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  • Éphéméride du 24 juin

    Après abrogation de la Loi d'exil, la Famille de France retrouve son pays...

     

     

     

     

    1245 : Ouverture du premier Concile de Lyon, dont le but est de déposer Frédéric II, Empereur du Saint Empire 

     

    Cet épisode marque le point culminant de la lutte entre les Empereurs du Saint Empire Romain Germanique et la papauté, qui durait depuis longtemps déjà. En l'occurrence, la Papauté cherchait - et trouvait... - un appui et un allié de taille dans le France du roi Louis IX, futur Saint Louis.

    Après avoir été excommunié une seconde fois, en 1239, par Grégoire IX, mort en 1243, l'empereur avait espéré que l'élection du nouveau pape Innocent IV viendrait modifier la position de l'Église.

    Mais le nouveau pape ne changea pas d'avis par rapport à son prédécesseur : la réunion du premier Concile de Lyon fut décidée dans le but exprès de déposer l'Empereur.

    24 juin,loi d'exil,orléans,du pont de nemours

    C'est dans la cathédrale Saint Jean de Lyon (dite aussi Primatiale Saint Jean) que se tinrent les sessions du Concile qui devait, entre autres, déposer l'empereur d'Allemagne, Frédéric II. 

     

    http://archive.is/g7B7n 

     

    24 juin,loi d'exil,orléans,du pont de nemours

     

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

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    1927 : Le plus grand canular de l'histoire de France : Léon Daudet s'évade "légalement" de la Prison de la Santé ! 
     
    lafautearousseau

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Le scandale de FR3 qui appelle à voter La France Islamiste : Jean-Claude Bourdin a, au moins, sauvé l'honneur...

    "Pour la première fois de l'histoire de la Cinquième République, la société des journalistes d'un média public, France 3, soutient un parti politique, le Front Populaire. Je ne comprends pas. L'honneur du journalisme c'est la neutralité..."

    (sur Sud Radio, extrait vidéo 0'41)

    https://x.com/SudRadio/status/1804051706746998946

    La SDJ de France 3 appelle à un “front commun des médias” contre le RN

    La SDJ de France 3 appelle à un “front commun des médias” contre le RN...
     
    Il faut en finir avec ce "sévice public", payé par l'argent de tous les Français, monopilisé par l'ultra minoritaire ultra gauche terroriste...
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    DERNIERE MINUTE :

    Les cinq journalistes coupables/scandaleux ont été "mis en retrait"... jusqu'au 5 juillet !

    C'est trop, ou trop peu : 

    • soit ils n'ont rien fait de mal, et alors, pourquoi les "mettre à pied", fût-ce temporairement ?

    • soit ils ont commis une faute professionnelle lourde, et alors il faut les renvoyer, carrément !

    mis en retrait

     

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  • Au cinéma : Vie privée, par Guilhem de Tarlé

    Vie privée en DVD : Vie privée - AlloCiné

     

    Art et Essai : Vie privée, un film franco-italien réalisé par Louis Malle, avec Brigitte Bardot (Jill) et Marcello Mastroianni (Fabio Rinaldi).

    Louis Malle, Brigitte Bardot, Marcello Mastroianni… n’est-il pas présomptueux de donner son avis sur un tel casting ?

    Il s’agit d’un film sur les paparazzi, et sur la renommée qui finit par emprisonner et détruire un sex-symbol… On dirait presque un biopic sur BB elle-même, si cette production ne datait pas de 1962 alors que l’actrice a poursuivi sa carrière onze ans de plus.

    J’étais trop jeune pour voir ce long métrage à sa sortie et je me contenterai de dire qu’il m’a paru bien long. En revanche, il nous fut présenté par Nicolas Seydoux, Président de la Gaumont, qui nous a tenu des propos intéressants, faisant preuve d’une parole « libre » sans langue de bois.

    Si le livre qu’il était venu dédicacer, Le Cinéma, 50 ans de passion, n’était pas un « pavé » de près de 500 pages, je l’aurais sans doute acheté.

