UA-147560259-1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Un rajout à notre "Feuilleton Léon Daudet" (à l'épisode 61)...

    "Dans la peine comme dans la joie", dans les bons comme dans les mauvais moments, "la vertu de l'amitié" (pour reprendre l'expression de Jacques Bainville)...

     

    1. En "Une" de L'Action française du Dimanche 23 juin 1912 (milieu de la troisième colonne)... :

    En "Une" de L'Action française...

     

    2. ... et, toujours en '3une", dans L'Action française du lendemain, Lundi 24 Juin :

    1A.png

  • Une fin juin/début juillet en bonne compagnie : avec Léon Daudet !

     

    LAFAUTEAROUSSEAU sans inscription.jpgNotre Feuilleton Léon Daudet tire à a sa fin : son dernier épisode paraîtra dimanche... Au total, ce seront donc 265 épisodes que nous vous aurons proposés, depuis la fin février, puisque c'est pour célébrer notre dix-septième anniversaire, d'une façon un peu originale, que nous avions "lancé" ce Feuilleton, le mercredi 28 février dernier...

    En plus de nous permettre de célébrer dignement et utilement notre anniversaire, ce Feuilleton prend place après celui consacré à Charles Maurras, et avant celui que nous lancerons l'année prochaine, le 28 Février 2025, pour notre dix-huitième anniversaire, et qui sera consacré, lui, à Jacques Bainville. 

    Cela nous permet de réunir ces trois grands amis, fidèles à leur amitié d'esprit jusqu'à leur dernier souffle respectif. Et, surtout, de faire oeuvre utile, à la fois à l'intérieur de notre mouvement, et à l'extérieur. Car tout le monde a besoin de se former et de s'instruire, les royalistes et les autres. En offrant ainsi à tous, sans distinction, une connaissance commode et aisée de nos trois Maîtres, oui, nous pensons faire oeuvre utile, et profitable à tous...

    MAURRAS BAINVILLE DAUDET.jpg

    De plus, la fin de ce deuxième Feuilleton coïncidera avec l'entrée dans la Vie de ce chrétien sincère et assumé : Daudet est, en effet, décédé dans la nuit du premier au 2 juillet 42... tout un symbole !

    • Mais aussi, lundi, paraîtra une nouvelle "Grandes "Une" de L'Action française", consacrée à l'un des deux articles élogieux que Daudet avait publiés dans L'Action française en avril 1926, pour "lancer" Bernanos et, entre autres, son "Sous le soleil de Satan" :

    • numéro du Mercredi 7 Avril 1926 (à paraître lundi) :

    Grandes "Une" de L'Action française : "Révélation d'un grand romancier" : la critique élogieuse du "Sous la soleil de Satan", de Bernanos, par Léon Daudet...

    • numéro du Lundi 26 Avril 1926 :

    Grandes "Une" de L'Action française : 26 Avril 1926, Léon Daudet fait l'éloge de Bernanos : "On se demandait : "Quel sera le romancier de l'après-guerre ?" Eh, bien ! le voilà !...

    • Et vous avez pu lire, ces tous derniers jours, "les Luna Park avec Léon Daudet", dans cette Catégorie des Grandes "Une"... :

    - numéro du Samedi 28 Novembre 1925 :

    Grandes "Une" de L'Action française : (1/2) 27 Novembre 1925, 20.000 Parisiens acclament Léon Daudet à Luna Park...

    • numéro du Jeudi 30 Avril 1925 :

    Grandes "Une" de L'Action française : (2/2) On n'interdit pas Jeanne d'Arc ! Mercredi 29 Avril 1925, 20.000 Parisiens acclament Léon Daudet et l'Action française à Luna Park et s'opposent frontalement au gouvernement du Cartel des Gauches...

    • Enfin, notre 41ème Grands Textes a été consacré à l'avant-propos du Stupide XIXème siècle :

    GRANDS TEXTES (51) : "L'Avant propos - En manière d'introduction" du "Stupide XIXème siècle", de Léon Daudet...

    Nous espérons donc, ainsi - et, pour être tout à fait franc, nous le pensons... - que nous n'avons pas perdu notre temps pendant ces quatre mois, et que l'occasion des célébrations de notre anniversaire nous a permis d'enrichir d'une façon substantielle la quantité de documents mis à disposition des militants et propagandistes, amis et sympathisants de nos idées de Salut public; et que ceux-ci - ils ont déjà commencé... - en profiteront et useront comme il convient, afin de remettre Léon Daudet à la place qui est la sienne dans notre école de pensée et qui, c'est vrai, s'était un peu effacée...

