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révolution - Page 7

  • Les quatre jours du prince Jean en Provence: plein succès pour la première journée, à Marseille....

    La Fédération Royaliste Provençale communique :

    Cette première journée d'un déplacement en Provence qui en comptera quatre, s'est passée à Marseille, avant que le Prince et son épouse ne se dirigent vers Toulon, où ils passeront les trois jours suivants.

    Elle fut ouverte par une longue réception à la Mairie de Marseille, pendant laquelle le Prince s'est entretenu avec le sénateur-maire, Jean-Claude Gaudin. Ce n'est pas la première fois, du reste, que le Prince est reçu dans cette Mairie, où le même Jean-Claude Gaudin lui avait déjà remis la médaille d'honneur de la Ville (ci dessous).

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    Marseille: sur le balcon d'honneur de la mairie de Puget, sous le buste de Louis XIV et face à la Bonne Mère, Jean-Claude GAUDIN remet au Prince la médaille de la ville.
    Il lui déclare : "Ce sont mes deux sources d'inspiration".

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  • Albert Camus dégage le sens profond de l'assassinat de Louis XVI...

    Il y a cinquante ans, Albert Camus se tuait dans un accident de voiture. Ce fils des rivages d’Afrique du Nord, malheureusement fort éloigné du christianisme, n’en avait pas moins saisi le sens profond de l’assassinat de Louis XVI, beaucoup mieux que la grande majorité des hommes politiques et même que certains hommes d’Eglise qui rêvent de “baptiser” la Révolution ::

     « Le 21 janvier, avec le meurtre du Roi-prêtre, s’achève ce qu’on a appelé significativement la passion de Louis XVI. Certes, c’est un répugnant scandale d’avoir présenté, comme un grand moment de notre histoire, l’assassinat public d’un homme faible et bon. Cet échafaud ne marque pas un sommet, il s’en faut. Il reste au moins que, par ses attendus et ses conséquences, le jugement du roi est à la charnière de notre histoire contemporaine. Il symbolise la désacralisation de cette histoire et la désincarnation du Dieu Chrétien. Dieu, jusqu’ici, se mêlait à l’histoire par les Rois. Mais on tue son représentant historique, il n’y a plus de roi. Il n’y a donc plus qu’une apparence de Dieu relégué dans le ciel des principes.

      Les révolutionnaires peuvent se réclamer de l’Evangile. En fait, ils portent au Christianisme un coup terrible, dont il ne s’est pas encore relevé. Il semble vraiment que l’exécution du Roi, suivie, on le sait, de scènes convulsives, de suicides ou de folie, s’est déroulée tout entière dans la conscience de ce qui s’accomplissait. Louis XVI semble avoir, parfois, douté de son droit divin, quoiqu’il ait refusé systématiquement tous les projets de loi qui portaient atteinte à sa foi. Mais à partir du moment où il soupçonne ou connaît son sort, il semble s’identifier, son langage le montre, à sa mission divine, pour qu’il soit bien dit que l’attentat contre sa personne vise le Roi-Christ, l’incarnation divine, et non la chair effrayée de l’homme.

     Son livre de chevet, au Temple, est l’Imitation de Jésus-Christ. La douceur, la perfection que cet homme, de sensibilité pourtant moyenne, apporte à ses derniers moments, ses remarques indifférentes sur tout ce qui est du monde extérieur et, pour finir, sa brève défaillance sur l’échafaud solitaire, devant ce terrible tambour qui couvrait sa voix, si loin de ce peuple dont il espérait se faire entendre, tout cela laisse imaginer que ce n’est pas Capet qui meurt mais Louis de droit divin, et avec lui, d’une certaine manière, la Chrétienté temporelle. Pour mieux affirmer encore ce lien sacré, son confesseur le soutient dans sa défaillance, en lui rappelant sa « ressemblance » avec le Dieu de douleur. Et Louis XVI alors se reprend, en reprenant le langage de ce Dieu : « Je boirai, dit-il, le calice jusqu’à la lie ». Puis il se laisse aller, frémissant, aux mains ignobles du bourreau ».

