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famille chretienne

  • C'est clair, c'est net, c'est précis : Jean-Marc Bastière a interrogé Jean Sévillia...

            ...sur son Politiquement incorrect (1). Le titre choisi pour cet entretien est excellent, "En Histoire aussi, la vérité rend libre"...

            Ce serait une des façons possibles, si on voulait essayer de la résumer, d'aborder l'ensemble de l'oeuvre de Jean Sévillia. De qui Jean-Marc Bastière - qui voit, avec justesse, chez lui "une oeuvre cohérente" - dit, tout simplement, ces deux choses importantes :

          "Ce qui qualifie Jean Sévillia, c'est l'unité. Unité de vie, de convictions et de pensée...." et, un peu plus loin : "...Pour parler de ces sujets piégés, prêts à exploser au moindre écart, il fallait du courage, mais aussi du discernement. Celui qu'apporte la maturité."

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    Fayard, 374 pages, 20 euros

     

    ...le fascisme et l’antifascisme, la Résistance et la Collaboration, l’affaire Pie XII, la décolonisation, la guerre d’Algérie... Ce livre étudie dix-huit points chauds de l’histoire française et européenne. Pour chacun d’eux, les conclusions les plus récentes des chercheurs remettent en cause les préjugés, les idées reçues et les mensonges concernant notre passé...

     

    * rappel : le Site de Jean Sévillia

     

    (1) : dans Famille chrétienne du 5 au 11 novembre, n° 1764.

  • Maurras ? CQFD (Celui qu'il faut détruire) ! Histoire d'un emprunt.....

            Lafautearousseau étant un Blog politique, la religion en tant que telle n'est pas de son ressort. Certes, tout étant politique, on peut bien évidemment, et on doit, y parler, aussi, de religion, mais sans jamais perdre de vue cette distinction préalable.

            Voilà pourquoi nous insistons et nous revenons régulièrement, par exemple, sur les racines chrétiennes de la France, en particulier, et de l'Europe, en général, car la place particulière et essentielle du christianisme comme élément constitutif majeur de notre Être profond, en tant que Nation et Civilisation, ne saurait être mise en doute, ou remise en cause.....

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  • Soutenir ceux qui nous soutiennent...

                Elles prennent soin de nous -spirituellement- ne serait-il pas juste que nous prenions soin d'elles, matériellement ?

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  • Pour mieux connaître le Père Michel-Marie Zanotti-Sorkine, "Le curé d'Ars de la Canebière"...

                Forcément, depuis notre reportage sur le 21 janvier à Marseille, et la diffusion de la propre page du site du Père Michel-Marie, relatant l'évènement -page à laquelle faisait suite la vidéo de la Messe, envoyée par les Marseillais- vous connaissez tous un peu, ou un peu mieux, le Père Michel-Marie Zanotti Sorkine, qui a si bien reçu le Prince, sa "chère épouse" et le "petit prince Gaston de France".

                 Et qui a célébré une Messe d'une haute intensité, au cours de laquelle il a notamment prononcé l'homélie dont vous avez pu goûter la grande élévation et la profonde spiritualité.

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  • Le Prince Jean poursuit ses rencontres tous azimuts: aujourd'hui, un entretien dans Famille chrétienne....

                Le Prince trace son sillon, il laboure, il sème. Nous tâchons de rendre, ici, un peu de cette activité méthodique et sérieusement menée, qui le fait connaître de plus en plus, et qui ne restera pas sans conséquences positives. D'ores et déjà, comme nous le faisions remarquer précédemment, il a rencontré beaucoup de personnes de toutes conditions et de tous milieux, et cela commence à faire du monde....

                Aujourd'hui, voici l'entretien qu'il a accordé à Famille chrétienne. Loin des paillettes, vivant de ses racines chrétiennes, il se présente tel qu'il est, et parle encore et toujours du Bien commun.

                Ainsi, au fil de ses rencontres incessantes avec les français, il apparaît et s'affirme de plus en plus, et de mieux en mieux, comme ce qu'il est: le recours, que seul "l'Héritier des siècles", lui, peut représenter et incarner.... 

