A propos de la chronique d’Alain-Gérard Slama sur la violence : La force et l'argent (1)…
Des histoires, somme toute assez lamentables, de violences, de voyous , d’agressions, de victimes, de flics, de forces de « l’ordre » (lequel ?), d’autorités au rôle ambigu, il y en a des dizaines tous les jours. Ce sont des choses devenues terriblement banales, terriblement ordinaires. On s’épuiserait à les dénombrer, a fortiori à les relater, si l’on négligeait d’au moins en signaler les origines. Car les violents ne sont pas plus violents, plus nombreux à l’être et plus radicaux qu’autrefois, par hasard.