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Rechercher : qu'est-ce que le Système

  • Humeur : Marseille bouge au rythme du Maghreb ? L'angélisme forcément niais, forcément inconscient du New York Times....

              Certes, ce que nous préférons, et de beaucoup, c'est de disserter avec ou sur Alain Finkielkraut ou Jean-François Mattéi; ou parler de politique étrangère à propos d'Hubert Védrine. Oui, mais voilà: nous avons les deux pieds solidement tanqués dans la glaise, et nous savons bien qu'avoir la tête dans les étoiles, qu'avoir des idées plein la tête, n'empêche en rien de voir les choses comme elles sont.

              "On" nous change notre Peuple, nos rues, nos paysages, nos moeurs, et nous ne devrions rien dire ? On dépossède tranquillement, méthodiquement et peu à peu le Peuple Français de son Pays, de sa Terre, de son Être, et nous devrions assister passivement, sans rien dire et sans rien faire, à cette substitution d'identité, par substitution de peuplement ? (2)

     

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    Une partie de la page cinq de La Provence, du 14 Août

              Sur un sujet aussi sensible et aussi fondamental, le Peuple Français devrait être consulté, et il ne l'est pas, par un Système qui prend notre argent mais pas nos conseils... Nouvel exemple par lequel on voit bien que nous sommes peut-être en République (idéologique...), mais certainement pas en démocratie.....

              Nous savons bien que la France n'est pas la seule concernée par les problèmes liés à l'immigration. C'est le monde blancdans son ensemble, les peuples développés de l'Europe et ce que l'on pourrait appeler ses satellites(Canada et États-Unis, Australie....), qui sont affectés de la même façon que la France. Tout simplement parce que ce monde blanc est victime de son succès, de ses succès, et que sa richesse -malgré la crise- agit comme un aimant irrésistible sur la pauvreté effarante des masses d'ailleurs... Et certes, de ce point de vue, il ne convient pas de mettre sur le dos du seul système idéologique français tous les problèmes liés à l'immigration, ni de le rendre seul responsable d'un phénomène migratoire mondial.

              Il n'en demeure pas moins que nous accusons le Système en place d'affaiblir la France depuis la Révolution, dans sa démographie, son économie, sa culture...; d'avoir affaibli le christianisme, par la guerre sans merci qu'il lui livre depuis les Lumières, ce qui aboutit aujourd'hui, de fait et objectivement, à avoir diminué les défenses européennes face à un Islam qui, lui, n'a pas été combattu de cette façon; et d'avoir -avec Chirac- légalisé, planifié et imposé l'illégitime (bien que légale) substitution de population que nous subissons.

                                                                                                                                       

             

              Qui nous dit que, sur le Titanic, parmi les 3503 passagers et membres d'équipage, certains, plus avisés ou mieux renseignés que d'autres, ne se posaient pas, avec un rien d'appréhension ou d'angoisse, cette inquiétante question: Le Commandant est-il bien sûr de lui ? Est-il si sûr de son fait pour lancer ainsi son bateau -notre bateau....- à toute vitesse, sur cette mer glacée dans laquelle abondent les icebergs ? Est-ce bien raisonnable....? Quoi qu'il en soit, par cette nuit froide et glacée du 14 avril 1912, le Titanic fonçait vers son destin, dont on sait ce qu'il fut. Un destin scéllé par le choix d'un seul homme: Dieu veuille que la France n'aie pas la fin du Titanic, elle dont le destin fut ainsi orienté sinon tout à fait par un seul -Jacques Chirac- du moins par un tout petit groupe qui s'est bien gardé de demander, sur un sujet aussi fondamental, son avis au Peuple pourtant réputé Peuple souverain.....

     

              A moins que...

     

              A moins qu'il n'y ait, au bord du gouffre, un sursaut du Peuple français, et que ce sursaut rencontre un recours..... (fin).

     

     

     

    (2) : Certes, là aussi, il y a deux façons de changer le peuple: le changer physiquement, par l'immigration, que nous dénonçons ici, et le changer moralement, mentalement, en faisant ce que fait le Système, qui est bien le premier délinquant de France: en faisant la promotion méthodique et quotidienne de la vulgarité et de ce que Finkielkraut appelle la dé-civilisation; en favorisant la subversion de toutes les valeurs.