    Alors, bonne et profitable lecture à tous !

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafautearousseau

    1AZZ.jpg

  • Législatives : pourquoi nous nous intéressons plus particulièrement à la 13ème Circonscription des Bouches-du-Rhône...

     

    Tout simplement, pour - peut-être... - amorcer un nouvel angle d'action afin de sauver la maison de Maurras...

    En 1997, lorsque la Bastide fut donnée à la Mairie, conformément au voeu de Maurras lui-même, l'ancien Maire, Paul Lombard, eut un comportement exemplaire, et la Bastide était ouverte à tous, et entretenue.

    Hélas ! Depuis le départ de Pierre Lombard, il y a une quinzaine d'années maintenant, toutes les tentatives "à l'amiable" avec la nouvelle Mairie ont échouées, et cette bourrique de municipalité "de gauche, Maire communiste", refuse toujours la moindre ouverture, se contentant de laisser pourrir la situation, et la Bastide, en ne l'entretenant pas et en la fermant au public.

    La fermeture  (du bâtiment), au lieu de l'ouverture (d'esprit) !

    Dans une ville bâtie "non pas au bord de l'eau, mais dans l'eau" (comme le disait joliment Alexandre Dumas) il est clair qu'un édifice jamais ouvert et aéré, jamais ventilé, est en danger. L'humidité pénètre chaque jour un peu plus les pierres et les poutres. Quand (cela dure depuis quinze ans déjà !) cette humidité aura définitivement pénétré le coeur même de ces pierres et de ces poutres centenaires, le drame se produira, inéluctablement. La maison s'effondrera...

    Ce sera, ce serait un crime contre le Patrimoine, mais aussi contre la Culture et l'Esprit français.

    Certes, l'acteur principal, dans cette affaire du sauvetage espéré de la Bastide de Maurras, restera la Mairie, propriétaire du bien. Néanmoins, étant donné l'attitude scandaleusement suicidaire de cette bourrique d'équipe municipale, tous ceux qui pourraient être des "acteurs périphériques" (Député, Président de Région, pourquoi pas Ministre de la Culture...) sont, au moins, à contacter et à informer.

    C'est dans cette optique que, puisque l'actualité nous offre, en premier, les élections législatives, lafautearousseau souhaite ardemment l'élection d'Emmanuel Fouquart, et demande à tous ses amis, lecteurs, sympathisants de voter et faire voter pour lui.

    Moi-même, martégal du côté paternel, et tout ce que nous comptons encore d'amis, parents et alliés dans la Venise provençale (où nous avons toujours notre lieu de rassemblement mémoriel et familial que constitue notre Concession perpétuelle au Cimetière Saint Joseph, où reposent mes grands-parents, mes parents et deux de mes frères); moi-même, donc, et mes parents et alliés faisons ce que nous pouvons, sur place, comme nous le ferons pour les prochaines municipales, pour que "change" la Mairie.

    Car, dans l'impasse totale où l'actuelle a figé la situation, et face à ce "mur de Berlin" qu'elle a érigé autour de la Bastide, il semble bien que seul le changement des équipes (municipales, départementales, régionales) permettra de sauver cette Bastide en grand danger...

    François Davin, fondateur et Blogmestre de lafautearousseau

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/03/17/x-6219815.html

    Martigues vue du ciel.

    Dans La Provence :

    Le député (PCF) sortant Pierre Dharréville fera tout pour conserver son siège à l’Assemblée nationale.

    Dans la XIIIe circonscription (Pays martégal - Istres - Port-Saint-Louis-du-Rhône), l’issue des législatives semble une nouvelle fois incertaine. Souvenez-vous, en 2022, à l’heure du second tour, le député sortant, Pierre Dharréville (PCF) remportait sur le fil son duel face au RN Emmanuel Fouquart. Une victoire pour la gauche unie, certes, mais d’une courte tête (52 %). Depuis, le parti à la flamme n’a pas faibli dans les urnes. Bien au contraire.

