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Immigration - Insécurité - Anti racisme - Page 180

  • Pourquoi nous ne sommes pas racistes...

              Nous ne sommes pas racistes, et nous ne le serons jamais, tout simplement parce-que nous ne pouvons pas l'être: cela nous est strictement impossible, car les fondements même de notre Culture et de notre Héritage sont aux antipodes de ce fléau. Un fléau dont il est du reste piquant de constater que l'implantation en France a été, au contraire, largement facilité et favorisé par.... les torrents de haine, de xénophobie et de fureur hystérique libérés et exploités par la Révolution et la République ( l' "autrichienne..", "qu'un sang impur abreuve nos sillons !..." ).

               Ce sont en fait quatre Traditions majeures qui structurent à tout jamais notre pensée sur ce sujet: la première étant notre Christianisme, consubstantiel à la Royauté depuis le sacre de Clovis à Reims: depuis cet évènement fondateur, Catholicisme et Royauté ont toujours cheminé ensemble, s'appuyant l'un l'autre et guidant de conserve le Peuple Français, chacun dans son ordre, distingués mais non séparés; est-il besoin de redire en quoi - et pourquoi - le message libérateur universel de Jésus Christ contredit et exclut radicalement le racisme, et le mot et la chose ? 

              Notre deuxième tradition majeure est notre Romanité: pour notre plus grand bien, et notre plus grand bonheur, nous avons fait partie pendant 500 ans de cette merveille que fut -malgré ses parts d'ombre...- l'Empire Romain (Jacques Bainville aimait à rappeler qu'un quart de notre Histoire est romaine); or l'Empire Romain c'est la Patrie Humaine, le rêve utopique devenu réalité, réunissant sous les mêmes lois bénéfiques et la même bienheureuse Pax Romana le Gaulois et l'Egyptien, le Maure et le Grec, l'Hispanique et le Roumain; nous regrettons toujours cette "plage brillante", selon Pierre Grimal, que fut notre grand Empire Romain, et ce n'est pas à nous qu'il faut venir expliquer l'interêt de la diversité dans l'Unité...

              Notre troisième tradition majeure nous vient de notre Famille de France elle même, de la façon dont les Rois ont vécu et gouverné: la famille royale a toujours été très internationale, par les mariages qui ont été conclus avec des princesses de presque toutes les régions d'Europe, et la politiques des Rois a toujours été une politique d'accueil envers tous ceux qui souhaitaient servir la France (ministres, chefs de guerre, artistes: Lulli et Léonard de Vinci, le maréchal de Saxe, Anne d'Autriche et Blanche de Castille, Mazarin...qui oserait accuser la Royauté de frilosité ou de fermeture envers "l'autre" ?)...

              Enfin, une dernière tradition majeure, mais non la moindre, nous vient de notre passé militaire: grâce à Louis Philippe, et à sa géniale intuition qui lui a fait creer la "Légion Étrangère", la France est le seul pays au monde a accueillir une si grande quantité d'étrangers qui viennent, avec une constance qui ne se dément pas, la servir et l'aimer, au point de répandre leur sang pour elle: Louis Philippe, avec cette Légion unique au monde, récapitulait magnifiquement la grande tradition de la Royauté qui a toujours accueilli des étrangers au service de la France ("Royal Allemand", "Royal Irlandais"...); l'Armée Française ne dit-elle pas:

    "Qui sait si l'Inconnu, qui dort sous l'arche immense,

     Mêlant sa gloire épique aux orgueils du passé,

     N'est pas cet étranger devenu fils de France 

     Non par le sang reçu, mais par le sang versé ?"   

              On rappellera juste, pour conclure et pour mémoire, qu'avec pas loin de 1000 ans d'avance sur la république, la Royauté a, six fois dans son histoire, donné tout le pouvoir à des femmes (à l'occasion des Régences); et, qui plus est, quatre fois à des femmes étrangères !: Blanche de Castille (régente, deux fois, pour Saint Louis); Anne de Beaujeu (pour Charles VIII); Louise de Savoie (pour François Ier); Catherine de Médicis (pour Charles IX); Marie de Médicis (pour Louis XIII); Anne d'Autriche (pour Louis XIV).

