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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 1984

  • Après le "Guerre et Paix" sur "France 2" : du culte de la déesse Raison à la plus extrême dé-raison... (2/2)

              Le choc en retour, comme souvent dans l'Histoire, ne devait pas tarder: après les Français à Moscou ce furent les Russes (et les autres...) à Paris ! On en revient à Chateaubriand: "Quand on voit s'approcher le moment où nous allions être renfermés dans notre ancien territoire, on se demande à quoi donc avait servi le bouleversement de l'Europe et le massacre de tant de millions d'hommes."(3).

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  • Quand Robert Redecker s'adresse aux "jeunes".......

    Qu’on me permette un détour autobiographique. S'il fallait s'adresser à ces jeunes de banlieue, je leur dirais directement ceci :

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  • Villiers-le-Bel: Ces "jeunes" sont-ils solubles dans la France ?...(2/2)

              S'il s'agissait de populations partageant nos valeurs, bien intégrées, n'ayant ni ne posant aucun problème, on pourrait être choqué du procédé, mais bon...Sauf que là, à côté de nombreux immigrés aimant sincèrement la France et désireux de la servir (nous savons bien qu'il ne faut jamais généraliser...), il s'agit aussi de personnes qui très souvent, trop souvent, ne partagent pas et ne souhaitent en aucun cas partager certaines valeurs fondamentales avec nous, qu'il s'agisse de religion, de moeurs, de langue, d'éducation, de culture à transmettre etc....(2). Des populations qui du reste, dans de nombreux cas, n'ont même pas demandé à "être françaises": un comble! Et qu'en plus on a parqué dans des banlieues grises et tristes, sordides parfois, minables toujours. Avec un taux de chômage hallucinant (alors que soi disant -perle du mensonge officiel!- les immigrés "viennent-faire-le-travail-que-les-français-ne-veulent-plus-faire"); où les différents trafics prospèrent (de la "drogue en grand" aux armes lourdes, en passant par tout ce qu'une économie souterraine, totalement contrôlée par les différentes mafias locales, peut induire de dérives malsaines, perverses et, tôt ou tard, forcément dangereuses....); bref, où l'avenir est bouché et où les perspectives sont, sinon nulles, du moins très souvent peu encourageantes...

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  • Villiers-le-Bel: Ces "jeunes" sont-ils solubles dans la France ?...(1/2)

              Lu sur internet, parmi des dizaines d'autres réactions: "Il y a quelques jours dans le village que j'habite, une petite fille de huit ans est décédée à la suite d'un accident de tracteur dans la rue. Un immense chagrin , une population bouleversée mais on n'a brûlé que des cierges."

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  • Villiers-le-Bel : En voilà assez !.....

     

    688d2e842cfd21efae5c5170490bdafd.jpgDepuis l’élection de Nicolas SARKOZY à la présidence de la République, c’est la première fois qu’une banlieue « brûle », que la République « brûle ». Comme en 2005, avec quelques degrés de violence en plus, elle vient à nouveau de « brûler » à Villiers le Bel. Le scandale est évident, les faits sont considérables. Cela a été dit partout. Mais quels sont les fondements, les tenants et les aboutissants politiques de cette crise ?  

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  • A nos lecteurs.....

                Nous avons préféré ne pas réagir "à chaud" aux "évènements" de Villiers le Bel.

                Nos lecteurs trouveront après-demain nos commentaires politiques sur ces faits scandaleux et qui, certes, exigent une réaction.

                 Pour l'heure, nous restons dans une autre actualité, télévisuelle cette fois, et en fort bonne compagnie, avec Chateaubriand... en attendant donc, vendredi, de recoller à la triste réalité des banlieues, follement crées de toute pièce par la république idéologique.....

  • Après le "Guerre et Paix" sur "France 2": du culte de la "déesse Raison" à la plus extrême déraison... (1/2)

              En ce mois qui marque la fin de la Première Guerre Mondiale avec ses commémorations du "11 Novembre", la chaîne publique a proposé, en quatre épisodes, une adaptation du roman de Tolstoï, assez réussie et assez fidèle (autant que cela est possible, vu l'épaisseur du livre, à tous les sens du terme....): on est passé ainsi, pour ainsi dire, d'une "guerre civile européenne" à l'autre; et d'une certaine façon on n'a pas trop changé de sujet..

