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maurras - Page 7

  • Rassemblements royalistes de Montmajour.....

                 Depuis quelques temps, vous disposiez d'un album photo restituant, en 57 vues qui sont, maintenant, autant de documents d'archives, un peu de l'ambiance et de l'aventure des Rassemblements royalistes de Montmajour.
                 En complément de cet album, voici maintenant un montage vidéo -en deux parties, de deux vidéos chacune- qui, à son tour et différemment, vous permettra de suivre certains moments forts de ces Rassemblements. Et d'écouter Gustave Thibon, Michel de Saint-Pierre, Jacques Maurras, Jacques Luporsi, Pierre Debray....(pour les deux premières vidéos), mais aussi Marcel Jullian, Jean-Marc Varaut, Gérard Leclerc, Jean Sévillia et, bien sûr les Princes... (pour les deux suivantes).
                 Jointes à l'album photo, que vous pouvez également consulter ici, après les vidéos, cette page sonore audio visuelle se veut donc un document d'archive permettant de restituer une part non négligeable de ce que fut en Provence, par les Rassemblements Royalistes et grâce à eux, l'intense travail de prolongation de la pensée, de l’action, de l’œuvre intellectuelle et politique des maîtres du royalisme français; elle constitue un témoignage éloquent de ce qui a été fait, sur plus de trente ans, et qui a marqué l'histoire du royalisme français.....
                
                 Première partie: deux vidéos des Rassemblements Royalistes de Montmajours (1969/70/71) et Saint Martin de Crau (1972).
                
             Première vidéo: voix de Pierre Chauvet, Jacques Maurras, Gustave Thibon, Jacques Luporsi...
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    Deuxième vidéo : voix de Pierre Debray, Michel de Saint-Pierre.....
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                Deuxième partie: Les Princes aux Baux en 2002, reçus dans leur mairie d'Arles et des Baux par les maires de ces deux villes, puis prenant la parole au Rassemblement, à côté de Marcel Jullian, Jacques Trémollet de Villers, Jean-Marc Varaut, Gérard Leclerc, Jean Sévillia.... 
                                          Première vidéo: Les maires d'Arles et des Baux reçoivent dans leur Mairie le Prince Jean.....
      
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                                        Deuxième vidéo: Sur le terrain, discours de Marcel Jullian, Jacques Trémollet de Villers, Jean-Marc Varaut, Gérard Leclerc, Jean Sévillia...

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    "Tenons serré le lien qui nous tient réunis
    avec les Pères de notre esprit et de notre goût"

    Charles MAURRAS - Préface d’Anthinéa (1942)


    A Montmajour, puis aux Baux, nous avons, tous ensemble, prolongé la pensée, l’action, l’œuvre intellectuelle et politique des maîtres du royalisme français.
    C’est en 1969 que s’est tenu le 1er rassemblement royaliste de Montmajour, prélude à une série de rassemblements qui se sont ensuite tenus régulièrement à Montmajour, à Saint Martin de Crau et, de longues années, aux Baux de Provence.

    Par leur durée, leur régularité, la liste impressionnante des personnalités qui y ont pris la parole, l’excellence et la pertinence des idées qui y ont été émises, les Rassemblements de Montmajour et des Baux ont marqué l’histoire du royalisme français. Vous êtes nombreux à y avoir pris part et à en avoir gardé le souvenir.
    Pour regarder l'album, cliquez sur l'image :
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  • A propos du mercredi de la Nar d'aujourd'hui: "Maurras tient sa revanche" ? Vraiment ?...

                Nous ne recevons qu'aujourd'hui, à 8h53, la lettre-info de la Nar annonçant le thème et l'orateur de son sujet de ce soir. Bien tard pour l'annoncer hier (voire avant-hier), comme nous le faisons assez souvent ! Le sujet est pourtant fort intéressant -une fois de plus...- et mérite qu'on l'annonce -même bien tard- et que l'on s'y arrête quelques instants (1).

                Historien des idées, professeur de sciences politiques à l’université de Paris VIII, membre du comité de rédaction de la revue Esprit, Daniel LINDENBERG a publié, en 2002, Le rappel à l’ordre. Sept ans plus tard, il reprend, affine et étend ses analyses dans un nouveau livre qui dénonce « Le procès des lumières », intenté en France et ailleurs à la suite du grand retournement intellectuel qu'il avait pointé dès le début de ce siècle.

