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Immigration - Insécurité - Anti racisme - Page 178

  • Simple question, de simple bon sens...

              Brice Hortefeux, ministre de l'immigration et de l'identité nationale, accorde un entretien à deux journalistes du Figaro Magazine (1): la bonne volonté du ministre est évidente; sa vision des choses est celle d'un homme pragmatique, qui souhaite mettre de l'ordre dans cette pétaudière qu'est l'immigration; et la plupart de ses propos sont frappés au coin du bon sens; on a simplement envie de demander pourquoi on n'a pas prononcé plus tôt ces paroles fortes et lucides; et quels sont les responsables de cet immense échec, qui est devenu un vrai problème de sécurité nationale, et plus seulement un problème "d'identité nationale": il suffit de voir la banalisation des batailles rangées entre bandes rivales de banlieues, des bandes composées presqu'exclusivement d'immigrés récents....; on va en être bientôt -"incessamment sous peu"- à une par jour, et les premiers coups de feu ont été tirées lors de la dernière en date; à tout observateur lucide et impartial, il apparaît clairement que la république a mis en place les conditions qui font que la France s'enfonce tout doucement, mais très sûrement, dans la violence quotidienne, ordinaire et banalisée: c'est à dire la pire.

              Mais pour lutter vraiment contre un fléau, bonne volonté et lucidité ne suffisent pas. Il faut avoir le courage de "casser la baraque"et de remonter aux sources; c'est à dire de dénoncer les causes du mal que l'on dénonce. Ainsi, lorsque Brice Hortefeux déclare tout de go: "Dans certaines banlieues, plus de 40% des étrangers sont au chômage..." on aurait aimé être à la place des deux journalistes pour lui faire remarquer ceci: "on" nous a "bassiné" (pour rester polis...) avec la sempiternelle rengaine des "immigrés-qui-viennent-faire-le-travail-que-les-français-ne-veulent-plus-faire", et avec cette sornette, on a réussi à faire taire le plus souvent les voix qui s'élevaient contre ce "processus de substitution démographique"dont parle élégamment la démographe Michèle Tribalat (2).     (à suivre.....)

              Et maintenant, un ministre vient nous dire que ces fameux immigrés, du moins "40% d'entre eux dans certaines banlieues", sont au chômage! On croit rêver! Question impertinente, à dix centimes d'euros: pourquoi donc sont-ils venus ici? si c'est pour être chômeurs?.....ne venaient-ils pas, soi-disant, pour travailler, pour remplacer ces bons à rien, ces feignants que nous sommes?.....

              Et si l'on ajoute à ce pourcentage de chômeurs (qui pour nous -c'est clair- ne devrait pas être en France...) le pourcentage des délinquants en liberté ou emprisonnés; et le pourcentage de ceux qui ont fraudé sur les "reconnaissances bidons" d'enfants qui ne sont pas les leurs (d'où, entre parenthèse, l'intérêt des tests ADN...), on voit bien que, sur ce dossier sensible de l'immigration, la république a menti sur toute la ligne, et depuis le début: c'est un gigantesque coup de balai qui s'impose! il ne faut pas seulement, comme le propose Brice Hortefeux, opérer un "rééquilibrage entre immigration familiale et économique" (ce serait un simple cautère sur une jambe de bois....): il faut renvoyer du territoire national les étrangers au chômage; les étrangers et les naturalisés qui sont délinquants (3), ou qui ont fraudé dans leur déclarations de paternité, en faisant passer pour des membres de leur familles des enfants qui n'étaient pas les leurs; c'est à dire ceux qui sont venus chez nous exclusivement pour des allocs, pour du fric, pour vivre à nos crochets (4): le fric qu'ils nous pompent depuis 1975 (chômeurs ou délinquants) c'est de l'argent qui serait mieux employé ailleurs: dans la Recherche par exemple, créatrice d'emplois, dont notre économie a bien besoin....

     

    (1): "Le Figaro Magazine", samedi 15 septembre 2007; propos recueillis par Arnauld Dingreville et Dominique Rizet.

    (2): ce qui veut dire, en clair: les étrangers viennent nous remplacer, et la république change le peuple! Voir les 5 notes "Erreur ou mensonge?..." dans la Catégorie "Immigration et Identité Nationale"; et les 2 notes "Qui constitue le Peuple ?" et "La république change le Peuple." dans la Catégorie "Immigration et Désintégration Nationale."

    (3): et qui sont venus chez nous sans que le Peuple -pourtant réputé souverain...- ait jamais été consulté, ce qui fait de cette présence une présence illégitime à nos yeux; et de la politique menée par Chirac et ses successeurs depuis 1975 une politique également illégitime, que le Peuple sera fondé à remettre en cause à tout moment; et ce qui fait des papiers qu'on a donné à ces immigrés, de la nationalité française qu'on leur a bradé, des papiers et une nationalité illégitimes....que le Peuple souverain sera fondé à annuler et à retirer si bon lui semble (par exemple en cas de délinquance: voir les notes de la catégorie "L'insécurité partout : Déchoir et expulser"....)