               Anti racisme et promotion de la femme : où est la modernité ? Dans le match République/Royauté, n'y a-t-il pas quatre/zéro, six/zéro pour la Royauté ?....                                                                                                                                                       

  • Il y en a qui préfèrent les tricheurs...

              Invitée du Grand Jury sur LCI, le dimanche 25 mars, Madame Royal a déclaré que, du moment que des enfants sont scolarisés en France, on "doit" donner des papiers à leurs parents, et aussi à leurs grands parents! Elle envoie ainsi un double signal fort, très fort, à la France et au monde: au monde elle dit, en somme, "miséreux de tous les pays, venez ici, peu importe que ce soit de façon régulière ou pas, à la limite on s'en fiche complètement; du moment que vous avez posé le pied sur le sol français, et mis un enfant à l'école, c'est tout bon pour vous; vous aurez cent fois plus que ce que vos pays pourraient vous offrir"; langage démagogique et dangereux, témoignant en fait d'un mépris des pauvres effarant, car on leur ment, en leur laissant croire qu'ils trouveront le bonheur ici, et puis que fait-on, en réalité?...  

              On les entasse dans des hôtels dangereux ou on les rejette dans des banlieues où la vie n'est pas toujours très rose..., loin de tout, sans horizon autre qu'un travail qui tourne à l'exploitation ou qu'un assistanat dégradant et de toutes façons insuffisant; ni le pays d'accueil ni les immigrés n'y trouvent leur compte...; quand à la France, le message est encore plus clair: à quoi cela sert-il de continuer à suivre les règles? de respecter les lois? quand on voit que la gauche et une pléiade d'avocats défendront de toutes façons toutes celles et tous ceux qui ont choisi délibérément de s'affranchir de toutes règles et de ne voir que leur intérêt personnel, sans se soucier aucunement d'un intérêt national qui semble n'être pour eux qu'une expression totalement vide de sens; et qu'au bout du compte, "on" (c'est à dire la République) leur donnera le plus souvent raison...

              Déjà plus de deux millions de jeunes français sont partis travailler à l'étranger, déçus, découragés, dégoûtés de leur pays; la République va-t-elle organiser à une plus grande échelle encore "l'exportation" des français et leur remplacement par une "importation" massive et continue d'étrangers? Il faudra bien, à un moment, poser cette question au grand jour car, même si l'on admet que cela peut parfois partir de bonnes intentions, la République a comme "institutionnalisé" l'aide à la triche: ne prenons qu'un seul exemple, celui de l'AME ( Aide Médicale d'État ); il suffit qu'un étranger en situation irrégulière, et qui vient pour des raisons qui ne sont pas valables, pose le pied en France pour qu'il soit de toutes façons aidé: on sait comment la Sécu "rembourse" (!) les soins dentaires et les lunettes aux Français qui cotisent; mais un étranger clandestin obtient tout ce dont il a besoin, même s'il s'agit de frais très lourds: il s'agit, pour parler clair, d'un dévoiement de charité; un régime qui repose sur des bases aussi malsaines et aussi injustes est un régime qui donne une prime, non pas au mérite, mais au "dé" mérite, une prime à la fraude, une prime à la triche: ce qui est intrinsèquement pervers... 

  • Pourquoi il nous faut un Roi Libérateur....

