stigmates d'un véritable acharnement", souligne l'Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap).
La plupart ont été tués à l'arme blanche, lors de la fuite de l'armée catholique
et royale vendéenne devant les soldats républicains les 12 et 13 décembre 1793. Il y aurait au total 2.000 corps enterrés dans le centre-ville du Mans.
"Les Vendéens n'étaient pas tués pour ce qu'ils faisaient, mais pour ce qu'ils étaient" (Reynald Sécher).
Le 29 janvier 1881 suite à l’interdiction de la pièce Thermidor de Victorien Sardou, jugée "antirépublicaine", Georges Clemenceau répond à Joseph Reinach :
"J'approuve tout de la Révolution : j'approuve les massacres de septembre où, pour s'éclairer, la nuit venue, les travailleurs plantaient des chandelles dans les yeux des morts.
J'approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains où les vierges accouplées à des hommes, par une imagination néronienne, avant d'être jetées dans la Loire, avaient à la fois l'angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée.
J'approuve les horreurs de Lyon, où l'on attachait des enfants à la gueule des canons, et les égorgements de vieillards de quatre vingt dix ans et de jeunes filles à peine nubiles.
Tout cela forme un bloc glorieux et je défends qu'on y touche.
Je défends que, sur un théâtre qui dépend de l'État, un dramaturge illustre vienne, après plus de cent ans révolus, prononcer une parole de pitié qui serait un outrage aux mânes augustes de Robespierre et de Marat".
1872 : Création de L'Arlésienne, de Bizet
1955 : Révolution dans l'automobile : la Citroën DS
Dessinée par Flaminio Bertoni dans un souci d'aérodynamisme, son style rompt radicalement avec la Traction qu'elle remplace.
• un autre Allemand, Hitler, l'a fait disparaître en moins de trois mois : la IIIème République, qui eut une naissance sans gloire, connaîtra une fin elle aussi sans gloire...
En 1918, une France héroïque remporta une guerre que la République n'avait su ni empêcher ni préparer. Le prix à payer fut épouvantable : un million et demi de morts, "couchés froids et sanglants sur leur terre mal défendue", selon le mot de Maurras.
Sitôt l'armistice signé, l'Action française et tous les Français lucides demandèrent que l'on ne s'arrêtât pas sur place, mais que l'on pénétrât en Allemagne, jusqu'à Berlin, et que l'on détruisît la puissance allemande; puis que l'on démembrât l'Allemagne (l'Empire Allemand, proclamé en 1870, n'avait même pas cinquante ans d'existence !...).
Dans cette optique, les pays rhénans - de la frontière nord de l'Alsace à Cologne - devaient accéder à l'indépendance, et, ainsi libérés de la tutelle prussienne, la rive gauche du Rhin redevenait ouverte aux influences françaises, avec possibilité de réunions ultérieures...
C'était l'exigence du Bien commun, et du bon sens le plus élémentaire : en revenir à la sage politique traditionnelle des rois de France, qui avait culminé aux Traités de Westphalie, voulus par Richelieu, et "chef-d'oeuvre absolu" pour Jacques Bainville.
Nos "excellents alliés"(!) anglo-saxons ne le voulurent pas et ne le permirent pas; et, par idéologie anticatholique, Clémenceau détruisit bien un Empire, mais pas le "bon": il détruisit l'Empire austro-hongrois, parce que catholique, laissant "l'Allemagne unie" intacte !
Depuis la prussophilie des auto-proclamés philosophes du XVIIIème puis de leurs successeurs, et le suicidaire principe des nationalités, Clemenceau et la République idéologique se trouvaient mentalement en "intelligence avec l'ennemi", c'est-à-dire avec l'Allemagne unifiée, création de la Révolution, de la République et des deux Empires - comme l'était tout ce qui se prétendait "progressiste" depuis l'époque des auto-proclamés "Philosophes"... Aussi ne fut-il pas question de démembrement de l'Allemagne au funeste et tragique Traité de Versailles, où la République perdit la paix là où la France, au prix fort du sang de sa jeunesse, avait glorieusement et héroïquement gagné la guerre...