    (4): cette fraude est évaluée à trente pour cent par le porte-parole du gouvernement Laurent Wauquiez: derrière le débat sur les test ADN, a-t-il souligné, "il y a un vrai sujet: celui de la fraude...; ...30 % la fraude sur le regroupement familial, ce n'est pas tout à fait négligeable" ! on ne saurait mieux dire !

  • Déchoir et expulser...

              Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique" entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

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  • Déchoir et expulser..

               Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique", entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

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  • Déchoir et expulser...

              Les personnes que nous évoquerons ici font partie du premier tiers des "français de plastique", entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

              1°):..... Hakim Mekideche, 33 ans, qui n'a même pas daigné se présenter devant ses juges: il montre ainsi le mépris dans lequel il tient la France et les Français, lui qui, convoqué le 13 décembre 2006 au commissariat du Merlan (Marseille 14°) pour menaces à une éducatrice a injurié en ces termes le policier qui l'interrogeait: "Vous n'êtes pas dignes de porter l'uniforme. L'Europe et la France sont pourries. La police n'est pas digne. Oui, je suis raciste contre les Français et je tiens des propos racistes !" D'autres propos ont été tenus en langue arabe...

              Ce monsieur n'a été poursuivi "que" pour outrage à policier, et n'a écopé "que" d'un mois de prison avec sursis: autant dire, rien! Un français "de souche" qui aurait fait la même chose aurait-il bénéficié de la même mansuétude ? On ne sait pas ce qui est le plus scandaleux et le plus révoltant dans cette affaire où tout est minable : le pauvre type, qui n'a rien à faire chez nous (puisque de toutes façons nous sommes des pourris, et qu'il ne nous aime pas ! un comble !....); ou la république-foutoir qui tolère un tel mépris (absence au tribunal après injures racistes) et transforme ainsi la France en poubelle....

  • Tintin raciste?...

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                Étudiant en sciences politiques à Bruxelles, Bienvenu Mbutu Mondondo a déposé plainte fin juillet contre X et contre la société Moulinsart en charge de l'exploitation commerciale de l'oeuvre d'Hergé; il dénonce le caractère "raciste" de l'album "Tintin au Congo" et demande qu'il soit retiré de la vente!
     
                On ne peut aps laisser passer des absurdités pareilles sans réagir: e racisme est une chose trop grave et trop sérieuse pour qu'on le laisse ainsi être mis à toutes les sauces, à tout propos et à tout moment.

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  • Raymond Domenech puni, et c'est bien fait.....

              La personne de Raymond Domenech, en soi, ne nous intéresse pas; et le ballon rond, en soi, ne semblerait pas non plus devoir entrer dans le champ d'un bloc-notes "politique". Sauf que ce monsieur, depuis qu'il est à la tête de l'équipe de France, ne cache pas ses idées personnelles et mène une action très orientée. Qu'il soit de gauche, c'est son droit, et nous ne le critiquerons pas là-dessus; qu'il soit un "immigrationniste" forcené, et qu'il se serve de son poste pour faire passer ce qu'il croit être son "message", en revanche, est déjà beaucoup plus contestable; au poste qu'il occupe, une stricte neutralité devrait être de mise, et ne pas respecter cette neutralité est scandaleux, car il s'agit bien de "L'Equipe de France", et non de "la chose de monsieur Domenech"...

              Ainsi ce monsieur pense-t-il, par exemple, que la France est "Black, blanc, beur". Il s'agit là du "slogan" le plus stupide, le plus consternant et disons le tout net le plus débile qui ait été concocté depuis des années. D'abord parce que -notons la contradiction car elle est extrêmement amusante...- la république interdit formellement tout classement selon la couleur ou les origines des personnes (1); force est de constater qu'avec ce slogan débile, on est servi, question référence à la couleur de peau ou aux origines! En plus cette équipe n'est pas si représentative que cela de la riche diversité pluri-ethnique de la France: par rapport à leur collègues de peau plus foncée, les représentants de l'ethnie blanche "primo-arrivée" sont semble-t-il nettement sous-representés. Est-ce du racisme de la part de monsieur Domenech?

              On sait, par exemple, qu'il a délibérément laissé sur la touche des joueurs de talent, comme Robert Pirès ou Ludovic Giuly, alors qu'il donnait leur chance à d'autres joueurs, au teint nettement moins pâle il est vrai, et qui n'avaient pas forcément, aux dires des commentateurs sportifs, fait preuve d'une réelle supériorité technique; quant au cas Anelka, repris en équipe de France après ses scandaleuses déclarations -témoignant d'un orgueil incommensurable et d'un mauvais esprit aux antipodes du "beau jeu" que l'on est pourtant censé prôner dans le sport-, il révèle seulement à quel point monsieur Domenech manque de la plus élémentaire fierté personnelle....Comme on dit dans les cours de récré: "il n'a pas de figure" ! C'est son problème, mais comme nous l'avons dit plus haut, du moment qu'il s'agit de "L'Equipe de France" c'est aussi un peu le problème de tout le monde: il faut savoir ce que l'on veut....

