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  • Louis de Funès, raconté par Bertrand Dicale...

                  "Louis de Funès n'est pas seulement un acteur français, il appartient à notre patrimoine culturel".

                 

    En cette période où l'on parle beaucoup de lui - à bon droit - à l'occasion du trentième anniversaire de son décès, voilà le genre de phrases que l'on peut savourer en lisant (ou relisant...) l'ouvrage de Bertrand Dicale, Louis de Funès, grimaces et gloire.   

     

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    Grasset, 528 pages, 20,90 euros.
     
    Quatrième de couverture :
     
    Nous aimons tous Louis de Funès. Nous ne savons plus combien de fois nous avons vu La Grande Vadrouille, Les Gendarmes, Le Tatoué ou L'Homme orchestre. Nous l'avons tous un jour imité quand il répète « alors là, il m'épate ! » dans Le Corniaud, quand il tire sur son nez dans Oscar, quand il se lance dans la danse des Aventures de Rabbi Jacob... ais que savons-nous de lui ? Qu'il n'a vraiment percé qu'après avoir joué dans plus de cent vingt films, qu'il a toujours refusé de jouer des rôles dramatiques, qu'il est le seul des grands acteurs français à être génial dans de mauvais films... Mais nous ignorons par quels prodiges d'opiniâtreté, de travail et même de chance Louis de Funès est passé pour que, à cinquante ans, l'éternel second rôle devienne l'acteur le plus populaire du cinéma français — et jusqu'à aujourd'hui. A travers des dizaines de témoignages, des milliers de critiques et d'articles de presse, des archives inédites et surtout les dizaines de films tournés par Louis de Funès, Bertrand Dicale raconte la vie et la carrière de notre acteur préféré. Ainsi, Louis de Funès, grimaces et gloire est la traversée d'un demi-siècle de notre culture populaire, une exploration de notre mémoire — et de nos amnésies — collective, une plongée dans les mutations de notre société depuis la Libération.

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  • Pour leur dialogue sur l'Islam : prix orange à Rémy Brague, prix citron au Père Christian Delorme

              Rémy Brague et Christian Delorme ont brague,delorme,islam,allah,dieu,chrétiens,christianisme,islamismemené un débat courtois et fort intéressant, sans concession, sur l'Islam (1). On pourrait écrire de ce débat qu'il fut un dialogue entre celui qui voit l'Islam tel qu'il est - Rémy Brague - et celui qui voit l'Islam tel qu'il croit qu'il est; ou, tel qu'il aimerait qu'il soit.....

            Le Père Delorme déclare "La majorité des musulmans, particulièrement en France, sont ouverts à la vie et à la paix" : malheureusement, s'il est vrai qu'on entend quelquefois à la radio ou à la télé tel ou tel musulman "ouvert", on entend - et on voit... - infiniment plus souvent le contraire.... On regrettera également que pas une seul fois le Père Delorme n'ait fait allusion aux meurtres de chrétiens en terre d'Islam ni aux conditions de vie épouvantables qui sont les leurs : on tue un chrétien sur terre toutes les cinq minutes, il est vrai que c'est parfois dans d'autres pays persécuteurs (Chine, pays d'hindouisme...) mais, enfin, dans la plupart des cas, ces meurtres sont commis en terres d'Islam, et par des musulmans quasiment jamais punis....

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  • Les vidéos d'Hilaire de Crémiers sur le Maurras qui méditait "d'ingénieuses fables" ....

            On les annonçait depuis longtemps; on en avait eu les prémices lors de deux courtes mises en bouche, publiées à partir de la fin septembre. Voici que la première vidéo d'envergure vient d'être envoyée sur le Blog d'Hilaire de Crémiers.

            D'une durée de trois quarts d'heure environ, elle est comme une sorte d'introduction générale au sujet, qu'elle présente dans son ampleur insoupçonnée - du moins, du grand public....

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    "Aux bords des eaux de lumière fleuries...", à Martigues, la pointe du Brescon, le "miroir aux oiseaux", dans le prolongement du quai natal de Charles Maurras....