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Hitler à Paris !

    1940 : Visite éclair d'Hitler à Paris...
     
     
     La République, en France ?
     
    Un Allemand - Bismarck - a aidé de toutes ses forces à son installation, poussant même la France à s'embarrasser d'un Empire colonial;
     
    un autre Allemand, Hitler, l'a fait disparaître en moins de trois mois : la IIIème République, qui eut une naissance sans gloire, connaîtra une fin elle aussi sans gloire...
     
     
     
     
    23 juin,jean anouilh,pierre de coubertin,olympie,jeux olympiques,mirabeau,chateaubriand,louis xvi,révolution,varennes,palais des papes,avignon,d'aviler,peyrouEn 1918, une France héroïque remporta une guerre que la République n'avait su ni empêcher ni préparer. Le prix à payer fut épouvantable : un million et demi de morts, "couchés froids et sanglants sur leur terre mal défendue", selon le mot de Maurras.
     
    Sitôt l'armistice signé, l'Action française et tous les Français lucides demandèrent que l'on ne s'arrêtât pas sur place, mais que l'on pénétrât en Allemagne, jusqu'à Berlin, et que l'on détruisît la puissance allemande; puis que l'on démembrât l'Allemagne (l'Empire Allemand, proclamé en 1870, n'avait même pas cinquante ans d'existence !...).
    Dans cette optique, les pays rhénans - de la frontière nord de l'Alsace à Cologne - devaient accéder à l'indépendance, et, ainsi libérés de la tutelle prussienne, la rive gauche du Rhin redevenait ouverte aux influences françaises, avec possibilité de réunions ultérieures...
     
    C'était l'exigence du Bien commun, et du bon sens le plus élémentaire : en revenir à la sage politique traditionnelle des rois de France, qui avait culminé aux Traités de Westphalie, voulus par Richelieu, et "chef-d'oeuvre absolu" pour Jacques Bainville.
    Nos "excellents alliés" (!) anglo-saxons ne le voulurent pas et ne le permirent pas; et, par idéologie anticatholique, Clémenceau détruisit bien un Empire, mais pas le "bon": il détruisit l'Empire austro-hongrois, parce que catholique, laissant "l'Allemagne unie" intacte !
    Depuis la prussophilie des auto-proclamés philosophes du XVIIIème puis de leurs successeurs, et le suicidaire principe des nationalités, Clemenceau et la République idéologique se trouvaient mentalement en "intelligence avec l'ennemi", c'est-à-dire avec l'Allemagne unifiée, création de la Révolution, de la République et des deux Empires - comme l'était tout ce qui se prétendait "progressiste" depuis l'époque des auto-proclamés "Philosophes"... Aussi ne fut-il pas question de démembrement de l'Allemagne au funeste et tragique Traité de Versailles, où la République perdit la paix là où la France, au prix fort du sang de sa jeunesse, avait glorieusement et héroïquement gagné la guerre...
     
    "On écrase une Nation, on ne l'humilie pas", disait Bismarck : Clémenceau fit tout le contraire : il n'écrasa pas l'Allemagne, la laissa même intacte, dans toute "ses" puissances (démographique, territoriale, militaire...) mais il l'humilia. Hitler fit de cette humiliation le terreau de son idéologie mortifère...
     
    23 juin,jean anouilh,pierre de coubertin,olympie,jeux olympiques,mirabeau,chateaubriand,louis xvi,révolution,varennes,palais des papes,avignon,d'aviler,peyrouClemenceau laissa, donc, l'Allemagne intacte, avec toute sa puissance, dont elle ne perdait que quelques miettes, et se contenta de l'humilier par d'incessantes condamnations morales (autant de "paroles verbales"...) et la fallacieuse promesse de mirobolantes indemnités, qui ne furent quasiment pas payées.
    Clémenceau (ci contre) prononça les paroles terribles qui scellaient la tragédie en ouvrant le Congrès de Versailles, présentant, d'un côté les Alliés, "et, de l'autre, l'Allemagne...". Dès ce moment, les choses étaient écrites...
     
