Quand Faudel parle des cités, de leur violence, et qu'il pense au "kärcher"...
Que sont nos banlieues devenues?... Rapide constat - un de plus... - de la violence ordinaire, banale, quotidienne, dans ces zones devenues des "zones de non-droit"...
"...Je sais que les habitants des cités sont les premiers à se plaindre d'insécurité... Je sais aussi que beaucoup de gens travaillent dans l'esprit de quitter le Val-Fourré pour s'installer dans des zones où l'on peut rentrer chez soi à pied le soir sans risquer de se faire dépouiller ou agresser. La banlieue est violence et ce ne sont pas les bourgeois du XVIème avec lesquels j'habite qui en souffrent. Ce sont ceux qui l'habitent, cette banlieue...