     Albert Camus, L’homme révolté, La Pléiade, p. 528-529.

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  • GRANDS TEXTES (18), ou ANTI GRAND TEXTE : Discours de Maximilien de Robespierre (première intervention, le 3 décembre 1792, au cours du pseudo procès de Louis XVI).

    Il y a 18 ans, le jeune Maximilien de Robespierre avait eu à féliciter le roi Louis XVI rentrant à Paris après son couronnement à Reims, le 15 juin 1775 (Maximilien avait alors 17 ans accomplis). C'était rue Saint-Jacques, devant le Collège Louis-le-Grand. Le professeur de rhétorique avait rédigé pour la cérémonie un compliment superbe en vers, que Robespierre fut chargé de dire, comme étant l'un des élèves les plus doués et les plus méritants. Il pleuvait à seaux ce jour-là, mais le jeune Maximilien était infiniment fier d'avoir eu «l'honneur» de saluer ce jeune roi qui incarnait aux yeux de la nation toute entière les espérance d'un avenir prometteur pour la France.

     

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    Robespierre, avant...

     

    Aujourd'hui, dix-huit ans plus tard, ce 3 décembre 1792, il prononce les mots terribles que l'on va lire ci-dessous, dans ce véritable discours fondateur de tous les Totalitarismes modernes. C'est à l'ouverture du pseudo-procès de Louis XVI : c'est toujours le même Robespierre et, pourtant il n'est plus le même : le jeune élève brillant et prometteur est devenu un idéologue endurci, sec et froid.

    C'est à lui que s'adressera quelques jours plus tard le courageux De Sèze: "Français, la révolution qui vous régénère a développé en vous de grandes vertus ; mais craignez, qu’elle n’ait affaibli dans vos âmes le sentiment de l’humanité, sans lequel il ne peut y en avoir que de fausses !".

    De Sèze a courageusement et intelligemment démasqué les idéologues, se voulant régénérateurs et purificateurs, persuadés d'oeuvrer pour l'Homme, mais n'ayant aucune forme de pitié ou de considération pour les hommes.

    Mais Robespierre et la Convention n'entendront évidemment pas le message. Comment Robespierre et ses affidés, un Saint Just par exemple, pourraient-il l'entendre, ce message, lorsque le même Saint Just osait proférer (toujours lors du pseudo-procès de Louis XVI): "Je ne juge pas, je tue... Une nation ne se régénère que sur des monceaux de cadavres"...

    C'est trop tard : Robespierre est mort, du moins le jeune et brillant élève qui recevait et complimentait le Roi lors de son retours de Reims. L'a remplacé un idéologue aveuglé par sa confiance en lui-même et en ses principes, qu'il croit supérieurs et qu'il veut appliquer à tout prix, ne se rendant absolument pas compte, absolument plus compte, qu'il est devenu la parfaite incarnation de la terrible prophétie de Frédéric II à Voltaire : « Nous avons connu le fanatisme de la foi. Peut-être connaîtrons-nous, mon cher Voltaire, le fanatisme de la raison, et ce sera bien pire »...

    Oui, c'est bien un fanatique, sec et froid, qui s'exprime d'une façon presque métallique, pourrait-on dire, ce 3 décembre, lors de l'ouverture du pseudo-procès de Louis XVI. Et qui prononce les paroles monstrueuses que l'on va lire, et que reprendront mot pour mot les Staline, Hitler, Mao, Pol Pot et autres monstres secs et froids des Totalitarismes modernes, qui ont tous pour père et modèle le même et unique Maximilien de Robespierre.