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  • Les prix du mardi...

              le prix citron: à Olivier Besancenot. Lors de son meeting du 22 à Paris, il a pensé "chauffer" la salle avec cette "question" (?!): "Et toi Papa, tu faisais quoi pendant que Sarkozy était au pouvoir?". Pour lui et les siens, qui jouent à se faire peur, Sarko ce serait presque le nazisme!

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  • Déchoir et expulser...

              Les personnes que nous évoquons ici font partie du premier tiers des "français de plastique" entrés en France par le fait du prince Chirac depuis 1975, sans que le peuple souverain ait été consulté: nous proposons de déchoir ces personnes d'une nationalité française dont, sitôt gratifiés, ils montrent qu'ils ne sont pas dignes; et nous proposons de les expulser du territoire....

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  • Au "Jeu de Massacre" avec les dirigeants syndicaux.....

              Encore un excellent "commentaire"de Christophe Barbier (un de plus!) le 21 Novembre sur LCI, en réponse aux questions de Jean-François Rabilloud. Après avoir parlé d'un peu tout le monde, il en arrive aux dirigeants syndicaux. Ce n'est pas tout à fait "Le Bon, la Brute et le Truand" mais presque; c'est très bien vu, c'et fort juste et, comme d'habitude, c'est dit sans fard ni langue de bois: un petit régal... 

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  • "L'Aide à l'Eglise en Détresse" : Soixante ans au service de l'Eglise universelle...

              1947-2007: soixante ans que cette oeuvre, qui mérite pleinement le qualificatif d'"extra-ordinaire", reste fidèle à l'intuition de son fondateur, le Père Werenfried Van Straaten....Sans complexes, mais sans agressivité non plus, elle dresse en permanence le tableau des persécutions dont est victime l'Église sur les cinq continents.

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  • La selection par... l'ANPE !

               On le sait, pour une large part de la gauche idéologue, et en tout cas pour l'UNEF et son président, Bruno Julliard, le refus de la sélection est un thème majeur, et quelque chose de "non négociable".

              Cet ex jeune homme, qui est d'ores et déjà "le futur Gérad Aschieri" (lorsque celui-ci aura quitté la scène....), tourne sur tous les plateaux télé en répétant, au mot près, le même sempiternel refrain que celui dont il est déjà le double aujourd'hui, en attendant de le remplacer un jour, tant est fort le mimétisme qui semble réunir ces deux personnalités.....

              Et on ne pourra, semble-t-il jamais les convaincre, car la force de l'idéologie est telle, chez eux, qu'elle occulte et qu'elle étouffe tout. Comme dit le proverbe: "Il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.".

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  • Une situation malsaine et très compliquée, dont les deux parties sont également responsables.....(2)

              Le "Pays légal" a donc faux, et depuis longtemps sur toute la ligne....Mais il n'est pas seul responsable de cette impasse dans laquelle nous nous trouvons: les syndicats aussi ont leur part de responsabilité(s)...

              En effet, quand les cheminots se plaignent, soutenus de fait par l'ensemble de la fonction publique, ils ont raison sur le point que nous venons de signaler: la république les sous-paye, et leur offre -en compensation d'une partie de leur salaire qu'ils ne touchent pas- des compensations en nature; là est l'origine véritable des "régimes spéciaux" (mais aussi, pour une autre catégorie, des vacances des professeurs...; le marché étant le suivant: on ne peut pas vous payer comme on le devrait; on remplace donc une partie de votre salaire par un avantage "en nature"...). Mais les syndicats ont eu tort d'accepter ce troc dangereux! en effet, aujourd'hui, l'Etat républicain le remet en question, unilatéralement et malhonnêtement, en dressant contre ses propres agents l'opinion publique à qui on n'a pas exposé clairement la totalité des tenants et des aboutissants de ce problème.