              Aujourd'hui, cet adepte forcené du métissage, stakhanoviste du pluri-ethnisme et jusqu'auboutiste de la pluriculturalité, se retrouve puni: il a écopé de 8.000 euros d'amende et d'un match de suspension pour avoir déclaré le 9 août, au "Parisien": "J'ai connu un France-Italie espoirs, qualificatif pour les J.O de Sidney, avec un arbitre acheté....Il y a des arrangements dans le foot italien...". L'ennui, c'est qu'il n'a pas apporté de preuves de ce qu'il affirmait (ou, ce qui revient strictement au même, de preuves convaincantes...).

              Or, on n'accuse pas sans preuves: il est très possible -c'est même probable- qu'il y ait des arbitres achetés; mais quand, d'une certaine manière, on représente la France, on n'engage pas ainsi son pays, à la légère, dans ce qui, sans preuves comme c'est le cas ici, n'est plus l'expression d'une opinion personnelle, mais bien de la calomnie et de la diffamation pure et simple.

              Monsieur Domenech ne devrait-il pas tirer toutes les conclusions d'une sanction qui, à travers lui, atteint la France ? Ne devrait-il pas se retirer ? Nous avons la faiblesse de penser que ce ne serait pas une grande perte.....

    (1): par exemple dans les statistiques de la délinquance, pour continuer à mentir au peuple français, et pour continuer à masquer la stupéfiante sur-délinquance liée aux immigrés, révélée par les chiffres portant, précisément, sur la délinquance....);

  • Libres propos sur la clochardisation et la tiermondisation vers lesquelles nous mène le Système...(3/3).

              ...On le voit, le reproche principal que nous pouvons faire aux "immigrationnistes" acharnés (type RESF) concerne l'efficacité -et dans leur cas l'inefficacité...- de leur action: ce n'est pas en déplaçant un problème qu'on le résout; ce n'est pas en transplantant la misère d'un lieu à un autre qu'on résout le problème de la misère, c'est en la combattant et en l'éradiquant sur place: que l'on regarde ce qui s'est passé en France (la Gaule de l'époque) durant le Moyen Âge: la régression a été effroyable après la chute de l'Empire Romain et après la prospérité de la Pax Romana; pourtant, nos ancêtres les gaulois (devenus entre temps gallo-romains) ne sont pas partis en Asie ou en Afrique, dans d'autres pays plus avancés; ils ont retroussé leurs manches et, durant plusieurs générations, ils ont travaillé dur pour nous créer et nous laisser en héritage ce pays qui est le nôtre aujourd'hui; et leur vie n'a pas été facile: on mourrait jeune, on mangeait peu et mal, la douleur était monnaie courante car la "santé" au sens d'aujourd'hui était inexistante; on avait la peste, il y avait les famines, les épidémies, les guerres; et il n'y avait pas d'ONU pour intervenir, pas d'Unicef pour sauver les enfants, aucun organisme international d'aucune sorte pour venir nous aider.... 

              Mais la France est apparue, parce que le peuple français, obstiné et courageux, a voulu survivre, a voulu progresser, et s'en est donné les moyens, par son labeur acharné et seulement par son labeur acharné: voilà la vraie et forte leçon à méditer, l'exemple à suivre: c'est en développant les pays pauvres et en rendant enfin les gens heureux sur place, et non en organisant des transferts massifs de population, qu'on réglera le problème de la pauvreté; transformer un pays riche en un pays pauvre ne sera d'aucun secours pour personne, cela n'a jamais été la solution, et ne l'est pas plus aujourd'hui qu'hier. il faut être aveugle, ou avoir d'autres idées en têtes, comme RESF pour croire le contraire...

              Redisons-le: et dans le fond et dans la forme tout ce à quoi nous assistons depuis des années est déplorable, lamentable, condamnable....et dangereux. Et tout cela part d'une idée, d'une théorie, d'une fumeuse et funeste construction intellectuelle (ou plutôt pseudo intellectuelle) de générosité mal placée et mal conçue; de solidarité mal pensée; de nationalité mal et faussement définie; le tout assorti d'un manque total d'efficacité....Il faut "arrêter les frais", il faut remettre de l'ordre dans nos rues, cela devient urgent car, à terme (et un terme pas si lointain...) on ne sera plus en France (on n'y est déjà plus dans certain endroits: il suffit de voir ce qui se passe en Seine Saint Denis...). Mais avant de régner dans les rues, on le sait bien, l'ordre doit d'abord régner dans les esprits, et il faut remettre les idées à l'endroit: c'est dire toute l'urgence de la solution Royale que nous proposons: il faut jouer et proposer sur les deux tableaux; il faut remettre en cause ce qui se passe actuellement, et pour cela il faut remettre en ordre les fondements intellectuels de notre société, faussés et fourvoyés depuis la révolution....  (fin).