"On écrase une Nation, on ne l'humilie pas", disait Bismarck : Clémenceau fit tout le contraire : il n'écrasa pas l'Allemagne, la laissa même intacte, dans toute "ses" puissances (démographique, territoriale, militaire...) mais il l'humilia. Hitler fit de cette humiliation le terreau de son idéologie mortifère...
Clemenceau laissa, donc, l'Allemagne intacte, avec toute sa puissance, dont elle ne perdait que quelques miettes, et se contenta de l'humilier par d'incessantes condamnations morales (autant de "paroles verbales"...) et la fallacieuse promesse de mirobolantes indemnités, qui ne furent quasiment pas payées.
Clémenceau (ci contre) prononça les paroles terribles qui scellaient la tragédie en ouvrant le Congrès de Versailles, présentant, d'un côté les Alliés, "et, de l'autre, l'Allemagne...". Dès ce moment, les choses étaient écrites...
Pourtant, quotidiennement, Jacques Bainville, les militaires et tout ce que la France comptait d'esprits raisonnables expliquaient ce qu'il fallait faire, et qu'il suffisait de faire, puisque les Alliés étaient vainqueurs : rien n'y fit, et, comme l'annonçaient Bainville, Foch et d'autres encore, on eut, "dans les vingt ans", la seconde Guerre mondiale et toutes ses horreurs; on eut... Hitler à Paris, et, de cela, la République française, le Régime, le Système porte la lourde, l'écrasante responsabilité...
Dès six heures du matin, Hitler entreprend au pas de course une visite de Paris : l’Opéra, la Concorde, l’arc de triomphe : sur l’esplanade du Trocadéro, il pose devant les photographes, dos à la Tour Eiffel, puis se dirige vers l’École militaire.
Aux Invalides, il se recueille longuement devant le tombeau de Napoléon 1er. Il remonte ensuite vers le jardin du Luxembourg, s’arrête au Panthéon, descend le boulevard Saint-Michel à pied, ses deux gardes du corps à distance, remonte en voiture la place Saint-Michel.
Sur l’île de la Cité, il admire la Sainte-Chapelle et Notre-Dame, puis la rive droite (le Châtelet, l’hôtel de ville, la place des Vosges, les Halles, le Louvre, la place Vendôme). Il remonte ensuite vers l’Opéra, Pigalle, le Sacré-Cœur, avant de repartir à 8h15. Un survol de la ville complète sa visite.
Il ne remettra plus jamais les pieds à Paris...
Quant à Hitler et au nazisme proprement dit, alors que Charles Maurras a été condamné d'une façon aussi injuste qu'aberrante pour intelligence avec l'ennemi en 45 (voir l'Éphéméride du 28 janvier), on se reportera avec profit à l'excellente mise au point de Laure Fouré, juriste, dans Boulevard Voltaire :
Macron le boni-menteur et son semble-gouvernement nous disent de nous chauffer un peu moins, de rouler un peu moins, de pratiquer des "écogestes" (!). Mais, que le Pays légal commence par donner l'exemple ! Et pour en prendre justement un seul, d'exemple : pourquoi ne pas supprimer l'immense parc automobile des "voitures de fonctions", toutes administrations confondues, dans tout le pays, depuis les grandes villes (500 voitures à Marseille sous l'ère Gaudin) jusqu'au sommet de l'État, en passant par les Préfectures et Régions, les Administrations ? Dans les royautés nordiques, les ministres vont au travail en métro...
Rappelons aussi que les grands de ce monde, avant de nous donner des leçons, pourraient aussi, avant nous, faire des économies, et à une échelle bien plus grande : gigantesque !