              En 1975, lorsque Jacques Chirac a imposé le regroupement familial et a ouvert toutes grandes les vannes de l'immigration, deux logiques se sont rencontrées, toutes deux également mortifères pour la France. La première de ces logiques est purement marchande, bassement matérialiste, sordide pour tout dire: l'Etat républicain a accédé à la demande de certains patrons et de certains secteurs économiques, qui préféraient sous payer une main d'oeuvre bon marché plutôt que d'assainir notre économie; ce dont la France avait besoin en 1975 -et dont elle a encore plus besoin aujourd'hui- ce n'était certainement pas d'une immigration massive; c'était de moderniser l'appareil de production; c'était d'investir massivement dans la Recherche (pourvoyeuse d'emplois et vraiment créatrice de richesse); il fallait s'engager alors (la conjoncture étant encore favorable)  dans une politique à long terme visant à mieux rémunérer le travail, qui ne paye pas assez en France (dans plusieurs domaines, nos voisins allemands ont des salaires supérieurs, le différentiel pouvant aller jusqu'à 30%!); il fallait aussi s'engager dans une autre politique ,à long terme également, de justice et d'efficacité en ce qui concerne le travail féminin: il est injuste, scandaleux et -de toutes façons- anti économique de laisser perdurer une telle inégalité de traitements entre les salaires des femmes et ceux des hommes: la différence peut atteindre là aussi les 30% (et aller jusqu'à 38% pour certaines retraites!).

              Jacques Chirac en a décidé autrement: plutôt que de s'attaquer aux vrais problèmes de notre économie, il a fait entrer en France une masse d'immigrés qui a tiré la machine vers le bas, qui l'a sclérosé, découragé et empêché de se moderniser et de se préparer à la compétition qui nous déclasse inexorablement aujourd'hui...Mais les conséquences funestes de l'immigration de masse, décidée en 1975, ne sont pas seulement, et pas surtout, économiques; elles sont même beaucoup plus graves, voire mortelles, dans le domaine de l'identité nationale et de la Permanence de la Nation: et c'est là que cette première logique anti nationale rencontre et épouse une deuxième logique, qui l'a précédée, celle de la vision mondialiste et purement idéologique, purement abstraite héritée de la révolution française; une révolution qui s'est construite en rupture radicale et brutale avec notre Histoire, contre elle, contre notre Héritage et nos Traditions...Chacune  de ces deux logiques, maintenant, s'additionnent et se renforcent l'une l'autre, combinant leurs effets négatifs et mortifères, concourant irrémédiablement à la perte de la France, si on les laisse aller -mécaniquement en quelque sorte- jusq'au bout de leurs postulats.

              Que faire, donc? En qui et en quoi pouvons nous espérer? on voit bien que règne l'esprit de démission et de laisser faire dans une grande partie des élites; on voit bien que le découragement de l'opinion n'a d'égal que son sentiment d'impuissance, alimenté par l'absence totale de perspectives: n'y a -t-il pas près d'une trentaine d'années que Jacques Chaban Delmas parlait déjà d'une "Société bloquée"? On est bien loin de l'optimisme général, du bouillonnement intellectuel et de l'effervescence des esprits qui prévalaient sous Louis XV et Louis XVI, et qui témoignaient de la force de la France alors: elle ne doutait pas, elle n'avait pas peur de l'avenir; jusqu'où la funeste Révolution nous a-t-elle fait descendre! Et peut on imaginer un seul instant pouvoir attendre le salut du système actuel qui, précisément, produit et amplifie de jour en jour la crise générale que nous connaissons? A-t-on déjà vu une maladie être son propre remède? Le cancer ou le sida guérir, en tant que tels, du cancer ou du sida?

              Le salut ne viendra pas non plus de la classe politique, même si ,à l'évidence, certains membres de cette classe politique sont animés de bonnes intentions: ce ne sont pas les hommes qui sont mauvais, c'est le système; il a toujours étouffé, et il continuera de le faire, tous ceux qui voudraient redresser la France. Il faut inlassablement remonter aux sources, expliquer à nos compatriotes l'origine de nos maux: cette rupture brutale avec notre Histoire et nos Traditions que fut la Révolution, qui n'a pu réussir qu'en employant la Terreur, mettant la violence au service de l'abstraction. Alors s'impose tout naturellement le constat selon lequel notre Royauté traditionnelle est, aujourd'hui comme hier, "l'exigence naturelle des réalités de ce temps" (pour reprendre l'expression du Comte de Paris); et nos concitoyens, qui ouvrent les yeux mais ne savent pas en qui ni en quoi espérer écouteront de plus en plus notre appel au Roi Libérateur....

