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Voici d'abord la partie supérieure de cette page 6: img172.jpgDeux articles plus courts ensuite, et en bas de page:- Pour le Père Zanotti, "il faut continuer à rénover et bâtir..." : ZANOTTI PROVENCE 1.jpg- Pour Jean-Robert Cain, "les orgues ont sauvé la paroisse..." : ZANOTTI PROVENCE 5.jpgEt quatre illustrations en milieu d epage:- Seule église de style néo-gothique du sud de la France, la construction des Réformés fut inspitée par les.... : ZANOTTI PROVENCE 4.jpg- .....cathédrales de Chartres et Notre-Dame de Paris: ZANOTTI PROVENCE 3.jpg
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A propos du téléfilm de France 3 : un Henri IV bien montré...
On n'attend pas de nous une critique cinématographique. Nous dirons seulement que, d'un point de vue politique et aussi -ce qui n'est pas rien...- du point de vue de la vérité historique sur l'essentiel, le téléfilm de France 3 est honnête, et montre bien l'aspect fondamental du règne de ce roi: un règne réparateur, voulu et mené par ce roi pacificateur et réconciliateur, donc bienfaisant; et dont la bienfaisance s'est étendu à l'ensemble des domaines, aussi bien de la vie nationale que de la vie quotidienne du peuple.
Après, chacun aimera ou n'aimera pas, préférera telle ou telle scène...; trouvera qu'effectivement Henri III est montré de façon caricaturale (très peu de choses sur la grandeur politique de son règne...) et pourra formuler tel reproche ou telle critique... Pour nous, le jugement est ailleurs, et d'un autre ordre : Henri IV fut un bon roi, et pour cette raison il fut un roi populaire et aimé. Et il laisse effectivement un message, qui peut servir aujourd'hui...
Jacques Bainville, dans les premières lignes du chapitre XI de son Histoire de France (Louis XIII et Richelieu : la lutte nationale contre la maison d'Autriche) dit une fois de plus l'essentiel: au fond, le principal succès d'Henri IV fut d'avoir laissé à la France un exemple si fort et si positif que, même mort, il suffit à garder la nation de tout désordre :
"Au lendemain de la mort d'Henri IV, tout le monde craignit le recommencement des troubles. Crainte fondée : on était encore si près des guerres civiles et de la Ligue ! « Le temps des rois est passé. Celui des princes et des grands est venu. » Voilà, selon Sully, ce qui se disait après le crime de Ravaillac. Il y eut en effet un renouveau d'anarchie aristocratique et princière, de sédition calviniste. Mais la masse du pays tenait au repos dont elle venait de goûter. Elle était hostile aux ambitieux et aux fanatiques. Grâce à ce sentiment général, on passa sans accidents graves des années difficiles..."
Régner encore, d'une certaine façon, même après sa mort, tant est grand l'exemple que l'on a donné: n'est-elle pas là, aussi; n'est-elle pas là, surtout, la vraie grandeur d'un règne ?...
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Le Génocide Arménien reconnu aux Etats-Unis ? De l'eau dans le gaz entre les (ex ?) bons copains...
Panique à bord ! Sous le titre alarmiste Ankara appelle Washington à bloquer la résolution sur le "génocide" arménien, le fil AOL du vendredi 5 mars fait état du brutal coup de froid qui vient d'affecter les relations entre le deux compères -Turquie/États-Unis- qui jusqu'ici s'entendaient plutôt bien; et en tous cas comme larrons en foire en ce qui concerne l'entrée de la Turquie en Europe. Donc sa mort, que souhaitent les Usa, favorables, pour cette raison, à l'intégration de la Turquie par l'Union Européenne.
Patatras ! Le bel édifice va-t-il s'écrouler, et sombrer corps et âmes ? Et, en plus, à cause de cette satanée Arménie (on prend, bien sûr, le vocabulaire et les pensées des Turcs...) ? C'est ce qu'il semble...
Voici la page d'AOL : elle permet de mesurer le désarroi et, en même temps, l'arrogance et le cynisme des Turcs...
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Nouvelles du Blog: de la semaine ecoulée à celle qui vient...
Après plusieurs mois de progression régulière, les quinze premiers jours de mars ont marqué une stabilisation des visites et des visiteurs uniques; espérons que cette pause soit le prélude à une nouvelle période de progression, qui nous permette de toucher toujours plus un public nouveau....
