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Immigration - Insécurité - Anti racisme - Page 179

  • Droit du sol et Royauté...

              Il est amusant de voir comment certains, à gauche et à l'extrême-gauche, font un usage immodéré et presqu'incantatoire, de l'expression "le droit du sol". On en étonnerait plus d'un, chez les trotskistes par exemple, si on leur rappelait cette évidence historique: ce sont les Rois de France -horresco referens...- qui ont inventé le droit du sol; ou, pour être plus juste et plus précis, qui l'ont expérimenté et mis en pratique les premiers dans notre Histoire. Mais, à l'inverse des trotskistes d'aujourd'hui, qui en ont une vision idéologique et qui en font un instrument dans leur entreprise de démolition de tout ce qui rattache la France à ses origines, les Rois avaient une vision pragmatique et empirique du droit du sol, et ils mettaient cette vision au service de la construction de la France: la différence est radicale et essentielle...

              Au fond, qu'est-ce que c'est un Roi de France? C'est un collectionneur. Là où d'autres collectionnent des meubles ou des tableaux ou des objets précieux, lui collectionne des Provinces, et de l'ensemble de sa collection il fait, peu à peu, la France; et, chaque fois qu'il rattache une Province nouvelle à "l'ensemble France" -incomplet mais déjà existant- le même problème se re-pose: il est bien obligé de prendre la Province dans l'état où elle est au moment du rattachement; de "prendre" tous les habitants qui s'y trouvent: il ne peut pas choisir une partie seulement de la population, ni en rejeter une autre: là est l'origine historique du "droit du sol", une idée et une pratique fort ancienne chez nous et -n'en déplaise aux trotskistes- fort "royale" (eh oui!...). Mais, redisons-le, il s'agissait uniquement d'être réaliste lors du rattachement de la Bretagne, de l'Alsace, de  la Provence...Il s'agissait, pendant quelques décennies, de donner "un temps" à la nouvelle Province pour s'intégrer, se fondre dans l'ensemble, jusqu'au moment où elle en devenait à son tour, pleinement, un membre essentiel et constitutif.

              Rien de tout cela, bien sûr, chez nos trotskistes d'aujourd'hui: les mots sont bien les mêmes ("droit du sol") mais seule l'enveloppe extérieure reste: l'intérieur est tout changé. Il ne s'agit plus maintenant que d'une escroquerie morale; l'esprit révolutionnaire est passé par là, et ce qui était positivement mis au service de la construction de la Nation Française est devenue une folle et pernicieuse utopie, mise au service de la démolition de cette même Nation Française; le "droit du sol", totalement perverti, n'est plus qu'une sorte d'alibi permettant aux trotskistes et aux révolutionnaires d'imposer une immigration massive; et, avec elle et par elle (entre autres, car l'immigration n'est pas le seul moyen  pour les révolutionnaires de couper la France de ses racines...) la dissolution et la dilution de notre Héritage: c'est ce mauvais coup qu'il faut dénoncer....

     

  • Contre la France métisse....

    Si vous souhaitez lire cette conférence (Café Politique, Marseille le 7 mars 2007), cliquez sur le lien ci-dessous

    Conférence: "Contre la France Métisse..."pdf 

     

  • Disons-le clairement...

              Des élèves assez jeunes, peu au fait de la politique, ont lu la note: "Une Halde au service de la dilution nationale". Ils ont la franchise réjouissante de cet âge là, dont il faut les remercier car elle nous oblige à revenir sans cesse à l'essentiel et à être toujours plus clairs et plus précis; et ils me demandent carrément: "Ca veut dire quoi  ?" à propos de l'expression "français légaux à défaut d'être des français légitimes".

              Voici: depuis 1975, Chirac -appuyé et suivi ensuite par la gauche- à fait le choix d'implanter et de greffer en France un grand nombre d'étrangers, par le biais du "regroupement familial"; cette décision est "légale" mais non "légitime" pour nous, car ni Chirac ni ses successeurs n'ont demandé son avis au peuple souverain, et cette politique a été menée en quelque sorte en cachette, en catimini: la meilleure preuve en est l'interdiction formelle de communiquer quelque chiffre que ce soit à ce sujet. Nous sommes donc dans le paradoxe suivant: sur un sujet fondamental: "Qui constitue le Peuple ?", la République ne demande pas son avis au peuple souverain et ne le tient même pas informé de la réalité des chiffres; comment une démocratie pourrait-elle fonctionner de la sorte puisque, si c'est le peuple qui décide, encore faut-il qu'il ait les éléments pour juger...

              On voit donc bien qu'il y a une escroquerie, et plus encore une forfaiture: Chirac a comme donné la France à une masse d'étrangers, que l'on peut évaluer à 10 millions voire plus. Ces personne, du moins pour les naturalisés, sont bien des français "légalement", c'est à dire qu'ils ont une Carte d'Identité en poche et qu'ils disposent des mêmes droits que nous, et peuvent donc orienter la politique du pays par leurs choix aux élections; mais comme nous n'avons jamais été consultés sur la présence de ces personnes, ni sur l'octroi de la nationalité à un aussi grand nombre de gens  en aussi peu de temps, nous estimons qu'il s'agit là d'un fait non "légitime" car un Président n'est pas un tyran ou un dictateur, il n'a pas tous les pouvoirs, il ne peut pas faire tout ce qui  lui passe par la tête; il doit avoir l'accord de l'opinion pour tout ce qui engage fondamentalement la vie ou la survie de la Nation: or l'Immigration récente, dans les proportions qui sont les siennes, déséquilibre gravement la société française et peut représenter un vrai danger (comme on l'a vu dans l'explosion des banlieues en automne 2005).