  • Suspect ? Vous avez dit suspect ?...

              Ainsi donc, pour Monsieur Jospin, il est "suspect" de vouloir créer un ministère de l'identité nationale; c'est ce qu'il a déclaré à Lens, lors d'une réunion de soutien à Ségolène Royal. Laquelle Ségolène Royal va encore plus loin puisque, pour elle, une telle proposition est carrément "ignoble"! Rien que ça!...Peut on demander à Madame Royal et à Monsieur Jospin ce qu'ils pensent de ce passage dans lequel Charles de Gaulle précise très fermement, et avec beaucoup de bon sens et de justesse, les contours de l'identité nationale de la France? Voici le passage: "....Il ne faut pas se payer de mots. C'est très bien qu'il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu'elle a une vocation universelle. Mais à condition qu'ils restent une petite minorité. Sinon la France ne serait plus la France. Nous sommes avant tout un peuple européen, de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne".

              Soyons sérieux: il est évident que ce qu'écrit là Charles De Gaulle est marqué au coin du bon sens; d'où vient donc cette sorte d'hystérie qui s'empare du duo Jospin/Royal au seul énoncé de l'expression "identité nationale"? En réalité, tout semble se passer comme s'il y avait une sorte de plan concerté, dans le but de faire disparaître la France "traditionnelle", d'effacer l'Héritage qui est le sien, et de changer la constitution physique du peuple lui même, afin de changer par là les valeurs traditionnelles qui ont toujours prévalu chez nous; sous les termes "multiraciale", multiculturelle", "multiconfessionnelle", tout semble se passer comme si, en haut lieu, on avait décidé une fois pour toutes de créer une nouvelle réalité, prenant la suite de l'ancienne mais en se substituant à elle; ayant comme nouvelle valeur suprême l'anti racisme et la glorification inconditionnelle de tout nouvel arrivant, quel qu'il soit: la France étant dorénavant une sorte de grand hall de gare, aux dimensions de l'univers, et ouvert par nature et par définition à toute personne désirant y entrer; tout homme et toute femme sur terre, ayant un droit absolu et imprescriptible à faire partie de la France, et nous, les autochtones, n'ayant aucun droit -et aucun titre d'ailleurs- à nous y opposer: alors que la gauche exalte toutes les identités du monde, comme le note Eric Zemour, et les encourage à se défendre pour exister et se développer, cette même gauche interdit au peuple français de se défendre, et même d'affirmer qu'il existe; cette seule affirmation est -en soi- raciste: nul n'est français; être français cela n'existe pas; tout le monde est chez soi dans l'hexagone...

              Évidemment, dans cette logique, Madame Royal et Monsieur Jospin sont fondés à hurler leur "indignation"si l'on ose parler d'identité nationale; sauf que cette logique est mortifère pour la France, qui va disparaître et perdre son âme, en se diluant physiquement dans ce grand magma cosmopolite qu'on semble avoir voulu pour elle; qu'on la somme d'accepter et contre lequel nul n'a le droit de s'élever (sinon c'est du racisme). Cette mécanique qui se déroule implacablement sous nos yeux semble trop bien réglée, trop bien huilée, pour être le fruit du simple hasard; mais alors, si c'est un calcul et un choix politique,  cela s'appelle une trahison, et le constat est clair: la République a délibérément choisi de vendre la France, ou plutôt de la donner aux étrangers.....

  • Une association se met hors la loi...