     

            Oui, bien sûr, cela est tout à fait vrai, nous l'avons déjà dit et nous le redirons encore. Que l'on relise seulement notre dernière note de la Catégorie "Réagir au processus de dé-civilisation", consacrée à "Samuel Benchetrit, acteur majeur du prpcessus de dé-civilisation"....

     

            Mais ce n'est pas une raison pour ne pas crier "Au feu !"s'il y a le feu, aussi, ailleurs.....

  • L'opinion d'Hubert Huertas : l' ”affaire Clearstream”, comme l' ”affaire du collier de la reine ?”.....

                Nous avons plusieurs fois posé la question: à bien des égards, ne sommes-nous pas un peu comme en 1789 ? La "société bloquée" d'aujourd'hui, dont parlait déjà Chaban Delmas en 1970 n'est-elle pas, dans bien des domaines, comparable à celle des décennies qui ont précédé la Révolution ? Justement, parce qu'elle est, elle aussi, bloquée, et que les perspectives de changements ou de redressements apparaissent souvent bien irréels, face à la gravité de la situation.

                Et, toutes proportions gardées, l' "affaire Clearstream" -qui le discrédite aujourd'hui- sera-t-elle, pour le Système, l'équivalent de ce que fut, dans les dernières années de l'Ancien Régime, l' "affaire du collier de la reine" qui discrédita, injustement, la Monarchie, du moins dans une partie de l'opinion ?

                C'est ce que semble penser Hubert Huertas, responsable du Service politique de France culture. Et c'est bien l'une des lectures que l'on peut faire du billet qu'il donne à La Provence, ce mercredi 23 septembre. Or, Hubert Huertas n'est tout de même pas n'importe qui. On peut l'apprécier plus ou moins, comme on peut apprécier plus ou moins France culture. Mais ce qu'il dit ici mérite au moins qu'on s'y arrête et qu'on y réfléchisse. Après, chacun jugera....

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  • Douce France ! Ou: on danse sur un volcan, ça finira mal...

                De La Provence, du mardi 25 août 2009.....

                Tranche de vie dans la Cité Bassens, où, écrit tranquillement le journal -sans recevoir, évidemment le moindre démenti- "le taux de chômage des jeunes atteint 85%".

                La seule excuse de ce journal -mais, en est-ce une ?- est qu'il n'est pas le seul à véhiculer les mensonges et la manipulation du Système, plus grand voyou et premier délinquant de France. En effet, La Provence, comme presque tous les autres journaux, reprend volontiers et très régulièrement, le couplet des immigrés indispensables à notre économie, vous savez, puisqu'ils-viennent-chez-nous-pour-faire-le-travail-que-les-français-ne-veulent-pas-faire.

                 Mais, on a beau faire semblant d'être aveugle, on est bien obligé de le dire: La Provence -comme presque tous les autres journaux- fait donc régulièrement alterner le mensonge précédent avec l'énoncé d'une vérité qu'il est de toutes façons impossible de cacher: l'ahurissant taux de chômage des "jeunes" (celui de leurs parents n'étant, souvent, pas mal non plus....).

                 On connait le mot de Lénine, que nous citons très régulièrement. Il y a le petit groupe des manipulateurs -qui tirent les ficelles en coulisse- et puis la masse des idiots utiles, qui suivent en bêlant. Alors, La Provence, et celles et ceux qui font comme elle: manipulateurs, ou idiots utiles ?.....

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  • Bagnolet, ”jeune(s)”, délinquance.... : la surprenante évolution du Droit, sur les radios d’Etat…..

                Ou : de la présomption d’innocence à la présomption de culpabilité (attention : pour la police uniquement !...)

      

                "Il aimait la vitesse, il ne voulait que s’amuser, c’était un fan des rodéos….."  Bref, un type super, bien sous tous les rapports, un vrai héros des temps modernes. Le sous entendu était évident: dont ces ordures de flics ont causé la mort.

     

                Voilà ce qu’on entendait sur les radios publiques dimanche soir et lundi matin. Et voilà les policiers sommés de tout expliquer, de tout démontrer, de tout prouver par a + b : qu’ils ne l’ont pas poursuivi, ni touché avec leur véhicule ; l’IGS est immédiatement alertée (pensez, en cas de conflit entre un « jeune » et la police, la sympathie des médias va forcement au « jeune »…).

