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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 1997

  • Des députés ou des associations...?

           La France n'a pas besoin de la Halde, de SOS Racisme ni de toutes ces associations et entités qui ne sont en fait que des supplétives de la gauche ou de l'extrême-gauche trotskiste. Ces associations d'agit-prop déguisées, protectrices auto-proclamées des "nobles causes" (c'est à dire, en clair, celles qui servent leur politique...) vivent, dans des proportions variables (mais qui peuvent aller jusqu'à 100% dans le cas de la Halde, qui est un organisme d'État) de subventions, donc d'argent public, c'est à dire  aux crochets des contribuables: ce faisant elles privent des budgets prioritaires (comme la Recherche par exemple, vraie créatrice d'emplois..) d'un argent public qui y serait bien mieux employé; et qui permettrait à la France de cesser de "décrocher", et de commencer à reconquérir sa place dans le peloton de tête des nations innovantes, qui préparent sérieusement l'avenir.

           Ensuite, ces associations sortent du marché du travail un nombre important de gens qui feraient mieux d'être de vrais actifs et de créer de la richesse, plutôt que de vivre en oisifs et en parasites, stérilisant les deniers publics en faisant croire qu'ils travaillent pour de nobles causes, alors qu'ils travaillent surtout à s'assurer et à pérenniser un fonds de commerce bien rassurant et bien sécurisant, là où tant d'autres vivent dans les dures contraintes du monde réel.  Enfin ces associations posent un problème de fond plus vaste et plus général: soit nous avons des députés qui votent de bonnes lois, et la police et la gendarmerie suffisent à faire appliquer ces lois; donc ces associations n'ont pas de raisons d'être; et si vraiment elles veulent exister, alors que ce soit sans aucun centime de subvention ni d'argent public d'aucune sorte, directe ou indirecte....; soit on a vraiment besoin de ces associations car tout va mal et parceque nos lois sont mauvaises; mais alors cela pose une autre question: que font nos députés, et à quoi servent-ils? et que sont nos lois?.....

           Si ni les unes ni les autres ne sont capables de régler les problèmes et de faire vivre les citoyens et la société d'une façon correcte et apaisée, alors faisons des économies et supprimons les députés, s'ils ne servent à rien et si l'on doit avoir recours à SOS Racisme et à la Halde! Est-ce cela que veulent suggérer ces associations et entités? Soyons sérieux: il faut appeler un chat un chat, et un manipulateur un manipulateur; et les démasquer partout où ils ont installé leurs antennes et leur relais...

  • Contradictions de la République idéologique...

              Louis Schweitzer vient d'autoriser les femmes voilées à accompagner les élèves lors des sorties scolaires; il veut même les imposer là où elles se proposent, et obliger les professeurs à les accepter. Alors qu'un loi interdit le port du voile dans les écoles !...

              C'est là une décision propre à créer  du trouble, des oppositions, des tensions, bref de la guerre civile, dans un monde qui devrait justement être préservé de ce genre de choses. On sait ce que représente le prétendu voile islamique pour les tenants purs et durs d'un Islam rigoriste: il institutionnalise l'infériorité et la dépendance de la Femme par rapport à l'Homme et, dans une religion qui mêle et confond le spirituel et le temporel, il constitue en outre, de facto, un signe religieux distinctif.

              Deux façons de contredire et violer des principes déclarés fondamentaux par la République ! amusant ? non: révoltant ! Pourquoi celle-ci est-elle si sourcilleuse et si "laïque" lorsqu'il s'agit du christianisme, élément constitutif de la Nation Française, et si permissive lorsqu'il s'agit de l'Islam ? Combien de temps fera-t-elle le grand écart ?

  • Une Halde au service de la dilution nationale...