    On aura retrouvé, dans le titre que nous avons choisi, la phrase empruntée au poème envoyé par Anatole France à Charles Maurras (et qui figure en préambule des Contes du Chemin de paradis)accompagné du billet suivant  : « Voici, cher ami, l’épigramme dans la manière de Christodore de Coptos, qui mit des inscriptions aux statues de Zeuxippe. J’aurai voulu qu’elle fût plus digne de votre beau livre. » :

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  • Tout ce qui est Racines est bon : Depuis 1000 ans, les moines prient et chantent à Solesmes...

    C'est traditionnellement, au 12 octobre que l'on place la signature de la Charte de fondation de l'Abbaye de Solesmes. Traditionnellement, et par conjecture, car il existe une incertitude historique sur le jour même où cette Charte fut promulguée.

    Mais, en vérité, un peu plus tôt ou un peu plus tard, le jour exact importe peu, face à l'immensité du témoignage apporté par les moines qui, à Solesmes, prient et chantent depuis mille ans...SOLESMES 1.jpg

     

     

        http://patrimoine.blog.pelerin.info/2010/04/25/visite-a-labbaye-de-solesmes-millenaire/#utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+PatrimoineEnBlog+%28Patrimoine+en+blog%29#utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=visite-a-labbaye-de-solesmes-millenaire

     

                http://www.abbayedesolesmes.fr/FR/entree.php?js=1

     

                        http://www.st-benoit-du-lac.com/congregation/adresses.html

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  • Albert Camus dégage le sens profond de l'assassinat de Louis XVI...

    Il y a cinquante ans, Albert Camus se tuait dans un accident de voiture. Ce fils des rivages d’Afrique du Nord, malheureusement fort éloigné du christianisme, n’en avait pas moins saisi le sens profond de l’assassinat de Louis XVI, beaucoup mieux que la grande majorité des hommes politiques et même que certains hommes d’Eglise qui rêvent de “baptiser” la Révolution ::

     « Le 21 janvier, avec le meurtre du Roi-prêtre, s’achève ce qu’on a appelé significativement la passion de Louis XVI. Certes, c’est un répugnant scandale d’avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l’assassinat public d’un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s’en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu’ici, se mêlait à l’histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n’y a plus de roi. Il n’y a donc plus qu’une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes.

      Les révolutionnaires peuvent se réclamer de l’Evangile. En fait, ils portent au Christianisme un coup terrible, dont il ne s’est pas encore relevé. Il semble vraiment que l’exécution du Roi, suivie, on le sait, de scènes convulsives, de suicides ou de folie, s’est déroulée tout entière dans la conscience de ce qui s’accomplissait. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu’il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s’identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu’il soit bien dit que l’attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l’incarnation divine, et non la chair effrayée de l’homme.

     Son livre de chevet, au Temple, est l’Imitation de Jésus-Christ. La douceur, la perfection que cet homme, de sensibilité pourtant moyenne, apporte à ses derniers moments, ses remarques indifférentes sur tout ce qui est du monde extérieur et, pour finir, sa brève défaillance sur l’échafaud solitaire, devant ce terrible tambour qui couvrait sa voix, si loin de ce peuple dont il espérait se faire entendre, tout cela laisse imaginer que ce n’est pas Capet qui meurt mais Louis de droit divin, et avec lui, d’une certaine manière, la Chrétienté temporelle. Pour mieux affirmer encore ce lien sacré, son confesseur le soutient dans sa défaillance, en lui rappelant sa « ressemblance » avec le Dieu de douleur. Et Louis XVI alors se reprend, en reprenant le langage de ce Dieu : « Je boirai, dit-il, le calice jusqu’à la lie ». Puis il se laisse aller, frémissant, aux mains ignobles du bourreau ».

     Albert Camus, L’homme révolté, La Pléiade, p. 528-529.

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  • Deux nouveaux Ferry...

               Il y a 2000 ans, le christianisme était une secte. Comment est-il devenu une civilisation ? Et, aujourd’hui quel est son devenir ? C’est à ces deux questions que répondent deux dialogues de Luc Ferry : le premier avec Lucien Jerphagnon, l’un des plus grands esprits français de notre temps, et le second avec Philippe Barbarin, Archevêque de Lyon et Primat des Gaules.

               Ainsi commence la chronique....