              Aucun pays au monde n'a subi un tel choc en si peu de temps; il ne s'agit plus de "regroupement familial" mais d'un processus de désappropriation: les français de souche sont dépossédés de leur pays par 10 millions de nouveaux venus qui disent carrément -parce qu'on le leur a fait croire et qu'ils ont bien voulu le croire- que la France est à eux autant qu'à nous; alors que c'est faux, car nous avons des droits historiques sur notre Terre, liés aux services rendus par les générations précédentes, qui l'ont fertilisée et défendue; les nouveaux venus n'auront ces mêmes droits historiques que dans plusieurs générations, quand ils auront à leur tour travaillé et donné leur vie pour ce pays; aujourd'hui, et pour l'instant, ils n'ont que le petit rectangle de plastique que la république leur a -très imprudemment- donné; et nous, nous remettons en cause la politique menée en ce domaine depuis 1975, car elle est "illégitime".....

  • Des députés ou des associations...?

           La France n'a pas besoin de la Halde, de SOS Racisme ni de toutes ces associations et entités qui ne sont en fait que des supplétives de la gauche ou de l'extrême-gauche trotskiste. Ces associations d'agit-prop déguisées, protectrices auto-proclamées des "nobles causes" (c'est à dire, en clair, celles qui servent leur politique...) vivent, dans des proportions variables (mais qui peuvent aller jusqu'à 100% dans le cas de la Halde, qui est un organisme d'État) de subventions, donc d'argent public, c'est à dire  aux crochets des contribuables: ce faisant elles privent des budgets prioritaires (comme la Recherche par exemple, vraie créatrice d'emplois..) d'un argent public qui y serait bien mieux employé; et qui permettrait à la France de cesser de "décrocher", et de commencer à reconquérir sa place dans le peloton de tête des nations innovantes, qui préparent sérieusement l'avenir.

           Ensuite, ces associations sortent du marché du travail un nombre important de gens qui feraient mieux d'être de vrais actifs et de créer de la richesse, plutôt que de vivre en oisifs et en parasites, stérilisant les deniers publics en faisant croire qu'ils travaillent pour de nobles causes, alors qu'ils travaillent surtout à s'assurer et à pérenniser un fonds de commerce bien rassurant et bien sécurisant, là où tant d'autres vivent dans les dures contraintes du monde réel.  Enfin ces associations posent un problème de fond plus vaste et plus général: soit nous avons des députés qui votent de bonnes lois, et la police et la gendarmerie suffisent à faire appliquer ces lois; donc ces associations n'ont pas de raisons d'être; et si vraiment elles veulent exister, alors que ce soit sans aucun centime de subvention ni d'argent public d'aucune sorte, directe ou indirecte....; soit on a vraiment besoin de ces associations car tout va mal et parceque nos lois sont mauvaises; mais alors cela pose une autre question: que font nos députés, et à quoi servent-ils? et que sont nos lois?.....

           Si ni les unes ni les autres ne sont capables de régler les problèmes et de faire vivre les citoyens et la société d'une façon correcte et apaisée, alors faisons des économies et supprimons les députés, s'ils ne servent à rien et si l'on doit avoir recours à SOS Racisme et à la Halde! Est-ce cela que veulent suggérer ces associations et entités? Soyons sérieux: il faut appeler un chat un chat, et un manipulateur un manipulateur; et les démasquer partout où ils ont installé leurs antennes et leur relais...

  • Contradictions de la République idéologique...

              Louis Schweitzer vient d'autoriser les femmes voilées à accompagner les élèves lors des sorties scolaires; il veut même les imposer là où elles se proposent, et obliger les professeurs à les accepter. Alors qu'un loi interdit le port du voile dans les écoles !...

              C'est là une décision propre à créer  du trouble, des oppositions, des tensions, bref de la guerre civile, dans un monde qui devrait justement être préservé de ce genre de choses. On sait ce que représente le prétendu voile islamique pour les tenants purs et durs d'un Islam rigoriste: il institutionnalise l'infériorité et la dépendance de la Femme par rapport à l'Homme et, dans une religion qui mêle et confond le spirituel et le temporel, il constitue en outre, de facto, un signe religieux distinctif.

              Deux façons de contredire et violer des principes déclarés fondamentaux par la République ! amusant ? non: révoltant ! Pourquoi celle-ci est-elle si sourcilleuse et si "laïque" lorsqu'il s'agit du christianisme, élément constitutif de la Nation Française, et si permissive lorsqu'il s'agit de l'Islam ? Combien de temps fera-t-elle le grand écart ?

  • Une Halde au service de la dilution nationale...