              Le jeune turc Sedat Tastan, arrivé en France en 2002 et sans papiers, c'est à dire donc hors la loi, doit être expulsé; or des militants de l'association RESF ("réseau éducation sans frontière") se mobilisent pour empêcher cette expulsion (ordonnée par arrêté préfectoral). Mais qui sont ces gens pour agir ainsi? et de quel droit s'opposent-ils à une décision des autorités légales de ce pays? Alors, si on comprend bien, chacun d'entre nous, dès que quelque chose ne lui conviendra pas, va ameuter frères, parents, amis et relations pour s'opposer par la force à telle ou telle décision? La vie en société devient tout simplement impossible dans ces conditions, et les militants de cette bien curieuse association prennent une très lourde responsabilité en excitant des gens, en incitant à la désobéissance, et en pratiquant une obstruction physique aux décisions des autorités.

              Si, encouragés par cet exemple, d'autres personnes font la même chose dans d'autres situations, on imagine sans mal la pagaille et l'anarchie qui s'ensuivront inéluctablement; de tels agissements sont bien plus que condamnables et scandaleux: ils posent un problème de fond: que cherchent certains, à gauche, en créant de telles associations? que cherchent-ils vraiment en menant de telles actions? Ils se mettent hors la loi pour aider un hors la loi! Ils appellent cela "générosité", nous appelons cela bêtise crasse ,dans le meilleur des cas, car des arrières pensées tortueuses et peut-être inavouables ne sont pas à exclure...Quoi qu'il en soit, une telle association doit être combattue avec la dernière énergie; ses pseudo motivations humanitaires doivent être démystifiées; et, en ce qui concerne les pouvoirs publics, son interdiction immédiate et sa dissolution semblent s'imposer tout naturellement...

  • Des artistes aux motivations incompréhensibles...

              On a vu Emanuelle Béart, Josiane Balasko, le chanteur Bénabar et quelques autres... venir "soutenir" les sans papiers (en bon français: les hors la loi!); mais qu'est-ce que "soutenir" les hors la loi? venir se faire un petit coup de pub gratis, et puis rentrer chez soi, dans sa belle maison, alors que les immigrés, eux, rentreront dans des squats sordides ou des hôtels miteux et délabrés, s'entassant à 80, 100 ou plus dans des endroits prévus de toutes façons, même s'ils étaient en bon état, pour la moitié, et encore...; et, là, ils courront le risque de périr dans un incendie, un écroulement, une explosion ou autre: beau résultat! c'est cela le résultat du "soutien" aux hors la loi? c'est cela la solidarité? cela nous semble relever plutôt de l'inconscience dangereuse, voire criminelle!

              La vraie solidarité c'est de ne pas mentir, de ne pas faire croire à la terre entière qu'elle trouvera ici du travail et des logements que la République est bien incapable de leur fournir, elle qui n'en fournit déjà pas à tous les Français, loin s'en faut! De plus, ces artistes se rendent ils compte qu'en entretenant des illusions ils envoient un message fort -et faux- à celles et ceux qui vivent mal chez eux? Se rendent ils compte qu'ils ruinent le travail des bénévoles et des associations qui luttent courageusement sur le terrain, pour développer l'Afrique, la mettre en valeur, former ses habitants -dont elle a besoin pour se développer- et les retenir sur place? Et veulent-ils que l'on continue à entasser de plus en plus de gens sur des territoires somme toute exigus (la France, en l'occurrence) en siphonnant des pays entiers d'une part importante de leur population? Où s'arrêtera le délire?: quand 90% des habitants de la terre vivront sur 10% des terres disponibles?

              Redevenons sérieux, arrêtons de dire et de faire n'importe quoi et de marcher sur la tête: c'est l'Afrique qu'il faut développer, et non la France qu'il faut remplir comme un oeuf de toute la misère du monde, qui de toutes façons n'y rentrera pas; ils se trompent, ces artistes soi disant généreux, et leur soi disant générosité va à l'encontre du but recherché, elle est anti économique et inhumaine; et -sourions un peu- si elle était aussi, inconsciemment et involontairement,....raciste? En effet, dans leur rage à vouloir faire venir en France la terre entière, ces artistes pensent-ils qu'il n'y a que chez nous qu'on est bien, que "c'est nul" partout ailleurs? comme ce serait laid de penser cela, on n'ose croire que ce soit le cas...Vite, rassurez nous, mesdames et messieurs les artistes: vous n'êtes pas racistes au moins?.....

