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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 2001

  • Au cinéma : Kafka, le dernier été…, par Guilhem de Tarlé

    Kafka, le dernier été - Film 2024 - AlloCiné
     

    Art et essai : Kafka, le dernier été…  un film de deux réalisateurs allemands, Georg Maas et Judith Kaufmann, avec Sabin Tambrea et Henriette Confurius (Franz Kafka et Dora Diamant).

    Je n’ai rien lu de Kafka, ne connais rien de lui sauf l’adjectif « kafkaïen », dans le dictionnaire de l’Académie Française, pour exprimer l’absurdité d’une situation.
    En cela, ce biopic est véritablement kafkaïen qui porte un seul regard sur lui à l’âge de quarante ans, à vivre son dernier été avec sa dernière amante, une militante d'extrême-gauche, avant de mourir de la tuberculose.

    Je ne savais rien et ce film n’en dit pas beaucoup plus sauf ses relations distantes avec ses parents, ses manuscrits brûlés, son ami Max Brod et sa faible pratique de sa religion juive à laquelle Dora essaiera de le ramener. 

    On ne s’ennuie pas, mais je ne vois rien d'autre dans ce long-métrage que le minimum syndical d'un hommage publié à l'occasion du centième anniversaire de sa mort (3 juin 1924).

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  • Au cinéma : Monsieur Aznavour…, par Guilhem de Tarlé. Un bel hommage à ce trésor immense : notre si belle Langue française...

    Monsieur Aznavour - Film 2024 - AlloCiné

     

    A  l’affiche : Monsieur Aznavour… un film français de Grand Corps Malade et Mehdi Idir, avec Tahar Rahim dans le rôle-titre, Camille Moutawakil (Aïda Aznavour, sœur du chanteur), Bastien Bouillon (Pierre Roche, compositeur) et Marie-Julie Baup (Edith Piaf).

    " Longtemps, longtemps, longtemps
    Après que les poètes ont disparu
    Leurs chansons courent encore dans les rues".


    1951, Charles Aznavour, qui aurait fêté ses 100 ans cette année, vit en « génie con » dans la lumière d’Edith Piaf et, à l’écoute de Charles Trenet et de L’Âme des poètes, sans doute rêve-t-il à la gloire : « Bien que miséreux, avec le ventre creux, nous ne cessions d’y croire ».

    C’est seulement une dizaine d’années plus tard que sa voix et « Je m’voyais déjà » percent le mur du silence et du dénigrement :

    « Mais un jour viendra, je leur montrerai que j’ai du talent ».

    Il n’est pas, je le confesse, dans le trio de tête du panthéon de mes chanteurs préférés, à savoir les 3 B (Brassens, Brel et Barbara), mais il est le premier de la concurrence très lourde de ce 3ème quart du vingtième siècle, que constituent les Bécaud, Ferré, Ferrat, les Frères Jacques et les Compagnons de la Chanson, Yves Montand, Félix Leclerc, Juliette Gréco, Mouloudji, Guy Béart, Claude Nougaro, et encore bien d’autres comme Henri Tachant, Maurice Fanon, Georges Chelon, jusqu’aux meilleurs des « yé-yé ».

     

    A l’époque malgré l’arrivée des rockers anglo-américains, on chantait encore français, et ce fils de réfugiés arméniens s’en vante comme le rapporte un recueil de ses chansons – poètes d’aujourd’hui – publié chez Seghers en 1964 : « je savais, moi, que J’étais français par la langue. En découvrant cette langue, j’ai trouvé un pays. Le français m’a révélé la France. Encore aujourd’hui, j’aime sûrement la langue française plus que n’importe quel lieu de France ».


    Merci aux réalisateurs de ce magnifique hommage rendu à ce Français « par la langue chantée » et merci à Monsieur Tahar Rahim de l’avoir si bien incarné.

    C’est aussi un hommage à l’esprit de conquête, à la volonté de réussir, et au Travail : « j’ai appris mon métier en travaillant tous les jours, depuis l’âge de dix-sept ans » nous dit-il dans le recueil cité plus haut, et nous chante-t-il dans « Mes Emmerdes » :

     

    « J’ai travaillé,

    Des années

    Sans répit,

    Jour et nuit

    Pour réussir,

    Pour gravir

    Les sommets ».

