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Les deux raisons pour lesquelles les travailleurs immigrés clandestins doivent partir......

          Le règne du Père Ubu doit s'arrêter, le foutoir doit cesser....

          On nage en pleine hypocrisie et en pleine folie, voire en plein délire. Et pas, ou plus, du delirium tremens mais du delirium très épais.....

          Voici que des patrons se mettent à relayer les associations de gauche (dont nous payons parfois l'action par nos impôts puisqu'elles sont souvent subventionnées), et que tout ce beau monde réclame la régularisation des travailleurs "sans-papiers" -comme ils disent- c'est-à-dire escrocs - comme on dit en bon français ....- Motif : s'ils s'en vont, on coule (sic !!!!!).....

Ces patrons, ces associations ont semble-t-il besoin d'une bonne douche froide, d'un bon électrochoc qui les raménera, peut-être, à la raison... Redisons donc pourquoi, selon nous, il est impératif que les travailleurs clandestins soient traités avec toute la rigueur de la loi: il y a au moins deux bonnes raisons à cela.

La première raison pour laquelle ces clandestins doivent partir est qu'il y a en France quatre millions de personnes sans emploi ou dans la "précarité de l'emploi", ce qui n'est pas loin de revenir au même. Les statistiques du chômage ne sont en effet pas fausses, elles sont simplement malhonnêtes parcequ'incomplètes: "on oublie" d'ajouter aux 1.907.000 recensés par l'ANPE les précaires, les contrats aidés, les pré-retraités et les seniors dispensés de recherche d'emploi : on arrive alors a presque 4 millions ! (1). A qui fera-t-on croire qu'un pays a besoin de travailleurs immigrés lorsqu'il a quatre millions de ses nationaux qui n'ont pas un bel et bon travail, bien stable et bien rémunéré ?....

La deuxième raison pour laquelle les clandestins doivent partir tient à la première, et en quelque sorte en découle. Ce dont la France avait besoin en 1975, quand Chirac l'a embringuée de force dans cette aventure folle de l'immigration, ce n'était pas de travailleurs immigrés. C'était de résorber pour commencer ses quatre boulets majeurs (avant de s'attaquer aux autres...):

- le différentiel de salaire pouvant aller jusqu'à 30% avec l'Allemagne....

- l'injuste et contre-productive inégalité de traitement hommes / femmes (à régler aussi, bien sûr pour les retraites...)

- l'insuffisance de la recherche....

- la sur-administration (largement plus de fonctionnaires qu'en Allemagne pour une population largement moindre....)

Chirac a commis la folie criminelle de faire venir une armée d'immigrés. Ceux-ci tirent objectivement la machine vers le bas, vers les petits salaires (2). Plutôt que de moderniser et d'assainir l'économie, une bande de patrons voyous a vu son intérêt, son fric, et a orienté la politique de la Nation en la faisant servir à son portefeuille: petits salaires pour les esclaves sous-payés venus d'Afrique, immenses profits pour nous. Le crime de Chirac et de ses successeurs du Pays Légal républicain est d'avoir accepté ce marché de folie. Crime contre des hommes que l'on traite mal, crime contre une économie et une Nation....

Il n'est jamais trop tard pour bien faire. Encore faut-il avoir des idées claires; refuser de "marcher sur la tête"; comprendre ce qui s'est passé et le dénoncer. Et proposer un changement radical de politique. Il faut faire partir ces immigrés, armée d'esclaves que se paye la république et qui déshonore notre pays. On développera avec leurs pays d'origine une coopération sur un pied d'égalité, qui profitera à 50/50 aux deux parties et, plutôt que d'être des exploités ici, ces personnes retrouveront toutes les chances de devenir enfin heureuses chez elles..... Et, ici, on offrira enfin des salaires et des conditions de travail décentes à ces quatre millions de français qui ne refusent absolument pas de travailler, contrairement à la niaiserie mille fois répétée, mais qui refusent tout simplement d'être exploités pour un salaire de misère. On ne pourra jamais approuver quelqu'un qui refuse un travail, c'est une affaire entendue. Mais, dans le même temps, les ferions nous nous-même ces travaux pénibles, sales, dangereux, si l'on nous proposait le salaire de mort de faim qui y est attaché ? Soyons honnêtes, la réponse est "Non" !

Il est là le problème. Faisons repartir ces personnes qu'on n'aurait jamais dû faire venir; payons décemment les gens; et, à ce moment-là, s'il reste des postes non pourvus après que les Français soient pourvus d'un vrai travail avec un vrai salaire et de vraies conditions de travail on pourra faire appel a de la main d'oeuvre étrangère.....

(1): (source: JT de 20 heures de TF1 du lundi 21 Avril) Aux 1.907.000 de l'ANPE, il convient d'ajouter ceux comptabilisés par l'INSEE: on passe alors à 2.254.000. Plus les presque 500.000 "non disponibles immédiatement", c'est à dire précaires: on passe à 2.719.000. Plus les 715.000 contrats aidés, les 128.000 pré-retraités et les 395.000 seniors dispensés de recherche d'emploi: on arrive à 3.957.000

(2): en justice, on a la formule "...sans intention de la donner", c'est à dire que l'on condamnera moins sévèrement quelqu'un coupable d'une infraction s'il n'y a pas eu préméditation. S'il ne l'a, en quelque sorte, pas fait exprès.... Nous sommes entièrement d'accord pour admettre que les travailleurs immigrés désorganisent notre économie "sans intention de la désorganiser". Et pour ne pas accuser les pauvres venus d'Afrique, chassés par la misère et victimes d'enjeux et de politiques qui les dépassent. Il fallait les aider chez eux, plutôt que de transplanter leur misère ici. Ce n'est pas eux qu'il faut accuser. Et ce n'est pas à eux qu'il faut jeter la pierre d'une erreur des gouvernants d'Afrique et d'Europe. Des gouvernants d'Afrique parce qu'ils ont fait de leurs pays des endroits invivables d'où l'on ne pense qu'à s'enfuir. Des gouvernants d'Europe parce qu'ils ont cédé aux patrons véreux et inintelligents, qui ont cherché des profits matériels immédiats, par un médiocre, mesquin et misérable calcul à court terme, purement économique et matériel, qui se révèle désastreux à plus long terme.... et pour eux aussi de toutes façons.

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