              En autorisant des femmes voilées à accompagner des élèves dans le cadre des sorties scolaires, Louis Schweitzer a encore frappé! On le savait, mais on en a là une preuve supplémentaire s'il en était besoin: l'action de ce personnage consiste en fait essentiellement à imposer l'immigration et les immigrés à celles et ceux qui n'en veulent pas ou n'en voudraient pas; et ce, sous couvert d'une lutte contre un prétendu racisme, qui n'existe que dans sa tête et dans celle de ses semblables; un racisme virtuel, une simple vue de l'esprit ou plutôt du mauvais esprit, car notre France est le pays le moins raciste du monde, les Français souhaitant simplement rester les maîtres chez eux, ce qui n'est pas du tout la même chose et qui n'est pas du tout, on en conviendra, la définition du mot "racisme"!. Il convient donc d'arracher le masque des tartuffes et de dénoncer l'hypocrisie, la mauvaise foi, l'escroquerie morale de cette création de la Halde en décembre 2004 par un Chirac en fin de course; un Chirac que bien peu regrettent, et en tout cas pas nous: pour nous,  c'est plutôt "bon débarras!" et "au non-revoir Chirac!".

              Ce mauvais président est et restera, et de très loin, le pire de tous ceux de la cinquième république: c'est lui en effet qui a voulu et imposé cette politique insensée -véritable folie- qui a consisté, depuis 1975, à implanter et greffer de force une nouvelle population, dans des proportions déraisonnables: en l'absence de données officielles et crédibles, on peut avancer le chiffre de 10 millions de personnes entrées en trente ans et devenues ainsi des "français légaux" à défaut d'être des "français légitimes": aucun pays au monde n'a été confronté à une telle situation, et ce sans avoir été jamais consulté, sans avoir jamais pu donner son avis; aucun pays au monde n'a été confronté à ce processus de dépossession de son sol et de son identité par l'adjonction et l'imposition massive de populations étrangères: depuis 1975, "on" a modifié de force la composition physique du Peuple, que l'on a sommé de tout accepter et de ne surtout rien dire sous peine d'être taxé de "racisme"; et, cerise sur le gâteau, "on" a crée une Halde qui va, à tout instant et à tout propos, intervenir en faveur de ces nouveaux venus chaque fois que leurs habitudes nouvelles -ici en l'occurrence le "voile"- viennent s'opposer à nos moeurs et coutumes ancestrales!

              Monsieur Scweitzer a choisi son camp: pour lui, les nouveaux venus sont parfaitement fondés à conserver et à pratiquer ostensiblement leurs coutumes, même si celles-ci nous choquent ou posent un problème: c'est à nous de nous adapter à eux, alors qu'en tous temps et en tous lieux on a toujours demandé aux nouveaux venus de respecter les moeurs et coutumes qu'ils trouvaient dans leur pays d'accueil: monsieur Schweitzer change la règle, c'est à nous de nous "musulmaniser!! libre à lui de marcher sur la tête, mais nous ne sommes pas d'accord. Il prétend nous dire la loi aujourd'hui, mais il s'est mis lui même hors la loi hier en imposant à ses équipes de travailler en anglais quand il dirigeait Renault, alors que le français est, jusqu'à preuve du contraire, la langue officielle de la France.  Le Peuple français n'a rien demandé; nous n'avons pas souhaité la présence chez nous, et en si grand nombre, des immigrés; si Chirac nous les a imposé, rien ne nous empêche de dire que leur présence -peut-être légale- n'est pas légitime puisqu'au accord n'a jamais été donné par le peuple....

  • Attitude minable d'un type minable...

              On hésite entre les mots: choquant ? écoeurant ? scandaleux ? lamentable ? ou tout cela à la fois....!

              Mis en examen pour violence sur son ex compagne, Cheb Mami "n'a plus confiance en la justice française". C'est pourquoi il a quitté la France, en violation du contrôle judiciaire auquel il était soumis; il veut être jugé en Algérie !

              En somme, ce monsieur aux moeurs violentes fait comme beaucoup d'autres: il vient chez nous, profiter au maximum de notre pays pour faire du fric et, dès qu'il a un problème à cause de son comportement, il bave sur nous et nous insulte. Car c'est une insulte que de dire "J'ai confiance en la justice de mon pays" en parlant de l'Algérie, alors qu'il vient de dire qu'il n'a pas confiance en celle de la France.

              Qu'il soit logique, alors, et qu'il reste vivre là bas; qu'il abandonne sa nationalité française (puisqu'il a la double nationalité), à moins que nous ne la lui retirions, ce que devrait faire tout gouvernement ayant un minimum de dignité....

             "Quousque tandem....!" s'écriait Cicéron, à propos des intrigues de Catilina: nous pouvons reprendre l'expression et l'exaspération: jusques à quand la France sera-t-elle salie et injuriée par des individus de cette espèce ?...

    ciceron quousque.jpg
  • De Mougins à la Banlieue....

              Ségolène et son compagnon François Hollande "n'aiment pas les riches": c'est ce qu'ils ont dit au début de la campagne pour la présidentielle, juste avant qu'on n'apprenne qu'ils avaient -entre autre...- une villa à Mougins, lieu défavorisé de la très pauvre Côte d'Azur, bien connu pour abriter des déshérités, des romanichels misérables et d'autres damnés de la terre...

              Vont-ils être logiques avec eux-mêmes et, puisqu'ils "n'aiment pas les riches", vont-ils saisir la main qui leur a été tendue par les jeunes des banlieues, en transférant leur résidence secondaire dans une des-dites banlieues ?