              En autorisant des femmes voilées à accompagner des élèves dans le cadre des sorties scolaires, Louis Schweitzer a encore frappé! On le savait, mais on en a là une preuve supplémentaire s'il en était besoin: l'action de ce personnage consiste en fait essentiellement à imposer l'immigration et les immigrés à celles et ceux qui n'en veulent pas ou n'en voudraient pas; et ce, sous couvert d'une lutte contre un prétendu racisme, qui n'existe que dans sa tête et dans celle de ses semblables; un racisme virtuel, une simple vue de l'esprit ou plutôt du mauvais esprit, car notre France est le pays le moins raciste du monde, les Français souhaitant simplement rester les maîtres chez eux, ce qui n'est pas du tout la même chose et qui n'est pas du tout, on en conviendra, la définition du mot "racisme"!. Il convient donc d'arracher le masque des tartuffes et de dénoncer l'hypocrisie, la mauvaise foi, l'escroquerie morale de cette création de la Halde en décembre 2004 par un Chirac en fin de course; un Chirac que bien peu regrettent, et en tout cas pas nous: pour nous,  c'est plutôt "bon débarras!" et "au non-revoir Chirac!".

              Ce mauvais président est et restera, et de très loin, le pire de tous ceux de la cinquième république: c'est lui en effet qui a voulu et imposé cette politique insensée -véritable folie- qui a consisté, depuis 1975, à implanter et greffer de force une nouvelle population, dans des proportions déraisonnables: en l'absence de données officielles et crédibles, on peut avancer le chiffre de 10 millions de personnes entrées en trente ans et devenues ainsi des "français légaux" à défaut d'être des "français légitimes": aucun pays au monde n'a été confronté à une telle situation, et ce sans avoir été jamais consulté, sans avoir jamais pu donner son avis; aucun pays au monde n'a été confronté à ce processus de dépossession de son sol et de son identité par l'adjonction et l'imposition massive de populations étrangères: depuis 1975, "on" a modifié de force la composition physique du Peuple, que l'on a sommé de tout accepter et de ne surtout rien dire sous peine d'être taxé de "racisme"; et, cerise sur le gâteau, "on" a crée une Halde qui va, à tout instant et à tout propos, intervenir en faveur de ces nouveaux venus chaque fois que leurs habitudes nouvelles -ici en l'occurrence le "voile"- viennent s'opposer à nos moeurs et coutumes ancestrales!

              Monsieur Scweitzer a choisi son camp: pour lui, les nouveaux venus sont parfaitement fondés à conserver et à pratiquer ostensiblement leurs coutumes, même si celles-ci nous choquent ou posent un problème: c'est à nous de nous adapter à eux, alors qu'en tous temps et en tous lieux on a toujours demandé aux nouveaux venus de respecter les moeurs et coutumes qu'ils trouvaient dans leur pays d'accueil: monsieur Schweitzer change la règle, c'est à nous de nous "musulmaniser!! libre à lui de marcher sur la tête, mais nous ne sommes pas d'accord. Il prétend nous dire la loi aujourd'hui, mais il s'est mis lui même hors la loi hier en imposant à ses équipes de travailler en anglais quand il dirigeait Renault, alors que le français est, jusqu'à preuve du contraire, la langue officielle de la France.  Le Peuple français n'a rien demandé; nous n'avons pas souhaité la présence chez nous, et en si grand nombre, des immigrés; si Chirac nous les a imposé, rien ne nous empêche de dire que leur présence -peut-être légale- n'est pas légitime puisqu'au accord n'a jamais été donné par le peuple....

  • Ségolène, François et le test d'Elisabeth...

    I            Ségolène Royal dîne avec la reine d'Angleterre. Soudain, elle lui demande: "Votre Majesté, vous m'impressionnez: vous êtes toujours entourée de gens intelligents. Comment faites-vous ?" La reine lui répond: "C'est très simple: je les tiens constamment en alerte. Je leur fais passer régulièrement des petits tests, pour être bien sûre que leur intelligence reste vive". Ségolène Royal stupéfaite: "Ah oui ? Comment faites-vous ça ?"

    II           La reine s'empare du téléphone: "C'est très simple. Je vais vous montrer". Elle appelle Tony Blair: "Bonjour Tony ! - Bonjour Votre Majesté ! - Tony, j'ai un petit test d'intelligence pour vous. C'est l'enfant de votre père et de votre mère mais ce n'est pas votre frère, ni votre soeur. Qui est-ce ? - C'est moi ! - Bravo, vous l'avez ! Merci Tony. A la prochaine !" La reine raccroche, Ségolène Royal est impressionnée: "Wow !"