               Voici ce qu'a répondu Luc Ferry à Philippe Vallet, au micro de France Info, le samedi 15 Août, jour de l'Assomption (1):

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  • Le sourire du dimanche....

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  • L'Enchanteur revisité...

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    Sur les pas de Chateaubriand, de Denis Tillinac. Presses de la Renaissance, 96 pages, 24 euros.
     

                « C'est l'histoire véridique d'un homme assez fou d'orgueil pour avoir défié Napoléon Ier avec une plume en guise de sabre. Sans Chateaubriand, la mélancolie n'aurait pas ces parfums d'automne qui insinuent dans la tristesse des effluves de félicité. Sans lui, je n'aurais pas été le même. C'est dans les miroirs de sa thaumaturgie que j'ai connu après tant d'autres ma vocation d'écrivain. Comme lui je suis l'héritier navré d'un monde en perdition, gardien à mon coeur défendant de ruines ennoblies par son art ; comme lui j'ai vu émerger un autre monde qui n'a rien pour me plaire. Comme lui je traîne par le fait une cohorte de regrets dont ma plume fait son miel et son fiel.

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  • GRANDS TEXTES (13) : Discours du pape Benoît XVI au collège des Bernardins.

    Juste après la publication de l'Ephéméride du 11 Août, consacré à une évocation du Mont Saint Michel, il nous a semblé pertinent de prolonger les réflexions que pouvaient faire naître un si haut lieu, et la spiritualité qui s'y rattache et qu'il rayonne, depuis treize siècles maintenant.

    Nous nous sommes souvenus de la question que posait Benoït XVI dans son fameux Discours des Bernardins: ces moines, que cherchaient-ils ?... 

    Et il nous a paru utile de publier maintenant, à la suite donc de cette méditation sur le Mont, l'enseignement si riche que constitue, précisément, ce Discours magistral de Benoît XVI, qui trouve tout naturellement sa place dans notre Catégorie "Grands Textes".

     

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    Les Bernardins
     
     

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  • Ingrid Betancourt: "...un peu de soleil dans l'eau froide"

              La libération d'Ingrid Betancourt, presque tous les journalistes en ont parlé, et beaucoup l'ont fait très bien (nous avons d'ailleurs reproduit l'intégralité de l'éditorial d'Alexis Brézet).

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              L'éditorialiste du Point a cependant bien mérité un petit coup de chapeau pour ces quelques lignes, heureuses et bien tournées :

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  • Michel Serrault

              "Faire rire et m'occuper de Dieu": telle était sa ligne de conduite. On le sait, Michel Serrault avait envisagé la prêtrise (il était entré à 14 ans au Petit Séminaire de Conflans), mais il choisit finalement d'être acteur....

               D'autres évoqueront longuement, et avec justesse, l'immensité de son talent et la richesse de sa carrière. C'est l'homme, et sa grande richesse intérieure, sa profonde force spirituelle qui nous intéressera ici.

               Comme tous les grands, qui ont l'élégance vraie, la classe véritable, il n'imposait pas ses idées (par exemple son catholicisme fervent et communicatif); il ne se croyait pas investi d'une mission de propagandiste; mais il témoignait volontiers -et avec quelle profondeur, quelle richesse...!- de ce qu'il croyait.

               Sa Foi profonde, il ne l'a jamais ni exhibée avec indécence, ni tûe avec honte; il était pudique, n'imposait rien mais répondait dès qu'on l'interrogeait; et là -comme sur scène- il rayonnait.

               Celui là est roi qui rayonne: dans son métier comme par son exemple, il fut roi....

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  • André Chouraqui...

              Né le 11 août 1917 à Aïn Temouchent, en Algérie, André Chouraqui est décédé à Jérusalem, le 9 juillet.

              Ecrivain et penseur, intellectuel et homme d'action, il avait le don de sympathie, et il savait séduire les esprits, les intelligences et les coeurs. De tout ce qu'il y aura à retenir de lui, on pourrait citer -comme particulièrement révélatrice de sa personnaloité- cette conférence dans laquelle il expliquait le livre de la Genèse, en montrant la difficulté, les problèmes et les surprises de la traduction.