     

  • Libres propos sur la clochardisation et la tiermondisation vers lesquelles nous mène le Système....(2/3)

              ...Elle est fausse dans le fond, car la France ne peut pas accueillir toute la misère du monde, cela a été dit maintes fois, y compris par des personnalités de gauche (Rocard est "l'inventeur" de la formule); en y logeant des masses de plus en plus grandes d'immigrés pauvres, voire misérables, comme on le fait actuellement, on tire le pays vers le bas, on l'appauvrit en augmentant ses charges (2). Le résultat de courses sera que, peu à peu, on aura appauvri un pays autrefois riche (la France), on l'aura fait disparaître en tant que pays développé, pouvant aider à soulager la misère dans le monde; mais on n'aura pas fait disparaître ni même reculer la misère et la pauvreté sur terre pour autant.....

              Bien au contraire, elle seront encore plus fortes, puisqu'il y aura un pays riche de moins (qui ne pourra donc plus aider les pauvres qui, eux, seront toujours aussi nombreux...). Mauvaise intuition, donc, au départ (dans la conception même du problème), mais aussi inefficacité tragique à l'arrivée, dans le traitement concret dudit problème: c'est là que l'on voit bien que cette "politique" actuelle -mauvaise dans le fond- est mauvaise aussi dans la forme, à cause du manque total d'efficacité dont font preuve les soi disant et auto-proclamés "généreux" du "parti immigrationniste": ils ne sont généreux qu'en apparence; quel est le résultat de leur coup de force permanent? Supprimer la misère? Pas du tout! Transplanter seulement la misère!

              Les roms misérables en Roumanie deviendront des roms misérables vivant dans un campement de tôles sordides sous une bretelle d'un autoroute parisienne; les Maliens miséreux de Bamako iront brûler dans un hôtel insalubre et vétuste, en fait une quasi ruine, où ils se sont entassés à plus de cent (alors que, neuf, cet hôtel ne pourrait recevoir qu'une cinquantaine de personnes); les uns seront victimes des marchands de sommeil, les autres tomberont dans les diverses formes d'exploitation, de délinquance ou de marginalisation qui alimentent tristement les rubriques des faits divers; et pour les filles, bien sûr, ce sera le trottoir, un trottoir barbare, ignoble et dégradant évidemment, pour elles d'abord et pour notre pays aussi... etc...etc...Voilà un beau résultat!...                           (à suivre.....)

              (2) parallèlement, les "riches" s'en vont, chassés par l'ISF, et les jeunes, découragés par un manque réel de perspectives, vont de plus en plus nombreux tenter leur chance à l'étranger: la république exporte les français travailleurs, créateurs d'emplois et de richesse -qui vont travailler, créer, enrichir ailleurs...- et elle importe des miséreux; cela ne pourra pas durer éternellement; viendra, très vite, un moment où le poids des catégories pauvres étant plus important que celui des catégories aisées, la société basculera; elle sera devenue une société du tiers-monde, une de plus....   

  • Libres propos sur la clochardisation et la tiermondisation vers lesquelles nous mène le Système.....(1/3)

              Dans tout le pays, on voit "fleurir" de plus en plus de squats et de campements sauvages d'immigrés en situation irrégulière; les "Une" des quotidiens ne cessent de s'en faire l'écho, ainsi que des plaintes des riverains; il faut bien admettre que tout est critiquable dans ce qui se passe actuellement, car les bases intellectuelles de ce phénomène sont faussées par l'idéologie, et tout le monde a tort: on a, d'un côté, un "parti immigrationniste" qui persiste à prétendre que la France peut et doit accueillir toute la misère du monde, et qui ne cesse, au quotidien, d'organiser concrètement l'arrivée et le maintien sur notre territoire de tout ce qui peut exister comme étranger en situation irrégulière; de l'autre un état républicain empêtré dans ses faiblesses intellectuelles et tiraillé entre deux contradictions: d'une part un désir sincère de mettre malgré tout un peu d'ordre (pour certains responsables du moins...); mais d'autre part, et dans l'ensemble, une grande peur et une grande faiblesse intellectuelle face à ce fléau que l'on n'ose pas nommer ni combattre en tant que tel...

              Il faudrait à la France un pouvoir stable et indépendant qui pourrait mener ce combat au nom de la pérennité de la Nation, en expliquant au peuple français les tenants et les aboutissants du problème; la république, même si certains sont bien intentionnées à ce sujet, ne le fait pas et ne le fera pas -du moins d'une manière significative- tout simplement parce qu'elle ne peut pas le faire; et elle ne peut pas le faire car, dès son origine, elle a faussé l'idée de Nation, de nationalité; elle l'a pervertie et dénaturée en l'idéologisant: pour elle, à partir de la révolution, n'est pas Français celui qui reçoit et accepte de transmettre un héritage donné, et qui désire poursuivre et prolonger une communauté de destin; est français toute personne qui fait siens les idéaux révolutionnaires; c'est la porte ouverte à ce qu'avait entrevu Chateaubriand lorsqu'il évoquait finement ces  "chemins de passage, ouvert à tous les vents..." (1)....