    Oui, l'on entend déjà, en lisant ce monstrueux discours et cette aberrante logique, ce que diront les enfants de Robespierre plus tard, bien plus tard, eux qui auront bien compris et bien assimilé cette infernale logique:

    A quoi bon juger ces Juifs, dira Hitler, la race aryenne ne saurait être soupçonnée d'erreur(s) dans ses pensées, ses jugements ou ses actes, puisqu'elle est "supérieure" (!). Ces juifs doivent donc mourir, sinon c'est admettre l'idée que la race aryenne a pu se tromper, ce qui est impossible... A quoi bon juger ces dissidents, dira Staline, la classe ouvrière est l'avant-garde consciente qui a reçu pour mission de faire éclore l'Histoire et de l'achever. Elle marche dans le sens de l'Histoire, et l'idée même de juger quelqu'un qui s'oppose à elle -et qui ne peut donc être qu'un traître ou un malade- serait admettre l'idée que la classe ouvrière pourrait se tromper, ce qui est impossible.....

    Donc, on ne juge pas, on tue, pour reprendre telle quelle la formule de Saint Just, ce grand ami de Robespierre, et l'un de ses alter ego...

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    ...Robespierre

               

    On le voit, le tout de la mécanique infernale est contenu dans le discours de Robespierre, qui est une vraie bombe, insuffisamment lu, insuffisamment étudié. Ce discours est bien l'acte fondateur, la parole fondatrice de tous les procès nazis ou staliniens de l'histoire, de tous les Totalitarismes, de tous les Génocides....

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  • Jeudi 21 Janvier, l'Anti Grand Texte....

    Ou : Quand, à la face du monde, Maximilien de Robespierre a posé les bases des Totalitarismes et des Génocides modernes. C'est dans sa Première intervention, le 3 décembre 1793, lors du procès (!) de Louis XVI, et ce sera, dans son intégralité, notre XVIIIème Grand Texte...

  • Des évènements auquels nul n'était préparé...

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  • Besson est-il scandaleux ? Désolant ? Ou simplement logique, et dans le vrai ?... Du moins le vrai pour lui, son vrai à lui, qui n’est, bien sûr, pas le nôtre…

                            Besson est-il scandaleux ? Désolant ? Ou simplement logique, et dans le vrai ?.... Du moins le vrai pour lui, son "vrai" à lui, qui n’est, bien sûr, pas le nôtre….

                       (Rappel des propos du Ministre: "la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage".)

     

                 Oui, au risque de choquer –du moins au début- disons que si les propos de Besson sont scandaleux, et qu’il mérite lui aussi la condamnation de Molière que nous adressions récemment à Alain Duhamel (« Ignorantus, ignoranta, ignorantum… »,en prononçant bien ignorant-t-homme); s'il mérite lui aussi ce titre que nous avions donné au commentaire consternant d'un ministre suédois à propos de la Turquie: "Ces ignorants qui nous gouvernent..."; Besson a malgré tout raison.

     

                 Et il a bien parlé, et il a dit le vrai –du moins le vrai dans le sens de la révolution de 89/93- car il est bien, lui Besson, dans la droite ligne des révolutionnaires de 93.

     

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    Eric Besson cherchant à voir quelque chose que, manifestement, il n'arrive pas bien à voir....
    Il éprouve la même difficulté à voir, à rencontrer "la France",
    dont il a décrété, au fond, l'inexistence, alors qu'elle existe évidemment bel et bien.
     Mais, pour la voir, pour la trouver, encore faudrait-il qu'il abandonnât ses préjugés, son idéologie,
     et qu'il rompît avec... la Rupture de 1789/1793.....(1)

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  • Le génocide vendéen par la république: une vidéo en deux parties de Stéphane Courtois et Reynald Sécher (2/2).

    "Nous ferons un cimetière de la France plutôt que de ne pas la régénérer à notre manière et de manquer le but que nous nous sommes proposé". On pourrait croire que c'est du Goëring, en fait, non, c'est du Carrier....