     

    Je ne voudrais pas encourir vos reproches, et les siens –« Tu t’laisses aller » -, en prolongeant plus avant ce commentaire – « Il faut savoir quitter la table » - même si je ne résiste pas à l’idée de conclure sur le podium de ses quelque 400 titres : La Bohême, La Mamma et Non je n’ai rien oublié ».

     

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  • Au cinéma, pour un utile rappel à ceux qui vont voter "front popu qui pue" demain : Rendez-vous avec Pol Pot, par Guilhem de Tarlé

    Cannes 2024 : Rendez-vous avec Pol Pot, un film franco-cambodgien de Rithy Panh, avec Irène Jacob (Lise Delbo), Grégoire Colin (Alain Cariou) et Cyril Gueï (Paul Thomas), adapté de l’histoire de la journaliste américaine Elizabeth Becker, racontée dans When the war was over (1986) ou Les Larmes du Cambodge.

    « Et la musique s’est arrêtée,
    Les hommes en noir sont arrivés,
    Le Cambodge a cessé d’exister ».
                                                         Jean-Pax Méfret

    Rendez-vous avec Pol Pot … un long métrage ovationné à cannes par les enfants et petits-enfants des lecteurs du Monde, de Libération, et de L’Humanité qui applaudissaient et pavoisaient en 1975 « la Libération de Phnom Penh », le Kampuchéa Démocratique, l’Angkor et les khmers rouges !


    Les mêmes d’ailleurs qui, dans leur grande majorité, s’apprêtent à voter Mélenchon les 30 juin et 7 juillet !

    Je n’ai pas lu le livre d’Elizabeth Becker, je n’ai pas lu, non plus, ceux de Rithy Panh, et j’ai vu seulement trois DVD de la vingtaine de longs métrages qu’il a réalisés, à savoir le médiocre Un Barrage contre le Pacifique, mais surtout les excellents S21, la machine de mort khmère rouge et L’image manquante.

    Je ne peux que vous conseiller de vous rendre à ce Rendez-vous avec Pol Pot, « Frère n°1 », ancien boursier du gouvernement français, responsable et coupable de l’ « autogénocide » cambodgien qui fit de 2 à 3 millions de morts entre 1975 et 1979.

    Profitons-en pour rappeler le dessin animé Funan de Denis Dô (2019) qui raconte comment sa mère a été évacuée de Phnom Penh, avec toute la population de la ville, au lendemain du 17 avril 1975.


    Evoquons aussi, pour conclure, le roman témoignage d’Alain Dubos, Médecin sans frontière, dans son livre La Rizière des barbares, publié en 1980.

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    Neuf dirigeants philosophes s'expriment sur l'impact de la philosophie sur le management, ou sur les entreprises plus généralement. Ces articles sont courts et percutants, tout en étant le fruit de recherches approfondies. Ils répondent à une certaine urgence de manifester du sens dans notre travail, tant quémandé par les acteurs du business aujourd'hui. Ce livre aborde le management authentique en milieu multiculturel, la cohérence, les enseignements que le management peut tirer de la philosophie, la raison d'être de l'entreprise... Le livre donne la parole à des dirigeants aujourd'hui actifs dans de belles entreprises ou à des entrepreneurs qui s'expriment avec une vision philosophique acquise lors de leur formation universitaire et de leur expérience.

  • La Chine est-elle notre ennemi ? par Antoine de Lacoste

    Les Chinois n’ont finalement pas que des défauts. Ils ont en tout cas une grande qualité : ils aiment le cognac. Cette appellation, célèbre dans le monde entier depuis des siècles, n’est plus beaucoup prisée dans notre pays. Les Français boivent moins mais pas mieux. Des breuvages étranges venus d’ailleurs supplantent progressivement nos gloires nationales, nos bons vins et nos grands digestifs.

    SAUVER LE COGNAC

    L’hygiénisme militant est solidement installé (quand serons-nous libérés de l’insupportable « à consommer avec modération » infligé par la loi Evin ?) et mène avec succès une offensive générale contre l’alcool. Sauf la bière que notre président consomme volontiers lors de ses sorties hors protocole. Il est certain que les boissons énergisantes, les faux jus de fruits chimiques et le coca-cola sont bien meilleurs pour la santé que les fruits de la vigne cultivés depuis des millénaires (environ -3000 avant Jésus-Christ pour le premier vin produit en Géorgie).