    D’ailleurs, au regard des scores réalisés par sa famille politique à l’occasion des dernières européennes, le candidat frontiste, conseiller municipal d’opposition martégal, suppléé par Gisèle Gonzalez, se dit qu’il pourrait bien, le 7 juillet, prendre sa revanche. C’est simple, dans cette "circo" acquise depuis douze ans à la gauche - communiste d’abord, puis rassemblée sous la bannière Nupes - l’extrême droite n’a jamais semblé aussi proche de s’offrir un siège à l’Assemblée nationale...

    -------------------

    La 13ᵉ circonscription des Bouches-du-Rhône et les Candidats :

    • La circonscription couvre les cantons d'Istres-Sud, de Martigues-Est, de Martigues-Ouest et de Port-Saint-Louis-du-Rhône.

    S'opposeront, au premier tour :

    • Emmanuel Fouquart (Rassemblement National)

    • Cyril Metral (Lutte Ouvrière)

    • Pierre Dharréville (Nouveau Front Populaire)

    • Hervé Delespaul (Debout la France)

    • Lila Lokmane (Ensemble)

    • Olympe Schredre

    1AZZ.jpg

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Ça promet ! C'est dans Actu 78 :

    "Bienvenue à Munich 2024…" C’est par ces termes qu’un boulanger tunisien, vivant dans les Yvelines, a fait l’apologie du terrorisme sur Facebook..."

    https://actu.fr/faits-divers/yvelines-sur-facebook-le-boulanger-tunisien-fait-lapologie-du-terrorisme-pour-les-jeux-olympiques_61274028.html

     

    1AZZZ.jpg

     

    Lire la suite

  • Au cinéma, pour une saine dénonciation de la déification du sexe : Maria, par Guilhem de Tarlé

    Critique du film Maria - AlloCiné

     

    Cannes 2024 : Maria, un film français de Jessica Palud, avec Anamaria Vartolomei ( Maria Schneider), Yvan Attal (Daniel Gélin, son père, acteur et cinéaste), Giuseppe Maggio (Bernardo Bertolucci et Matt Dillon ( Marlon Brando),
    adapté du livre de Vanessa Schneider, cousine de Maria, Tu t’appelais Maria Schneider (2018).

    Maria… un long métrage sur la pourriture du monde cinématographique à commencer par Bernardo Bertolucci, le réalisateur du dernier tango à Paris (1972)qui, « au nom de l’art », fait violer une jeune actrice, sous la caméra.

    Mais aussi Marlon Brando, qui se prête « au jeu », mais encore tout l’entourage de ces sinistres personnages, les cameramen, la scripte, la maquilleuse… qui ont assisté à la scène, et dont aucun, aucune, n’a su crier « Stop » pour sauver la comédienne qui hurlait et pleurait.

    Constatons d’ailleurs qu’elle-même est revenue ensuite sur le champ et a accepté de rebaisser son jean pour continuer la scène…

    Quand on pense à ce « monde », quand l’impudeur tient le premier rôle dans quasiment tous les films, quand on voit certaines pubs à la télévision aux heures de grande écoute, quand on ne parle que de « ça », peut-on s’offusquer que des enfants de 13 ans violent une petite fille de 12 ?

    N’est-ce pas, au-delà de tout, le règne, la déification, du sexe ?guilhem de tarlé.jpg

     

  • Éphéméride du 30 juin

    1998 : Fondation des American friends of Versailles

     

     

     

     

    1470 : Naissance du futur Charles VIII 

     

    Il n'aura qu'un règne très court, durant lequel il sera, en quelque sorte, conduit par les modes et l'air du temps, notamment l'esprit d'aventure qui soufflait sur la France d'alors (en pleine pré Renaissance, si l'on peut dire) dont a parlé Jacques Bainville :

    CHARLES VIII.jpg

    Lire la suite

  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpg

     

    1751 : Parution du premier tome de L'Encyclopédie...

     

    1942 : Mort de Léon Daudet...

     

    lafautearousseau

  • Communiqué de l'Action française

    Lire sur le site de l'Action française

     

     

    Paris, le 28 juin 2024

     

    Scrutin du 30 juin

    À deux jours du premier tour de scrutin des législatives, l’Action française invite tous les patriotes à soutenir le bloc national.

    Pas une voix pour les amis de Macron qui a décidé de dissoudre la France dans l’Europe, pas une voix pour les amis de Mélenchon qui a décidé quant à lui de dissoudre la France dans le cosmopolitisme.