    III           De retour à Paris, elle décide de mettre en pratique ce qu'elle a vu. Elle téléphone à François Hollande: "Bonjour François, c'est Ségolène ! J'ai un petit test d'intelligence pour toi: c'est l'enfant de ton père et de ta mère mais ce n'est pas ton frère ni ta soeur; qui est-ce ? -Oh ! attends un peu ! je n'étais pas préparé à ça. Laisse-moi quelques minutes pour y penser, et je te rappelle; d'accord ? - Pas de problème !".

    IV          François Hollande s'empresse alors d'appeler Dominique Strauss-Kahn: "Bonjour Dominique, c'est François. Je ne sais pas ce qui lui prend, mais Ségolène vient de me faire passer un test; est-ce que tu veux bien m'aider ? - Pas de problème ! raconte. - Eh bien, c'est l'enfant de ton père et de ta mère, mais ce n'est pas ton frère ni ta soeur; qui est-ce ? - C'est moi ! - Aaaaah, bon d'accord, merci !".

    V           François s'empresse de rappeler Ségolène: "Ségolène, tu peux me reposer ta question ? - Oui, bien sûr ! c'est l'enfant de ton père et de ta mère, mais ce n'est pas ton frère ni ta soeur: qui est-ce ? - (François, tout content...): c'est Dominique Strauss-Kahn ! - Eh ben non, loupé ! c'est Tony Blair !....

  • La Fontaine revu et corrigé.....

    LA CIGALE et la FOURMI: VERSION NORMALE ET VERSION REVUE "BOBOS, GAUCHOS, TROTSKOS ET COMPAGNIE...."   

              Version normale: La fourmi travaille dur tout l'été dans la canicule. Elle construit sa maison et prépare ses provisions pour l'hiver. La cigale pense que la fourmi est stupide; elle rit, danse et joue tout l'été. Une fois l'hiver venu, la fourmi est au chaud et bien nourrie; la cigale, grelottante de froid, n'a ni nourriture ni abri, et meurt de froid.   FIN!

              Version "bobos, gauchos, trotskos et compagnie...": La fourmi travaille dur tout l'été dans la canicule. Elle construit sa maison et prépare ses provisions pour l'hiver. La cigale pense que la fourmi est stupide; elle rit, danse et joue tout l'été. Une fois l'hiver venu, la fourmi est au chaud et bien nourrie; la cigale, grelottante de froid organise une conférence de presse avec RESF, Josianne Balasko et Benabar: elle demande pourquoi la fourmi a le droit d'être au chaud et bien nourrie tandis que les autres, moins chanceux comme elle, ont froid et faim. La télévision organise des émissions en direct, en présence d'Emmanuelle Béart, qui montrent la cigale grelottant de froid; elle passe des extraits vidéos de la fourmi bien au chaud dans sa maison confortable, avec une table pleine de provisions....

            La gauche est scandalisée que dans un pays si riche on laisse souffrir cette pauvre cigale, tandis que d'autres vivent dans l'abondance: Jack Lang est révolté! Les associations contre la pauvreté manifestent devant la maison de la fourmi: Ségolène fait exprès le déplacement de Mougins et vient dire qu'elle n'aime pas les riches. Les journalistes engagés organisent des interviews demandant pourquoi la fourmi est devenue riche sur le dos de la cigale; ils interpellent le gouvernement pour augmenter les impôts de la fourmi, afin qu'elle paie "sa juste part".

            La Halde rédige une loi sur l'égalité économique et une autre loi d'anti-discrimination, rétro-active à l'été: les impôts de la fourmi sont augmentés, et la fourmi reçoit une amende pour n'avoir pas embauché la cigale en "emploi-jeunes". La maison de la fourmi est préemptée par les autorités, car la fourmi n'a pas assez d'argent pour payer son amende et ses impôts: Marie Georges Buffet dit qu'il faut faire payer les riches: l'extrême gauche applaudit, José Bové et les Verts aussi. La fourmi quitte la France pour s'installer en Suisse. La télévision fait un nouveau reportage sur la cigale, maintenant engraissée: elle est en train de finir les dernières provisions de la fourmi, bien que le printemps soit encore loin.