              Et qui prend donc, logiquement, parti contre eux car, c'est vrai, si on ne les voit pas comme une contre partie, en nature, de salaires insuffisants, les "régimes spéciaux" (mais aussi les vacances des professeurs etc...) apparaissent comme des aberrations. Et dans ce cas de figure, les syndicats ont le mauvais rôle car ils en sont réduits à se battre maintenant, trop tard, pour défendre ce qui, qu'on le veuille ou non, est une injustice: pourquoi le pilote d'un TGV ultra-moderne partirait-il à la retraite à 50 ans là où d'autres seront obligés d'effectuer un travail plus pénible jusqu'à 60 ans et plus? c'est indéfendable! les syndicats se sont fait piéger, et il ne leur reste que le mauvais rôle....

              S'il y a bien mauvaise foi et malhonnêteté de la république, ce qui est ahurissant, c'est aussi l'aveuglement, la naïveté et, au sens propre, l'inconsistance des syndicats (3): ceux-ci ont très souvent mis la politique là où elle ne devait pas être, en relayant plus d'une fois les combats politico-idéologiques des organisations et partis de gauche (dont ils ont été plus d'une fois de simples courroie de transmission...); ils se sont souvent occupé de ce qui ne les regardait pas et, du coup, ne se sont pas toujours occupés de ce qui les regardait: à savoir l'organisation négociée du travail et de ses conditions (salaires évidemment, mais aussi rythmes, hygiène et sécurité etc...); au lieu de mener exclusivement -comme en Allemagne- le vrai combat de la défense des salariés, ils ont souvent préféré mener des combats idéologiques (par exemple défendre l'immigration au lieu de défendre les intérêts des travailleurs, alors que -on le voit tout les jours...- l'iimmigration va directement contre les intérêts des travailleurs...en tirant les salaires vers le bas, par cette sorte de concurrence déloyale que constitue la présence d'une main d'oeuvre abondante et sous-payée...)

              Aujourd'hui, donc, tout le monde est piégé, et tout va mal,et tout le monde est mécontent, et l'économie du pays ne cesse de reculer....Beau résultat! Mais encore une fois, il faut chercher l'origine véritable des problèmes, et renvoyer dos a dos les gouvernements successifs et les syndicats: les torts sont, comme on dit, partagés....(fin)

    (3): voir la note "Le grand problèmes des syndicats français."

  • Une situation malsaine et très compliquée, dont les deux parties sont également responsables.....(1)

              A propos de la grève des transports, qui s'est superposée hier à celle de la Fonction Publique, on peut dire -au risque de surprendre, voire de choquer...- que dans cette affaire tout le monde dit une part de la vérité et toutes les parties ont, en quelque sorte, un peu raison, mais aussi un peu (beaucoup...) tort...

              Comment ne pas approuver Nicolas Sarkozy lorsqu'il essaie de mettre un peu d'ordre dans ce foutoir qu'est devenue la république; un peu d'ordre dans cet ahurissant maquis, cette invraisemblable jungle de privilèges et d'inégalités (1) que la république a instituée (elle qui n'a que le mot d'égalité a la bouche, c'est amusant....)

              En même temps, on est bien obligé de constater que les salariés ont raison sur un point: tous ceux qui relèvent de l'État sont exploités par la république, en ce sens qu'ils sont insuffisamment payés. Que l'on prenne le salaire d'une infirmière, d'un professeur, d'un cheminot, d'un agent des postes etc....il est notoire que dans la grande majorité des cas les salaires sont insuffisants en France. Nous avons souvent dit (2) que la France n'avait pas besoin d'immigration, quand Chirac a décidé seul le regroupement familial en 1975, mais qu'elle avait besoin d'augmenter substantiellement les salaires, afin de combler ce différentiel d'environ 30% que subissent les salariés français par rapport à leurs homologues allemands, dans de très nombreux cas; de même, qu'il fallait en finir avec la scandaleuse disparité salariale hommes-femmes (et non seulement sur les salaires mais aussi pour les retraites....)...