     

                Et il a fallu que, le soir même, le Ministre de l'Intérieur, presque convoqué en quelque sorte, vienne promettre en direct à la télé que les résultats de l'enquête seraient rendus publics ! A quand des excuses aux voyous ( excusez-nous de faire notre boulot, excusez-nous-de-vous-déranger-dans-vos-activités-messieurs-les-malfrats, excusez-nous d'exister....)

     

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    S'enfuir et s'encastrer sur une barrière de béton !
    Moyennant quoi, ses "potes", les "jeunes" ont tout cassé... 

                Il faut évidemment dénoncer -une fois de plus !...- tout cela: cette voyoucratie dans nos rues, et cette perversion intellectuelle et mentale dans une trop grande part des médias publics, donc payés par les impôts de tous, alors qu'ils ne reflètent que l'opinion ultra politisée de quelques uns. Nous l'avons déjà fait mille fois, et nous le ferons encore dix mille s'il le faut...

     

                Il faut cependant remonter à la source. Car, s'il est bon de remettre en cause, il est indispensable de proposer ce qui peut permettre de remettre en ordre, faute de quoi la dénonciation du mal est stérile.

     

                Si ces « jeunes », nouveaux venus et venus d’ailleurs, que nous n’avons ni désirés ni demandés sur notre sol, se tiennent mal, ils ont évidemment tort, et il faut les expulser. Notre position là-dessus est archi connue, et nous n'en avons jamais fait mystère. Il faut remettre de l’ordre en France, il faut remettre nos rues en ordre, c’est certain, et c’est urgent.

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    ...comme d'habitude.
     Ils s'en fichent, c'est nous qu'on paye !.....

     

                Mais comment ne pas voir que c’est le Système en vigueur, aujourd’hui en France, hic et nunc, qui est coupable, en réalité ? Comment ne pas voir que le premier délinquant de France, c’est le Système  lui-même ? Un système qui, fort logiquement fabrique des délinquants à la pelle et à la chaîne.

     

                Un exemple : ces profs désobéisseurs, de gauche et d’extrême-gauche évidemment, qu’il faudrait tout simplement radier de l’Éducation nationale, et que non seulement l’on ne vire pas, mais que l’on ne sanctionne pas, ou alors à minima, avec une simple petite retenue de salaire ! Un autre exemple ? Ces collectifs (RESF -dont nous demandons la dissolution- et tant d'autres...) qui organisent l'entrave et l'obstruction à la loi en ce qui concerne les clandestins/hors la loi qu'ils s'obstinent à appeler sans-papiers.

     

                Comment veut-on, lorsqu'on ne punit pas des gens pareils et les actes délictueux qu'ils commettent; lorsqu'on les laisse désorienter la jeunesse et l'opinion, brouillant les pistes et les repères (on parlait autrefois de morale...); lorsqu'on donne, donc, des exemples pareils à la jeunesse, à fortiori à une jeunesse venue d’ailleurs, comment voudrait-on que l’on obtienne une jeunesse qui se tient bien ? L’ordre dans les rues ne peut règner que lorsqu’il règne d’abord dans les têtes et dans les esprits.

     

                 Il faut donc virer ces jeunes délinquants venus d’ailleurs, certes. Mais virer aussi ce système, lui aussi délinquant, et créateur d'un monde et d'une société à son image…..

  • Effondrements et résurgences.... (2 ).

              Ce que les évènements économiques de ces derniers jours nous rappellent - et assez rudement - de plus simple et de plus clair, c’est que les idéologies ne pèsent plus grand-chose dès lors que des réalités impérieuses viennent soudain les contrecarrer. En pareil cas, les théories les mieux établies s’effondrent comme si elles n’avaient jamais existé. Et c’est toujours une grande leçon que cette revanche des faits sur les abstractions.