            L'ancienne maison de la fourmi, devenu logement social pour la cigale, se détériore rapidement, car celle-ci ne fait rien pour l'entretenir. Lutte Ouvrière et la Ligue Communiste Révolutionnaire attaquent le gouvernement sur le manque de moyens affectés au logement social: une commission d'enquête est crée, ce qui coûtera dix millions d'euros. La cigale meurt d'une surdose: Libération et l'Humanité stigmatisent l'échec du gouvernement à traiter sérieusement le problème des inégalités sociales. La maison est squattée par un gang d'araignées immigrées: RESF se félicite de la diversité multiculturelle de la France. Les araignées organisent un trafic de marijuana et terrorisent la communauté...     FIN!

  • Un "anti-google" ? mieux : un "alter-google" ! (2)

              Tout ceci demandera de gros moyens matériels, mais aussi et surtout une réelle volonté politique, donc un changement, une réforme profonde de nos Institutions: en effet, la présence et le rayonnement culturel de la France dans le monde ne peuvent plus être imaginés comme quelque chose allant de soi; nous avons vécu longtemps sur le glorieux héritage des 1000 ans de Royauté, mais aujourd'hui cet élan ne suffit plus; il est patent que les Présidents successifs sont bien loin de jouer le rôle que jouaient les Rois pour la promotion de la Culture et de la Civilisation française. Ce sont nos propres amis qui, partout dans le monde, regrettent notre silence, notre absence, notre effacement....Ceci aussi est une conséquence de la Révolution: la France n'a plus à sa tête un Roi, qui s'inscrit dans la durée, et qui incarne la permanence de la France éternelle; Poincaré, Président de la République le reconnaissait humblement et intelligemment, au soir de sa vie: "Maintenant que j'ai le temps de réfléchir, je me demande si l'erreur initiale de la France ne date pas de l'époque où elle a coupé la tête à son Roi...".

              Depuis cette époque, en effet, la France n'est plus représentée que par des passants éphémères, qui ne peuvent pas mener sur le long terme une "politique culturelle", à côté de la politique tout court, comme le faisaient les Rois; c'était aussi un de leurs rôles, et non le moindre; on s'en rend compte aujourd'hui, maintenant qu'ils n'exercent plus ce Magistère....la France ne cesse de décliner sur la scène internationale, dans le monde et en Europe, face au renforcement constant du "tout globish".....Tout se tient: pour notre part, nous proposons la solution politique qui rendrait tout possible, de nouveau ("Politique d'abord !"...): institutionnaliser cette présence au quotidien d'une personne - le Roi- qui consacrerait son action à la défense et à la promotion du rayonnement de la France. La république ne le fait pas et ne le fera pas, tout simplement parcequ'elle ne peut pas le faire: aux français de savoir ce qu'ils veulent pour leur Pays et pour leur Héritage....

  • Aux cuistres et pédants, qui prolifèrent...

              Ne semblent-elles pas écrites d'hier ces quelques phrases assénées par Chateaubriand dans ses "Mémoires d'Outre-Tombe" (Pléiade, Livre Treizième, chapitre 10, pages 463 et 464) ? Et ne semblent-elles pas s'adresser, par exemple, à un Dan Brown, et répondre à son "Da Vinci Code" ? Mais aussi à Michel Onfray, ou encore à tous leurs semblables ?...:

              "...Les diverses combinaisons abstraites ne font que substituer aux mystères chrétiens des mystères encore plus incompréhensibles...; le ton tranchant dont quelques uns parlent de tout cela révolterait, s'il ne tenait au défaut d'études: on se paye de mots que l'on n'entend pas, et l'on se figure être des génies transcendants.