    "...Le peuple pense mal, il faut tuer le peuple, il faut changer le peuple, c'est tout simple..." (Reynald Sécher).

     

    http://www.dailymotion.com/LeonXIV/video/x8bqex_le-genocide-vendeen-par-la-republiq_news

    VENDEE CHARNIERS.jpg
    Liberté, Egalité, Fraternité ? Vraiment ?...
    ou
    Totalitarisme, Génocide, Mémoricide ?.....
      N'avaient- "ils" pas écrit, pourtant: "Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs."  (Article 35 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1793) ?
                Leur gravure (ci dessous) est plus juste que leurs belles paroles: faites ce qu'on vous dit, "ou la mort": là au moins, c'est clair....
    Comme il est clair que les Vendéens, ces premiers Résistants au Totalitarisme, ont été les agressés, et la Convention l'agresseur; et que les Vendéens luttaient contre l'intrusion de l'Etat dans la sphère privée, alors que la Convention luttait pour l'imposer... (voir le Pdf: Vendée Résistance ! : Vendée Résistance !... , )
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  • Le génocide vendéen: une vidéo en deux parties de Stéphane Courtois et Reynald Sécher (1/2).

    "Nous ferons un cimetière de la France plutôt que de ne pas la régénérer à notre manière et de manquer le but que nous nous sommes proposé". On pourrait croire que c'est du Goëring, en fait, non, c'est du Carrier....

    "...Le peuple pense mal, il faut tuer le peuple, il faut changer le peuple, c'est tout simple..." (Reynald Sécher).

    http://www.dailymotion.com/video/x8bqhz_le-genocide-vendeen-par-la-republiq_news

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    Liberté, Egalité, Fraternité ? Vraiment ?...
    ou
    Totalitarisme, Génocide, Mémoricide ?.....
                N'avaient- "ils" pas écrit, pourtant: "Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs."  (Article 35 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1793) ?
                Leur gravure (ci dessous) est plus juste que leurs belles paroles: faites ce qu'on vous dit, "ou la mort": là au moins, c'est clair....
    Comme il est clair que les Vendéens, ces premiers Résistants au Totalitarisme, ont été les agressés, et la Convention l'agresseur; et que les Vendéens luttaient contre l'intrusion de l'Etat dans la sphère privée, alors que la Convention luttait pour l'imposer... (voir le Pdf: Vendée Résistance ! : Vendée Résistance !... )
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  • Argent-Dieu, Argent-Roi: les mots peuvent changer, pas la chose...

    Dans un entretien accordé au Progrès, Mgr Brincard, évêque du Puy-en-Velay, s'est exprimé sur le travail dominical. Et il ne mâche pas ses mots (il a bien raison...) :  le travail dominical c'est "le triomphe de l'Argent devenu Dieu".

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    Bain de foule pour l'évêque du Puy

                Il est normal qu'un Prince de l'Église emploie un vocabulaire religieux ("Argent-Dieu"), là où un Blog politique, comme le nôtre, emploiera plus spontanément un vocabulaire profane ("Argent-Roi"). Cette différence d’angle de vue, pour importante qu’elle soit, n’empêche pas que la conclusion soit la même. On le sait : la recherche de convergences, chaque fois qu’elles sont possibles, qu’elles sont réelles, est une règle que nous nous sommes donnée.

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  • Sans humanité, les idéologues et les purs deviennent des totalitaires.....

                "...la révolution qui vous régénère a développé en vous de grandes vertus ; mais craignez, qu’elle n’ait affaibli dans vos âmes le sentiment de l’humanité, sans lequel il ne peut y en avoir que de fausses !..."

                1793 : Romain De Sèze, défenseur de Louis XVI devant la Convention, vient -peut-être le premier, en tous cas l'un des tous premiers...- de pointer, devant les Hommes et pour l'Histoire, le défaut de la cuirasse des "bourreaux barbouilleurs de lois", comme les appelait un autre de ceux qu"ils ont guillotiné, André Chénier : à savoir, l'absence totale d'humanité chez ces gens qui se proclament vertueux et régénérateurs.