  • Le piège du "racisme"...

              Nous disposions d'une grande liberté de parole et de pensée  sous les Rois: c'est aujourd'hui que la pensée est surveillée, que la parole n'est plus tout à fait libre, que le conformisme règne en maître et que le conformatage des esprits est devenue une triste réalité. Le meilleur exemple de cet étouffement de toute pensée libre, de tout débat, de toute parole en dehors du politiquement correct, nous est donné par l'anti racisme, promu Valeur Suprême. Le chef de l'État lui même ne cesse d'appeler à la vigilance sur ce sujet, qui est devenu "la" référence absolue, l'alpha et l'oméga universels....

             Il est bon, naturellement, que nul ne puisse impunément diffuser ou faire l'apologie de thèses racistes (1): tout le monde est d'accord là dessus et ce n'est bien sûr pas ce qui nous choque, pas plus que le fait d'avoir déclaré le racisme "délit" et non "opinion". Cest la manipulation du mot par la police de la pensée qui est dangereuse, cette police de la pensée étant exercée par une minorité trotskiste, gardienne autoproclamée du politiquement correct, dont la machiavélique machination a été parfaitement analysée par Finkielkraut (2)... 

              Le problème est autre: on voit bien qu'à tout propos, et surtout lorsqu'on évoque la déferlante migratoire et la sur-délinquance qui s'y rattache (évaluée entre 50% et 80%) certaines personnes et certaines associations n'hésitent pas à dénoncer du racisme imaginaire là ou il n'y a que rappel à la loi (par exemple, dans le cas d'expulsion d'immigrés clandestins, c'est à dire de hors la loi que certains persistent à appeler "sans papiers"). Et là, on n'est plus dans le cadre du racisme et de l'anti racisme, mais dans le cadre de la supercherie, de la tartufferie; dire : "du complot" serait peut être excessif, quoique certains fassent vraiment tout pour aboutir à accréditer cette idée...

              On cherche manifestement par là à faire taire ceux et celles qui trouvent qu'on a laissé entrer beaucoup trop d'étrangers en trop peu de temps, ce qui rend impossible toute intégration, et encore moins toute assimilation. Evoquer le sujet c'est immanquablement -au mieux- se faire suspecter de "racisme" et -au pire- se faire traiter de "raciste": une fois l'injure proférée, le cri de ralliement poussé, on voit aussitôt toute l'intelligentsia, tout l'établissement, tous les conformistes et les conformatés ne faire plus qu'un bloc pour essayer de faire taire celui ou celle...qui n'a fait que constater la montée des violences et des insécurités, et qui ose poser la question du pourquoi.

              Ce terrorisme intellectuel aboutit déjà à une auto censure certaine (voyez l'affaire Redeker...) et devient une menace mortelle pour la liberté de pensée, donc a terme pour la pensée tout court....Le Système en place s'est fait une spécialité de vivre, dans les faits de tous les jours, le contraire de ce qu'il annonce, en paroles: on écrit "Liberté" sur tous les monuments, mais l'une des plus plus fondamentales et des plus indispensables de nos libertés, celle de penser et de parler, est mise en danger et se voit limitée et surveillée. On est bien loin de l'optimisme et des belles promesses des "philosophes" du XVIII° qui, eux, vivaient dans une société policée et raffinée, ou l'esprit était roi... 