              C'est en effet un véritable message d'amour que l'immigration a envoyé à Ségolène à travers les scores qu'elle a réalisé dans les Cités:

              Vaulx en Velin: 63%; La Paillade: 65%; Le Mirail à Toulouse: 70%; les quartiers nord de Marseille: 70%; Aubervilliers: 61%; Saint Denis: 67%; Bobigny: 66%; Trappes: 70%...

              Pour Ségolène et François, l'embarras du choix !...

    France-Vaulx-en-Velin-1.jpg
    Partir ! Tout quitter, pour cette douce France, là où Momo vote Ségo (ici: Vaulx-en-Velin)....
  • Adieu repentance (s) ?...

                 Dans sa manie de la repentance, et sa traque obsessionnelle de la discrimination, Jacques Chirac n'aura probablement pas de compétiteur, tellement "il est allé trop loin", tellement il a été excessif jusqu'à la caricature; il n'aura probablement pas -du moins on peut l'espérer- de successeur: en effet Nicolas Sarkozy, tout au long de sa campagne ou à peine élu, a clamé sa volonté de restaurer l'image de la France, son désir de faire à nouveau aimer la France, et donc d'en finir avec cette mode envahissante et malsaine de la repentance, cet acharnement ahurissant à dénigrer le passé national, qui n'est au fond qu'une façon de se haïr soi-même: à qui pensait-il, lui qui se veut le champion de la "rupture" ? poser la question c'est y répondre...

                 Et si notre nouveau Président, désireux de tenir ses promesses et d'être logique et cohérent avec lui-même, faisait un peu le ménage dans certaines lois (plusieurs à supprimer...), certaines subventions (encore plus à supprimer!...) et certains organismes tout récents, crées sous et par Jacques Chirac ? avec comme excuse ou justification la soi-disant volonté de traquer on ne sait quelles discriminations ou quel racisme imaginaire, n'existant que dans son esprit à lui: car s'il y a bien un danger raciste en France aujourd'hui, c'est d'un racisme anti-français qu'il s'agit, d'une haine caractérisée de l'héritage français, d'un refus et d'un rejet du "capital transmis" qui constitue notre être profond! Ne prenons qu'un seul exemple, celui de la "Halde", voulue et crée par Chirac et confiée à Monsieur Schweitzer: le simple fait d'avoir créé une "Haute Autorité" pour lutter contre le racisme ou les discriminations n'est-il pas en soi révélateur d'un drôle d'état d'esprit, et disons le franchement d'un réel mauvais esprit?

                 Il n'y avait donc rien de plus urgent ou de plus pressé à faire? Ne fallait-il pas plutôt mettre le temps, l'argent et l'energie dont on disposait à rendre de nouveau sûres nos rues, nos trains ou nos métros? Monsieur Chirac, qui vit dans les Palais, ne se fait jamais agresser, ni dérober son portable, ni voler ou dégrader sa voiture....; non, bien sûr, et ce qui l'intéresse vraiment, qui mobilise son énergie c'est la lutte contre le racisme! alors que tout le monde sait que les "Jeunes" (ceux qu'il appelle "les enfants de la République" !) sont responsables d'une sur-délinquance bien réelle, dont la part dans la délinquance globale  se situe, selon les endroits, entre 50% et 80%, d'après plusieurs évaluations différentes, mais toutes concordantes...Mais pour assurer la sécurité des personnes et des biens, qui est pourtant le rôle de base, le rôle premier de toute autorité, de toute société digne de ce nom, là point de "Haute Autorité" ! Le fait est révélateur, tout à fait éloquent, et semble se passer de commentaires...

                 Remarquons une dernière chose, assez savoureuse, pour conclure: on pourrait tout aussi bien "juger le juge" ! en effet monsieur Schweitzer, chargé donc de juger éventuellement les comportements de tout un chacun, s'est mis lui-même "hors la loi", dans un domaine fort différent il est vrai; on sait que l'un des premiers articles de la constitution républicaine stipule que "le Français est la langue officielle de la République française"; or, du temps où il dirigeait Renault, monsieur Schweitzer a cru bon d'obliger tous ses ingénieurs à travailler en anglais; cette disposition a été supprimée depuis, mais pas parce qu'elle était scandaleuse, seulement parce qu'elle était "contre productive"! voilà donc quelqu'un qui foule au pied une loi de la république -accessoirement la Culture Française...ce qui est autrement plus grave et scandaleux-, et à qui "on" demande de venir jouer les monsieur Loyal ou les arbitres du bien et du mal : bravo Chirac!

  • La fracture ethnique...(2)

              Il est donc difficile de rester serein devant une telle provocation: surtout que, "in cauda venenum", Christiane Taubira  a cru devoir prendre la parole pour "clôturer les débats" (?!) et s'est exprimé ainsi -au nom de la candidate socialiste, qu'elle représentait officiellement-: "Si Ségolène Royal a tâtonné en matière d'immigration, elle a aujourd'hui les idées claires: elle est du côté de l'humanité"!: Suffisance et mépris des autres, contentement de soi et auto-satisfaction poussée au paroxysme: voilà bien la gauche la plus idéologue -donc la plus aveugle-, qui se croit parfaite en tout! Giscard avait "cloué le bec" en son temps à François Mitterand en lui lançant son fameux "Vous n'avez pas le monopole du coeur!", qui est toujours d'actualité aujourd'hui, et même cent fois plus qu'hier!