Des exemples ? :
• les Jeux olympiques d'hiver se sont déroulés à Pékin sur de la neige artificielle;
• en France, des stations de ski éclairent des pistes jusqu’à minuit pour que les "lève tard" puissent skier en nocturne;
• la Lufthansa effectue 8.000 vols "à vide" pour garder ses créneaux de vol;
• un grand nombre des grands matchs de foot se déroulent en soirée sous les spots de méga projecteurs qui consomment à tout va;
• les 8 nouveaux et gigantesques stades de foot appelés à recevoir la Coupe du monde au Qatar sont climatisés, en plein désert;
• le plus grand paquebot du monde, le Wonder of the seas, va promener 7.000 passagers, 2.300 membres d'équipage et... tourner en rond sur les mers;
• les milliardaires s'offrent des voyages dans l'espace à des conditions "astronomiques", et on ose nous montrer ces images au 20h de TF1 et France 2, alors que des centaines de milliers de Français (des millions ?), nous disent ces mêmes 20h, restreignent leurs achats alimentaires, repoussent leurs dépenses de santé, se privent de choses importantes, voire simplement nécessaires;
Alors,
• quand des rigolos pas drôles du tout veulent - "par souci d'écologie", qu'ils disent ! - interdire de rouler avec une voiture diesel un peu ancienne à des gens qui n'ont pas les moyens de changer de voiture et qui doivent s'en servir pour aller travailler;
• quand d'autres rigolos pas drôles du tout ont fermé Fessenheim alors qu'ils rouvrent la centrale à charbon de Saint Avold, en Moselle;
• quand on voit tant de gabegie, d'incohérences, de gaspillages etc... on ne peut que répondre à ces faillis en tout genre : commencez par balayer devant votre porte, au lieu d'essayer de nous culpabiliser et de faire retomber la faute sur nous !
1. Encore un exemple, pour ce qui précède : le G7 ! Déplacement de Macron au G7 à Elmau : un Airbus A330 et un Falcon pour le vol Paris Munich, puis un Hélico super-puma AS332 venu spécialement de Villacoublay pour les 100 derniers kilomètres Munich/Elmau. Un seul appareil n'aurait-il pas suffi ? On dirait Elon Musk, sauf que, là, c'est nous qu'on paye !
2. C'est par la tête que pourrit le poisson. Et "la tête" d'Edwy Plenel... En Norvège, un terroriste islamiste Zaniar Matapour, Iranien déjà connu/condamné/suivi/ radicalisé etc... a "tiré dans le tas" autour d’un bar connu pour être fréquenté par des homosexuels en plein centre-ville d' Oslo, faisant deux morts et 21 blessés. De quoi s'inquiète Plenel ? De cette violence ? Que nenni ! Des répercussions que cela pourrait avoir avoir en France, à cause de la percée de l'extrême-droite ! Ce n'est plus de l'esprit tordu, de la mauvaise foi, du "delirium tremens", mais... du délirium très épais !!!!!
À CE STADE, EDWY, IL FAUT "CONSULTER", C'EST URGENT !
2 BIS. Il n'y a pas que Plenel qui devrait "consulter" : Sandrine Rousseau aussi ! Elle ne craint pas de s'afficher toute joyeuse, aux côtés de la soeur d'Adama Traoré, "le violeur à la fourchette", homosexuel refoulé, ainsi appelé parcequ'ii obligeait son co-détenu à lui faire des fellations, plusieurs fois par jour, sous la menace de sa fourchette. On rappellera donc à Sandrine Rousseau que la loi française considère également comme un viol le fait de forcer son codétenu à vous faire une fellation, particulièrement lorsque l'opération est répétée plusieurs fois par jour et ce pendant des mois...
Au centre, Taha Bouhafs, qui a défilé (?) avec une tête de Marine Le Pen au bout d'une pique et qui est poursuivi pour de multiples agressions sexuelles; à droite, une des membres du "gang des Traoré", qui violent la loi française par leur polygamie, et qui défend un de siens, violeurs...
Bref, que du beau monde !
4. D'accord avec Thierry Mariani :
"...Les sanctions sont une stupidité, elles ne feront jamais baisser la Russie car le reste de la planète ne les applique pas. Par contre qui paie la note ? Les Européens. Et les seuls qui profitent de la guerre sont les USA..."
