Eric Zemmour et Jacques Vergés ont bien remis Breteau à sa place samedi soir, chez Ruquier. Jacques Vergés lui a même asséné qu'il ne l'aurait pas défendu, entre autre et surtout parcequ'il a instrumentalisé des enfants. Et Eric Zemmour l'a mis en porte à faux sur la Convention de Genève, c'est-à-dire sur le point qui sert de paravent à l'action pseudo-humanitaire de l'Arche de Zoé.
Mais ce n'est pas, ce n'est plus, Eric Breteau qui nous intéresse: c'est son idéologie dangereuse et perverse. Celle des gauchos/bobos/trotskos, qui ne convient à personne et n'est bonne pour personne. Ni pour les immigrés qui, sitôt régularisés en France deviennent en fait des exploités, des esclaves, de la chair à profits économiques. Ni pour la France, qui va très mal et se voit charger d'un nouveau poids supplémentaire, alors qu'elle n'est pas ou plus en mesure de régler ses propres problèmes fondamentaux. C'est un principe de physique élémentaire que, si on charge trop une barque, elle finit par chavirer et couler.....
Il ne s'agit donc pas pour nous de nous acharner sur un homme -actuellement en "mauvais état" dans l'opinion, ce qui est une bonne chose...- mais plutôt d'être présent sur l'un des "fronts" les plus importants politiquement dans la France d'aujourd'hui: il s'agit de démythifier et de démystifier à la fois cette idéologie "immigrationniste" et "sans-papiériste".
Et comme il est bon de laisser parfois la parole à d'autres, s'ils disent ce que nous pensons, voici ce qu'a publié Jean-Michel Apathie dans Le Figaro du 29 avril à propos d'Eric Breteau.
Il ne s'agira donc pas d'une conclusion à l'affaire. Avec des gens pareils, en a-t-on jamais fini ? Mais d'une sorte de jalon dans un combat qui dépasse cette triste personnalité, et qui devra bien durer tout le temps qu'il faudra.....
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