Le hallal ? Non merci ! Non à l'importation en France de la souffrance animale !.....
Récemment, nous avons brièvement exposé pourquoi nous étions opposés aux projets de construction de grande mosquée (à Marseille (et ailleurs...) et nous en profitions pour dénoncer l'horreur de l'école coranique, qui ne porte ce beau nom d'école que par une époustouflante et hideuse antiphrase (1)...
Peu de temps après cette note (que nous remettons ici en PDF: Question sondage du Figaro.pdf) et bien que les deux sujets ne soient pas exactement de la même nature, l'actualité est venue mettre sur la sellette une autre pratique qui relève de l'horreur, puisqu'elle institutionnalise la souffrance animale, et que nous rejetons en tant que telle: le hallal.
Il s'agit là aussi de moeurs, pratiques et coutumes que l'on prétendrait imposer chez nous aujourd'hui, alors qu'elles n'ont jamais été nôtres, et qu'elles contredisent même radicalement nos ancestrales façons de faire et de voir les choses....








Après avoir lu attentivement le discours du Prince tenu à Vizille, voici donc maintenant, en laissant divaguer librement notre réflexion, quelques propos inspirés par cette grande occasion manquée, ou ratée, ou dénaturée (qu'on prenne les mots que l'on voudra...) que fut 1789, ce "grand mouvement" dont parlait le Comte de Chambord, et qui est à la base de ce qu'a développé le Prince devant les mebres du Coseil général de l'Isère..
Maintenant que nous savons mieux, grâce aux précisions fournies par Jean Gugliotta, comment se passent les voyages du Prince, et que nous avons même, en quelque sorte, pénétré quelque peu dans les coulisses de ces voyages (encore ne peut-on pas tout dire et tout raconter...), nous allons nous intéresser un peu plus, au moyen de photos et d'extraits de ses discours, que nous consulterons alternativement, à certains des déplacements du Prince, en France et à l'étranger.
Depuis trois semaines maintenant nous préparons à notre façon le mariage du Prince Jean et de Philomena.
Nous n'allons pas avoir le mauvais goût de tenter de faire de la récupération, ou de mettre des préoccupations de politque politicienne là où elles n'ont que faire, ou des choses de ce genre . Nous nous contenterons simplement de dire que les quelques mots prononcés par la Ministre, Maire du VII° arrondissement de Paris, nous ont paru, tout simplement, positifs dans l'ensemble.