(du blog Ephata): Les loups sont là, ils hurlent, en meute....
C'est fou: ils fondent littéralement sur Benoît XVI, à propos de la pédophilie, ceux-là mêmes qui, par réflexe ethnique et de caste à la fois, défendent becs et ongles Polanski !.....
Il ne faut évidemment pas s'y tromper: la pédophilie, les victimes, ils s'en fichent bien pas mal, puisque quand c'est Polanski (ou Mitterrand, ou Cohn Bendit...) qui la pratique ou qui en fait l'éloge, ils n'y trouvent rien à redire. Non, ce qui les gêne, évidemment, c'est le Pape, son action, ses succès. Le Pape, et avec lui l'Église catholique et tout ce qu'elle fédère de par le vaste monde comme énergies pour lutter contre les désordres ambiants. Des énergies qui viennent, évidemment, de la sphère chrétienne (qu'on pense au rapprochement spectaculaire avec l'orthodoxie...) mais aussi de partout: des mondes bouddhistes, islamiques (mais oui...) ou, tout simplement, des hommes et des femmes libres et de bonne volonté.
Cette présence, cette action et -nous le disions- ces succès, cela les rend fous; ils n'en peuvent plus de cette autorité qui ne leur obéit pas et qui, non seulement ne se plie pas aux injonctions et au(x) moule(s) de leur correct en tous genre, mais fait de la résistance, y appelle, à cette résistance, et fédère les bonnes volontés contre leur tyrannie....
Et, pour cette sale besogne de démolir le Pape, ils font feu de tout bois: maintenant c'est la supposée aide (!) à la pédophilie, comme, hier, c'était la soi-disante réhabilitation du révisionnisme/négationnisme, et comme, demain, ce sera ... quoi encore, au fait ?
Le 24 avril 2005, en inaugurant son pontificat, Benoît XVI prononça ces paroles, qui parurent énigmatiques, sur le coup, il faut bien le reconnaître: "Priez pour moi, afin que je ne me dérobe pas, par peur, devant les loups.".....
On comprend qu'il les dérange, par tout ce qu'il est, par tout ce qu'il représente, par tout ce qu'il fait....
C'est le seul et dernier pouvoir d'importance qui leur échappe, leur résiste...
Et qui appelle partout sur la terre les hommes et les femmes libres,
"comme Majorque en fleur à ne pas subir l'uniforme niveau"....(Mistral)