                 Pour ce qui est du fond, nous partageons plutôt -à l'égard des Lumières- le scepticisme d'Hubert Védrine lorsqu'il les nomme "les vieilles Lumières". Nous croyons qu'il est légitime aujourd'hui de les rejeter en tant que dogme, ce qu'elles ont prétendu être au cours des deux derniers siècles. Et nous croyons illégitime de jeter à l'encontre de ceux qui en font une juste critique l'opprobre auquel l'auteur croit devoir les vouer. Cette remarque nous rappelle la phrase de Frédéric II adressée à Voltaire que Gustave Thibon aimait à citer:

                 « Nous avons connu le fanatisme de la foi. Peut-être connaîtrons-nous, mon cher Voltaire, le fanatisme de la raison, et ce sera bien pire »

                Au pied levé, donc, nous avons composé une sorte de mini dossier, contenant le résumé de l'ouvrage et quelques articles sur lui (c'est l'un d'eux, de Bruno Frappat, dans La Croix, qui nous a donné notre titre...): lindenberg.pdf

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      Seuil, 296 pages, 19 euros

     

    (1): Mercredi 18 novembre, 17, rue des Petits-Champs, Paris 1er, 4e étage. La conférence commence a 20 heures tres precises (accueil a partir de 19 h 45 - Fermeture des portes a 20h15 - Entrée libre, une participation aux frais de 1,50 euro est demandee), elle s'achève vers 22 h. Un diner amical est alors servi pour ceux qui désirent poursuivre les discussions (participation aux frais du diner : 5 euros). 

    Le service librairie de la Nar vous propose le livre de Daniel Lindenberg, Le Procès des Lumières, au prix promotionnel de 20 euros (frais de port inclus). Commande et chèque à adresser a Royaliste, 17 rue des Petits-Champs, 75001- Paris 

    ou bien commande en ligne (paiement securisé) en cliquant sur ce lien.     

  • "La" république, ou "cette" république ? Peut-il y avoir (en France...) une "bonne" République ? Débat avec D.C....(3/3).

                Il nous semble également, pour alimenter le débat, que l'on peut jeter, en vrac, les réflexions et interrogations suivantes, après quoi il n'y aura plus qu'à attendre les réactions de qui voudra réagir.....

            

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  • "La" république, ou "cette" république ? Peut-il y avoir (en France...) une "bonne" République ? Débat avec D.C....(2/3).

               Voici maintenant nos commentaires. D.C. parle d'or quand il parle de res publica. Comment ne pas être d'accord avec lui ?

               Ce n'est en effet, et bien sûr pas, "la" République, en tant que technique ou forme de gouvernement qui nous gêne et que nous critiquons. C'est "cette"république, qui a une histoire, à laquelle elle ne peut ni ne veut -semble-t-il...- échapper, et qui est fondamentalement anti-chrétienne, anti-historique, dans la mesure où elle rejette nos racines et se construit sans elles, en dehors d'elles et contre elles ("du passé faisons table rase...").

               Elle qui fonctionne un peu -prenons une image- comme un diffuseur d'ambiance: elle diffuse un esprit, une mentalité, mais cet esprit et cette mentalité vont directement contre nos Racines historiques profondes; elles nient et combattent ces Racines historiques et chrétiennes....

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  • "La" république, ou "cette" république ? Peut-il y avoir (en France...) une "bonne" République ? Débat avec D.C...(1/3).

                 L'avantage avec les commentaires que postent nos lecteurs ou -comme ici- les messages ou les questions qu'ils nous envoient directement à maisaquilafaute ? c'est, tout simplement, mais c'est essentiel, qu'ils font réfléchir, et qu'ils obligent à préciser toujours plus et toujours mieux tel ou tel point délicat. Ils permettent ainsi, dans un échange fécond, de progresser dans l'approfondissement et -ce sera probablement le cas cette fois- dans la formulation de nos idées.

                 D.C. nous a ainsi envoyé plusieurs courriers, auxquels nous en avons en partie répondu, mais en privé, en interne, en quelque sorte. Pourtant, à la réflexion (son premier courrier date de mai !), et comme le problème qu'il soulève est important, il nous a semblé utile de porter à la connaissance de tous le débat qui s'est engagé, afin que d'autres puisent apporter leur contribution.