              Il convient donc de ne pas tomber dans le piège grossier de la provocation qui est tendu là, mais de dénoncer en même temps sans aucun complexe et sans aucune faiblesse cette tartufferie scandaleuse, cette mauvaise foi écoeurante; et de le faire sans céder, bien sûr, aux amalgames réducteurs: on le sait, le racisme nous est fondamentalement étranger, et ce sont au contraire les républicains et la Révolution qui ont implanté cette idéologie en France, qui ne l'avait jamais connue auparavant, pendant les mille ans de Royauté....

              Mais cela ne doit pas empêcher que l'on dénonce et que l'on démonte le mécanisme mis en place par la partie la plus idéologue de la gauche et de l'extrême gauche: ce processus de "substitution démographique" dont parle la démographe Michèle Tribalat, donnée toute nouvelle et fait unique dans notre histoire, qui modifie radicalement la donne et qui change totalement les règles du jeu politique et électoral. La gauche s'est livrée à ces populations "récentes", ces "jeunes des banlieues" qui sont pour Chirac "les enfants de la République" (!) et dont Ségolène Royal se veut la "Présidente" ("Je serai la Présidente de la France métisse"...). Ce faisant, elle a cru trouver, temporairement, des troupes de remplacement, pour pallier la défection régulière de ses électorats traditionnels; mais ces nouvelles catégories d'électeurs viendront forcément avec de nouvelles mentalités, de nouvelles demandes, de nouvelles exigences, porteuses de problématiques et de tensions pour l'instant insoupçonnées, ou délibérément occultées...

              C'est le thème archi-classique de l'apprenti-sorcier: madame Royal et ses amis (RESF entre autres...) mettent en mouvement des forces nouvelles qui vont leur permettre dans l'immédiat -du moins c'est ce qu'ils croient...- de maintenir ou d'augmenter leur représentation électorale; mais leurs "valeurs" seront elles assez fortes pour s'imposer aux nouveaux venus, pour les "éduquer politiquement" en quelque sorte, et les intégrer tout naturellement à des pratiques électorales bien établies? ou bien ceux-ci imposeront-ils très vite de nouvelles façons de penser, de faire, donc d'agir, dont nul ne peut dire pour l'instant ce que cela pourrait bien donner?

              Tout au long des XIX° et XX° siècle, et même lorsqu'ils s'opposaient sur la politique, on sait bien que l'Instituteur et le Curé de nos villages proposaient en fait la même "morale" et les mêmes règles de vie commune aux habitants, que ceux-ci votent à droite ou à gauche; le corps électoral se divisait sur le choix de ses députés mais il était homogène dans ses moeurs, ses coutumes, son mental; depuis 1975 s'est produite une fracture ethnique, dont on voit mal comment elle resterait sans aucune conséquence politique; et aujourd'hui, certains font un pari fort optimiste (inconscient?): ils mettent leurs espoirs dans des populations nouvelles, dont les "fondamentaux", comparés aux nôtres, sont souvent différents et étrangers dans le meilleur des cas; contradictoires voire incompatibles dans le pire: est-ce bien raisonnable? Jaco, le perroquet du Conte de Bainville "Jaco et Lori", répétait régulièrement "Ca finira mal!": et pour nous, "ça" débouchera sur quoi, "ça" finira comment?....

     

  • La fracture ethnique...(1)

              Les choses étaient claires depuis longtemps; un fait nouveau, une "accélération" hautement symbolique et très lourde de sens, vient de les confirmer, de les radicaliser en quelque sorte: il s'agit de la provocation, qui frise la forfaiture, organisée par Jack Lang, Guy Bedos et l'association "Réseau Éducation sans Frontières"; le 26 avril, dans une salle de l'Assemblée Nationale, ces personnes ont fait parler, et ont donc officiellement "parrainé", une femme Kosovare de 25 ans, Shpresa RABA, venue avec ses trois enfants et son mari; le problème est que cette femme a déjà été expulsée deux fois de France, après que ses deux demandes d'asile aient été rejetées! Or, que l'on sache, l'Assemblée Nationale vote les Lois: il est donc inutile et superfétatoire de dire qu'elle est là aussi -de facto- pour veiller à leur respect et pour donner l'exemple de leur observation, sinon c'est le règne d'Ubu...; Jack Lang n'est-il pas en état de forfaiture lorsque, député lui même, il utilise en plus les locaux théoriquement inviolables de l'Assemblée, temple de la Loi, pour braver ainsi des textes et des règlements en vigueur? narguer l'autorité qui essaye de les faire appliquer et respecter? et encourager de fait la désobéissance et le mépris des lois?