    Pourtant, quotidiennement, Jacques Bainville, les militaires et tout ce que la France comptait d'esprits raisonnables expliquaient ce qu'il fallait faire, et qu'il suffisait de faire, puisque les Alliés étaient vainqueurs : rien n'y fit, et, comme l'annonçaient Bainville, Foch et d'autres encore, on eut, "dans les vingt ans", la seconde Guerre mondiale et toutes ses horreurs; on eut... Hitler à Paris, et, de cela, la République française, le Régime, le Système porte la lourde, l'écrasante responsabilité... 
     
    Dans notre Catégorie Grandes "Une" de L'Action française, voir particulièrement les deux suivantes :
     

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    Dès six heures du matin, Hitler entreprend au pas de course une visite de Paris : l’Opéra, la Concorde, l’arc de triomphe : sur l’esplanade du Trocadéro, il pose devant les photographes, dos à la Tour Eiffel, puis se dirige vers l’École militaire.

    Aux Invalides, il se recueille longuement devant le tombeau de Napoléon 1er. Il remonte ensuite vers le jardin du Luxembourg, s’arrête au Panthéon, descend le boulevard Saint-Michel à pied, ses deux gardes du corps à distance, remonte en voiture la place Saint-Michel.

    Sur l’île de la Cité, il admire la Sainte-Chapelle et Notre-Dame, puis la rive droite (le Châtelet, l’hôtel de ville, la place des Vosges, les Halles, le Louvre, la place Vendôme). Il remonte ensuite vers l’Opéra, Pigalle, le Sacré-Cœur, avant de repartir à 8h15. Un survol de la ville complète sa visite.

    Il ne remettra plus jamais les pieds à Paris...

     

     Quant à Hitler et au nazisme proprement dit, alors que Charles Maurras a été condamné d'une façon aussi injuste qu'aberrante pour intelligence avec l'ennemi en 45 (voir l'Éphéméride du 28 janvier), on se reportera avec profit à l'excellente mise au point de Laure Fouré, juriste, dans Boulevard Voltaire :

    Oui, l'Action française a toujours été anti-nazie...

  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

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    1950 : Abrogation de la Loi d'exil

     

    Pour ceux qui désirent en savoir un peu plus sur les représentants actuels de la Famille de France (à partir de Louis-Philippe), du Comte de Paris (Henri VI) rentré en France à l'abrogation de cette inique loi d'exil jusqu'à son petit-fils, le Prince Jean, actuel Comte de Paris (Jean IV)...

     

    lafautearousseau

  • Éphéméride du 23 juin

    Sénanque, Sylavacane, Le Thoronet : aux origines des "trois soeurs cisterciennes de Provence"...

     

     

     

    1148 : Fondation de l'Abbaye de Sénanque

     

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    https://www.senanque.fr/

    Fondées quasiment au même moment (dans la même décennie...), par le même Ordre de Cîteaux et très proches géographiquement, les trois Abbayes de Sénanque, Sylvacane et Le Thoronet sont communément appelées "les trois soeurs provençales"...

    https://www.avignon-et-provence.com/monuments/abbayes-cisterciennes-de-provence#:~:text=En%20Provence%2C%20les%20Cisterciens%20fondent,%C3%A0%20la%20Roque%20d'Anth%C3%A9ron.

    Reportez-vous à notre article du dimanche 4 août 2019, pour un très rapide aperçu de l'histoire mouvementée de ce splendide monument, et des causes aberrantes qui l'ont mise en danger réel d'écroulement, à partir de 1970... :

    On peut raisonnablement l'espérer : Sénanque sera probablement sauvée...

    • Et :

    - pour l'Abbaye de Sylvacane, à notre Éphéméride du

    - pour l'Abbaye du Thoronet, à notre Éphémeride du  

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Cette fébrilité, cette excitation, cette agitation de tous, partout : est-ce, aussi,  le signe d'une révolte des classes moyennes ?

    L'édito politique de Vincent Trémolet de Villers :

    "Législatives : une séquence politique hystérique ou historique ?...