              La fameuse phrase: "Et Dieu vit que cela était bon...", majestueuse mais un peu grandiloquente, se dit en fait, expliquait-il durant cette conférence, "Quel bien !" dans le texte original. Et il insistait sur le point d'exclamation, et sur le fait que cette concision rendait mieux compte de la grandeur immense de la Création, et de la stupeur, au sens fort du mot, qu'elle provoque...

             Cette leçon éblouissante d'un soir, et l'émerveillement qu'elle a suscitée, font partie de ce qui ne meurt pas...

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  • Le premier Résistant de France...

    Contrairement à ce que pensent certains, la révolution française ne fut pas seulement, et peut être d'ailleurs pas essentiellement, anti royale: elle fut également, et au moins autant, anti-chrétienne, anti-catholique: Louis XVI avait accepté, et était prêt à accepter, beaucoup de réformes; et les partisans de ces réformes (Mirabeau par exemple...) n'imaginaient pas un instant les horreurs qui allaient suivre; une Royauté constitutionnelle, avec un Roi (Louis XVI en l'occurence) ayant de grands pouvoirs, mais présidant une Assemblée Nationale qui aurait, elle aussi son rôle -nouveau- à jouer: tel était le destin tout tracé, semblait-il, du "grand mouvement de 1789". Mais ce qui, au fond, intéressait le plus les idéologues, ces durs petits esprits, tout enivrés de leurs soi disant Lumières, c'était la mise à bas d'un ordre qui, dans ses fondements même, reposait sur la Transcendance, puisqu'il admettait et acceptait l'existence de Dieu, le Dieu du Décalogue, donnant des Lois aux hommes et intervenant donc dans la vie concrète des gens; et représenté sur terre par son "Lieu-Tenant", le Roi.

    Bien avant de penser à la mort du Roi, les révolutionnaires cherchèrent à proclamer et à organiser "la mort de Dieu": on eut très vite la preuve de cela, lorsque -après que Louis XVI eut accepté maints changements de taille- les révolutionnaires s'assignèrent comme tâche ce qui n'était en fait rien d'autre que le viol des consciences: sous prétexte de réorganiser les "affaires religieuses", on en arriva à imposer la Constitution Civile du Clergé, finalement condamnée par le Pape, et que Talleyrand lui même -qui, pourtant siégeait à l'Assemblée Constituante- devait appeler "la plus grande faute politique de l'Assemblée": elle divisait irrémédiablement, en effet, l'Église de France; elle était rejetée par une très large part de l'opinion publique; enfin, elle ouvrait la voie à une coupure définitive entre Louis XVI et l'Assemblée: l'obligation de "prêter serment", véritable machine de guerre , véritable bombe destinée à "casser" l'Eglise fut ce par quoi le nouveau venu, Danton, piégea Louis XVI, en cherchant à l'obliger à prendre parti pour la Constitution Civile, donc pour les Jureurs contre les Réfractaires; et c'est par là, en effet, que Louis XVI perdit vraiment et définitivement son trône, puis sa vie et celles des siens, car dès lors il cessa d'accepter: il eut conscience que, à partir de ce moment là, et dans ce domaine là, il n'y avait plus de concessions, mais des compromissions: alors il résista...

    Il résista puisqu'il n'était plus libre de ses opinions; il résista à cette Assemblée qui cherchait à lui dicter ses opinions, alors qu'elle proclamait la "Liberté"; il résista à ces idéologues durs et froids, qui voulaient régenter les consciences, comme le firent plus tard leurs "dignes" successeurs, Hitler et Staline, chacun dans son style, chacun dans ses camps, mais tous deux deux cherchant soit à ré-éduquer soit à anéantir celles et ceux qui osaient refuser le paradis sur terre que l'état nazi ou communiste avaient imaginé pour eux ("le Reich pour mille ans" ou "la société sans classe, si belle que nul ne peut l'imaginer"). Oui, l'assassinat de Louis XVI fut bien l'acte fondateur des Totalitarismes modernes, dont la France, le Monde et la Civilisation ont payé le prix fort; mais cet acte fondateur fut précédé par l'acte courageux et lucide de celui qui le premier osa se lever contre la barbarie, en sachant qu'il perdrait tout dans ce combat: mais, comme les martyrs des Camps nazis ou des camps du Goulag, c'est dans cette apparente défaite  humaine que se trouve la victoire de l'Esprit contre le Mal...