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  • Au cinéma : Un Homme en fuite, par Guilhem de Tarlé

    Festival Reims Polar : Un Homme en fuite, un film français de Baptiste Debraux, avec Léa Drucker (le commissaire de police), Bastien Bouillon et Pierre Lottin (les deux amis d’enfance, Paul Ligre et Johnny).

    Un Homme en fuite … Je n’irai pas jusqu’à écrire que ce film est à fuir… mais il est très médiocre.
    Malgré Léa Drucker et Bastien Bouillon, c’est très nettement le moins bon, après LaRoy et surtout Borgo, des trois long-métrages du festival de Reims vus en moins d’un mois.

    Sur un fond de lutte sociale et de violence de droit commun, le cinéaste met en scène l’amitié indéfectible, au-delà des trahisons, et les souvenirs d’enfance : Bonjour les « flash back ».
    Bref un film de série B pour la télévision… quoique…
    Quoique, précisément, nous avons eu la chance de revoir, ces jours-ci, sur France 2, avec le même Bastien Bouillon, un excellent docufiction de 2022, La nuit du 12, et aussi, et surtout, un très bon téléfilm Parents à perpétuité, adapté du livre éponyme (2016) de Sophie et Dominique Moulinas, dont le fils âgé de 17 ans, a violé une collégienne.

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  • Lille, ce 23 mars...

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  • Un nouveau n° de Royaliste est paru : n°1273 du 28 février 2024...

     
     
      
    Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’pouvoir ISSN. 0151-5772 MERCREDI28 FÉVRIER Les analphabètes pages Royaliste LA POUR NATION, ROI °1273 4°ANNEE 5,00€ NOUVELLE BERTRAND RENOUVIN Uniforme débat l'uniforme % pour la défense Sommes-nous menacés d'une agression russe avant fin sommes cuits Du forces restent de militaire pleine commandement français discuter que France cardon tdes alliése 1gne affirmons quant à3% L'article Grands Rendons hommage aux diplomates! Dans Védrine sont négociation. notre l'immobilier Téhéran retrou- Danemark fête son nouveauro Éditorial: trompe-l’
     
     
    Au sommaire de numéro :
     
    Page 1 - Cible : Uniforme.
    Page 2 - Allons-nous vers une guerre européenne ?
    Page 3 - La liberté des médias est-elle menacée ? – La défense au crible.
    Page 4 - Encore un espoir pour les Galeries Lafayette. - La révolte paysanne.
    Page 5 - Immigration irrégulière : un état des lieux.
    Page 6 - Le naufrage du PSOE et du PP. - Voix étrangères. - Les Faits marquants.
    Page 7 - Téhéran maître du jeu d'échecs.
    Pages 8 et 9 – Les analphabètes au pouvoir.
    Page 10 - Les raisons de la colère. - Dans les revues.
    Page 11 - Christian Jambet, le guide.
    Page 12 - Diplomatie des grands.
    Page 13 - Les Lettres : Russel Banks, Marion Messina.
    Page 14 - La monarchie danoise.
    Page 15 - Brèves royales. Réunion. Communiqué.
    Page 16 - Éditorial : Une rigueur en trompe-l'œil.

  • Mardi 19 Décembre, le Centre Lesdiguières vous invite...

    Le centre Lesdiguières vous convie à sa prochaine conférence le mardi 19 décembre à partir de 19h sur la vocation des Chartreux.
    Attention cette conférence ne se déroulera pas à l'endroit habituel mais dans le quartier de l'île verte .
    Ayez l'amabilité de vous inscrire par retour de courriel.
     
