Réactions à la "nouvelle politique pour les banlieues"...
On aura tout entendu. dans la classe politique, du raisonnable au plus que surprenant (?!): n'en prenons que deux exemples...
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On aura tout entendu. dans la classe politique, du raisonnable au plus que surprenant (?!): n'en prenons que deux exemples...
Oui, comme le disent deux humoristes: "Tout est possible, tout est réalisable", tout semble permis, surtout dans la fraude et l'illégalité...
Ne vaut-il pas mieux, parfois, laisser parler les autres? Surtout quand cela vient du "Monde", peu suspect d'alignement sur nos thèses...? Mettra-t-on en doute les faits suivants, rapportés par Olivier Zanetta, qui les dénonce dans son article du cinq janvier? Nous allons parler bientôt du énième "plan banlieue", en disant pourquoi, à notre avis, ce plan ne marchera pas plus et pas mieux que les autres (ce dont, d'ailleurs, nous ne nous réjouissons pas...). Laissons d'abord "Le Monde" dresser en quelque sorte l'état des lieux, dans l'une de ces véritables bombes à retardement follement crées par la république, et qui se comptent maintenant par centaines en France. Ça promet...
Courageux, intelligent, lucide: quels adjectifs employer pour qualifier le bon sens et la hauteur de vues dont fait preuve Ivan Rioufol dans son excellent bloc-notes du 25 Janvier: "Oser repenser l'immigration"? Il va à l'essentiel, tout simplement, en parlant de "l'âme d'un peuple". On ne peut que le féliciter d'avoir (re)plaçé le débat à son vrai niveau.....
Sous le titre: "Une policière: "J'ai évité le pire à Villiers-le-Bel", Christophe Cornevin a recueilli le témoignage d'Helène, 25 ans, gardien de la paix, qui a retenu le geste d'un collègue qui voulait utiliser son arme de service (1).
Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique" entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....
Notons d'abord quelques évidences. Le vrai mal de la France c'est sa sur-administration, donc les prélèvements fiscaux que cela induit, et le gel, la stérilisation d'une quantité d'argent considérable qui serait mieux employée dans la Recherche et dans la meilleure rémunération du Travail.
Deuxième inconséquence, et là encore écoutons Ken Loach: "c'est tout le processus néolibéral qu'il faut revoir… Personne ne dit : "Nous voulons que les travailleurs d'Europe de l'Est viennent parce qu'ils sont bon marché et nos électeurs sont des consommateurs. Ainsi nous verserons de maigres salaires et les aliments ne coûteront pas chers"… Pourtant, telle est la réalité ..."
Précisons tout d'abord que nous ne parlerons pas ici du film en tant que tel (1), et qu'il ne s'agit en aucune façon d'une critique cinématographique: d'autres, dont c'est le métier, s'en sont déjà chargé, et s'en chargeront. Nous nous en tiendrons seulement à l'aspect "politique" du sujet, en arrêtant notre réflexion sur quelque chose qui semble bien avoir échappé au réalisateur et à ses thuriféraires, dont Olivier Besancenot (2).
Pour celles et ceux qui penseraient -peut être....- que nous parlons trop souvent des problèmes d'insécurité; ou que nous exagérons quand nous critiquons la politique que mène la république, quand nous disons qu'elle conduit à la banalisation et à l'institutionnalisation de la violence et de la délinquance ordinaire (la pire, donc...); voici -sans autres commentaires- l'article de Delphine de Mallevoüe publié dans "Le Figaro magazine" du jeudi 10 Janvier, sous le double titre: "Ces minicaïds qui sèment la terreur dans les maternelles. Âgés de 3 à 10 ans, ils frappent, volent ou brûlent des voitures. Le rajeunissement de la délinquance est un vrai problème dans les cités."
La preuve que nous disons vrai (malheureusement d'ailleurs....)? La simple lecture des chiffres officiels!
C'est Alain Bauer, président de l'Observatoire national de la délinquance, qui le confirme: le nombre de voitures brûlées sur l'ensemble de l'année 2007 dépassera allègrement les 40 000! Et d'ajouter que le phénomène reste assez constant depuis plusieurs années!...
C'est l'usage dans ces rencontres "Ferry-Julliard",arbitrées par Jean-Francois Rabilloud: selon l'actualité, l'un ou l'autre termine par un "coup de coeur" ou un "coup de gueule".Cette fois-ci (1), Rabilloud s'impose et déclare que, une fois n'est pas coutume, c'est lui qui proposera son "coup de gueule": il explique alors avoir été surpris, déçu et peiné de voir, sur toutes les télés du monde, des images de joie et de bonheur le soir du 31 décembre, alors qu'à Paris, et en France, on parlait de voitures brûlées et de déploiement de forces de l'ordre. Julliard devait lui emboîter le pas et abonder dans son sens....
Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique" entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....
Toutes proportions gardées, cela fait penser un peu à ce qui s'est passé à Tchernobyl, pour l'URSS et le monde communiste. Dieu sait qu'il y croyait, le monde communiste, en la Science libératrice: c'était son horizon insurpassable, qui allait apporter le bonheur et la prospérité, et qui devait remplacer Dieu pour les masses.