              Que l'on se persuade bien que les Abailard, les Saint Bernard, les Saint Thomas d'Aquin ont porté dans la métaphysique une supériorité de lumières dont nous n'approchons pas; que ce que l'on nous donne pour des progrès et des découvertes sont des vieilleries qui traînent depuis quinze cents ans dans les écoles de la Grèce et dans les collèges du moyen âge...".

             

  • Un "anti google" ? mieux : un "alter google" ! (1)

              Il s'agirait donc de créer un service de traduction systématique, et de mise à disposition des différents publics, de tout ce qui se publie d'important et de fondamental dans le monde, quelle qu'en soit la langue d'origine; non pas bien sûr de traduire tout ce qui se publie, mais de permettre aux chercheurs et à tous les publics de pouvoir travailler "en français" sur tous les sujets (politique et diplomatie, sciences, arts, histoire, philosophie, économie etc...). On pourrait être tenté de ne voir dans ce projet qu'un simple "anti google", dans la mesure où il s'agirait, de fait, de lutter contre une hégémonie -facile puisque sans concurrence...-, une uniformisation de la pensée, dues à l'effet de "rouleau compresseur culturel" dont Google est un bon exemple. Et il est bien vrai qu'il est urgent de lutter, de s'opposer à cet appauvrissement que représenterait à terme la domination universelle, de facto, d'une seule langue, d'un seul "esprit", d'une seule vision du monde. Par son omniprésence et son rayonnement tentaculaires, Google peut en effet symboliser une sorte de citadelle parfois hostile; à partir de laquelle rayonne une culture perçue comme une menace, voire un danger....

              Mais le sentiment qui doit nous animer ne doit pas être fait d'inquiétude, de dépit, de jalousie; il est normal, et sain, que les autres cultures rayonnent; les anglo saxons proposent et diffusent leur façon de voir et de penser le monde: ils ont raison, et c'est naturel; cela n'est ni choquant ni condamnable;  le problème vient de nous: c'est la France qui ne rayonne plus, qui ne parle plus au monde, qui ne diffuse plus sa civilisation, héritière des Grecs et des Romains, marquée du sceau du christianisme, et qui a sû -selon le joli mot que Jean Dutourd nous confiait un jour- "étonner le monde". Et, de ce point de vue, il est évident qu'il ne doit pas s'agir d'être bêtement "contre" Google, mais de proposer intelligemment une alternative à ce qui ne doit pas être, devenir ou rester la seule proposition valable et concrètement utilisable par tous, au quotidien. Celles et ceux qui le souhaitent doivent pouvoir, à tout instant et sur tout sujet disposer d'une autre source d'information, diffusant une autre manière de penser, d'autres valeurs: bref, la vision française des choses et du monde...                   (à suivre...)

  • Attitude minable d'un type minable...

              On hésite entre les mots: choquant ? écoeurant ? scandaleux ? lamentable ? ou tout cela à la fois....!

              Mis en examen pour violence sur son ex compagne, Cheb Mami "n'a plus confiance en la justice française". C'est pourquoi il a quitté la France, en violation du contrôle judiciaire auquel il était soumis; il veut être jugé en Algérie !

              En somme, ce monsieur aux moeurs violentes fait comme beaucoup d'autres: il vient chez nous, profiter au maximum de notre pays pour faire du fric et, dès qu'il a un problème à cause de son comportement, il bave sur nous et nous insulte. Car c'est une insulte que de dire "J'ai confiance en la justice de mon pays" en parlant de l'Algérie, alors qu'il vient de dire qu'il n'a pas confiance en celle de la France.

              Qu'il soit logique, alors, et qu'il reste vivre là bas; qu'il abandonne sa nationalité française (puisqu'il a la double nationalité), à moins que nous ne la lui retirions, ce que devrait faire tout gouvernement ayant un minimum de dignité....

             "Quousque tandem....!" s'écriait Cicéron, à propos des intrigues de Catilina: nous pouvons reprendre l'expression et l'exaspération: jusques à quand la France sera-t-elle salie et injuriée par des individus de cette espèce ?...

    ciceron quousque.jpg
  • Le silence est d'or...

              Mauvais perdants, et ne digérant pas leur défaite, Jean Luc Mélanchon et Mouloud Aounit ont franchi les bornes de la bêtise et du mauvais esprit.