              Ainsi, dans la crise financière qui secoue le monde, la logique du libéralisme eût été sans nul doute que les établissements de crédit qui ont prêté inconsidérément, au-delà de toute mesure et de toute prudence, des sommes considérables à des masses tout aussi considérables d’emprunteurs incapables de rembourser, soient immédiatement mis en faillite et liquidés, comme toute entreprise en pareil cas. Il s’en serait suivi un effondrement mondial du système de crédit, le blocage de ce que l’on se met à appeler « l’économie réelle », la ruine des actionnaires qui se comptent par millions et la spoliation des déposants.

               L’ampleur des pertes ne permettant pas le sauvetage des établissements tombés, ainsi, en situation de faillite virtuelle, par l’autorégulation du système lui-même, c'est-à-dire par l’intervention de sociétés concurrentes, les réalités ont imposé que la société économique, en la circonstance, se tourne vers plus puissant, plus stable qu’elle et il est soudainement apparu que les nations elles-mêmes, les Etats étaient bien les seuls à disposer d’une telle assise, d’une telle puissance. Il a fallu, tout simplement, nationaliser, ou si l’on veut, mutualiser les pertes, les risques, les garanties … En quelque sorte, il a fallu que l’ensemble des actifs publics vienne sauver d’une faillite ruineuse pour tous, les établissements privés défaillants. Il a fallu, encore plus simplement, que le capital et l’épargne accumulés garantissent des dettes…

               Il n’y a pas grand monde, aujourd’hui, pour remettre en cause l’économie de marché, le capitalisme, parce qu’ils sont bien les seuls à produire des richesses et à les transmettre. Mais il est clair que le libéralisme économique en tant qu’idéologie, délié de toutes règles et limites, surplombant dédaigneusement les nations et les Etats, est en train de subir un sérieux et douloureux démenti. C’est là, sans-doute, et probablement pour longtemps, la fin de bien des illusions et de beaucoup de pratiques douteuses.

               Au nombre des idéologies victimes des réalités, il faut ajouter l’européisme, car, si les Etats se sont « concertés », mais tout le monde s’est « concerté », en l’occurrence, c’est le « chacun pour soi » qui a finalement prévalu en Europe. C’est ainsi que l’on a vu, après les Américains, les très libéraux Britanniques, Belges, Néerlandais et même, en définitive, les Allemands, sauver, chacun pour soi, les fleurons de leur système bancaire par une intervention massive de leurs Etats.

               Quant à la démocratie, dans l’urgence, elle n’a guère eu le temps de fonctionner. A-t-on demandé aux peuples leur avis ? Est-on sûr que les citoyens qui travaillent et épargnent sont et seront longtemps d’accord pour, en quelque sorte, cautionner les Etats, les sociétés, les foyers qui vivent sur des montagnes de dettes ?  Ce sont des politiques, des économistes, les dirigeants des principales banques, qui se sont réunis pour prendre les décisions qui s’imposaient et qui engagent à la fois les Etats et les citoyens.  

               Après la tempête et l’affolement, il faudra bien que le système économique redémarre, que les affaires reprennent. Ce sera le moment de comptabiliser les pertes et les gains et de dénombrer les morts, restés sur le terrain mouvant des aventures financières, mais aussi politiques et sociales, des dernières années.

               Il y a une dernière idée qui meurt en ce moment, ce qu’André Glucksmann a signalé dans un article récent du Figaro, une idée génératrice de bien des erreurs, y compris économiques. C’est, dit-il, « la promesse d’un monde apaisé » qui « diffuse urbi et orbi, l’annonce d’une histoire sans défi, sans conflit, sans tragique » et « autorise tout et n’importe quoi ». Sans-doute, en effet, s’apercevra-t-on, un jour ou l’autre, que de toutes les « bulles » dont nos sociétés ont vécu depuis des décennies, ce n’était pas la « bulle économique » qui était la plus pernicieuse ni la plus déterminante.  

  • Philippe Schmitt lance un référendum sur la justice...

              Le 25 novembre 2007, un turc violeur récidiviste assassinait Anne-Lorraine Schmitt dans le RER D, aux premières heures de la matinée...

              Depuis, son père se bat pour la prévention de la récidive...

              Un combat qui ne peut que nous paraître utile et bon puisque - on le sait - nous avons régulièrement affirmé que nous souhaitions l'établissement d'une perpétuité véritable en France.