5. Bossez, Français, bossez encore et toujours ! Il y a tant de privilégiés, dans le Système pourri, qui attendent votre argent pour se le répartir et le dévorer enter eux ! L’ex-ministre de la Défense, Sylvie Goulard, a été nommée au poste de sous-Gouverneur de la Banque de France avec 19.200€ par mois ! Soit, si l'on sait encore compter, 230.400€ par an Une belle promo après avoir été virée du gouvernement pour l’affaire des détournements et des emplois fictifs du MoDem ! Quoi ? Que dites-vous ? On ne vous entend pas ! Vous avez du mal à remplir votre chariot de provisions et achats indispensables ? Et alors ? Vous croyez que c'est le problème du Système ?
Il paraît qu'il fut un temps où il y avait des privilégiés ? Oui, c'est vrai : c'est maintenant ! Et c'est ici !
6. Bon commentaire d'Emmanuel de Villiers, sur tweeter :
"Le Pdt Macron s’étourdit dans les grandeurs des sommets internationaux tout en acceptant par hypothèse la présence de communistes au gouvernement de la France. Il a vraiment rien compris au poids de l’histoire Soljenitsyne et le goulag."
7. Hypocrites, Tartufes et Privilégiés du Système, unissez-vous ! Et prenez Pap NDiaye comme saint Patron !
Il est pour la mixité sociale, pour le vivre ensemble et autres sornettes, mais toutes ces billevesées, c'est...pour les autres ! Pour lui, il reconnaît et assume pleinement avoir placé ses enfants à l'École alsacienne, établissement privé et élitiste, afin qu'ils aient une "scolarité sereine"
À table, l'autre soir, on parlait de Rousseau. C'est l'homme du jour et il est de moins en moins probable que la fête de son bi-centenaire soit très heureuse pour sa mémoire. Chaque fois qu'une affreuse curiosité ramène la pensée sur Jean-Jacques, c'est pour découvrir chez lui un peu plus d'ignominie. Et pourtant, ce livre monstrueux, ce musée des horreurs qui s'appelle les Confessions, ce n'est pas un livre que le dégoût fasse refermer. Jean-Jacques a beau être, selon le mot d'un personnage de M. Anatole France, un "plat coquin", l'ouvrage où il s'est déshabillé et mortifié en public, ouvrage écoeurant, révoltant même si l'on veut, n'a pas la moindre platitude. Le sortilège de l'art le soutient et plusieurs de ces épisodes (celui du gué, celui des cerises, celui de la courtisane vénitienne) resteront parmi les choses célèbres de la littérature de tous les temps, en dépit de leur fausse innocence ou de leur troublante impureté.
C'était un très grand, un très puissant écrivain que Jean-Jacques. Quel critique a dit que sa période, pour l'ampleur, n'avait d'égale que celle de Bossuet ? Il est certain que son action n'a été si profonde qu'en raison du charme de sa voix.
Je ne sais comment l'on peut soutenir quelquefois que le peuple français n'est pas un peuple artiste, car il faut que, vraies ou fausses, les idées lui soient présentées d'une certaine manière pour entraîner son adhésion. Il y a un génie littéraire à l'origine de toutes les révolutions de notre pays, et jamais l'ignoble et barbare philosophie de Rousseau, n'eût pu tourner les têtes françaises si, par un surprenant hasard, ce Genevois n'eût joué d'un des instruments les plus mélodieux dont ait disposé un homme. Il fait songer à la légende de ce preneur de rats qui, en sonnant de sa délicieuse musique, conduisit au fond de la rivière non seulement tous les rongeurs qui infestaient la ville, mais les habitants de la ville avec eux.