                 Après eux viendront les Staline, les Hitler, les Pol Pot, les Mao...: tous aussi ardents régénérateurs, et tous aussi prétendument purs, que leur pureté soit celle de la race aryenne ou celle de la classe ouvrière. Or, sans l'humanité, les grandes vertus dont on se prévaut ne sauraient être que fausses. De Sèze a réalisé, là, une magistrale analyse pour l'éternité. Et il a eu le courage de la prononcer devant "eux", de se rire d' "eux" au milieu d' "eux" !...

                "Son éternel honneur sera d'avoir été associé à l'évènement le plus terriblement religieux de notre Révolution" (Prosper de Barante).
                 (voir l'éphéméride de samedi prochain, 26 décembre...)
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  • Michel Vauzelle, et ces "valeurs " de la République, qui conduisent aux horreurs...

                En page 21, dans La Provence du 5 décembre, Florent PROVANSAL rapporte ainsi les stupéfiants propos de Michel Vauzelle, président PS de la Région, à propos du débat sur l'Identité nationale: 

                "Sarkozy est brouillon. Après l'affaire Jean Sarkozy, il a voulu reconquérir son électorat de droite avec des vieilles recettes. Voyant qu'au contraire il faisait le jeu du FN, il a tendance à revenir en arrière."

    michelvauzelle.jpg

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  • 2010, Année Henri IV

     

    QUATRIEME CENTENAIRE

    DE L’ASSASSINAT D’HENRI IV

     

    Célébration nationale placée sous le Haut patronage du Président de la République 

     

                  

                    Encore une célébration ? Encore commémorer ? Encore se tourner vers le passé ? Pas du tout !

     

                    En rendant compte de cette initiative officielle du Gouvernement français, en s'y associant et en y participant, on fait tout à fait autre chose que de se complaire dans un passé aboli. On accomplit, certes, un geste de mémoire, en exaltant ce roi pacificateur et réconciliateur, mais tourné vers le présent et l'avenir. On contribue à pousser à la roue pour la reconquête de notre Histoire, la ruine de la Bastille du mensonge de l'histoire officielle,  grâce à laquelle nos adversaires ont réussi à falsifier notre passé, à le faire prendre en haine à une part du peuple, le coupant ainsi de ses Racines authentiques. Beaucoup de français en effet, abusés par l'ignorance et le mensonge, ne s'aiment pas, n'aiment pas la France, du moins la caricature mensongère qu'on leur en a montrée, et ne souhaitent donc pas prolonger cette aventure exaltante que représente notre Nation.

     

                    Exaltante, du moins, quand on connaît vraiment son Histoire, avec ses grandeurs et ses faiblesses (et même ses laideurs...) car comment pourrait-elle l'être -exaltante- lorsqu'on a été élevé en haine de son passé ? La réflexion n'est pas nouvelle, et elle n'est pas de nous: l'histoire de France -l'histoire officielle, enseignée dans les Ecoles- paraît avoir été écrite par les ennemis de la France.

             