    Le CENTRE LESDIGUIERES, associé au Cercle Dauphinois de Documentation et de
    Communication Culturelle , vous convie à la conférence le mardi 19 décembre à 19 heures
    de :
    PHILIP BOYER
    qui se déroulera à la salle des vignes, 3 bis avenue Maréchal Randon, à l’Ile Verte
    38000 GRENOBLE ( station tramway ligne B « la Tronche Hôpital » )
    Allo : 0612344339
    Philip BOYER
    Ancien journaliste Figaro Lyon, directeur des relations presse et publiques de la Chartreuse puis directeur du
    Musée de la Grande Chartreuse jusqu’en 2021.
    « La vocation des chartreux reste un paradoxe pour beaucoup. A la suite de saint Bruno, ils traversent le temps, solitaires dans le coeur du monde, sans rien en ignorer, sans rien en mépriser. Depuis 1084, ils excellent même dans tout ce qu’ils abordent. Un secret ou un mystère ? Une hyper-absence ou une hyper-présence ? Laquelle ? Et qu’a-t-elle a à nous dire, à nous, aujourd’hui ? »
    Merci de vous inscrire. N’hésitez pas à inviter vos proches
    courriel : centrelesdiguieres@gmail.com
    Merci de prévoir votre participation aux frais et buffet !
    5,00 euros pour les adhérents, chômeurs et étudiants, lycéens
    10,00 pour les autres.
     

  • Le numéro 1267 (5 décembre 2023) de Royaliste...

    Au sommaire de ce numéro :
     
    • Page 2 Dupond-Moretti : plusieurs procès en un. - Sur le mur de Jean Chouan. - 
    •  Page 3 L'État malade de ses grands corps. - La politique au crible. 
    • Page 4 Le prix de la restructuration des EHPAD.
    • Page 5 Drogue : les lignes bougent contre nous.
    •  Page 6 Allemagne : le temps des turbulence. - Voix étrangères. Les Faits marquants.
    •  Page 7 Sur trois fronts.
    • Pages 8 et 9 France-Allemagne : le désamour.
    • Page 10 Stratégie et guerre russes. - Dans les revues.
    • Page 11 Emmanuel Le Roy-Ladurie.
    • Page 12 Quand le pouvoir devient grotesque.
    • Page 13 Les bijoux de la Castafiore - Polar park.
    • Page 14 Edmond Michelet.
    • Page 15 Brèves royales. - Réunions.
    • Page 16 Un système disloqué
     

  • Grenoble, ce mardi 17 octobre...

     
    Le CENTRE LESDIGUIERES, associé au Cercle Dauphinois de Documentation et de Communication Culturelle, vous convient ce mardi 17 octobre à 19h00 à la conférence de Michel Léon journaliste, animateur du site internet "rail Sud" :

    La destructuration du réseau ferroviaire régional symptôme de la gestion jacobine du territoire

    Sur les cartes de géographie, le chemin de fer traduit la conception politique du territoire. En France, dès la Restauration, il fut conçu sur un modèle centralisé autour de Paris. Puis vint l'époque d'un maillage densifié - quoique souvent de médiocre qualité - pour satisfaire les villes et les régions de "province".
    Mais très rapidement ce réseau fut "rationalisé", avec liquidation massive des transversales ou lignes de desserte fine et construction de lignes à grande vitesse toutes centrées autour de 
    l'Ile-de-France. La géographie ferroviaire de la France traduit de façon caricaturale la conception jacobine du territoire, la "province" ne regardant que vers Paris.
    Nous verrons aussi, avec le conférencier, quel rôle pourrait jouer le réseau ferroviaire provincial dans l'animation des territoires et quelle contribution décisive il pourrait apporter au respect de la nature et à l'équilibre écologique "intégral" de la France.

    La réunion sera suivie d'un buffet convivial, au siège de l'Automobile Club Dauphinois, 107 rue des Alliés 38100 Grenoble
    (Inscription requise et participation aux frais)

    courriel: centrelesdiguieres@gmail.com
    Merci de nous informer de votre participation par retour de courriel

  • Le Bien commun de l'été...

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    Au sommaire :

     

    3 Edito, par François Marcilhac

    5 Actualités françaises

    • Communiqué : Annecy, l’horreur absolue

    • Communiqué : Appel à la résistance

    • 6 Libertés en danger ?

    • 7 Feu sur cette presse qui gêne ! • Entretien avec Gil Mihaely : Il veulent rendre Causeur muet

    • 8 Le bloc-note politique de Christophe Boutin

    • 9 Brèves

    • 10 Chronique de Stéphane Blanchonnet

    11 Politique étrangère

    Le Yogi et le Commissaire

    • 12 Entretien avec Nikola Mirkovic : Kosovo, à qui profitent les crimes ?