    Devant les fossoyeurs de la patrie, qui s’affichent sans complexe comme tels, et devant le grand élan du Pays réel, « nous appelons à défendre l’héritage en attendant de pouvoir restaurer l’héritier ».

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Très juste, une fois de plus, l'édito de Vincent Trémollet de Villers, sur Europe 1 :

    "Ces dénis oui-oui qui font le jeu du RN...

    ...Pour le parti du déni, l’insécurité est un sentiment, l’immigration une illusion. Il traque les « violences symboliques » les « micros- agressions » qu’il impute généralement à la bourgeoisie, mais il ne trouve aucune signification sociale ou politique aux violences réelles...
    ..."Les faits divers sont des faits qui font diversion" disait Bourdieu qui s’en prenait alors à France Info. Les enfants de Bourdieu disent la même chose et plutôt que de s’attaquer aux causes profondes du succès de Marine Le Pen, ils préfèrent nier tout simplement leur existence..."
     
    Bref, à la fois "le parti des déni-oui-oui" et des "déconnectés/hors-sol" !
     

    1AZZZ.jpg

     

    Lire la suite

  • Au cinéma, pour un utile rappel à ceux qui vont voter "front popu qui pue" : Rendez-vous avec Pol Pot, par Guilhem de Tarlé

    Rendez-vous avec Pol Pot - Film 2024 - AlloCiné

    Cannes 2024 : Rendez-vous avec Pol Pot, un film franco-cambodgien de Rithy Panh, avec Irène Jacob (Lise Delbo), Grégoire Colin (Alain Cariou) et Cyril Gueï (Paul Thomas), adapté de l’histoire de la journaliste américaine Elizabeth Becker, racontée dans When the war was over (1986) ou Les Larmes du Cambodge.

    « Et la musique s’est arrêtée,
    Les hommes en noir sont arrivés,
    Le Cambodge a cessé d’exister ».
                                                         Jean-Pax Méfret

    Rendez-vous avec Pol Pot … un long métrage ovationné à cannes par les enfants et petits-enfants des lecteurs du Monde, de Libération, et de L’Humanité qui applaudissaient et pavoisaient en 1975 « la Libération de Phnom Penh », le Kampuchéa Démocratique, l’Angkor et les khmers rouges !

    Les mêmes d’ailleurs qui, dans leur grande majorité, s’apprêtent à voter Mélenchon les 30 juin et 7 juillet !

    Je n’ai pas lu le livre d’Elizabeth Becker, je n’ai pas lu, non plus, ceux de Rithy Panh, et j’ai vu seulement trois DVD de la vingtaine de longs métrages qu’il a réalisés, à savoir le médiocre Un Barrage contre le Pacifique, mais surtout les excellents S21, la machine de mort khmère rouge et L’image manquante.

    Je ne peux que vous conseiller de vous rendre à ce Rendez-vous avec Pol Pot, « Frère n°1 », ancien boursier du gouvernement français, responsable et coupable de l’ « autogénocide » cambodgien qui fit de 2 à 3 millions de morts entre 1975 et 1979.

    Profitons-en pour rappeler le dessin animé Funan de Denis Dô (2019) qui raconte comment sa mère a été évacuée de Phnom Penh, avec toute la population de la ville, au lendemain du 17 avril 1975.


    Evoquons aussi, pour conclure, le roman témoignage d’Alain Dubos, Médecin sans frontière, dans son livre La Rizière des barbares, publié en 1980.

     

    guilhem de tarlé.jpg

  • Éphéméride du 29 juin

    1949 : Pierre Sabbagh lance le premier Journal télévisé

     

     

     

     

    1694 : Exploit de Jean Bart au Texel 

     

    En cette année 1694, la France est en guerre contre la ligue d'Augsbourg. Le 29 juin, dans le but d'affamer la population française, des vaisseaux chargés de blés achetés aux Norvégiens sont capturés par des navires hollandais au large de l'île néerlandaise du Texel. Jean Bart, corsaire au service du roi, est chargé de les récupérer.

    Il faut dire que ce Capitaine de vaisseau, loup de mer aguerri, est déjà une célébrité : capturé en 1689 par les Anglais, il s'était évadé de sa prison et avait traversé la Manche… à la rame !