                Justement, il va peut-être, et même sûrement, falloir énoncer cette vérité au passé. Enfin ! De toutes parts, l'édifice vermoulu du mensonge craque et s'affaisse. Le Système idéologique qui nous gouverne reste en place, mais ne tient plus que par la force d'inertie. La terre entière a assisté, en direct, a la télé, à l'écroulement de l'empire marxiste-léniniste, qui se voulait l'aboutissement final, et la quintessence de la grande Révolution de 1789/1793. Et tout le monde sait maintenant la vérité sur les Goulags et les univers concentrationnaires de tous les sytèmes révolutionnaires qui, jusqu'en Extrême-Orient, ont eu ceci en commun de sortir, tous, de la même matrice: les journées parisiennes de 1789 à 1793, justement dénoncées par François Furet comme portant, dès le début, les germes de la Terreur. Mais aussi des Totalitarismes et des Génocides modernes. La vérité éclate au grand jour, et chaque jour un peu plus, et le système en place n'arrive plus non seulement à diffuser son idéologie mensongère, mais encore à empêcher la Vérité d'apparaitre. Il ne se passe pas de semaine sans qu'un nouvel ouvrage ne vienne réhabiliter tel ou tel de nos rois, le parcours de Max Gallo étant à cet égard des plus révélateurs (il eut un temps sa carte du Parti communiste !). C'est ce mouvement irrésistible, cette lame de fond qui va tout submerger qu'il faut contribuer à amplifier toujours plus car, soyons-en sûrs, ce mouvement ne pourra pas rester sans conséquences.

     

                C'est par le mensonge que nos adversaires ont gagné, c'est par la manifestation de la Vérité qu'ils perdront et que leur système s'effondrera. Il s'est déjà effondré aux extrêmités de la terre, la vague du tsunami refluant maintenant vers son épicentre, son point de départ : Paris. Un jour, bientôt, c'est le coeur même, l'épicentre du tsunami qui retrouvera le calme. Si l'on n'a pas cette certitude, cette foi, à quoi bon combattre encore ? Non, ceux qui ont construit un système idéologique contre nos Racines et nos Traditions n'ont pas plus que d'autres les promesses de l'eternité. Leur idéologie est à bout de souffle, elle est morte. Elle reste encore en place, ici, par habitude. Un jour, bientôt, l'habitude elle-même ne suffira plus. Il faut pousser à la roue pour hâter ce moment-là.

     

                C'est, et ce n'est que, dans cet esprit, que nous nous réjouissons de cette Année Henri IV qui va s'ouvrir, sous le Haut patronage du Président de la république, ce qui semble bien corroborer ce que nous venons de dire...

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  • Louis XVI et les Vendéens, les premiers Résistants au Totalitarisme.

                Plusieurs messages et commentaires positifs, et aussi quelques critiques -dont certaines assez féroces- reçues sur maisaquilafaute à propos de notre Pdf Vendée Résistance !

                (Vous pouvez le lire dans la Catégorie "Documents", sur la page d'accueil du Blog, en bas à droite, en dessous des Albums Photos et des Commentaires récents. Tous les documents qui s'y trouvent vous sont proposés en Pdf, pour une utilisation plus pratique. Sinon, c'est ici : Vendée Résistance !......pdf)

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  • "La" république, ou "cette" république ? Peut-il y avoir (en France...) une "bonne" République ? Débat avec D.C....(3/3).

                Il nous semble également, pour alimenter le débat, que l'on peut jeter, en vrac, les réflexions et interrogations suivantes, après quoi il n'y aura plus qu'à attendre les réactions de qui voudra réagir.....

            

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  • "La" république, ou "cette" république ? Peut-il y avoir (en France...) une "bonne" République ? Débat avec D.C....(2/3).

               Voici maintenant nos commentaires. D.C. parle d'or quand il parle de res publica. Comment ne pas être d'accord avec lui ?

               Ce n'est en effet, et bien sûr pas, "la" République, en tant que technique ou forme de gouvernement qui nous gêne et que nous critiquons. C'est "cette"république, qui a une histoire, à laquelle elle ne peut ni ne veut -semble-t-il...- échapper, et qui est fondamentalement anti-chrétienne, anti-historique, dans la mesure où elle rejette nos racines et se construit sans elles, en dehors d'elles et contre elles ("du passé faisons table rase...").

               Elle qui fonctionne un peu -prenons une image- comme un diffuseur d'ambiance: elle diffuse un esprit, une mentalité, mais cet esprit et cette mentalité vont directement contre nos Racines historiques profondes; elles nient et combattent ces Racines historiques et chrétiennes....

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