    • 14 Entretien avec Bernard Lugan : Les périls africains

    17 Philosophie

    Chronique de Rémi Soulié

    • 18 Entretien avec l’Abbé Matthieu Raffray : La métaphysique contre la déconstruction

    21 Dossier :

    22 Mystique et politique, par Olivier de Lérins

    24 Charles Péguy, de la Montagne Sainte-Geneviève au champ d’honneur, par Jérôme et Jean Tharaud

    26 Hommage à Péguy, par Charles Maurras

    27 Entretien avec Matthieu Giroux : Péguy contre les intellectuels, par Olivier de Lérins

    30 Péguy, l’archie contre la cratie, par Rémi Soulié

    • 32 Histoire

    La Reine la plus exécrée de France

    • 34 Saint Louis et notre temps, par Henri, comte de Paris (1970)

    • 37 Idées politiques

    Sergueï Averintsev, un dissident de l’absolu

    38 Louis Salleron

    • 40 Courrier des lecteurs

    • 41 Littérature

    Les deux Beune

    • 42 Houllebecq, illisible ?

    • 44 La France de Vargas Llosa

    • 45 Le Paradis est épars

    46 Culture

    Cinéma

    • 47 Musique Concert spirituel

  • ACTION ROYALISTE RENNAISE : Ni Macron ni casseurs !

    Peut être une image de texte
     
    Ni République macronienne
    Ni nihilistes dévastateurs !!
    Une fois de plus ces dernières semaines, notre ville de Rennes a été la cible des nihilistes : vitrines brisées ou dégradées (plus de 130 !) ; porte du Couvent des Jacobins incendiée ; commissariat brûlé ; hôtel de ville caillassé et ses fenêtres éclatées, etc.
    Comme à chaque fois désormais, le maire de la ville, Mme Appéré, vient constater après coup les ravages de sa propre politique et de son insuffisance : en laissant prospérer une insécurité (qui n’est pas qu’un sentiment) et une impunité de mauvais aloi pour les nihilistes qui s’en prennent au travail des autres et, même, aux monuments symboliques de Rennes comme l’hôtel de ville et la basilique Saint-Aubin (place Sainte-Anne) il y a quelques semaines, Mme Appéré pratique une politique du pire qui, en définitive, est la pire des politiques…
    Opposée à la réforme Borne-Macron sur les retraites, l’Action Royaliste Rennaise condamne dans le même temps 1. l’attitude de mépris de la République macronienne à l’égard des travailleurs et 2. le nihilisme destructeur de quelques uns qui, en définitive, ne font que servir le système qu’ils prétendent combattre : leurs destructions inconsidérées permettent au gouvernement macronien de se prévaloir de « l’ordre et de la loi » (sic !) et de faire croire que la République macroniste est « légitime » (re-sic !) pour faire passer et accepter toutes ses réformes antisociales…
    « Quand l’ordre n’est plus dans l’ordre, il est dans la révolution », déclarait Robert Aron il y a presque un siècle déjà. C’est vrai ! Mais la révolution nécessaire et le basculement souhaitable ne peuvent être la violence nihiliste ou les piques des coupeurs de têtes : la contestation royaliste, quant à elle, vise à « fonder un nouveau régime », et non à conserver l’actuel en plein échec ni à valider la furie dévastatrice des nouveaux barbares. La révolution, aujourd’hui, passe par la conquête des esprits et la mobilisation des intelligences dans le cadre d’une action civique et d’Etat. Et c’est « par le haut » qu’elle peut être la plus efficace et mener aux décisions les plus pérennes et soucieuses du bien commun : nous la souhaitons, donc, politique et royale, active et sociale !
     