              Le premier a déclaré, en parlant de la droite: "...ils ont tellement collaboré...!" et le second s'est carrément écrié: "C'est la France de Pétain !". Pas étonnant, avec des raisonnements (?!) pareils, que ces messieurs perdent les élections...!

              On leur rappellera simplement que c'est la Chambre du Front Populaire qui a déclaré et perdu une Guerre qu'elle n'avait pas préparée: elle est donc directement et seule responsable de la défaite, de l'Occupation et des horreurs effroyables qui en ont découlé, matériellement et moralement. Cette Chambre s'est ensuite enfuie, en un sauve qui peut déshonorant, non sans avoir au préalable voté les pleins pouvoirs à Pétain, qui devait, par la suite,  trouver dans la gauche socialiste et communiste de nombreux soutiens à la politique de Collaboration: Doriot (ancien maire communiste de Saint Denis), Laval et Déat (tous deux anciens députés socialistes), Simon Sabiani (vrai maître de Marseille pendant des années)...

              Les gens honnêtes et instruits savent que l'héroïsme et la trahison ont été présents dans les deux camps: Mélanchon et Aounit non.... Quoi qu'il en soit, leur inculture et leur mauvaise foi leur ont fait perdre une bonne occasion de se taire..... 

  • Alter- révolutionnaires...

    Les anti mondialistes ont eu le nez creux il y a quelques temps, lorsqu'ils ont décidé de changer leur nom et de s'appeler désormais "alter mondialistes"; en effet, au delà du simple changement de mot, c'est une vision plus conforme à la réalité et surtout plus dynamique qu'ils mettaient en place; avant, lorsqu'ils étaient "anti-mondialistes", ils faisaient en fait du "suivisme", ils semblaient toujours courir après les autres, qui eux (à Davos et ailleurs...) proposaient quelque chose; les anti mondialistes ne proposaient pas, ils étaient "contre"; "contre" une mondialisation qui, de toute façon -pour le meilleur ou pour le pire- avançait inexorablement, conquérante et déferlante; ils attendaient presque de savoir ce que disaient leurs adversaires, puis ils contestaient et rejetaient: même lorsqu'ils émettaient des idées justes ils avaient toujours un temps de retard; le mouvement ne venait pas d'eux, ils se plaçaient toujours sur le terrain de leurs adversaires, et toujours d'une façon négative, pour refuser et critiquer...

    Tous les stratèges et tous les tacticiens savent que c'est précisément ce qu'il ne faut jamais faire; alors ils ont changé, et radicalement: en s'appelant "alter mondialistes", ils devenaient en quelque sorte les "égaux" de ceux qu'ils combattaient jusqu'à présent d'une façon vieillote et rétrograde, passéiste et inefficace; même si ce n'était pas du point de vue de la richesse, de la puissance (telle n'était d'ailleurs pas leur prétention), ils devenaient leurs égaux du simple fait qu'ils devenaient eux aussi une force de propositions; et  parce que, dorénavant, ils allaient changer de posture intellectuelle: ils devenaient dynamiques, ils ne proposaient plus "d'être contre", ils proposaient "autre chose"; cela pouvait sembler peu, ou un simple artifice, un "jeu de mots"; pas du tout; le changement était profond, et substantiel...on en voit d'ailleurs les effets positifs, pour eux et pour leur mouvement, depuis qu'il s'est produit....

    Ne devrions-nous pas nous inspirer de cet exemple, nous qui traînons depuis des décennies ce terme peu et mal compris de "contre-révolutionnaires", de "contre révolution", mot par ailleurs lourd et compliqué; et si nous nous appelions plus simplement "alter révolutionnaires"?  La Révolution nous a apporté un abaissement de la France stupéfiant, un "grand bond en arrière" dont l'Histoire n'offre pas d'autre exemple, en même temps qu'elle a crée les Totalitarismes qui ont fait du XX° siècle le plus "riche" de tous en horreurs et en barbarie. Comme la mondialisation dont nous parlions plus haut, cette Révolution est -malheureusement- bien installée, c'est un fait; elle est là, bien présente, et elle poursuit son oeuvre de destruction; et elle se moque de notre opposition; quand bien même répéterions nous mille fois que nous sommes "contre", en quoi cela aura-t-il fait progresser nos idées? en quoi cela aura-t-il ouvert les yeux de nos concitoyens?