    Ce 29 juin 1694, au large de l’île hollandaise de Texel, il aperçoit à l’horizon le convoi français d’une centaine de voiles qui venait d’être capturé par les Provinces-Unies.

    Les Français sont inférieurs en tout aux hollandais (330 canons contre 380 pour les navires hollandais), mais pourtant Jean Bart fait hisser successivement le pavillon rouge (à l’attaque !) et le pavillon bleu (à l’abordage !).

    Le résultat est sans équivoque : 16 morts chez les Français contre plus de 300 chez les Hollandais.

    Alors qu’il avait été fait chevalier de l’Ordre de Saint-Louis par Louis XIV en 1690, la bataille de Texel lui vaut l’anoblissement par le roi. 

    29 juin,nantes,vendéens,grande armée catholique et royale,convention,robespierre,renault,pierre sabbagh,journal télévisé,napoleon

     Plus d'information sur Jean Bart dans notre Éphéméride du 21 octobre.

     

     
    24 juin,loi d'exil,orléans,du pont de nemours
     

    Lire la suite

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    La honte soit sur Macron, sur Borne et sur tous les anti-France qui ont voulu et qui réalisent en ce moment la destruction du bel outil qu'était Fessenheim...

    "NE M'APPELEZ PLUS JAMAIS "FRANCE"..." chantait Sardou en une autre occasion...

    Symbole du sabotage du nucléaire français - sabotage qui a finalement et heureusement échoué, puisque notre nucléaire "repart", et de plus belle -  les images de Fessenheim en démantèlement symbolisent à merveille la fin de règne de Macron, dont elle sont une parfaite allégorie : lui aussi se démantèle et disparaît, sous nos yeux :

     

    BON DÉBARRAS !

     

    https://www.tf1info.fr/societe/video-reportage-exclusif-fessenheim-les-images-inedites-de-la-centrale-nucleaire-en-cours-de-demantelement-2305885.html

     

     

    1AZZZ.jpg

     

    Lire la suite

  • Grandes "Une" de L'Action française : (2/2) On n'interdit pas Jeanne d'Arc ! Mercredi 29 Avril 1925, 20.000 Parisiens acclament Léon Daudet et l'Action française à Luna Park et s'opposent frontalement au gouvernement du Cartel des Gauches...

    Une histoire de l'Action française... en lisant L'Action française !...

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

    1AZZZ.jpg

    En novembre 1919, au sortir d'une Grande guerre épuisante, gagnée par le magnifique héroïsme du Peuple français tout entier, mais payée par le prix épouvantable d'un million et demi de "jeunes Français, couchés froids et sanglants sur leur terre mal défendue" (Maurras), la France vota pour une "Chambre bleu horizon", dans laquelle Léon Daudet était Député de Paris. L'une des lois de cette Chambre fut l'institution de la Fête nationale de Jeanne d'Arc et du Patriotisme, fixée au deuxième dimanche de mai. Mais, en 1924, ce fut le Cartel des Gauches qui remporta les élections, et le nouveau gouvernement prétendit revenir sur cette Fête nationale, récemment créée : c'était une provocation supplémentaire pour les Patriotes de tous bords, de la part d'un Régime qui, par ailleurs, "perdait" cette paix si chèrement acquise et commençait à laisser tomber en lambeaux le peu de bon qu'avait le calamiteux Traité de Versailles. L'Action française ne craignit pas d'affronter directement le gouvernement, et répondit aux menaces et à l'interdiction de la Fête par l'affirmation que la Fête aurait bien lieu, dût-elle être imposée : et c'est bien ce qui se passa, en effet...

    1A.png

    Une grande réunion publique fut annoncée, à Luna Parkn, pour le mercredi 29 avril. Voici le pavé, en "Une" de la veille, mercredi 29, jour de la réunion (même encart dans le numéro du 27) :

    1A.png

    Et voici, surtout, en "Une" du numéro du Mardi 28, ce qui sonnait comme une véritable déclaration de guerre - en fait, un simple appel à la résistance - sur toute la moitié supérieure des deux pages centrales du quotidien :

    1A.png

    1A.png

    1A.png

    1A.png

    Voici le lien menant à la "Une" du numéro du Jeudi 30 Avril 1925 :

    https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k762300b/f1.image

    Elle offre exactement la même présentation que celle de notre précédent livraison, sur "le Luna Park de Léon Daudet" du 27 Novembre de la même année 1925 :