              Le 28 juin dernier, Philippe Schmitt est devenu président du Comité d'orientation de l'Institut pour la Justice, et à ce titre et à ce poste il vient de lancer un "référendum sur la justice"http://institutpourlajustice.blogspot.com/ ). Objectif : "défendre le droit de tous à bénéficier d'un système judiciaire juste et équitable".

              Neuf questions visent à sensibiliser "aux dysfonctionnements de la procédure pénale" : le but est clair : "l’organisation à l’échelle nationale d’un Référendum sur la Justice, dont l’objectif est de réunir 2 millions de participants pour obliger les pouvoirs publics à agir".

     

  • A propos d'une réflexion lucide de Luc ferry : Et si on osait imaginer autre chose que ce qui existe ?...

              Dans sa mini rubrique La pensée du jour, La Provence du lundi 8 décembre cite une phrase (pardon, une "pensée"...) intéressante, et qui va finalement assez loin, de Luc Ferry :

              "Comment gouverner les démocraties s'il faut être populaire pour être élu et impopulaire pour réformer ?".

              Il a raison. Mais que faire, si l'on reste ou si l'on continue de raisonner dans le cadre des institutions telles qu'elles sont ? Se contenter de constats lucides, comme c'est le cas ici ? Mais après ? Le temps n'est-il pas venu d'instaurer, à la tête de l'Etat, un espace a-démocratique ?

              Sans pouvoir prétendre à la perfection, les monarchies européennes nous montrent l'exemple. Il faut dire qu'elles n'ont pas connu la radicalité de notre coupure révolutionnaire, et qu'elles ne fonctionnent pas avec un système directement opposé et contraire à leurs traditions et à leur histoire nationale.

               Nous y reviendrons...

  • Darcos: rénover la voie professionnelle...

    CPS_HMK85_180508193839_photo00_quicklook_default-165x245.jpg          Darcos est décidément un ministre à soutenir. Et l'on ne peut que souhaiter un plein succès au nouveau chantier qu'il vient d'ouvrir.

              Le ministre et trois syndicats (Snetaa-EIL, SNPDEN-Unsa, ID-FAEN) ont en effet signé le vendredi 23 mai un "protocole d'accord" visant à rénover et valoriser la voie professionnelle.

               L'accord propose de créer un "cycle de référence de baccalauréat en trois ans", au lieu de quatre actuellement, une réforme qui doit être généralisée à la rentrée 2009.

              Cette réforme doit "assurer au moins une formation de niveau V (CAP ou BEP, ndlr) à tous les jeunes et augmenter le niveau général des qualifications".

              Un tiers environ des lycéens, soit 720.000, sont scolarisés dans l'enseignement professionnel. On rappellera, pour signaler l'importance et l'intérêt du projet ministériel, que 150.000 jeunes sortent chaque année du système scolaire sans qualification; alors que, à l'autre bout de la chaîne, les métiers manuels ne demandent qu'à embaucher, pour transmettre un savoir-faire valorisant et enrichissant (à tous les sens du terme...)

              Évidemment, Gérard Aschiéri est "contre". Philipe Meirieu aussi...

  • Encore un ”signal fort” envoyé aux escrocs, clandestins et tutti quanti...

              Le tribunal de Rennes a abandonné toute poursuite contre une mère congolaise vivant illégalement en France depuis 2001...    

              Résidant près de Tours, Bemenga Bekay, 37 ans, mariée à un ressortissant de République démocratique du Congo (RDC), s'était rebellée le 28 février au moment de son expulsion, après avoir passé avec son bébé alors âgé de 15 mois plusieurs jours en rétention administrative à Rennes.

              A l'audience, l'avocate de Mme Bekay a souligné qu'en RDC, "le danger (était) réel pour la famille pour des raisons économiques et politiques".

              Les escrocs de tous bords ont donc reçu un encouragement supplémentaire à vivre dans l'illégalité. Il suffit de dire que "le danger est réel" (mais entre un et deux milliards de personnes, sur terre, vivent en état de danger réel...). Et il suffit de se rebeller pour pouvoir rester en France, une fois qu'on y est entré illégalement...

              Le Système continue, jour après jour, à transformer peu à peu, lentement mais sûrement, notre beau pays (pour combien de temps encore ?....) en pétaudière. Et d'envoyer le même message à tous les escrocs de la planète: vivez dans l'illégalité, gueulez, manifestez. En République ça marche, et ça rapporte gros...