La merveille, chez Rousseau, c'est que son infâmie, son angoisse nerveuse, son cynisme et, comme disaient de son temps ses adversaires, sa "lycanthropie" (transformation de l'homme en loup, ndlr), ne soient pas exclusives d'une atmosphère poétique. On y fut pris de son temps et la cour de Versailles elle-même voulut entendre le Devin du village. Cette opérette parut fraîche. Le coeur de Rousseau était cependant plus flétri et plus gros de turpitudes que celui du plus roué des hommes du monde d'alors. Ca ne faisait rien : ce rustre perverti répandait l'illusion de l'innocence. Il y a toujours eu autour de lui un fluide; je défie qu'on visite par exemple les Charmettes sans se sentir baigné dans un air qui n'est pas celui d'ailleurs. Ce n'est pas à dire que cet air soit ni pur ni sain.
Il s'en faut de beaucoup que l'histoire du laquais errant et de Mme de Warrens soit hygiénique et moins encore qu'elle soit belle. Il existe un portrait de Mme de Warrens par Largillière. Et Largillière, ce n'est pas un peintre qui se tourmente, qui trouve des dessous à la nature humaine. Son image de "maman" est néanmoins bien inquiétante et le dessin de la bouche y dément étrangement la tranquillité du regard. On place, malgré soi, Jean-Jacques d'un côté de ce tableau et Claude Anet de l'autre. On se souvient de ce qui se passait dans la petite maison rustique de la route de Chambéry et qui ne se raconterait pas décemment devant d'honnêtes femmes. Mais quelle magie, sinon celle de l'écrivain, a pu faire que les Charmettes soient tout de même restées comme un paysage d'idylle ?
L'enthousiasme et la sensibilité firent même longtemps que cette espèce de mauvais lieu en garda le caractère d'un temple. "Qui de nous, écrivait un jour Georges Sand en parlant des Charmettes, n'y a pas vécu en imagination les plus beaux jours de sa jeunesse ?" Merci bien, madame. Mais "qui de nous", en 1912, paraît un peu exagéré, et nous n'allons pas jusque là.
Arsène Houssaye eut un jour la curiosité de dépouiller le registre où les visiteurs des Charmettes consignent leurs impression à la façon immortelle de M. Perrichon. Il fit des trouvailles étonnantes pour toute la période qui va de 1820 à 1860. Il y avait presque côte à côte l'écriture d'une dame de la meilleure société qui se flattait d'avoir cueilli dans le petit jardin "la dernière pervenche oubliée par Rousseau", et la signature d'Orsini, "adepte et dévoué aux principes de l'immortel Jean-Jacques". La femme du monde et le terroriste, la petite fleur et la bombe, c'est bien tout le génie de Rousseau, c'est toute son influence et toute son oeuvre, et c'est l'allégorie des ravages qu'il a exercés parmi l'espèce humaine en général et sur la France en particulier.
Un des logis qu'il habita est moins "poétique" que les Charmettes. Allez le voir : c'est à Paris, en retrait de la rue Monge. Une plaque de marbre le désigne aux passants. Là Rousseau vécut avec Thérèse, et c'est de là, je pense, qu'il portait ses enfants au tour et ses livres funestes à l'imprimerie. De pauvres gens, des prolétaires habitent de nos jours ce taudis. Si l'ombre de Jean-Jacques vient les hanter, doivent-ils faire de mauvais rêves !
L'Action française, 23 juin 1912
Si ce n'est lui qui l'a directement comparé à Bossuet, Chateaubriand a tracé de Rousseau ce portrait flatteur :
"...Je commençai, à Lausanne, les Remarques sur le premier ouvrage de ma vie, l'Essai sur les révolutions anciennes et modernes. Je voyais de mes fenêtres les rochers de Meillerie : "Rousseau", écrivais-je dans une de ces Remarques, "n'est décidement au-dessus des auteurs de son temps que dans une soixantaine de lettres de la Nouvelle Héloïse, dans quelques pages de ses Rêveries et de ses Confessions. Là, placé dans la véritable nature de son talent, il arrive à une éloquence de passion inconnue avant lui. Voltaire et Montesquieu ont trouvé des modèles de style dans les écrivains du siècle de Louis XIV; Rousseau, et même un peu Buffon, dans un autre genre, ont créé une langue qui fut ignorée du grand siècle."
Mémoires d'Outre-Tombe, La Pléiade, tome II, pages 128/129.