                 Le point de départ semble simple, mais il emmène tout de suite très loin, beaucoup plus loin... D.C. pense que nous devrions modifier notre formulation et ne pas/ne plus attaquer "la" République. S'agirait-il seulement de sémantique, et de changer simplement un mot ? Bainville aimait à rappeler que c'est par les mots qu'on désigne les Idées, et que c'est sur les Idées qu'on s'entend. Autant dire qu'en attirant l'attention sur un mot, D.C. va -et c'est tant mieux, nous obliger à remuer, pour les préciser, plusieurs Idées.

                Allons-y...

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  • Dans maurras.net : le Charles Maurras, de Tony Kunter (en attendant la vidéo...).

                Le site maurras.net ( http://maurras.net/ ) a signalé la sortie (le 1er septembre) du Charles Maurras, la Contre-Révolution pour héritage, de Tony Kunter, aux Nouvelles Éditions latines.

                Le premier livre de Tony Kunter s’appuie sur une épistémologie de l’histoire des idées novatrice, en se rattachant à l’école de la contextualisation de Quentin Skinner tout en en énonçant les limites. Cet essai est aussi fondé sur une histoire à la source, dépassant la traditionnelle histoire-problématique à la française.

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    Nouvelles Editions Latine, 305 pages, 17 euros

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  • Quand "la crise" fait surgir des convergences inattendues. Et prometteuses ?...

                Jean-Marie Harribey, 61 ans, est Professeur de sciences économiques et sociales et Maître de conférences d’économie à l’Université Bordeaux IV.

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    Avec Aurélie Trouvé, qui assure comme lui la co-présidence d'Attac



                Pendant la première moitié de sa vie professionnelle, il a enseigné en lycée, et, pendant la seconde, à l‘Université où ses recherches portent sur la critique de l’économie politique, les concepts de valeur et de richesse, le travail, la protection sociale et le développement soutenable.

                Il a publié notamment L’économie économe, Le développement soutenable par la réduction du temps de travail (L’Harmattan, 1997), Le développement soutenable (Economica, 1998), La démence sénile du capital (Le Passant Ordinaire, 2002), Raconte-moi la crise (Le Bord de l'eau, 2009). Il a dirigé Le développement a-t-il un avenir ? (Mille et une nuits, 2004), Le Petit Alter, dictionnaire altermondialiste (Mille et une nuits, 2006). Et il a co-dirigé Capital contre nature (PUF, 2003), Le développement en question(s) (PUB, 2006), et Sortir de la crise globale, vers un monde solidaire et écologique (La Découverte, 2009)

                Jean-Marie Harribey est chroniqueur à Politis et co-président d’Attac France depuis 2006.

     

                Voilà ce que l'on peut lire dans Libération du 14 septembre, en guise de petit texte de présentation du très intéressant article qu'il y publie, sous le titre « La crise financière est le fruit des “trente mortifères” ». Ne voit-on pas, dans cet article, un auteur lucide et sans parti pris qui, même s'il s'en étonnerait au cas où on le lui ferait remarquer, n'est pas loin du tout de la doctrine sociale de l'Eglise, d'une part, et, d'autre part, du Maurras annonciateur de l'Âge de fer, dont il a prédit la survenue en en analysant les causes dans L'Avenir de l'Intelligence. Jean-Marie Harribey veut "en sortir", et nous avec lui, et -on peut le penser- tous les gens de bonne volonté, dans quelque camp qu'ils se trouvent. Mais où trouvera-t-on la "force" qui permettrra d'en sortir, face à l'Argent devenu roi ?.....

                 A coup sûr, Jean-Marie Harribey, par delà tous les clivages et toutes les pesanteurs, est bien quelqu'un avec il serait bon d'ouvrir un débat. Qu'on en juge, voici son texte (intégral)....

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  • Du Brésil à... "Kiel et Tanger".

                Sarkozy se démène comme un beau diable pour vendre le Rafale. Excellent avion, très certainement l'un des tous meilleurs du monde -et, dans certains domaines, le meilleur- celui-ci n'a encore pas trouvé preneur à l'exportation. Le dernier ratage, on s'en souvient, est celui du Maroc, où une vente disons possible, a été perdue pour des raisons, disons techniques, ne portant pas, de fait, sur les qualités -ou les défauts- de l'appareil.