              Mais Jack Lang, Guy Bedos et RESF se moquent de ces considérations, car ils savent très bien ce qu'ils font en cautionnant ainsi, en favorisant et en organisant même un vrai trafic (car cette femme kosovare a versé 7000 euros à un passeur pour revenir une troisième fois en France; donc il s'agit d'une vraie complicité avec les mafias de passeurs: RESF touche-t-elle un pourcentage sur chaque " étranger" qu'elle "défend"?...); ils poursuivent un autre but: ils souhaitent "recomposer" le Peuple Français (à qui on se garde bien d'ailleurs de demander son avis, alors qu'il est théoriquement souverain...!); ils souhaitent tout simplement changer le Peuple, changer de Peuple, puisque le Peuple Français leur résiste toujours, 200 ans après la Révolution et malgré tout ce que celle-ci lui a fait subir...; comment? en faisant entrer massivement des étrangers, à qui l'on promet tout, en échange de leur vote "à gauche"; toutes les études concordent sur ce point: trois musulmans sur quatre ont voté Royal ou Besancenot! "Jeune Afrique" va plus loin, et avance même le chiffre de 85% d'immigrés en provenance d'Afrique votant pour Ségolène! Et la gauche se gargarise de ces banlieues où "cohabitent" jusqu'à 30 nationalités différentes, qui sont comme par hasard les endroits où la gauche réalise ses meilleurs scores...

              Mais cette irruption massive et soudaine de nouveaux électeurs va induire, forcément, de profonds changements, voire des bouleversements, dans nos pratiques électorales; et il est naturel d'y réfléchir, car on voit mal comment une fracture ethnique -celle que nous sommes en train de subir- pourrait rester longtemps sans conséquences dans le domaine politique; il suffit de regarder la télé et de lire les journaux pour que la manoeuvre de Jack Lang et des siens apparaisse clairement pour ce qu'elle est: un calcul politicien, sordide et somme toute assez misérable; mais surtout extrêmement dangereux pour la France car les mêmes causes produisent les mêmes effets: à force de vouloir libaniser la France à tout prix; à force de faire ici ce qui s'est fait là-bas, et d'importer des communautés que rien ne cimente vraiment; à force d'agir par aveuglement en dépit du bon sens, il finira tout simplement par se passer ici ce qui s'est passé là-bas: dès que des intérêts divergents surgiront, tout sautera, avec la même violence et les mêmes conséquences désastreuses que là-bas....                                 (à suivre...)

  • Après les urnes, les banlieues ?

    On se souviendra que tout un arsenal de différentes armes, dont des armes de guerre, en provenance des pays de l'Est, a été découvert à Marseille, il y a quelques temps, dans une "cité" où la police recherchait des trafiquants de drogue. Faut-il en être surpris? Pas vraiment, puisque l'on sait depuis longtemps que de tels arsenaux existent, et en quantités autrement importantes, dans les banlieues parisiennes. C'est dire que les émeutes que nous avons connues à l'automne 2005 pourraient n'être qu'une répétition de futurs troubles de grande ampleur, lorsque les circonstances politiques les susciteront. S'agira-t-il d'une révolte "des jeunes" comme les médias ont systématiquement voulu le faire accroire? Ou d'émeutes communautaristes, à composante ethnique et religieuse? C'est évidemment cette dernière définition qui correspond à la réalité, quelle que soit la volonté de la France "officielle" de camoufler sous le jeu des mots la réalité des faits. Tout le monde s'accorde à dire que le problème des banlieues n'est pas réglé et qu'il couve, toujours latent, sous les cendres de l'automne 2005 avec la perspective de déclencher un jour ou l'autre un vaste incendie social. Croit-on que l'élection présidentielle va contribuer à résoudre cette brûlante question? L'élection de Nicolas Sarkozy pourrait, tout au contraire, constituer un facteur déclenchant. Celle de Ségolène Royal aussi, d'ailleurs, car son projet de France métisse ne fait que se situer dans la continuité de la démagogie de la gauche française à l'égard du problème de l'immigration. Et si nous devions vivre un jour ou l'autre un Mai 68 des banlieues où, pour de bon, la République brûlerait, croit-on que la solution se trouverait dans les débats parlementaires, ou des législatives anticipées, ou même dans les couloirs des Préfectures et des Ministères? Mai 68 est justement un exemple historique de l'effondrement des Pouvoirs Publics face à de telles situations, comme d'ailleurs l'avaient été en leurs temps Juin 40 ou Mai 58...La France n'est (provisoirement) sortie de la chienlit de Mai 68 que par le coup d'éclat imaginé dans la solitude, hors toute action parlementaire ou gouvernementale, par Charles De Gaulle et quelques rares confidents...Comment sortirions nous d'un Mai 68 des banlieues où Paris brûlerait et où, en lieu et place des étudiants de 68, le régime trouverait face à lui -et ce serait une tout autre histoire...- les "populations" que l'on sait? Les actuels débats électoraux, les discussions polies et -à l'évidence- stupides que les télévisions ont organisées pour l'occasion, afin de présenter programmes et candidats et qui ont rabaissé le futur Chef de l'Etat au niveau du café du commerce, tout cela apparaîtrait d'un seul coup bien dérisoire. Et l'on vérifierait aussitôt que dans tous les cas où le destin du pays se trouve mis en jeu, les procédures et les structures de notre démocratie ne pèsent plus bien lourd. Ceux que la destinée politique des divers candidats ont passionnés et qui prennent encore au sérieux les jeux électoraux de ces semaines-ci auraient sans doute intérêt à y réfléchir un tant soit peu. Pour nous c'est d'un nouveau régime que nous espérons une vraie "rupture". Curieusement, cette vraie rupture passera par des retrouvailles avec tout ce que notre plus lointain passé, notre plus belle histoire commune, comporte de "transmissible et de fécond". Certes, les principaux candidats qui ont participé à l'élection présidentielle et les deux "finalistes", comme il est devenu de bon ton de le dire, ne sont dénués ni de qualités ni de compétences. Mais cette sorte de désignation du Chef de l'Etat, pour ainsi dire , à la roulette, comme au casino, est sans doute devenue, contrairement à ce que prétendaient les Institutions de la Vème République, et malgré l'engouement des français, le pire moment de la vie nationale. On compare assez souvent nos candidats à Tony Blair ou à José Luis Rodriguez Zapatero. Mais a-t-on réfléchi au fait que ces derniers ne briguent pas le poste suprême, parce que celui-ci se trouve placé hors compétition, parce qu'il garantit la permanence de la Nation et de l'État à travers les fluctuations de la vie politique, parce qu'il donne une limite aux ambitions politiciennes et qu'en quelque sorte il régule et pacifie la vie politique? Le premier ministre britannique et le premier ministre espagnol ont une position autrement confortable et notoirement plus efficace qu'un premier ministre français. Quant aux souverains qui incarnent leur Nation, et garantissent la permanence de leur État, 30, 40, 50 ans de règne non seulement n'érodent pas leur popularité mais au contraire la confortent! Ils sont bien l'homme (ou la femme) de la Nation...La fragilisation de la société française, les dangers qu'elle court et dont il ne faut pas se dissimuler qu'ils sont gravissimes, devraient inciter les élites françaises à envisager sérieusement de restaurer, de conforter autant qu'il est possible nos Institutions. Et quand nous entendons le Prince Jean de France déclarer très tranquillement à une grande chaîne de télévision: "Si les circonstances étaient réunies, et si les Français le souhaitent, je gouvernerai...", nous pensons que le Prince maintient ainsi vivant et disponible ce "recours", cette voie de salut national dont il ne faut pas priver la France. Ce serait autrement sérieux que les jeux présidentiels de ces jours-ci, et les hommes et les femmes qui s'y usent y trouveraient sûrement, eux aussi, une dimension nouvelle, d'un tout autre intérêt pour le Bien Commun. Peut être serait-il temps d'y réfléchir et de garder, en quelque sorte, l'idée en tête, y compris au plus haut niveau, pour le cas -malheureusement assez probable- où des circonstances particulières feraient tout à coup apparaitre  dans toute son évidence ce grand besoin national d'un État redevenu respectable. C'est aussi, c'est un autre rêve français. Il n'est pas sûr que, des deux, ce soit le moins réaliste...  