    Alors que nous sommes les seuls -et c'est là notre force et notre originalité profonde, et irremplaçable- à proposer aux Français une "autre" voie, qui serait une vraie révolution par rapport à celle qui est installée: plutôt que de nous "opposer" nous devons "proposer", tout simplement parce que nous sommes les seuls à pouvoir le faire puisque les seuls à être porteurs d'une "autre" vision; et si nous ne le faisons pas, qui le fera? nous pensons qu'il faut "arrêter les frais", et que de cette révolution vraiment funeste il n'y a, a proprement parler, rien à conserver, à cause de "sa désolante pourriture": le mot est de Pierre Boutang, qui exprimait clairement cette idée, à la fin de son ouvrage "Reprendre le Pouvoir" lorsqu'il écrivait : 

    "Notre société n'a que des banques pour cathédrales; elle n'a rien à transmettre qui justifie un nouvel "appel aux conservateurs"; il n'y a d'elle proprement dite rien à conserver. Aussi sommes-nous libres de rêver que le premier rebelle et serviteur de la légitimité révolutionnaire sera le Prince chrétien".

  • Vivons-nous une époque formidable?.....

              Optimistes ou pessimistes? espérance ou défaitisme? lorsqu'on considère l'état de la France, on peut se demander si, a bien des égards, nous ne sommes pas en 1789; n'avons-nous pas, par exemple,  des syndicats ultra-minoritaires mais qui défendent des "droits acquis" (ce qui est l'exacte définition du mot "privilèges"!) et que l'on peut parfaitement assimiler aux Parlements d'Ancien Régime défendant privilèges et privilégiés et bloquant la société?; sauf qu'à l'époque la France était puissante, nombreuse, riche, elle était le premier pays du monde alors qu'aujourd'hui elle doute, elle est affaiblie démographiquement, elle est touchée "au coeur" dans son moral et dans son unité nationale; car c'est maintenant qu'elle est vraiment devenue, pour reprendre le mot de Mirabeau, "un agrégat inconstitué de peuples désunis"; et ceci à cause de la folle, suicidaire et illégitime politique d'immigration: la république a choisi en effet, plutôt que de répondre aux besoins de la société et de l'économie, de greffer et d'implanter de force et -d'une certaine façon- à l'insu de l'opinion une population étrangère trop nombreuse, sans se soucier des risques graves que cela faisait courir aux équilibres généraux de la société, voire à la paix civile tout cours (émeutes en banlieues de novembre 2006). 

              Il ne faut pas tomber cependant dans le catastrophisme, il faut se garder des deux erreurs et des deux extrêmes et tenir un juste milieu: nous ne pensons pas que la France soit "finie" (et d'ailleurs, si elle l'était, à quoi cela servirait-il de continuer à se battre? il faut rester logique...); à l'inverse il ne faut pas non plus être niais ou béat, et il faut bien voir que les coups qu'elle a subis depuis la révolution sont terribles: démographiquement, culturellement, économiquement; et aujourd'hui elle est confrontée à une immigration dangereuse qu'elle n'est pas en mesure d'intégrer (et encore moins d'assimiler...) parceque justement elle est abaissée, affaiblie par la république.... Mais ne restons pas en permanence les yeux rivés sur l'actualité immédiate, et prenons un peu de recul: plusieurs évènements très positifs se sont produits, depuis 1975, porteurs de réels espoirs et peut-être capables de réellement "changer la donne", de faire bouger les choses dans un sens qui nous est beaucoup plus favorable qu'avant.