  • Bon sens de lecteur...

              "La commission Attali suggère l'immigration de nombreux étrangers, qui travailleraient dans des secteurs d'activité où on ne trouve pas en France les compétences nécessaires...

              ...Cette suggestions met en évidence un fait qui semble avoir échappé à la commission: le système scolaire et universitaire français ne tient pas compte des besoins de la société. On pousse vers les études longues des jeunes qui en sont incapables, ou qui n'ont pas la motivation nécessaire, et à qui on ne donne aucune chance de développer des aptitudes manuelles ou techniques, méprisées par ailleurs, de sorte qu'il ne faut pas s'étonner si on manque d'artisans et de techniciens de base.

              Dans un pays qui compte 2 millions de chômeurs, 1 million de RMIstes, on ne sait combien de pré-retraités, et plus de fonctionnaires que les pays voisins, la suggestion de la commission Attali est accablante. Elle l'est d'autant plus que, dans le cadre du rapprochement familial, ces travailleurs étrangers feraient évidemment venir leur familles. Au lieu de favoriser une immigration dont on voit aujourd'hui les problèmes qu'elle pose et les coûts sociaux qu'elle entraîne, pourquoi ne s'attache-ton pas d'urgence à réaliser une meilleure adéquation entre les études des jeunes et les besoins de la société?"

            André Rosset (Le Figaro Magazine, Samedi 2 février, courrier électronique)

  • Comme en 1789... ?

              Finalement, la réduction du nombre des fonctionnaires sera bien moindre que prévue: plutôt un sur trois qu'un sur deux ne seront pas remplacés; et le Ministère de l'Éducation sera moins touché que prévu.

              D'ailleurs Gérard Aschiéri exulte, et la FSU avec lui. Et pourquoi exulte-t-il ? Tout simplement parce que, pour l'instant du moins, il fait peur au Pouvoir, et le Pouvoir doute, temporise et recule. Monsieur Aschiéri, c'est le privilégié type de l'Ancien Régime, genre parlementaire arc-bouté sur ses privilèges et bloquant obstinément toute réforme; jusqu'à ce que tout saute... comme on l'a vu en 89; et comme on le verra peut-être encore, mais cette fois-ci ce sera évidemment le système en place qui aura à faire face.

              Le problème financier, qui a permis la mise à mort de la Royauté, fera-t-il, à deux siècles de distance, sauter la République ? En tout cas, faute de résoudre le problème du poids des fonctionnaires dans son budget -et il n'en prend pas le chemin...- l'État républicain n'aura pas les moyens de quelque politique que ce soit. C'est la seule certitude.

              Que va-t-il donc se passer?.....

  • ”Restitutor”: un Roi Libérateur.....

              On le sait depuis l'Antiquité, depuis Ésope et sa fable de la langue: rien n'est totalement bon, ni totalement mauvais sur cette terre; il en est de même pour la situations des États: on sait bien que tout peut arriver, le pire bien sûr, mais ce pire n'est jamais certain, et ce sera peut-être le meilleur qui arrivera....

              Qui a dit: "Le désespoir en politique est une sottise absolue." ?Par définition, concernant l'avenir, tous les scenarii sont possibles, et si l'on peut nourrir de légitimes craintes (1), rien n'interdit de nourrir aussi de réels espoirs : tout simplement, entre autre..., parce qu'on a de multiples exemples, dans l'Histoire, de politiques trop "florentines", trop habiles, trop savantes, qui ont fini par échouer de ce fait même, en se retournant contre leurs auteurs et contre leurs noirs desseins.

              Ainsi en sera-t-il peut-être de cette folle politique de l'Immigration, menée depuis une trentaine d'années par le Système....

    JLForain1D.jpg            Nous évoquons régulièrement, ici même, les aspects les plus dangereux de cette politique suicidaire, aberrante et, peut-être, mortelle pour la survie et la continuité de la France telle qu'elle nous vient de l'Histoire; une France "communauté de destin", telle que nous l'avons reçue, et dont nous souhaitons continuer et poursuivre l'aventure, alors que que certains cherchent à la dissoudre et la diluer dans ce "grand tout immigrationiste", ce magma infâme et informe que cherche à nous imposer le Système, depuis les décrets Chirac de 1975. Mais qui peut affirmer que, justement, le sursaut ne viendra pas de là ? Un sursaut  provoqué précisément par ce nouveau mauvais coup porté à la France par la République idéologique ? Et qui pourrait fort bien conduire à la renaissance et au salut ? Qui serait, en lui même, l'occasion du choc, du déclic, qui fera réagir l'opinion ?..... 