  • Momo vote Ségo!...

              Les choses sont claires: l'immigration vote Royal! 64% des musulmans ont voté Royal au 1° tour et 8% Besancenot: presque 75% pour la gauche et l'extrême gauche, presque trois sur quatre! 19% "à peine" se sont reportés sur Bayrou, et seuls 1% sur Nicolas Sarkozy! on comprend mieux l'acharnement des militants de "Réseau Éducation sans Frontières": certains d'entre eux, aux dires de "La Provence" (journal peu suspect de "droitisme"!) n'ont pas hésité à prendre l'avion illico, de Marseille à Paris, pour empêcher l'expulsion d'un jeune turc hors la loi, juste avant les élections; le "marché" semble en effet très clair, et juteux pour la gauche et l'extrême gauche: venez, on s'occupe de vous, et vous voterez pour nous en échange......; la république "change le Peuple", et la gauche, qui perd ses électeurs traditionnels, n'hésite pas à jouer au jeu dangereux de l'apprenti sorcier pour en trouver de nouveaux...

     Ségolène Royal avait déjà "gaffé" et, pour ainsi dire vendu la mèche: devant les journalistes, qui lui parlaient des mauvais sondages avant le premier tour, elle répondit par un péremptoire: "ne tenez aucun compte des sondages, ils ne prennent pas en considération le vote des jeunes de banlieue!" (sic); probablement tancée et sermonnée par ses mentors, elle n'a pas renouvelé ce genre de déclarations, mais sa première spontanéité en dit long sur les calculs douteux de la gauche et de l'extrême gauche: douteux et dangereux car, à utiliser ainsi les immigrés en général, les jeunes immigrés en particulier, "on" prend une très lourde responsabilité pour l'avenir; il est périlleux de manipuler toute une "population" en croyant qu'on tirera toujours les ficelles: outre le fait qu'on ne leur rend pas service, car on rend plus difficile leur acceptation par les Français de souche (et, donc, leur intégration...), on s'expose à des réactions peut être violentes, qui en entraîneront mécaniquement d'autres, "en chaîne", de la part de ces jeunes à qui "on" ne cesse de répeter que "cet homme est dangereux";

              Socialistes, communistes, trotskystes et autres...jouent avec le feu en favorisant, voire en imposant ouvertement une immigration dont le Pays n'a nul besoin, et qu'en tous cas il ne souhaite pas: pas dans ces conditions, pas dans ces proportions; l'Histoire enseigne que les calculs trop savants, les combinaisons trop florentines, les coups tordus trop machiavéliques finissent toujours par se retourner contre leurs auteurs: la République a cru bon de nous faire vivre sur un volcan, de créer de toutes pièces une poudrière, sur laquelle elle nous a installé: si un jour tout saute -car peut on jouer impunément avec le feu?- il faudra bien pointer les responsabilités et nommer les "responsables et coupables"....

