Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

Ce que la presse n'a pas trop dit ou expliqué aux Français...
Merigi poste ce court commentaire et cette courte vidéo sur tweeter :

UA-147560259-1
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Ce que la presse n'a pas trop dit ou expliqué aux Français...
Merigi poste ce court commentaire et cette courte vidéo sur tweeter :
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
• Le "Pavé" ci-dessus est paru en "Une" du quotidien, le Jeudi 8 Juillet 1926; dans la numéro du lendemain, Vendredi 9 Juillet, on trouvera celui-ci (toujours en "Une", partie basse de la deuxième colonne) : tout est dit !
• Il n'y a rien, par contre, les samedi et dimanche et c'est, naturellement, dans le numéro du Lundi 12 Juillet que l'on trouvera le compte-rendu de la réunion, qui s'annonçait "agitée". Il est "De notre envoyé spécial" et signé "DESVIGNES"; il occupe l'intégralité de la troisième colonne de cette "Une" et la partie supérieure de la quatrième : il est donc "en "plein milieu"; et il y aura un court retour, amusant et émouvant, en page deux, où l'on parlera des "communistes rossés" et de Marseille...
Dans Figaro Vox, Gilles-William Goldnadel dénonce (et il a bien raison de le faire...) :
"LFI et l’antisémitisme, le point de non-retour"
Il déclare : "Privilège Rouge : Si LFI était d'extrême-droite, elle serait interdite» Mon dernier article dans Le Figaro Vox" :
«Le discours et le comportement de la France insoumise atteignent désormais un point de non-retour». JOEL SAGET / AFP
Site officiel : Solidarité Kosovo
lafautearousseau "aime" et vous invite à "aimer" la page facebook Solidarité Kosovo :
La reprise, pour la juste, et saine, et sainte colère paysanne ?
De Gilbert Collard :
PAS DE PAYS SANS
PAYSANS !
SOLIDARITÉ TOTALE
AVEC NOS PAYSANS !
(retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")
Le "pavé" ci-dessus a été publié dans le numéro du Vendredi 25 Juin 1926, mais il était déjà déjà paru tel quel dans les deux numéros précédents, des 23 et 24.
Le lendemain, dans le numéro du Samedi 26, Maurice Pujo annonce de nouveau la réunion et son importance : son article, intitulé "L'Action française à Strasbourg" occupe la moitié supérieure de la cinquième colonne de la "Une" :
Oui, il faut suspendre temporairement le droit d'asile en France !
Pendant combien de temps ?
Pendant tout le temps qu'il faudra pour ramener à la normale la situation générale du pays (violences partout, insécurité à tous moments, assassinats bientôt quotidiens...) et pour que l'on sorte de l'état de fait invivable dans lequel nous nous trouvons, conséquence logique des scélérats "décrets Chirac" dits de "regroupement familial" de 75/76, qui n'ont réussi qu'à poubelliser la France, en faire le gigantesque foutoir, la pétaudière infernale, le dépotoir du monde que nous voyons (et, surtout, subissons !) aujourd'hui...
D'accord avec l'article de Samuel Martin, dans Boulevard Voltaire :
"Déséquilibrés" : la France, terre d'asile... psychiatrique"
Cannes 2024 : Marcello Mio, un film franco-italien de Christophe Honoré, avec Chiara Mastroianni, Catherine Deneuve, Fabrice Luchini, Benjamin Biolay, Nicole Garcia, Melvil Poupaud, chacun dans son rôle.
Marcello Mio … N’ayant ni la culture cinématographique suffisante, ni le culte de Marcello Mastroianni, je ne me faisais pas beaucoup d’illusions sur cette réalisation, sans doute trop « cinéphilique » pour moi, et encore je n’avais fait attention ni à la durée, 2 heures, ni au casting pléthorique qui, bien souvent, est synonyme de médiocrité.
N’est-ce pas l’heure pour Catherine Deneuve de quitter l’écran plutôt que de se pavaner dans son propre personnage ?
Chiara Mastroianni n’a-t-elle pas honte de jouer les « transgenres » dans les habits de son père ?
Fabrice Luchini et Nicole Garcia ne se déconsidèrent-ils pas dans les seconds rôles de cette pantalonnade ?