                Osons une comparaison historique. Au troisième siècle de notre ère, l'Empire Romain connaissait une grave crise; dans les faits, il était tout simplement en voie de désintégration. Survint Aurélien, proclamé empereur en 270, qui se fixa comme objectif la reconstitution de l'Empire et son redressement, grâce à des réformes aussi profondes que bénéfiques: frappés par la réussite de son action, à l'origine du renouveau du Bas-Empire, les romains lui décernèrent le beau titre de "Restitutor" : celui qui rétablit, qui "remet debout"; le sauveur..... Aujourd'hui, lorsque nous proposons pour la France le Prince Jean, qui peut dire si, justement -et encore mieux que nous mêmes et notre propagande- ce ne sera pas l'état du Pays lui même qui rendra possible l'appel au Roi libérateur ? Si ce ne seront pas les noirs desseins de la république -par exemple dans le domaine de l'Immigration...- et les méandres tortueux de ses mauvais coups tordus qui finiront par convaincre les français qu'il est l'homme qu'il nous faut, au moment qu'il faut ? Que sa présence à la tête de l'État est "l'exigence naturelle des réalités de ce temps ?" (2)

              Avec cette Immigration, le Système ne joue-t-il pas à l'apprenti sorcier, à qui sa créature échappe: c'et un jeu très dangereux, qui peut se révéler plein de surprises à l'arrivée. Il existe une caricature royaliste célèbre, montrant une Marianne, vieille mégère affreuse, arrosant son jardin où poussent...des fleurs de lys ! Le titre du dessein (La belle jardinière) voulant signifier que par ses excès mêmes, par ses erreurs et ses échecs, la république se ferait au bout du compte le meilleur agent, le meilleur propagandiste de la nécessité d'un Roi au sommet de l'État... Aujourd'hui, il est clair que, comme l'Empire avant Aurélien, la France va mal, même très mal. La cause en est bien connue, c'est le Système et son idéologie; mais nous savons que, comme le disait Bainville, le remède est à côté du mal.

              Le Roi que nous proposons à nos compatriotes n'est pas une nostalgie, mais un recours et un projet; nous ne le justifions pas par des considérations passéistes, mais par l'état actuel de la France et pour répondre à la grave crise dans laquelle la république idéologique l'a plongée; il ne s'agit en aucun cas de "restaurer" le Roi, mais de bien voir que son impérieuse nécessité émane justement de cette crise dans laquelle se trouve la France. Ainsi conçu, le Roi est un recours, un espoir, une espérance; afin que s'écrivent encore de nouvelles et nombreuses pages de notre Histoire. On n'écrirait plus alors la "devise" S.P.Q.R., comme au temps de Rome et d'Aurélien "Restitutor", mais, pourquoi pas?, quelque chose qui pourrait ressembler à R.P.Q.F.: Rex PopulusQue Francorum: le Roi et le Peuple des Francs...

               Cela n'aurait-t-il pas un certain panache ?...

    (1): Oui, la France peut finir par mourir et disparaître à cause des mauvais coups que ne cesse de lui porter la république idéologique; du moins mourir et disparaitre en tant que grande puissance, voire puissance tout court, qui "compte" dans le concert des nations....

    (2) comme le disait le précédent Comte de Paris.                     

  • Je doute, donc je bave....

              Le Parti Socialiste se demande s'il existe encore, et François Hollande se demande s'il sert encore à quelque chose: moyennant quoi, pour se rassurer et pour se prouver qu'ils sont toujours vivants, ils tentent d'ameuter la terre entière en dénonçant l'action du gouvernement dans l'affaire des infirmières bulgares. Ils font "beaucoup de bruit pour rien": cela les gêne-t-il tellement que, pour la première fois depuis bien longtemps, la France ait un peu redoré son blason, et repris quelques couleurs sur la scène internationale? Qu'on le veuille ou non, le prestige de la France se trouve rehaussé après l'heureux dénouement de cette "affaire", et nul ne s'en plaindra.