  • Quel aveu!...

              La République nous fait vivre sur un volcan; et elle nous dépossède d'une liberté fondamentale: la liberté de penser et de parler, tout simplement! en voici une nouvelle illustration, extrêmement inquiétante pour l'avenir si l'on ne réagit pas tout de suite, et très fermement: les éditions Belin ont fourni un manuel d'Histoire (pour les élèves de cinquième) dans lequel le visage de Mahomet a été "flouté", car la religion musulmane interdit toute représentation du prophète. C'est peut être le droit de cette religion de publier des oukases dans les pays où elle est majoritaire, mais en France on n'est pas musulman, on ne l'a jamais été et -si on les consultait- les Français dans leur immense majorité choisiraient de ne pas l'être; et en tout cas de ne pas se voir imposer des contraintes dictées par cette religion (ce que l'on appelle, en gros, la "charia"); si les musulmans ne veulent représenter aucun être vivant, c'est leur droit, chez eux; mais ici c'est chez nous, et nous nous avons toujours pu peindre ou sculpter ou dessiner des être vivants; or, quelle justification apportent les éditions Belin à une décision aussi aberrante? elles parlent de "ne pas créer de problèmes avec les élèves" et disent qu'elles sont responsables "de la paix dans les classe"!

    C'est tout simplement ahurissant: en somme, l'une des conséquences de l'irruption massive des immigrés va être la guerre dans les classes, si nous conservons nos façons habituelles de discuter de tout, de parler de tout, comme on l'a toujours fait chez nous depuis 2000 ans! et pour que cela n'arrive pas (sic!) les éditions Belin préfèrent s'autocensurer, et nous demandent de changer carrément nos habitudes! et puis quoi, encore! Ce n'est pas au Pays d'accueil qu'il revient de changer ses lois, moeurs et coutumes ancestrales pour s'adapter à de nouveaux venus dont nul n'a souhaité la présence, et sur la présence desquels -du reste- le peuple soi disant souverain n'a jamais eu la possibilité d'exprimer son accord ou son désaccord; c'est aux nouveaux arrivants de se fondre dans un moule pré existant et -c'est bien le moins- d'accepter les us, coutumes et traditions du Pays d'accueil, en commençant d'abord par, au moins, les respecter! Si des nouveaux venus ne veulent pas vivre à notre façon, personne ne les retient ici!; s'ils préfèrent vivre sous la charia, les pays musulmans ne manquent pas: bon vent, et surtout bon débarras!......Contrairement à ce qu'affirmait Mitterand, les immigrés ne sont pas chez eux chez nous, ils sont chez nous! Et nous entendons bien rester les maîtres de notre Pays, et dans notre Pays.....

  • La prison n'est pas la solution...

              Abdullah Welle, 19 ans, a été condamné à 20 mois de prison, dont 8 avec sursis, pour avoir frappé sa prof avec une chaise le 24 avril 2006 à Porcheville (Yvelines); son camarade, un autre "jeune" (c'est à dire issu de l'immigration récente) filmait la scène sur son portable: on attend le jugement...; un "jeune" violeur de 22 ans, Majdi Bejaoui, arrêté mais libéré presqu'aussitôt, a récidivé très vite: après avoir violé une mineure de 16 ans, et bien que confondu par son ADN, il a été laissé en liberté par le JLD (Juge des Libertés et de la Détention): merci à ce juge pour la deuxième jeune fille dont la vie -comme celle de la première- a été brutalement saccagée: a quoi seront condamnés ces deux "enfants de la République" dont a parlé Chirac, au moment des émeutes en banlieue? Et tous les autres qui défraient la chronique? La sur-délinquance liée à l'immigration n'est un secret pour personne, elle peut même atteindre 80% des faits délictueux dans certains endroits; et les prisons sont déjà remplies d'un grand nombre de ces nouveaux arrivants: parfois à 50%, parfois même jusqu'à 80%!

    Nous pensons qu'il faut cesser d'emprisonner ces immigrants de fraîche date; nous pensons qu'il faut les déchoir de la nationalité française, que la République leur a octroyé follement et sans aucun discernement; et nous pensons qu'il faut enrichir notre Droit d'une nouvelle peine: le bannissement à vie. A quoi cela nous sert-il d'avoir des prisons archi-bourrées, qui sont de plus dans un état lamentable, qui fait honte à notre Pays? A quoi cela nous sert-il de loger et nourrir, fût-ce dans des conditions déplorables, des gens qui se sont comportés comme des voyous ou des criminels? Il ne faut pas, il ne faut plus enfermer les délinquants issus de l'immigration: jusqu'où s'arrêtera-t-on d'ailleurs? Les pays musulmans finiront par s'alarmer de cette proportion toujours plus grande dans nos prisons de leurs coreligionnaires...Déchoir et Bannir, cela nous semble être la meilleure solution, plus efficace car plus pédagogique....Il ne faut pas les mettre en prison, il faut les mettre dehors....