              Le premier est l'instauration de la Royauté en Espagne en 1975: même si la Royauté que nous proposons sera très différente de celle de Juan Carlos, l'exemple espagnol nous sert, objectivement. Le deuxième fait est d'une certaine façon "interne" à notre famille de pensée: nous avons renoué le contact avec les Princes depuis 2002, donc nous cessons de proposer nos idées d'une manière un peu abstraite et en quelque sorte désincarnée: aujourd'hui nous pouvons proposer et présenter le Prince Jean.... Le troisième fait est, après le pontificat de Jean Paul II, l'élection de Benoit XVI en 2005: nous pensons qu'il n'est pas sot de se poser la question suivante: l'Église Catholique redevient-elle une puissance capable de ré-orienter l'Histoire?

              Enfin, en 2007, la défaite de la gauche se double d'une déroute idéologique pour elle, et peut-être -on peut l'espérer...- de la fin de la "pensée unique";  ce qui peut ouvrir une nouvelle période, bien plus favorable pour nous, si l'on considère le foisonnement de propositions et d'idées qui s'expriment maintenant, d'une façon bien plus libre et bien plus ouverte...; "Il n'est point de vents favorables pour celui qui ne sait où il va" disait Sénèque: notre combat ne change pas, ce sont les conditions dans lesquelles nous le menons qui semblent s'éclaircir, et les vents -longtemps et souvent contraires- qui vont peut-être gonfler nos voiles...

     

  • Il a baissé, ou pas....?

              La polémique sur les chiffres du chômage n'est pas close: certes les chiffres qu'on nous présentent indiquent une baisse, mais c'est essentiellement à cause de radiations "techniques" ou à cause de départs en retraite, associés à une baisse de la démographie, inquiétante et très négative à terme. Seule l'apparition de vrais emplois, durables et bien rémunérés, vraiment créateurs de vraie richesse, pourra résoudre le problème du chômage: s'il y avait eu véritablement 100.000, 200.000, 300.000 emplois crées, ou plus, et de "vrais emplois", vraiment créateurs de vraie richesse, on aurait vu tous les soirs à la télé Chirac et Villepin venir se gargariser de leur succès et de ce qui, pour le coup, aurait vraiment été "une baisse du chômage"; s'ils ne s'en sont pas vantés, c'est que malheureusement celle-ci n'a pas eu lieu, du moins pas de la façon qu'ils voudraient nous faire croire....et c'est bien triste. 

  • De Mougins à la Banlieue....

              Ségolène et son compagnon François Hollande "n'aiment pas les riches": c'est ce qu'ils ont dit au début de la campagne pour la présidentielle, juste avant qu'on n'apprenne qu'ils avaient -entre autre...- une villa à Mougins, lieu défavorisé de la très pauvre Côte d'Azur, bien connu pour abriter des déshérités, des romanichels misérables et d'autres damnés de la terre...

              Vont-ils être logiques avec eux-mêmes et, puisqu'ils "n'aiment pas les riches", vont-ils saisir la main qui leur a été tendue par les jeunes des banlieues, en transférant leur résidence secondaire dans une des-dites banlieues ?

              C'est en effet un véritable message d'amour que l'immigration a envoyé à Ségolène à travers les scores qu'elle a réalisé dans les Cités:

              Vaulx en Velin: 63%; La Paillade: 65%; Le Mirail à Toulouse: 70%; les quartiers nord de Marseille: 70%; Aubervilliers: 61%; Saint Denis: 67%; Bobigny: 66%; Trappes: 70%...

              Pour Ségolène et François, l'embarras du choix !...

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    Partir ! Tout quitter, pour cette douce France, là où Momo vote Ségo (ici: Vaulx-en-Velin)....
  • Un sondage...

              Sans commentaires, ce sondage BVA publié par France Soir (8/03/07):

             17% des Français seraient favorables à ce que la fonction de Chef de l'Etat soit confiée à un Roi, et 20% pensent que la présence d'un Roi aurait des conséquences positives ( les mêmes 20% pourraient voter pour un candidat royaliste à une élection présidentielle).

             Seraient favorables à la ré-instauration de la monarchie: 30% des commerçants, 25% des ouvriers et 28,9% des catholiques pratiquants.

              Seraient prêts à voter pour un candidat royaliste: 31,4% des jeunes de 18 à 24 ans et 46,5% des agriculteurs....