Dans les Ephémérides cette semaine: Louis XVII, l'enfant massacré; Frédéric Mistral, Jean Guitton, Lully, les frères Lumière, Henri IV...; mais aussi le pont de Normandie, Spot 4, la Bauxite, la carte à puce...; les cisterciens, l'Institut, Nice et la Savoie, Chateaubriand et l'assassinat du duc d'Enghien....
Sinon, voici ce que vous trouverez cette semaine dans votre Blog préféré (sous réserve de modifications de dernière minute, imposées par l'actualité):
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Ce qu' "ils" réputaient impossible il y a cinquante ans -là-bas- pourrait-il être devenu possible, mais "à l'envers", ici ?.....
Plusieurs lectures possibles de "ça":
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Une alter révolution plus urgente que jamais: il y tant de Bastilles à prendre, tant de privilèges à supprimer.....
C'est sur RMC Infos, et cela se passe de commentaires. Que, de toutes façons, nous avons déjà dit et répétés cent fois. Un grand coup de chapeau tout de même à Jean-Noël Guerini.....
Et pour rester avec RMC: RMC senat.pdf
250 pages, 18 eurosA quoi sert le Sénat, institution deux fois centenaire qui nous coûte chaque année plus de 300 millions d'euros? D'abord à financer les privilèges (plus de 4 000 euros mensuels de retraite pour 15 ans de cotisation) et les rémunérations royales (11 540 euros net par mois) des derniers princes de la République, nos 331 sénateurs. Et aussi à entretenir les 1 260 fonctionnaires les mieux rémunérés de l'Hexagone (de 2 300 à 20 000 euros net mensuels), qui font la semaine de 32 heures et ont presque 4 mois de vacances. Luxe, calme et volupté...
Et, dans l'esprit de beaucoup, de Jospin à Sarkozy, ces super-privilèges n'ont pas la moindre justification, car, selon eux, cette deuxième Chambre ne sert à rien. La réalité est édifiante: un petit tiers des sénateurs travaille, un gros tiers vient de temps en temps à Paris et les autres appartiennent à la famille des rois fainéants.
Un royaume hors du monde et du temps ? Pas tout à fait. Car nos sénateurs, qu'ils soient de droite ou de gauche, sont assidûment courtisés par des lobbies de tout poil. Des marchands d'armes aux semenciers, chacun connaît la capacité de ces édiles à peser sur la diplomatie française ou à modifier un texte de loi. Cela justifie bien des "voyages d'études", tous frais payés, quelquefois au bord d'un lagon lointain...
Au Sénat -comme à l'Assemblée du reste, mais encore beaucoup plus...-les bancs sont très, très clairsemés..... -
"Détritus", Zemmour ? Mais, qui est le vrai détritus ?... Ou : Comme on est on croit les autres...
Chronique particulièrement dégradante et disqualifiante pour lui, mais aussi pour France Inter qui l'accueille : ce mercredi 16 mars. Ali Rebelhi, perdant tout sens de la mesure, de la plus élémentaire correction, de la simple dignité, se disqualifie en se déchaînant contre Éric Zemmour. C'est dans l’émission de Pascale Clark, Comme on nous parle.
Le triste sire en question commence par établir une sorte de parallèle entre Zemmour et "tous les Dupont-la-joie décomplexés" (on aimerait voir ce qu'il dirait si quelqu'un parlait des Kader-la-joie...); puis il éructe un lamentable et minable "Détritus Zemmour", faisant référence au personnage de Tullius Detritus, dans Astérix (on aime bien Astérix, mais on espère tout de même pour lui qu'Ali Rebehli a d'autres références littéraires...).
Bon: on ne va pas perdre son temps à répondre à un personnage aussi haineux, aussi vulgaire. Il a parlé de "Détritus" à propos de Zemmour ? : c'est probablement qu'il prend son propre cas, à lui, Ali, pour une généralité; et que, tel qu'il est, lui, il croit que sont les autres...
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L' "affaire" du nouveau France Soir met certaines choses en lumière...
De Félix, deux remarques pour ouvrir discussion et réflexion sur le dessous des cartes en ce qui concerne les choses de la Russie...
D'abord, nos Services de Renseignement ont détecté en France un nombre d’espions russes inégalé depuis 1985; les tractations concernant le Mistral ont pour agent principal un certain Pougatchov, oligarque et constructeur naval qui est également le banquier de Poutine et de l'Eglise Orthodoxe Russe.