              Nous ne demandons bien sûr pas l'augmentation générale et immédiate de 30% de tous les salaires, mais, oui, nous pensons que ce qu'il manquait à l'économie française en 1975, et ce qui lui manque toujours aujourd'hui, dans ce domaine des salaires, c'était une juste (une plus juste...) rémunération du travail. Au lieu de s'engager dans cette voie vertueuse, sur dix ou vingt ans, et de payer décemment les français qui travaillent, la république a préféré hier -et elle continue aujourd'hui...- se payer une armée d'esclaves immigrés, sous-payés et mal traités; et qui -volens nolens- font objectivement pression "à la baisse" sur les salaires et tirent la machine économique vers le bas: pourquoi investir dans des machines coûteuses, pourquoi payer de forts salaires à des ouvriers qualifiés et bien formés, lorsqu'on a a sa porte une armée d'immigrés pauvres, prêts à accepter n'importe quel travail, à n'importe quelles conditions, pour un tout petit salaire?.... (à suivre...)

    (1): les républicains appellent cela des "droits acquis"!: on leur fera juste remarquer, avec un rien de condescendance amusée, que c'est l'exacte traduction du mot "privilèges"; était-il vraiment nécessaire de faire la révolution, avec son cortège d'horreurs et d'abominations, pour en arriver a remplacer des privilèges par d'autres privilèges, bien plus nombreux, bien plus ruineux et bien plus scandaleux?.....

    (2): voir dans la Catégorie "Conférences" la conférence "Contre la France Métisse...." (deuxième partie, premier point).

  • Les prix du mardi...

              le prix citron: à Jacques Boutault, élu Vert du II° arrondissement de Paris et donc, en théorie, dans la majorité municipale socialiste de Bertrand Delanoë. Pour longtemps encore? Pas si sûr, après le drôle de "coup" qu'il vient de monter avec ses services et l'argent des contribuables parisiens, qui apprécieront. Cet élu a ni plus ni moins aidé à monter de toute pièce un "pseudo squat" au 24 rue de la Banque, près du Palais Brongniart. Squat bidon mais vraie arnaque politique, qui condamne évidemment son auteur et tous ceux qui y ont prêté la main: bien sûr l'inévitable DAL (Droit au Logement), bien sûr les inévitables célébrités (chacune avec plusieurs milliers d'euros de beaux habits sur elles...), bien sûr les inévitables télévisions braquées sur les inévitables tentes de SDF sur les trottoirs etc...etc... La fraude a été dûment constatée par huissier (livraison de matériel par une camionnette siglée "Mairie de Paris"...). Faut-il vraiment qu'une certaine gauche n'ait plus rien à dire pour en arriver à de telles extrémités!.....

              le prix orange: à l'imprévisible et inclassable "électron libre" Hugo Chavez. Pour son action, réelle, en faveur d'Ingrid Betancourt, mais aussi pour ce qu'il a fait et dit en Arabie Saoudite, lors du dernier sommet de l'OPEP: en tant que président du pays où avait eu lieu le précédent sommet de l'Organisation, c'est lui qui devait prononcer le premier discours de la cérémonie d'ouverture. Il a osé faire le signe de croix avant de commencer, événement sans précédent connu dans la capitale du pays qui abrite les deux principaux lieux saints de l'islam, à La Mecque et Médine, et devant le roi saoudien, qui a le titre de "Serviteur des deux Saintes Mosquées" (1). Puis il a cité une première fois Jésus-Christ: "Nous savons (...) que l'unique chemin de la paix, comme l'a dit le Christ, c'est la justice", avant de l'invoquer de nouveau quelques minutes plus tard. Il faut savoir que toute manifestation extérieure de christianisme est explicitement interdite dans ce royaume, sous peine de coups, au mieux, de mort, au pire: Chavez, celui qui aidera à faire tomber un mur, dans l'un des pays les plus fermés du monde....?

    (1): une semaine avant, le même Roi Abdallah ben Abd-al-Aziz, 83 ans, avait été reçu au Vatican par Benoit XVI, le 6 Novembre: là aussi c'était la première fois qu'un Roi d'Arabie rencontrait un Pape...