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  • Dès le lundi 31 août, une nouvelle chronique de Gérard Leclerc, sur les ondes de Radio-Notre-Dame...

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               La passion de Gérard pour le monde des idées et les débats contemporains ne se dément pas. Dès lundi prochain, 31 août, il animera une rubrique sur Radio-Notre-Dame (1).

               Le titre n'en est pas encore trouvé, mais Gérard sait qu'on attend de lui "un regard chrétien sur l'actualité"....

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  • Répliques, de Finkielkraut, ou l'Art de le conversation...

                Intelligent petit billet de Maryvonne Gasse (1) à propos de l'émission animée par Finkielkraut sur France Culture ( qui porte bien son nom en diffusant de tels moments...).

                Intelligent, mais aussi très pertinent et très profond, et qui pose quelques questions qui vont très loin...

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  • A propos des ravages de la consommation...

              .....voici quelques extraits de l'éditorial de Marie-Joëlle Guillaume, dans Famille Chrétienne du 9 Août (n° 1595). Il s'intitule, justement, Les ravages de la consommation.L'éditorialiste y fait preuve, comme d'habitude, d'un bon sens et d'une profondeur qui ne sont pas sans rappeler assez souvent la grande sagesse de Gustave Thibon.....  

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  • Ne pas laisser l'écologie être accaparée par les Verts: "Famille chrétienne" présente "L’Ecologie, de la Bible à nos jours", de Patrice de Plunkett (1)...

              ".....Ce n’est pas parce que ces thèmes ont été accaparés par des "Verts" en réalité plus préoccupés par leur carrière politique et leur engagement à gauche que par le sort de la planète, qu’il faut le leur abandonner !" écrit Philippe Oswald, directeur de la publication.   

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  • Chine, Tibet, J.O : le combat est d'abord spirituel...

               C'est l'analyse que propose Marie-Joëlle Guillaume dans "Famille Chrétienne" (1)

              "La faiblesse de l'Occident, c'est qu'il n'est prêt à mourir pour rien. D'où une morale de matamores, donneuse de leçons, mais prompte à s'incliner devant le Veau d'or qui passe. Bien sûr qu'un boycott de la soirée d'ouverture des Jeux Olympiques aurait un sens! Mais ce simple geste pèse déjà trop aux yeux de ceux qui craignent quelque rétorsion commerciale.

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  • Défense du dimanche férié, dimanche civilisé...

              A l'occasion du Dimanche de Pâques, "notre premier dimanche", Marie-Joëlle Guillaume redit pourquoi il faut se battre pour garder tout son sens à ce jour (1)...

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  • Pas de Société sans Morale...

             Sans commentaire, cet excellent article-éditorial de Marie-Joëlle Guillaume, dans le numéro 1547 de l'hebdomadaire "Famille Chrétienne" (du 8 septembre 2007), sous le titre: "Crimes sexuels: Il n'y a pas de fatalité".

              Ce qui distingue l'homme civilisé du barbare, c'est la domination de l'instinct par la raison, la morale, la culture. Ce qui distingue notre "civilisation" moderne, c'est le déchaînement de l'instinct au nom d'une liberté individuelle sans foi ni loi, courbée sous les diktats d'une société marchande dont les ressorts publicitaires exaspèrent les pulsions, et dont la jouissance est l'alibi suprême.

              Comment ne pas relever l'incohérence morale de certaines réactions de l'opinion, cet été, face au crime du pédophile récidiviste? Le déferlement de l'indignation, l'exigence d'une justice plus sévère, voire d'une médecine plus efficace, montrent que l'opinion n'a pas perdu tout sens moral. Mais, paradoxalement, ce débordement d'émotion la dédouane de s'interroger sur sa part des responsabilité morale.

              Hormis l'Église, nul n'incrimine la permanente incitation à la débauche dans laquelle nous vivons. Or, pour un fait divers odieux dont on parle, combien de très jeunes filles violées dans les "tournantes" par des adolescents, combien d'enfants abîmés par les perversions qu'étalent complaisamment séries TV, affiches publicitaires, films etc...? Et combien de jeunes salis par une "éducation sexuelle" officielle pour qui tout est permis, sauf d'ignorer le caoutchouc?