              Aujourd'hui, ou tout s'accélère, et avec la mondialisation, on assiste à un emballement de la machine. Comme nous le disions au début, il suffit de lire les journaux ou d'écouter les radios et les télés pour découvrir à quel point les squats se multiplient sur le territoire; les riverains s'inquiètent, mais "on" ne semble pas vouloir remonter aux sources intellectuelles du mal; "on" ne semble pas vouloir poser le problème dans son ensemble, sa globalité; or, si on ne procède pas ainsi, on ne résoudra rien; il faut avoir le courage de dire tout net que l'actuelle "politique" d'accueil inconsidéré des étrangers (qui est tout sauf une politique digne de ce nom) est suicidaire et fausse à double titre, et dans la forme et dans le fond.... (à suivre.....)

              (1): Mémoires d'Outre Tombe, la Pléiade, tome II, page 15. Chateaubriand avait, dès le début vu et senti le danger et, s'il ne pouvait bien sûr pas se figurer l'état actuel de nos rues, il en a eu du moins l'intuition; ce simple exemple montre bien que, dès le début, les royalistes ont bien eu conscience des dangers funestes que représentaient les conceptions révolutionnaires dans ce qu'elles avaient d'idéologique et d'abstrait...

  • Pseudo humanitaires, mais vrais charognards...

              Rien n'arrête RESF: le drame humain vécu par une famille russo-tchétchéne à Amiens (1) n'est pas un drame qui devrait ouvrir les yeux sur la folie de leur action, pour ces tenants de l'agit-prop, qui ont trouvé dans l'immigration le moyen de dynamiter une société française qu'ils veulent disloquer d'abord, afin d'en créer une autre, conforme à leurs vues idéologiques; les souffrances du petit Ivan, le désarroi de ses parents devraient ramener à la raison les plus aveugles; ce drame devrait faire cesser ce "jeu" fou et cruel, cette impasse, qui consiste -pour de bas et obscurs calculs idéologiques- à mentir à des étrangers malheureux, certes, chez eux, en leur faisant croire qu'ils pourront trouver chez nous ce qu'ils n'y trouveront pas (logement, travail , salaire); à les pousser à venir grossir les flots d'une masse miséreuse qui, à peine arrivée, est embringuée dans la spirale infernale dégradante pour eux, déshonorante pour nous, d'une paupérisation aggravée, d'une clochardisation irrémédiable, dans laquelle nul ne trouve son compte: ni eux, qui sont traités comme du bétail, comme des esclaves; ni nous dont la société déjà confrontée à de lourds problèmes est ainsi tirée vers le bas.

              Non, le drame d'Amiens n'ouvrira pas les yeux de ces énergumènes de RESF: ils ont des oreilles pour entendre, et ils n'entendent pas; ils ont des yeux pour voir et ils ne voient pas; tout simplement parce qu'ils savent très bien ce qu'ils font: ils veulent casser la société; l'immigration sauvage et incontrôlée est pour eux un paravent, un prétexte , un moyen (sordide et répugnant) pour arriver à leurs fins; ils se fichent bien pas mal qu'après avoir été imposés à un pays qui ne peut ni ne veut les recevoir, ces immigrés brûlent dans des hôtels vétustes où ils s'entassent à plus de 100 alors que, neufs, ils ne devraient même pas en contenir le tiers! ou que les filles soient livrées à la prostitution; que les mafias de tous ordres prospèrent sur cette masse humaine misérable, taillable et corvéable à merci pour ces mafias.

              Ce que fait RESF est ignoble: nous l'avons déjà dit et nous le redirons sans cesse; nous le redisons aujourtd'hui, que cette lamentable affaire d'Amiiens est au contraire prétexte à une escalade dans la surenchère: jouant sans vergogne de la corde sensible, et tâchant de tirer des larmes aux gens à partir du malheur de cette famille, l'association trotskiste réclame ni plus ni moins que l'arrêt de la recherche des hors la loi (qu'elle persiste à appeler des "sans-papiers), l'arrêt de leur expulsion et leur régularisation massive! RESF ferait mieux d'arrêter son jeu criminel et de sortir de l'impasse où elle se fourvoie et où elle fourvoie les malheureux qu'elle manipule d'une façon répugnante; RESF ferait mieux de considérer lucidement ses responsabilités, sa faute et, disons-le, son crime dans cette triste affaire......

    (1) rappelons brièvement les faits: le jeudi 9 août, la police sonnant à sa porte, un père de famille commet la folie de s'enfuir par les balcons; son fils Ivan, 12 ans, le suit, et tombe du quatrième étage. Où va-t-on si tout citoyen que la police vient contrôler s'enfuit? il n'y a tout simplement plus de vie en société possible! RESF veut-il que l'on supprime la police et la gendarmerie? qu'il le dise!....

    PS: au fait, comment se fait-il que des hors la loi puissent bénéficier de logements en HLM alors que tant d'étudiants "galèrent" pour trouver une chambre de bonne, quand ils la trouvent, et au prix où ils la trouvent? dans quel régime-pétaudière vivons-nous?.....

  • Un si charmant "jeune" homme...

              Malik, 19 ans, vient d'être condamné par le Tribunal Correctionnel de Marseille à quatre mois de prison ferme. Motif: lors de la visite de Nicolas Sarkozy (alors seulement Ministre de l'intérieur) il a crié: "Je nique Sarko, le fils de p....!". Avant de s'en prendre physiquement aux policiers.