                 Aujourd'hui c'est le Brésil qui est visé, pour devenir le premier acquéreur de ce petit bijou. On ne peut que souhaiter voir les efforts du Président couronnés de succès, car un succès du Rafale, c'est un succès pour la France, et de la France 

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    Le Rafale effectue une démonstration,
    le 17 juin 2009 au Salon du Bourget 

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  • Mistralisme et royalisme.

                « Seigneur, nous voulons devenir des hommes ».

     

                Cette fière imploration de Mistral dans son Psaume de la pénitence, écrit après la défaite de 1870, éclaire toute l’oeuvre du poète de la renaissance provençale. Car l’idée maîtresse de Mistral est que pour devenir des hommes, il faut savoir qui l’on est et d’où l’on vient : « Sian Gau-Rouman e gentilome » ; c’est cette identité qui fonde l’humanisme mistralien, mais aussi la haute politique qui se dégage de toute l’oeuvre du Maillanais. Médiation du particulier vers l’universel, la Provence de Mistral est à la fois patrie charnelle et patrie de l’âme, le lieu poétique de l’incarnation d’un projet politique ouvert sur la transcendance.

     

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    Frédéric Mistral

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  • Argent, qui t’a fait roi ?.....

                   (suite et fin de la réflexion engagée hier à partir du livre d'Hélène et Jean Bastaire, Pour un Christ vert)

                  

    On peut employer les mots que l’on voudra, et les formules les plus diverses. On peut parler, comme Boutang, de "Reprendre" l’État ; ou de le "séquestrer", comme le disait Renan (on va voir ci-après de quoi il s’agit….) ; ou encore de le "libérer", comme le disait Maurras.

    Léon Daudet, pour sa part, parlait de "nationaliser l'État, par la Royauté"...

    Mais peu importent les mots : quelles que soient les formules que l’on choisit, l’important est bien, au bout du compte, de remettre l’Argent à sa place, et de bien comprendre comment et pourquoi, à quelle occasion historique, il a pu ainsi s’affranchir de toute contrainte, jusqu’à remplir tout l’espace et acquérir une puissance inédite chez nous : c’est en abattant la Royauté que ceux qui ont fait la révolution, et dont certains étaient peut-être sincères, ont en réalité ouvert la route à l’Argent, le pouvoir royal traditionnel, qui le maintenait à sa place, ayant disparu.

    Tels des apprentis sorciers -et même si, bien sûr, on pourra toujours dire: Mais ils n'ont pas voulu cela !...- ils ont déclenché des forces immenses que leurs nuées abstraites ont été bien incapables de maîtriser, et devant lesquelles elles ont pesé d'un bien faible poids. 

    Ils raisonnaient dans l'une des sociétés les plus raffinées, les plus policées, les plus civilisées dont l'Histoire gardera la mémoire, et que l'on peut, à bien des égards, appeler un Âge d'Or. Mais ils ont obtenu le résultat inverse de celui qu'ils espéraient, et ils n'ont fait qu'initier le processus qui, implacablement et inexorablement, une fois qu'il s'est mis en route, a abouti au désastre actuel de notre Âge de Fer, barbare et asservi aux forces matérielles, où seul l'Argent est roi; où l'Argent est le seul roi....

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  • L'argent est partout ? C'est vrai ! Question : Argent, qui t'a fait roi ?....

    C'est un Patrice de Plunkett enthousiaste qui nous recommande sur son blog ( http://plunkett.hautetfort.com/ ) la lecture du livre de Jean Bastaire, Pour un Christ vert (1). 

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    On le remercie pour son conseil, que l'on va suivre en cette période de vacances où l'on a un peu plus de temps. D'autant plus que l'on retrouvera dans cet ouvrage l'une des préoccupations essentielles dont nous avons déjà parlé à nos lecteurs. Nous leur avons annoncé il y a quelques temps que nous étions en train de relire L'Avenir de l'Intelligence, texte magistral de Maurras datant de 1901. Et de travailler à une présentation nouvelle de ce texte qui, dans la forme a beaucoup vieilli, ce qui le rend de fait illisible aujourd'hui, du moins pour le grand public; alors que son analyse, elle, n'a pas pris une ride dans sa fulgurance et dans la globalité de l'analyse.