    • un début de compte-rendu de la réunion sur les deux parties inférieures des deux dernières colonnes, qui s'achève en page deux (intégralité de la première colonne et plus grande partie de la deuxième); 

    • la péroraison de Daudet lors de cette réunion, qui remplace son article habituel, à sa place la plus fréquente (première colonne et moitié supérieure de la deuxième);

    • mais, la période étant plus troublée, à cause des menaces sur le Cortège de Jeanne d'Arc qui s'annonce mouvementé, on a - en plein milieu de la "Une", intégralité de la quatrième colonne et moitié supérieure de la cinquième - la déclaration solennelle de Maurice Pujo lors de cette réunion de Luna Park, à la suite de cette annonce scandaleuse :

    1A.png

    Lire la suite

  • Dans notre Éphéméride de ce jour : malgré les avertissements de L'Action française et des patriotes, Clemenceau et le Pays légal signent le calamiteux Traité de Versailles...

    1919 : Signature du Traité de Versailles

     

     

    Dans notre Catégorie Grandes "Une" de L'Action française, voir les deux "Une" suivantes :

     • Grandes "Une" de L'Action française : 11 Novembre 1918, l'Armistice est signé !...

    28 juin,mont aiguille,vercors,charles viii,premiere guerre mondiale,traité de versailles,clémenceau,lloyd georges,wilson,alsace-lorraine,bainville,alexis carrel

     

    Grandes "Une" de L'Action française : 29 juin 1919, signature du calamiteux Traité de Versailles...

    28 juin,mont aiguille,vercors,charles viii,premiere guerre mondiale,traité de versailles,clémenceau,lloyd georges,wilson,alsace-lorraine,bainville,alexis carrel

     

    Le traité mettant fin à la Première Guerre mondiale est signé dans la Galerie des Glaces du château de Versailles, entre l'Allemagne et les Alliés.

    Il a été préparé par les vainqueurs, le Français Clemenceau, le Britannique Lloyd George, l'Italien Orlando et l'Américain Wilson.

     traiteversailles.jpg

             

    Dans Les conséquences politiques de la paix (1920), Jacques Bainville a critiqué ce mauvais traité. Il s'agit d' "une paix trop douce pour ce qu’elle a de dur et trop dure pour ce qu’elle a de doux", avait-il écrit dès 1919.

    Prévoyant l’entente germano-russe aux dépens de la Pologne ou encore l’éclatement de la Yougoslavie, il remarquait surtout que l’Allemagne, bien que diminuée, voyait sa puissance relative accrue ! Seul grand État désormais en Europe centrale, entourée "d’un chapelet de Serbies", il annonçait qu’elle ne paierait pas les réparations et que d’ici une génération, elle chercherait à son tour à prendre sa revanche.

     BAINVILLE 5.JPG

    Dans notre Album Maîtres et témoins...(II) : Jacques Bainville. voir les trois photos 1920 : les conséquences politiques de la paix (1), 1920 : les conséquences politiques de la paix (2), et Sur Thomas Woodrow Wilson,

              

    Extrait :

     "Une Allemagne diminuée d'environ 100.000 kilomètres carrés, mais, sur ce territoire réduit, réunissant encore soixante millions d'habitants, un tiers de plus que la France, subsistait au centre de l'Europe. L'oeuvre de Bismarck et des Hohenzollern était respectée dans ce qu'elle avait d'essentiel. L'unité allemande n'était pas seulement maintenue, mais renforcée. les Alliés avaient affirmé leur volonté de ne pas intervenir dans les affaires intérieures allemandes. Ils y étaient intervenus pourtant. Toutes les mesures qu'ils avaient prises avaient eu pour résultat de centraliser l'Etat fédéral allemand et de consolider les anciennes victoires de la Prusse. S'il y avait des aspirations à l'autonomie ou au fédéralisme parmi les populations allemandes, elles étaient étouffées. Le traité poussait, enfermait, parquait 60 millions d'hommes entre des frontières rétrécies. C'est une "Allemagne d'autre part" au nom de laquelle deux ministres sont venus signer à Versailles le 28 juin 1919.