    ...Si l’on s’en tient à l’écume des choses, on ne voit que de la fébrilité, des coups bas et des revirements. Mais cette hystérie, bien réelle, ne doit pas faire oublier la révolte de la classe moyenne, ce courant profond qui a provoqué cette situation et qui lui est historique..."
     
    (extrait vidéo 3'40)
     
     

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  • Éphéméride du 22 juin

     

    1922 : Discours de Léon Daudet à la Chambre, en défense des "Humanités" (illustration : les "Budés", collection de textes d'auteurs Grecs et Latins)

     

     

     

     

     

    1763 : Naissance d'Étienne Méhul  

     

     

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    Si le grand public le connaît essentiellement pour son Chant du Départ, l'ensemble de l'oeuvre de Méhul - qui fut l'un des premiers musiciens dits "romantiques" - mérite d'être découverte.

    Comme en témoigne par exemple sa très belle  Symphonie n° 1 : 

     

     

     

     

     

    https://www.musicologie.org/Biographies/mehul.html 

     

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpg1940 : Hitler à Paris...

    Merci Clemenceau, merci le Système !

    La France, au prix de sacrifices et de souffrances inouïes, avait gagné la Grande Guerre. Le Système n'a pas voulu prendre la seule mesure qui s'imposait : démembrer la toute jeune Allemagne unifiée. Et unifiée par nous-mêmes : Encyclopédistes, Révolution et première république et premier Empire, Second Empire...

    Maurras et L'Action française, mais aussi tous les patriotes lucides, à quelque bord qu'ils appartinssent, demandaient cette destruction de l'Allemagne unie. Le Système, par idéologie et par pro-germanisme, par "prussophilie", a préféré maintenir l'Allemagne intacte.

    Vingt ans après, on a eu les conséquences : Hitler, la Seconde Guerre mondiale, les horreurs subies par la France et l'Europe...

    C'est ce qui s'appelle travailler en intelligence avec l'ennemi... mais c'est sous cette accusation que Maurras fut condamné !

    lafautearousseau

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

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    La question posée par la Sénatrice, le 8 décembre 2022, et la réponse officielle, le 13 avril 2023 :

    https://www.senat.fr/questions/base/2022/qSEQ221204252.html

     

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : la vérité sur... Varennes !

    1791 : Évasion de Varennes
     
     
    L'excellent téléfilm d'Arnaud Sélignac, conseillé par Jean-Christian Petitfils - et disponible en DVD - raconte de la meilleure façon possible non pas "la fuite" mais, du mot qui convient, L'évasion de Louis XVI.
     
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    De Michel Mourre :
     
    "En avril 1791, voyant que Paris était passée sous la tyrannie de l'Assemblée et des clubs, Louis XVI décida, non pas d'émigrer à l'étranger, mais de se retirer dans une ville de province pour y réunir des troupes fidèles et en appeler à la nation. C'est Metz qui fut choisie, parce que c'était une grande place militaire et le quartier général de l'armée de Bouillé.
    Le départ secret de la capitale fut organisé entre Bouillé et Fersen, l'ami fidèle de la reine. Habillés dans des costumes de bourgeois et munis de faux passeports, le roi, la reine, leurs deux enfants, Madame Elizabeth et Madame de Tourzel partirent le soir du 20 juin 1791 dans une grosse berline.
    À plusieurs reprises, le roi fut reconnu, mais chaque fois accueilli chaleureusement par la population. À Pont-de-Somme-Vesle, la berline, qui avait pris du retard, ne rencontra pas les dragons de Choiseul, qui auraient dû être au rendez-vous. Les voyageurs décidèrent de continuer leur route, mais, à Sainte-Menehould, le fils du maître de poste, Drouet, décida de faire arrêter la voiture suspecte.
    Prenant des chemins de traverse, il devança les voyageurs à Varennes et jeta l'alarme chez les municipaux. Quand la berline se présenta, elle trouva le pont de l'Aire barricadé et fut entourée de gardes municipaux en armes. Louis XVI, rejoint peu après par les officiers de Bouillé, Choiseul et Damas, refusa de les laisser dégager la route par la force. Les commissaires de la Constituante, survenus, purent donc s'assurer sans difficulté de la personne du roi..."