    ACTION ROYALISTE RENNAISE

  • Dans Point de vue : "Charles III", l'éditorial d'Adélaïde de Clermont-Tonnerre, par Guy Adain

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    Magnifique portrait du Roi Charles III par Adélaïde de Clermont- Tonnerre dans l’édito de Point de Vue N° 3867 du 28 septembre 2022.
    Gravé à la lancette, elle y écorche l’homme et fait apparaître ainsi la chair du Roi ! 
    Les présidents sont des énarques et les rois des monarques. 
    Jamais l’on ne décrira comme le fait si bien Adélaïde un Roi, en l’occurrence Charles III, de manière si fine et si juste. 
    Les « Politiques » d’aujourd’hui sont des êtres désincarnés à l’intelligence artificielle ; nos Rois de France, sont modelés de la glaise de France et animés par Dieu lui même pour la gloire du royaume et le bonheur de leurs sujets.
    La sublime description du nouveau Roi Charles III fait envie aux royalistes Français ; elle nous montre l’Homme de chair et de sang, avec son humanité et ses faiblesses.
    Le Roi de France, c’est aussi une âme, « une vieille âme » qui se réincarne depuis Clovis…
    Plût à Dieu que demain notre belle Adélaïde ait à faire un édito sur notre futur Roi de France, elle a le style et la plume…
    Et nous le Roi !
    Vive le Roi !
     
  • Politique magazine n° 211...

    Voir la version en ligne

     

    L’apocalypse ukrainienne

    Comme Emmanuel Macron était persuadé entretenir une relation spéciale avec Poutine, il a cru, ou voulu faire croire, qu’il arriverait à retenir la Russie. La France est donc le seul pays occidental à ne pas avoir encouragé son millier de ressortissants à quitter l’Ukraine. On ne sait pas s’il faut rire aigrement de la naïveté du président français, croyant être diplomate tout en humiliant régulièrement la Russie depuis cinq ans, ou s’indigner d’un calcul purement électoraliste, d’ailleurs salué par un grotesque visuel du parti présidentiel osant proclamer, quelques jours à peine avant l’invasion de l’Ukraine, que Macron avait ramené la paix.   La suite ICI

     

     

    La guerre (par Hilaire de Crémiers)

    Il est difficile de savoir si Poutine a réfléchi à toutes les conséquences de sa décision d’envahir l’Ukraine. Les premiers résultats sont là. Le sentiment national ukrainien s’est ressaisi. Plus il y aura de morts, plus il y aura d’attaques de villes – et ce n’est pas fini –, plus la population dans sa majorité se rebiffera devant de tels procédés. Il devait penser que l’affaire serait expédiée en un rien de temps. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Si la guerre s’installe dans la durée, il n’échappera pas à une résistance qui trouvera dans le passé des motifs puissants de se durcir.  La suite ICI…

     

     

     

     

    La question énergétique, enjeu primordial de l’élection présidentielle (par André Posokhow)

    Un quinquennat énergétique désastreux. La politique énergétique du quinquennat de Macron, largement influencée par l’idéologie totalitaire de l’écologisme d’extrême-gauche, peut être synthétisée ainsi : refus du nucléaire dont la part dans la production électrique française est appelée à être ramenée d’environ 70 % à 50 % ; promotion forcenée des énergies renouvelables (ENR) et plus particulièrement de l’éolien industriel. Plus de 8000 machines sont installées actuellement en France dont aucune n’a été fabriquée dans notre pays…  La suite ICI…

     

     

    Conseil constitutionnel : l’OVNI de la République ? (par Jean Bouër)

    En 1958, lorsque de Gaulle mit la Constitution sur les rails, le Conseil constitutionnel ne devait pas être cette instance influente où l’on place certains proches. En 2022, à l’heure de la démocratie d’opinion et des nominations verrouillées, il en va autrement, alors même que cette institution rend des décisions importantes. Avec le Conseil constitutionnel, nous avons un « cocktail » qui résume certaines tares des démocraties modernes : opacité, expertocratie, fait du prince, recasage…  La suite ICI…

     

     

     

    L’Homme nouveau, mythe moderne (par Christophe Boutin)

    Les actuels débats sur le transhumanisme imposent de s’interroger sur sa généalogie. Entre les deux guerres, c’est la notion d’« homme nouveau » qui traduit la volonté d’adapter l’homme aux nouvelles conditions de son existence et, notamment, de tirer les conséquences d’un rapport à la technique redéfini lors du Premier conflit mondial. Un ouvrage collectif fait découvrir les réflexions convergentes venues de sources diverses, et rappelle que les régimes totalitaires furent loin d’avoir le monopole, ou même la primauté, de cette quête.   La suite ICI…