    Du fond de la Galerie des Glaces, Müller et Bell, de noir habillés, avaient comparu devant les représentants de vingt-sept peuples réunis. Dans le même lieu, sous les mêmes peintures, quarante-huit ans plus tôt, l'Empire allemand avait été proclamé. Il y revenait pour s'entendre déclarer à la fois coupable et légitime, intangible et criminel. A sa condamnation, il gagnait d'être reconnu. Müller et Bell, obscurs délégués d'une Allemagne vaincue, pensaient-ils à ce que la défaite laissait survivre d'essentiel ? Peut-être, pour beaucoup des assistants et des juges, était-ce une jouissance de voir le redoutable Empire de Guillaume II humilié dans la personne d'un intellectuel socialiste et d'un avoué de province. La voix brève de M. Clemencau ajoutait à l'humiliation : "Il est bien entendu, Messieurs les délégués allemands, que tous les engagements que vous allez signer devront être tenus intégralement et loyalement." Nous entendrons toujours ce verbe tranchant, et les deux Ja, indifférents et mous, qui sortirent de la bouche de Müller et de Bell, conduits comme des automates par le chef du protocole. Faible voix. Débile garantie. Qu'est-ce que Müller et Bell pouvaient engager ? Le traité de Versailles mettait en mouvement des forces qui échappaient déjà à la volonté de ses auteurs.

    BAINVILLE 1.jpg

    Voir l'Éphéméride du 24 avril (Bainville contre Keynes) et l'Éphéméride du 3 février (sur la mort du président Wilson, utopiste malfaisant)...

                 

    Une paix trop douce pour ce qu'elle a de dur : dès qu'elle avait été connue, nous en avions donné cette définition. On verra qu'elle reste juste et qu'elle a résisté à l'expérience. Le traité enlève tout à l'Allemagne, sauf le principal, sauf la puissance politique, génératrice de toutes les autres. Il croit supprimer les moyens de nuire que l'Allemagne possédait en 1914. Il lui accorde le premier de ces moyens, celui qui doit lui permettre de reconstituer les autres, l'État, un État central, qui dispose des ressources et des forces de 60 millions d'êtres humains et qui sera au service de leurs passions..."

     

    S'exprimant presque comme Jacques Bainville, et prévoyant comme lui les effets funestes du mauvais traité de Versailles, Ferdinand Foch - Maréchal de France, de Pologne et de Grande-Bretagne-dira en 1920 : "Ce n’est pas une paix, c’est un armistice de vingt ans."

    Dans ses Mémoires, il écrit : "Le 11 novembre, j'avais mis entre leurs mains un outil avec lequel ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient... ils n'ont pas su s'en servir... ils ont abîmé ce que je leur avais donné... leur traité, je n'ai pas voulu le signer"...

                 FOCH.JPG 

    D'un point de vue strictement militaire, de Gaulle a porté sur l'armistice de 1918 un jugement très net (dans le premier tome de ses Mémoires d'espoir) :

    "Si l'effort gigantesque fourni par notre peuple lors de la Première Guerre mondiale pouvait nous ouvrir la carrière du renouveau, nous nous la fermions à nous-mêmes en manquant d'achever notre victoire militaire... Mais dans l'arrêt hâtif des combats qui, le 11 novembre 1918, survenait au moment même où nous allions triomphalement cueillir les fruits de la victoire, pour combien avait compté le Halte-là des Anglo-Saxons ?"

    28 juin,mont aiguille,vercors,charles viii,premiere guerre mondiale,traité de versailles,clémenceau,lloyd georges,wilson,alsace-lorraine,bainville,alexis carrel

    Le Rhin, ici au rocher de la Loreleï, frontière tant convoitée, jamais entièrement atteinte.

     

    Le 12 février 1945, encore, de Gaulle déclare : "Le Rhin doit être une grande avenue française..."

  • Éphéméride du 28 juin

    1919 : Signature du calamiteux Traité de Versailles

     

     

     

     

    Célébration de saint Irénée, Primat des Gaules, mort en 202 

     

    Né à Smyrne, vers 130, Irénée arrive en Gaule en 157, et rejoint Pothin, à Lyon, dont il devient le deuxième évêque, puisqu'il succède à ce même Pothin, premier évêque de la ville - et même des Gaules - et qui fut victime (avec Blandine et ses compagnons) de la grande persécution de Marc-Aurèle en 177 (voir l'Éphéméride du 2 juin).

    Saint Jérôme et Grégoire de Tours affirment qu'il serait, lui aussi, mort martyr, durant la persécution de Septime-Sévère.             

    Lire la suite