              Chronique de la "douce France républicaine" ordinaire; chronique de ces chers "jeunes" qui sont (selon les propos même de Chirac, alors Président, lors des émeutes de banlieue) "les enfants de la république" et, n'en doutons pas (?!) "une chance pour la France" (il vaut mieux entendre ça que d'être sourd...).

              Le "jeune" Malik va donc passer quatre mois en prison (attention les gardiens...), au frais du contribuable; même si, on le sait, les prisons de la république laissent franchement à désirer question qualité du séjour, nous allons tout de même payer pour ce voyou (et pour tant d'autres....) dont nos prisons sont pleines !

              Question impertinente: que se serait-il passé si un jeune "Jérôme" (ou un nom bien "roumi" dans ce genre...) s'était écrié lors du passage du Roi du Maroc à Rabat (1): "Je nique Momo, le fils de p....!"? Question très impertinente, non?....

    (1) ou du président Assad à Damas, ou de Khadfi à Tripoli, ou de Moubarak en Egypte etc...etc....

  • La république danse sur un volcan...

              Lu dans "La Provence" du lundi 16 juillet (1): "Des voitures retournées en flammes, en guise de remparts. Des grappes d'individus, le visage sous une cagoule ou une capuche, armés de cocktails Molotov dans une main et de pierres dans l'autre. Des barrages de poubelles incendiées....Dans plusieurs quartiers marseillais, samedi soir, la Fête nationale avait des allures de "révolution urbaine" avec un goût amer de déjà vu...En milieu de nuit, vers 3 heures du matin, une quarantaine de véhicules et quelques 150 poubelles avaient été incendiées. Les marins-pompiers ont en outre traité 200 feux d'herbe et 13 feux de détritus..." L'article évoque les 602 appels et 585 interventions concernant les pompiers, victimes d'une trentaine de "caillassage", les cinq feux urbains, les 12 arrestations opérées par les 200 policiers, appuyés par 96 "municipaux", tandis que les CRS, pour la troisième année consécutive, ont dû intervenir à la Cité Air Bel "pour calmer et refroidir les esprits" (sic!). Voilà pour Marseille...

              En France, on n'a recensé "que" la bagatelle de 199 véhicules incendiées et 76 arrestations, autant dire rien, puisque la république nous a donné l'habitude de vivre habituellement avec des choses que nos ancêtres n'auraient pas admis à leur époque, et nous non plus il y a une vingtaine ou une trentaine d'années: mais on s'habitue à tout, n'est-ce pas? surtout lorsque l'opinion, à qui l'on ne dit pas tout -quand on ne lui ment pas carrément- est quotidiennement anesthésiée par les mensonges de la "vérité officielle" et le bourrage de crâne opéré par le parti immigrationniste...Et pendant ce temps là, l'arbre des délinquances et des Mafias pousse ses racines, silencieusement mais inexorablement; il prend toute sa place et s'installe confortablement et efficacement; il prospère, et la république accepte l'inacceptable; elle tolère l'intolérable; elle "gère la délinquance", elle n'y répond absolument pas: comment le pourrait-elle, d'ailleurs, puisque c'est elle qui, en trente ans, a opéré ce prodigieux transfert de population qui est directement à l'origine de l'apparition de ces cités, dangereuses aujourd'hui, explosives demain....

    (1): page 4: "Le 14 juillet, prétexte pour mettre le feu dans les cités."

  • On va continuer longtemps comme ça ?...

              Au 1° juin, il y avait 60.870 détenus dans les prisons françaises, pour 50.600 places; et, selon un document de travail ministériel, on se dirigerait allègrement vers 80.000 détenus en 2017! Bien qu'il soit formellement interdit par la république (et pourquoi? de quel droit?) de donner des chiffres sur l'origine des détenus, on sait parfaitement qu'une part très importante de la population carcérale -cette part étant même majoritaire dans de nombreuses prisons- vient de l'immigration récente. Nous avons exposé (1) notre sentiment sur une immigration imposée à la France, qui n'en avait et n'en a toujours pas besoin; nous avons aussi exposé notre point de vue sur ces "français de plastique" qu'on nous a imposé, et qui ne sont "français" pour beaucoup que parcequ'ils ont en poche le petit rectangle en plastique de la Carte d'Identité; nous avons enfin exposé ce que nous appelons "la règles des trois tiers", pour sortir la France de la situation dans laquelle la république l'a très imprudemment plongée. Nous proposons donc:

              1°) de déchoir d'une nationalité française attribuée trop généreusement (et sans que le peuple français ait jamais été amené à donner son accord...) tout immigré de fraîche date qui commet un délit: il fait la preuve, quelques mois à peine après la "confiance" qu'on lui a accordé, en notre nom mais sans notre accord, qu'il n'était pas digne de cette confiance....