    21 juin,louis xi,charles le téméraire,observatoire de paris,louis xiv,colbert,académie des sciences,cassini,varennes,louis xvi,du perier

    Ainsi donc, avec Varennes, on a affaire à deux erreurs ou mensonges historiques :

    il ne s'agit pas d'une "fuite" - donc, d'un acte lâche - mais d'une évasion, mûrement réfléchie et, surtout, "politique";

    et cette évasion avait fini par réussir, les soldats de Bouillé ayant pu aisément libérer le Roi, ce que celui-ci refusa : "Louis XVI  a pu vingt fois sauver sa couronne et sa vie", disait, avec raison Chateaubriand.

    Et Balzac a bien récapitulé les erreurs et faiblesses de Louis XVI face à la Révolution, dans son ouvrage Rois de France :

    Les erreurs de Louis XVI face à la Révolution...

  • Éphéméride du 21 juin

    1791 : Louis XVI et les siens s'évadent de Paris...

     

     

     

    1476 : Défaite de Charles le Téméraire à Morat 

     

    Alliés à Louis XI, les membres de la Confédération Helvétique infligent à Charles le Téméraire une cuisante défaite à Morat.        

    Le Duc René II de Lorraine était présent avec sa cavalerie, pour aider les Suisses contre Charles le Téméraire, ce qui explique que les Suisses viendront, par la suite, aider les forces lorraines à reprendre Nancy et vaincre définitivement "le bourguignon", le 4 janvier 1477...
     
    Pour le duc de Bourgogne, cette défaite de Morat succède à celle de Grandson quelques mois plus tôt, et précède donc la déroute de Nancy, où il perdra la vie, très peu de temps après.
     
    Louis XI et la France triompheront ainsi de leur adversaire - pourtant, au départ, bien plus puissant - et verront disparaître l'une des menaces les plus sérieuses qui aient pesé sur la nation depuis les débuts de sa lente construction (sur les causes lointaines de l'opposition entre les deux Maisons, de France et de Bourgogne, au début amies et alliées, voir l'Éphéméride du 27 avril). 
     
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    21 juin,louis xi,charles le téméraire,observatoire de paris,louis xiv,colbert,académie des sciences,cassini,varennes,louis xvi,du perier

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Un peu de recul, de calme et de sérénité, dans ce "grand boum" qui met en folie l'ensemble de notre Pays légal : l'édito politique de Vincent Trémolet de Villers, sur Europe 1...
     
    "Législatives : quand le cercle de la raison a perdu la raison...
    ...La difficulté insurmontable pour le "cercle de la raison" c'est qu'il a perdu...la raison. Le chef du camp des raisonnables a pris la décision la plus déraisonnable de la Ve République. Cette dissolution sous impulsion désarme automatiquement tous les arguments de la majorité...
     ...Édouard Philippe, Gabriel Attal, Bruno Le Maire sont comme les pirates d’Astérix qui doivent sauver leur navire alors que leur chef a soudain décidé de le saborder. "Abyssus abyssum invocat" dirait le personnage de la BD avant de couler...."
     
    (extrait vidéo 3'48)
     
     

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  • Éphéméride du 20 juin

    1828 : Première présentation du Cadre Noir en public

     

     

     

     

    451 : Bataille des Champs catalauniques 

     

    Attila et ses Huns sont écrasés près de Châlons-en-Champagne, aux Champs Catalauniques, par une armée romano-barbare.

    C'est le premier échec militaire d'Attila, surnommé "le Fléau de Dieu". L'Empire des Huns, venus des steppes de l'Asie, s'étend alors de la Hongrie à l'Ukraine et de la Pologne à la Serbie. Cependant, sa défaite en Gaule, n'abattra pas la puissance d'Attila : c'est sa mort, en 453, qui provoquera la désagrégation de son Empire. 

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