    (1) ; Voir la première partie de la Conférence "Contre la France métisse";

    (2) : Pour faire court, se rendant bien compte que leur marxisme-léninisme avait échoué, mais ne voulant ni reconnaître leur erreur, ni perdre leur situation procurée par l'agit-prop, les trotskistes ont imaginé de remplacer le marxisme par l'immigration, pour casser les vieilles Nations historiques d'Europe, et de discréditer toute tentative de réaction des peuples européens sous l'accusation infâmante de racisme. Un tel plan requiert évidemment la rencontre et l'entente au moins tacite entre le trotskisme, une fraction du monde économique (patronat attiré par une main d'oeuvre bon marché) et une autre fraction de la classe politique. On a là un cas typique de la malfaisance du Système en place, qui est bien le premier délinquant de France, et sans lequel les patrons avides ou les trotskistes révolutionnaires ne pourraient pas avoir la même influence, ni obtenir les mêmes résultats....

    ( http://www.planetenonviolence.org/Finkielkraut-et-violences-urbaines-Traduction-integrale-de-l-interview-du-Haaretz_a309.html )

  • Des bretons sympas ? Ou une solidarité dévoyée ?

              Dans une petite ville, près de Rennes, il existe un abattoir, et dans cet abattoir, six Maliens travaillent depuis plusieurs mois, voire plusieurs années; or on vient de s'apercevoir qu'il s'agit en fait de hors la loi, qu'une partie de la gauche persiste à appeler sans-papiers.

              Devant la perspective d'une expulsion du territoire national, certains ont carrément manifesté leur soutien à ces Maliens: est ce bien raisonnable ? il ne faut pas laisser la solidarité être dévoyée par l'idéologie et l'aveuglement; il vaut mieux en revenir au simple bon sens et cesser de marcher sur la tête: quand on connaît les problèmes d'emploi en France, le nombre de chômeurs, il est aberrant de penser que la saine organisation de l'économie consiste à laisser des habitants de notre pays au chômage alors que l'on offre du travail à des hors la loi.          

              On ne peut organiser ni le monde, ni la France ainsi; un monde raisonnable, c'est un monde ou les Français trouvent du travail dans leur pays, et les Maliens dans le leur. "Optima corruptio pessima" disait-on à Rome, c'est à dire "la corruption des meilleurs est la pire"...

              Il est désolant de voir des gens probablement généreux se tromper à ce point et confondre générosité et idéologie: on sait depuis bien longtemps que les bons sentiments ne font pas forcément les bons films, et que l'enfer est pavé de bonnes intentions; cette attitude est suicidaire, elle ne peut que générer de l'inefficacité et  desservir la cause que l'on prétend justement favoriser; au lieu de faire reculer la pauvreté, une telle attitude, généralisée, affaiblirait l'économie de la France sans développer pour autant ni le Mali, ni aucun autre pays....

  • Pour en finir avec les "sans papiers"...

                Ca n'existe pas "les sans papiers": il y a des lois et des règlements, sans lesquels toute vie en société est impossible.

                Or certains s'affranchissent de ces règlements et, dans le cas de l'immigration, font un véritable coup de force: au lieu de suivre la procédure normale, ils entrent en France clandestinement, ou y restent illégalement, après l'expiration, par exemple, d'un visa touristique; ensuite, soutenus par des agitateurs aux motivations douteuses, ils manifestent et exigent une régularisation, des papiers et la scolarisation de leurs enfants, prélude évident à leur naturalisation.

                Cette perversion doit être combattue avec la plus grande fermeté, et ceux qui s'en rendent coupables devraient ne recevoir rien d'autre que l'application stricte, et sans états d'âme, du vieil adage intangible: "Dura lex, sed lex". Est-ce la cas, et notre Pays légal fait-il appliquer la loi ?....

                Les soi disant "sans papiers" ne sont en fait que de simples hors la loi, et doivent être traités comme tels...

  • D'accord avec Zemmour et Goldnadel...

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    1. Eric Zemmour : "On a inventé un nouveau droit de l’homme, c’est le droit à venir en Europe quand on est pauvre et malheureux !"

    2. G-W Goldnadel : "Je fais partie de la majorité des Français qui n’acceptent plus l’immigration. Je le vis comme un drame et une invasion, on n’a pas demandé l’avis aux Français"

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