              2°) de bannir à perpétuité du territoire national celui ou celle qui aura été déchu(e). En tant que contribuables, nous ne souhaitons pas, en effet, qu'une partie de nos impôts serve à loger et nourrir (d'une façon indigne d'ailleurs, et qui fait honte à notre pays...) des délinquants à qui nous n'avons jamais demandé de venir chez nous. Continuer comme cela à emprisonner un nombre toujours plus grand de ces "nouveaux venus" ne nous parait ni raisonnable, ni souhaitable, ni même possible...; et un jour des pays musulmans fanatiques, ou des organisations musulmanes fanatiques (il ne manque, sur terre, ni des uns ni des autres...) prendront peut-être prétexte de cette situation pour exiger de la France qu'elle libère leurs "frères" sous peine de représailles.....

    (1) voir les catégories "Conférences" et "Immigration et désintégration nationale". 

  • Main tendue à Bobigny: quel(s) résultat(s)?...

              Pour l'un de ses tous premiers discours ès-qualitès, Rachida DATI avait choisi Bobigny. Pour tâcher de "recoller les morceaux" après que Nicolas Sarkozy ait nommément mis en cause les magistrats de Bobigny, les taxant de "laxisme"? Quoi qu'il en soit, le ton du discours fut très courtois, plus même: en langage très familier on pourrait presque appeler cela "passer la brosse"...C'est peut-être normal, au moment de prendre ses fonctions, de tendre la main et de se montrer ouvert et plein(e) de bonne volonté. Mais c'est la réaction immédiate d'un membre de l'Union Syndicale de la Magistrature qui fut révélatrice: bien loin de se montrer positif et constructif, et de répondre ainsi à la main tendue par la toute nouvelle ministre, le préposé-à-la-réaction de l'USM se montra très dogmatique; il distingua "la forme et le fond" et, s'il admit les éloges flatteurs, se hâta de rappeler qu'on avait souvent promis et peu tenu auparavant; qu'il fallait "plus de moyens" et "une vraie politique sur la durée"...: toutes choses justes et acceptables d'ailleurs, sauf que le ton était à l'opposé de celui de la ministre; c'était plutôt: "donnez nous de l'argent (beaucoup d'argent...) et ne mettez surtout pas votre nez dans "nos" (?) affaires"; à la main tendue, d'un côté, répondait la porte fermée de l'autre, arrogance et revendication en plus (remarquons d'ailleurs que l'on commence à sentir ce "climat" de réticence, voire d'hostilité, dans d'autres secteurs: Universités, Transports...,ce qui nous annonce probablement des "luttes" -comme ils disent- de ceux qui n'acceptent pas leur défaite dans les urnes...).

    Cette sorte d'incompréhension et d'incompatibilité pratique entre la ministre -pleine de bonne volonté- et le syndicaliste -plutôt borné, voire buté- montre bien, une fois de plus, que ce n'est pas avec des mamours et des risettes que l'on amadouera les syndicats politisés et idéologues: c'est en leur opposant frontalement des arguments valables et de bon sens: entre autre que les magistrats eux-même ne sont pas au-dessus des lois;  qu'on peut leur demander des comptes, et que, s'ils se trompent, ils sont des justiciables comme les autres, et ils doivent être sanctionnés. Or, persuadés qu'ils sont de leur supériorité, et auto-proclamés détenteurs permanents et inamovibles de toute vérité sur tout sujet, les représentants de la bonne conscience -engagés à gauche le plus souvent, voire à l'extrême gauche- sont devenus sourds au bon sens: ils sont trop politisés, trop idéologues; ils ne voient plus le monde vrai des "vrais gens" car ils ne le regardent plus qu'à travers leurs lunettes de dogmatiques et le prisme déformant de leurs préjugés...Ils sont devenus imperméables aux suggestions et réfractaires aux conseils: que peuvent sur eux les amabilités et les précautions -par ailleurs naturelles, répétons-le...- que prend à leur égard un nouveau ministre? Rachida DATI a bien fait de commencer en tendant la main, mais la fermeté devra suivre tôt ou tard: comme on le disait déjà au Moyen-Age:                                                         

    "Oignez vilain: il vous poindra;

     Poignez vilain: il vous oindra!"

  • Que sont nos banlieues devenues ?...

              C'est un article du Figaro Magazine du I6 juin 2007; on ne sait pas trop ce qu'on peut dire après l'avoir lu: ahurissant ? terrifiant ? Laissons d'abord la parole à l'auteur du-dit article: sous le titre: "Seine Saint-Denis: Guerre des dealers dans une cité interdite" voici ses premières lignes: "Depuis longtemps déjà, ce qu'on appelle l'ordre républicain ne parvient plus à s'imposer au Clos Saint-Lazare. Trafic de drogue et exécutions sommaires constituent l'ordinaire de cette cité de Stains qui préoccupe les autorités mais dont les drames semblent se jouer à huis clos."  Ce qui "pose problème" -comme on dit dans le jargon...- vient après; l'auteur décrit une scène tout à fait ordinaire et habituelle, d'un jour tout à fait ordinaire et habituel, avec des gens qui agissent d'une façon tout à fait ordinaire et habituelle: "...Seul, le jeune homme fait face au tueur qui dissimule à peine son visage sous une capuche.....; le pied sur la tête de Sory, l'homme de Touré achève sa victime à bout portant devant la porte de son immeuble. Sa mère, depuis la fenêtre de son appartement, assiste impuissante à la scène. Entend claquer les quatre détonations. L'assassin regagne l'Audi volée stationnée sur le parking du MacDo."