Je dois à la vérité de dire que mon épouse est moins sévère, alors que je me suis profondément ennuyé.
Mais déjà, en 2016, je n’avais pas apprécié Les Malheurs de Sophie du même réalisateur.
Pompier pyromane, Macron ne manque pas d'air !
Il plastronne aujourd'hui parce qu'il vient de racheter (deux fois plus chers qu'ils ne les avait vendues, tout de même) les turbines d'Alstom au groupe américain General Electric. Petit rappel : il avait permis cette vente folle en 2015, alors qu'il était ministre de l'économie.
Et il déclare, maintenant, tout content :
"C’est un engagement que j’avais pris à Belfort : EDF reprend dès aujourd’hui les activités nucléaires de General Electric, notamment la fabrication des turbines Arabelle. Un grand pas pour notre souveraineté énergétique. Une fierté française !"
"Plus c'est gros, plus ça passe !...", disait un certain... Goebbels !
Mais : et les brevets, là-dedans? Et les évidents transferts de technologie qui ont forcément eu lieu ? Là-dessus : silence radio !
Macron se contente de nous prendre pour ce que nous ne sommes pas, cela lui paraît amplement suffisant...
VIVEMENT LA GIGANTESQUE GIFLE DE DIMANCHE PROCHAIN !
Grand Prix au Festival du Cinéma Américain de Deauville 2023 : LaRoy, un film américain (VOSTF) de Shane Atkinson, avec John Magaro (Ray) et Steve Zahn (Skip, le détective privé).
LaRoy… c’est une petite ville du Texas où se déroule l’action. Je n’en dirai pas davantage car le scénario est trop compliqué pour moi.
En revanche, le cirque et les clowns à la Skip ont toute ma sympathie. J’avais lu et entendu qu’il s’agissait d’un « thriller façon Coen »… ce que mon inculture cinématographique ne me permettait pas d’identifier… je n’avais pas apprécié The Big Lebowski (1998) et n’ai aucun souvenir d’Inside Llewyn Davis (2013) ou d’Ave Cesar (2016)… seul Arizona Junior avait trouvé grâce à mes yeux…
Mon épouse, quant à elle, est davantage cinéphile que moi qui, n’ayant rien lu et rien entendu, m’a très vite soufflé le nom de Coen.
Bref un film déjanté, qui devrait plaire à mon fils.
D'accord avec Nicolas Dupont Aignan :
"Après avoir ruiné la France, sans s’attaquer aux vrais gaspillages, la Macronie veut instaurer une austérité d’une rare violence en imposant 7 jours de carence avant de rembourser les frais d’arrêt maladie. C’est la fin de la Sécurité sociale, mais toujours avec les mêmes prélèvements obligatoires. Un pur scandale !"
Et, si "on" veut faire des économies (ce qui est, évidemment, indispensable, et c'est par là qu'il faut commencer) pourquoi ne pas chercher plutôt de ce côté-là ? :
Festival Reims Polar : Un Homme en fuite, un film français de Baptiste Debraux, avec Léa Drucker (le commissaire de police), Bastien Bouillon et Pierre Lottin (les deux amis d’enfance, Paul Ligre et Johnny).
Un Homme en fuite … Je n’irai pas jusqu’à écrire que ce film est à fuir… mais il est très médiocre.
Malgré Léa Drucker et Bastien Bouillon, c’est très nettement le moins bon, après LaRoy et surtout Borgo, des trois long-métrages du festival de Reims vus en moins d’un mois.
Sur un fond de lutte sociale et de violence de droit commun, le cinéaste met en scène l’amitié indéfectible, au-delà des trahisons, et les souvenirs d’enfance : Bonjour les « flash back ».
Bref un film de série B pour la télévision… quoique…
Quoique, précisément, nous avons eu la chance de revoir, ces jours-ci, sur France 2, avec le même Bastien Bouillon, un excellent docufiction de 2022, La nuit du 12, et aussi, et surtout, un très bon téléfilm Parents à perpétuité, adapté du livre éponyme (2016) de Sophie et Dominique Moulinas, dont le fils âgé de 17 ans, a violé une collégienne.