              Il est trop facile de prétendre s'éxonerer du mystère du Mal à coups d'hormones et de médicament: tout homme a une conscience. Mais une conscience libre se forme. Les sociétés modernes vivent de la publicité et les ressorts publicitaires sont ceux de l'instinct.

              Il reste que l'avilissement public n'et pas une fatalité. Dans une société policée, la raison a son mot à dire, et l'on peut attirer le chaland autrement que par la bassesse. Encore faut-il, précisément que la société soit policée, c'est à dire qu'elle serve la vraie liberté des consciences. Les responsables politiques ont le devoir de mettre un frein à l'étalage public des dépravations, et de promouvoir dans la famille et à l'école une éducation à la maîtrise de soi. Il est temps de comprendre à nouveau qu'il n'y a pas de société sans morale.

  • Les prix du mardi...

                       le prix citron: au "Petit Robert": d'ordinaire nettement plus heureux dans ses choix de mots et de citations pour les définir et les illustrer, le dictionnaire a cette fois commis une faute de goût; il a choisi de faire entrer le "mot" (?) "rebeu", ce qui est discutable (est-ce vraiment un vrai mot?) mais qui peut éventuellement être débattu; par contre, la vulgarité et le parti-pris révoltant de la "phrase"(?!) servant d'exemple et d'illustration sont lamentables et scandaleux, dans un ouvrage dont la qualité, dans l'ensemble, était jusqu'à présent unanimement reconnue; tirée d'un polar de Jean Claude Izzo, dont on se demande bien qui en parlerait s'il n'était pas de l'ultra-gauche, nous citons textuellement (bien qu'il nous en coûte de faire de la pub à une telle immondice): "T'es un pauvre petit rebeu qu'un connard de flic fait chier. C'est ça!" Il y en a qui appellent "ça" de la littérature, et qui le mettent dans un dico qui va être envoyé et utilisé dans toutes les écoles de France....Nous, on dit que c'est minable et que c'est nul et archi nul, pour rester polis et ne pas parler comme lui....

              le prix orange: à Marie-Joëlle Guillaume, qui publie (encore une fois...) un excellent éditorial dans le numéro 1547 de l'hebdomadaire "Famille Chrétienne" (du 8 septembre). Elle fait écho aux propos de Monseigneur Barbarin, qui établissait, il y a peu, le lien entre la pornographie "qui s'étale partout" et l'augmentation très importante des agressions sexuelles, et qui demandait de la cohérence dans la lutte contre ce fléau qui ne cesse de s'étendre: "Comment ne pas relever -écrit-elle- l'incohérence morale de certaines réactions de l'opinion, cet été, face au crime du pédophile récidiviste?....Les responsables politiques ont le devoir de mettre un frein à l'étalage public des dépravations, et de promouvoir dans la famille et à l'école une éducation à la maîtrise de soi. Il est temps de comprendre à nouveau qu'il n'y a pas de société sans morale."

  • Bien vu, bien dit...

              Sans commentaire, cet extrait de l'éditorial du numéro 1542 (4 août) de l'excellent hebdomadaire Famille Chrétienne, rédigé par Marie Joëlle Guillaume:

              "...On nous parle beaucoup d'éthique. On ne sort pas l'éthique comme un lapin de son chapeau. L'éthique est une conséquence. D'une vision du monde, d'un idéal, d'une foi. C'est parce que les Grecs croyaient aux dieux que les jeux Olympiques, tous les quatre ans, s'accompagnaient de la suspension des guerres. C'est parce que Pierre de Coubertin était un homme de foi que la renaissance des Jeux, au XX° siècle, est allée de pair avec l'esprit de fraternité, le désintéressement, le goût de l'ascèse.

              C'est parce que nos sociétés "postmodernes" ne croient plus qu'à la performance pour la performance, au "fric", à la réussite à n'importe quel prix, qu'elles enfantent des athlètes qui, sur la Grande Boucle ou ailleurs, se font couronner aux hormones..."