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A Consolat, il pleut des sacs de gravats…

           Le titre vous semble un peu obscur ? Il est tiré de la page 6 d’un grand quotidien de province (1), et nous l’avons choisi au hasard, parmi tant d’autres, pour revenir sur notre note du 24 octobre dernier : « Humeur : Même si un voyou s’est fait frapper, solidarité avec la police ! » .

          Voici un court extrait de l’article, juste après le sous-titre : « le toit du véhicule de police a été enfoncé sous le poids du sac lancé d’une hauteur de 30 mètres environ » : le choc aurait pu tuer. Lancé depuis le toit d’un des immeubles de la Cité Consolat (15° arrdt), le sac en plastique lourd d’environ vingt kilos et rempli de gravats s’est disloqué sur la carrosserie d’une voiture de police, hier soir vers 22h30. Par chance, les fonctionnaires venus patrouiller dans la cité ne se trouvaient ni dans le véhicule ni à proximité… Ces derniers jours, les actes de violence contre des « personnes dépositaires de l’autorité publique », le terme juridique, se sont multipliées… »

         Alors, certes, les amateurs de symétrie pure et de fausses fenêtres pourront continuer à disserter à l'envi sur une police qui ne doit pas..qui doit être...qui ne peut en aucun cas... etc.. etc... Et, en théorie pure, ils auront bien sûr raison. Là haut, sur la planète Sirius, il est facile de tirer des plans sur la comète. Mais les policiers, eux, ce n'est pas sur Sirius qu'on les envoie, c'est à la Cité Consolat ! Alors oui, il y a une déontologie et des règles. Oui. Mais il y aussi une guerre, une vraie guerre.

          Et comme dans toute guerre, à un moment ou à un autre il faut savoir choisir son camp. C'est ce que nous avons fait. Nous persistons et nous signons...

      

(1) : La Provence, mercredi 29 octobre, page 6.

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