              Vous avez bien lu: tout se passe en plein jour, devant tout le monde; on ne se précipite pas, on regagne lentement sa voiture; on ne cache pas son visage! C'est beau la France républicaine ! Il n'y a pas lieu d'épiloguer. Une telle situation est indigne d'un grand pays moderne. Un système qui tolère de telles choses se discrédite et se disqualifie. Surtout s'il est l'héritier de ceux qui ont fait la révolution (en faisant au passage 800.000 morts) en promettant qu'on allait voir ce qu'on allait voir: on voit! la sécurité des biens et des personnes est le premier devoir de tout Etat normal dans toute société normalement constituée; si l'état républicain laisse faire ce que relate "Le Figaro" c'est soit qu'il ne veut pas soit qu'il ne peut pas intervenir; nous sommes fondés à demander des comptes; qu'a-t-on fait de nos banlieues ? qu'a-t-on fait de la France ?

              La situation que décrit "Le Figaro" n'est pas ce que nous voulons. Nous voulons que l'on débarrasse la France de ces voyous, de ces assassins, de ces Mafieux; il est impossible que la police ne les connaisse pas; qu'on les arrête, qu'on les déchoie d'une nationalité "de plastique" qu'on leur a follement octroyée et dont ils ne sont pas dignes; et qu'on les bannisse pour toujours, avec création d'un fichier central ayant pour objet d'empêcher leur éventuel retour en France. C'est ce que nous appelons "la règle des trois tiers", seule façon raisonnable et crédible pour sortir la France de l'impasse mortelle dans laquelle l'a enfermée la république: nous ne voulons pas que, comme la gangrène, ce qui se passe dans les banlieues soit demain la norme généralisée partout.....    

              L'article du Figaro n'est pas terminé: un mois après ("la sentence de la rue s'abat plus vite que celle de la justice", note l'auteur) l'assasin est à son tour assassiné; vengeance somme toute "normale"? si l'on veut, sauf que c'est avec "un Famas ou une Kalachnikov. En tout cas une arme de guerre". On voit d'ailleurs en bas de page, pour illustrer l'article, une petite photo ainsi légendée: "Des jeunes de Stains exhibent sur internet des Mat 49, armes de guerre. La police a ouvert une enquête."  On croit toujours rêver, et on se demande toujours si on a bien lu, si on parle bien de la France. Mais oui, c'est bien la France, notre France, du moins ce que le système l'a laissé devenir!....Mais il reste encore deux surprises à découvrir; d'abord ceci: "En septembre 2006, un revendeur de 28 ans interpellé par les stups reconnaissait gagner 1700 euros par jour. Son "chef", qui dispose de plus d'un employé sous sa coupe, n'a que 20 ans."

              Suivent quelques chiffres montrant les profits énormes que les différentes Mafias réalisent: 18.000 euros par jour pour le trafic de drogue; 4600 euros par mois pour un simple guetteur! Quand cessera-t-on de mentir aux Français et de travestir la réalité? Bien sûr qu'il y a des gens honnêtes parmi tous les immigrés: ils sont probablement même la majorité; mais à côté d'eux, la folle insouciance de nos dirigeants a permis à d'authentiques voyous d'installer leurs trafics; à des Mafias ultra violentes de pousser des racines profondes; voilà -à côté de gens très honnêtes- les nouveaux venus qu'on nous a présenté comme "une chance pour la France"; que l'on a laissé s'installer chez nous sous couvert d'une soi disant "immigration-dont-l'économie-française-a-besoin"; et parce-que ces "jeunes", ces immigrés "font-le-travail-que-les-français-ne-veulent-plus-faire".

              Dernière surprise à découvrir dans et grâce à cet article: c'est en quelque sorte "la cerise sur le gâteau" ! il s'agit -et nous terminerons par là- du rôle que jouent les responsables locaux: l'auteur de l'article cite un passage qui pourrait être hilarant s'il ne posait un vrai problème de fond; jugez-en: des documents municipaux vantent en ces termes la réussite de la réhabilitation du grand ensemble de Stains où se passent ces joyeusetés: "La création d'une nouvelle domanialité par le redécoupage du quartier en plusieurs îlots et la résidentialisation des bâtiments d'habitation..." On voit bien par tout ce qui précède qu'on est là dans le mensonge caractérisé; de deux choses l'une: ou bien la mairie, et plus généralement les autres responsables (département, région...) ne savent pas ce qui se passe à Stains; dans ce cas tous ces messieurs doivent démissionner d'urgence pour cause d'incompétence caractérisée, et souscrire un abonnement d'un an -minimum- au "Figaro Magazine"; ou bien ils savent ce qui se passe à Stains; et dans ce cas.....