Ensuite, et sur l'état actuel de la Russie, deux observations :
- Longuement vassal des Mongols ou des Tatars qui ont favorisé involontairement sa formation, plus ou moins lourdement et théoriquement, jusqu'en 1701, l'Etat russe s'est conçu dès les origines comme un cosmos orthodoxe unique et extensible au monde. Il n'a jamais accepté la moindre parité avec aucun état étranger à son propre territoire, aux frontières indécises et mouvantes, et exclut toute relation avec lui qui ne soit de vassalité à son profit.
- L'Eglise orthodoxe russe, collaboratrice de l'Etat dans sa politique de contrôle de la population et d'expansion territoriale est, prioritairement, malgré la présence dans son sein de saints et de martyrs, un agent de propagande de la puissance russe et, dans ses rapports avec les catholiques, de prosélytisme facile auprès des chrétiens désemparés par les avatars du concile Vatican II. Cela explique peut-être la faveur, signalée par nos services de renseignement, que le "parti russe" rencontre auprès des catholiques traditionalistes, chez qui la nostalgie justifiée d'une liturgie décente s'associe à l'idée bizarre que le complexe soviéto-russe est un conservatoire des "valeurs" de l'Ancien Régime. La première comme la deuxième remarque impliquent un mépris radical envers les Français dont le parti russe sollicite et obtient la collaboration...
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Quelques instants en bonne compagnie...(6/15).
Pour donner envie à celles et ceux qui ne l'ont pas encore lu, ou acheté... ou qui se demandent si cela vaut le coup...
Pour nous, c'est sûr, il vaut le coup d'être acheté et lu, car c'est un bon livre...
Quelques mises en bouche ?.....
237 pages, 19,50 euros
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Rappel : Samedi 20 mars : Les enfants du Temple...
L’association Marais-Temple donnera la pièce de Dominique Sabourdin-Perrin intitulée « Les Enfants du Temple » le samedi 20 mars au théâtre Saint-Léon (XVe arrondissement).
Cette pièce a déjà été jouée le 27 janvier dernier, dans la Mairie du IIIème arrondissement, lieu symbolique s'il en est puisque cette Mairie a été edifiée -en partie- sur l'emplacement du Temple, détruit après la Révolution, afin d'eviter qu'il ne devienne un lieu de pélerinage(s) royaliste....
L'oeuvre, en cinq actes, porte sur les derniers jours de la famille royale dans la tour du Temple.
Le texte de la pièce est paru aux éditions Triartis le 27 janvier 2010.
Infos pratiques :
Date : samedi 20 mars 2010
Heure : 19:30 - 22:30
Lieu : Théâtre Saint-Léon
Adresse : 11 place du cardinal Amette, 75015
M° La Motte Picquet Grenelle, réservations 06 50 62 33 11 ou par Internet, entrée 12€, enfants et groupes 8€.
http://www.facebook.com/pages/Les-Enfants-du-Temple/193402717282 -
Dans magistro ce mois-ci...
Horlogerie conjugale Denis TILLINAC écrivain, chroniqueur
Océans : le grand vide Michel SEGAL Pr. de mathématiques
Une négation de la politique Chantal DELSOL Membre de l'Institut
Plaidoyer pour un Etat réaliste et modeste Ivan RIOUFOL, Journaliste
Salon de l'agriculture : le leurre de la course à la productivité Roland HUREAUX Haut fonctionnaire
Du devoir des gouvernants Denis TILLINAC écrivain, chroniqueur
Non à l'euthanasie des petites communes ! Roland HUREAUX Haut fonctionnaire
Perseverare diabolicum Roland HUREAUX Haut fonctionnaire
Pourquoi la Grèce sortira de l'euro Roland HUREAUX Haut fonctionnaire
Changer de système Christophe GEFFROY Journaliste
Afrique, un avenir incertain François-Georges DREYFUS Historien, politologue
Retour aux dures réalités… Jean SALVAN Officier, général de corps d'armée -
D'accord avec... : Annie Laurent....
..... qui publie dan La Nef un commentaire pertinent sur le rapport parlementaire sur la burqa. On le lira dans son intégralité en cliquant ici : http://www.lanef.net/t_article/une-reflexion-insuffisante-annie-laurent.asp ), mais nous vous l'avons mis également en PDF là :une réflexion insuffisante.pdf
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Encore un livre qui détricote encore un peu plus le(s) mythe(s) fondateur(s)...