    Maurras y montre bien l'origine de la prise du pouvoir par l'Argent, et le siècle de Fer que cela inaugure. En ceci, ce petit ouvrage et son analyse sont infiniment précieux, puisqu'il s'agit de la première -et de la seule- étude de cet évènement considérable, dans sa globalité et son intégralité. 

    S'il est bon de décrire, comme le fait Bastaire cité par Plunkett, le fait que l'argent, naguère, devait composer avec d'autres pouvoirs alors qu'il est devenu aujourd'hui le référent suprême; ou de dénoncer comme le fait la librairie La Procure, dans sa présentation de l'ouvrage, "le totalitarisme de l'Argent qui engendre une société de prédation et de consommation"; on va dans le même sens que Bastaire et la Procure en cherchant à savoir et à comprendre pourquoi et comment on en est arrivé là; comment et pourquoi cela s'est passé; en cherchant à dater et à avoir une vision claire des origines de cette prise du pouvoir par l'Argent.

    Ceci d'autant plus qu'Helène et Jean Bastaire se placent exclusivement, semble-t-il, et d'après ce que nous en savons par Plunkett, en attendant de l'avoir lu nous-mêmes, sur le seul terrain religieux. Il sera bon, semble-t-il, de doubler cette réflexion d'une réflexion proprement politique -ce qui est notre rôle à nous, dans ce blog....

    Voici donc, d'abord, la note enthousiaste de Plunkett sur l'ouvrage des Bastaire, et la présentation qu'en fait l'éditeur. Nous présenterons à grands traits, demain, L'Avenir de l'Intelligence.

    Chacun pourra alors juger sur pièces s'il n'y a pas d'étonnantes convergences entre les deux réflexions...

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  • Remettre en cause et remettre en ordre. Donner des idées à la révolte...

                Il faut bien le reconnaître: nous ne sommes pas toujours, et même pas souvent, d'accord avec les thèses d'Alain de Benoist (ci dessous) et de la revue Eléments.

                 Raison de plus pour noter, cette fois-ci et sur ce point précis, un accord certain sur l'idée que développe cette page d'Eléments, que nous envoie un lecteur.

                  Nous en profitons pour rappeler que nous projetons de mettre en ligne un exceptionnel document d'archives: les trois heures du dîner-débat, contradictoire et néanmoins fraternel, réunissant Gustave Thibon et Alain de Benoist, l'un et l'autre éblouissants, sur le thème Culture et Tradition, le 15 avril 1982, à Marseille .. 

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  • "Maurras: le chaos et l'ordre", de Stéphane Giocanti.

                On nous demande d'où (et de qui...) vient l'expression Maurras est un "continent"....

                Il s'agit d'une expression -fort heureuse au demeurant- employée par Stéphane Giocanti, auteur du volumineux Maurras : le chaos et l'ordre (Flammarion, 575 pages, 26 euros).

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                En guise de réponse à votre question, nous vous avons préparé une sorte de mini dossier, contenant:
                - le résumé qu'en donne l'éditeur;
                - l'enregistrement des 27 minutes (consultable sur Dailymotion) pendant les quelles Stéphane Giocanti parle de Maurras et de son ouvrage, sur France inter;
                - une note de lecture, par Olivier Tort.

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  • Pol Vandromme

                Pol Vandromme est décédé, à l'âge de 82 ans. Christian Authier et Jean-Pierre Stroobants lui ont consacré chacun un petit article (respectivement dans Le Figaro et Le Monde), mais on relira avec plaisir quelques extraits d'un article plus conséquent que lui avait consacré Daniel Cologne (le 24 mars 2008) sous le titre Pol Vandromme, un voyage au bout du non-conformisme.
     
     
     
     
     
     
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  • La burqa, c'est non ! Et voici pourquoi.....

    Après le coup d'éclat -heureux...- de Manuel Valls (1) mettant en cause la situation actuelle.... voici qu'une soixantaine de députés de tous bords pointent maintenant, pour le dénoncer -et ils ont raison...- le problème de la burqa.

     Appuyés en ceci par des personnalités diverses qui, sur ce point précis, ont pris très clairement une position qui permet de les qualifier de raisonnables, comme Dalil Boubakeur ou Fadela Amara.... 

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     Que l'Islam impose "ça" dans les pays où il règne en maître, c'est triste pour elles mais nous n'y pouvons rien, nous n'avons pas juridiction sur ces pays. Mais, chez nous, nous n'en voulons pas... 

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