Voici le note de lecture proposée par Stéphanie Poupard (1) sur les Mémoires de Charlotte Corday, fiction historique de Catherine Decours.
Rien de fondamentalement nouveau, bien sûr, ni dans le livre, ni dans la note, mais une confirmation supplémentaire de ce que nous avons déjà noté plusieurs fois: la Vérité se fait enfin jour, de plus en plus et, dirait-on bien cette fois-ci, d'une façon irrésistible. Un processus qui ne pourra certainement pas, à terme, rester sans conséquence(s)...
L'intérêt principal, pour nous, de l'ouvrage est donc là: non dans des nouveautés qu'il ne peut apporter sur un sujet archi-connu, mais en ceci qu'il détricote encore un peu plus le mythe de la Révolution, qu'il la fait bien apparaître pour l'horreur absolue qu'elle a été, qu'il rétablit la vérité "tuée ou travestie par nos livres d'Histoire" et qu'il est ainsi, lui aussi, dans son genre et à sa façon, le cri: "Le Roi est nu !"....
Plon, 528 pages, 21,90 euros -
Défense du français: la bonne volonté de Raffarin, la stérilité du Système...
Défendre le français ? A l'intérieur, les bonnes volontés ne manquent pas: on va le voir, avec le cas précis de Jean-Pierre Raffarin. Pas plus que ne manque la demande, à l'extérieur: le monde est toujours demandeur du français, et de la France. Mais nos amis, celles et ceux qui sont attirés par notre Culture, notre Civilisation, notre Langue ne trouvent pas à qui parler. C'est une stabilité à la tête de l'Etat français qui fait défaut. C'est -toutes proportions gardées, l'équivalent du Secrétaire perpétuel de l'Académie française, qui fait défaut, dans le système politique actuel, à la tête de l'Etat: on ne fait qu'y passer; il manque quelqu'un de permanent, qui dispose de la durée, du temps long...
Aujourd'hui, donc, c'est Jean-Pierre Raffarin - défendant courageusement l’usage du français dans les institutions européennes - qui illustre bien ce paradoxe : des gens pleins de bonne volonté, mais qui ne peuvent s'appuyer sur quelque chose de stable et de durable, sans quoi rien ne se fait.
Jean-Pierre Raffarin s’est rendu à Bruxelles le 14 janvier, où il a rencontré les présidents du Conseil européen, de la Commission et du Parlement. "En qualité de représentant personnel du président de la République", il entendait défendre auprès d’eux l’usage du français dans les institutions européennes.
"Le français ne recule que lorsque l’offre de français est insuffisante", proclame l’ancien Premier ministre. "Quand, dans une ville du monde, on ouvre une école française, les capacités d’accueil sont immédiatement saturées. Quand dans une institution on fragilise le français, ce sont les valeurs du pluralisme et de l’humanisme qui sont étouffées."
Et de lancer : "Pour le combat du français et de la francophonie, j’ai l’âme résistante, l’âme québécoise !"
On ne peut que le féliciter, sur ce point. Mais on ne peut que que constater, aussi, que la fertilité du peuple - où les bonnes volontés ne manquent pas... - est gâchée par la stérilité du Système...
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Le hallal ? Non merci ! Non à l'importation en France de la souffrance animale !.....
Récemment, nous avons brièvement exposé pourquoi nous étions opposés aux projets de construction de grande mosquée (à Marseille (et ailleurs...) et nous en profitions pour dénoncer l'horreur de l'école coranique, qui ne porte ce beau nom d'école que par une époustouflante et hideuse antiphrase (1)...
Peu de temps après cette note (que nous remettons ici en PDF: Question sondage du Figaro.pdf) et bien que les deux sujets ne soient pas exactement de la même nature, l'actualité est venue mettre sur la sellette une autre pratique qui relève de l'horreur, puisqu'elle institutionnalise la souffrance animale, et que nous rejetons en tant que telle: le hallal.
Il s'agit là aussi de moeurs, pratiques et coutumes que l'on prétendrait imposer chez nous aujourd'hui, alors qu'elles n'ont jamais été nôtres, et qu'elles contredisent même radicalement nos ancestrales façons de faire et de voir les choses....