              Cela les gêne-t-il tellement aussi que, pour la première fois depuis bien longtemps, la France se "place" pour des contrats juteux en Lybie, où Russes, Etats-Uniens, Britanniques et Allemands nous ont devancé (et s'ils nous critiquent aujourd'hui, c'est souvent par dépit et parce qu'ils auraient souhaité rafler la mise...)? Le PS et François Hollande auraient-ils préféré lancer sur Tripoli une expédition maritime du genre "Rainbow Warrior"?

              Ces cris d'orfraie de ceux qui jouent contre leur Pays nous ramènent à une triste réalité: dans le système républicain, tel que nous le subissons, il arrive toujours et très régulièrement des moments où, pour sauver leur propre existence et leurs propres intérêts, les partis politique doivent compromettre les intérêts du Pays et de l'État. C'est lamentable, c'est minable: c'est l'actuel fonctionnement du régime républicain....

  • Clandestins de Bonifacio: vices de forme ? Chiche !.....

               

    ZEMMOUR RTL 2.jpg

                 Grâce à Éric Zemmour, la scandaleuse attitude des juges, à propos des clandestins de Bonifacio, à reçu, le 26 janvier, sur RTL, la volée de bois vert qu'elle méritait: Zemmour ne les a pas loupés, les qualifiant -et il a mille fois raison- d' "alliés objectifs des mafias de passeurs et des patrons exploiteurs de main d'oeuvre bon marché", "sapant la protection sociale, les politiques d'intégration, et pourrissant la vie des classes laborieuses".

                Quelles leçons tirer de cette lamentable affaire ?

    1:  Comme on vient de le voir, le Système est devenu l'allié objectif des Mafias et des trafiquants de chair humaine, des négriers des temps modernes. Le "semble État" dont parle Boutang ne reprend un peu de vigueur que pour collaborer à cette sale besogne !.....

    2: "Ils" cherchent les vices de forme, les juges engagés à gauche et à l'extrême-gauche ? Ils veulent jouer à ce petit jeu-là ? Chiche ! Exigeons que l'on vérifie toutes les listes depuis 1975, et les décrets Chirac. Et que l'on supprime toute allocation, tout droit, tout avantage social et, bien évidemment, toute attribution de la nationalité française dès que l'on trouvera la moindre virgule, le moindre iota permettant de jouer, comme "ls" le font, le vice de forme....

         Et, là, ça en fera, des français de plastique qu'on aura la possibilité légale de virer, comme des tricheurs et des escrocs qu'ils sont....

  • Alerte rouge sur les crédits militaires ? : le ”sans langue de bois” de France info, qui reprend ce qu'écrit Le Point...

    ... et qui laisse sans voix !

    A dire la vérité, c'est tellement ahurissant qu'on a peine à y croire... Pourtant, oui, cela a bel et bien été écrit dans Le Point, et répété sur France info...

    Les affaires militaires ne concernent que la première partie de ce court reportage de France info (4'34""), la seconde - très intéressante au demeurant - concernant les modernes privilégiés de la République...

    Ce reportage de France info, consternant si ce qu'l dit est vrai, a le mérite de la franchise :

    http://www.franceinfo.fr/decryptage/la-revue-de-presse/a-920359-2013-03-15

    Il reprend, donc, un article de Jean Guisnel dans Le Point sur le sujet :

    http://www.lepoint.fr/editos-du-point/jean-guisnel/exclusif-vers-une-apocalypse-budgetaire-pour-les-armees-13-03-2013-1639658_53.php 

    le point credits militaires.jpg

    Même peu lisible, cette illustration de l'article de Guisnel dans Le Point est éloquente : un "effort de défense" qui passe de 5,44% à quelque chose compris entre 1,15 et 1,45% !

    Alors que l'argent gaspillé en pure perte dans les "plans banlieues" depuis des décennies se chiffre par dizaines de milliards (pas perdus pour tout le monde...); alors que l'immigration peut coûter, selon certains experts sérieux, jusqu'à 75 milliards par an à la France, les crédts militaires ne cessent de se réduire dramatiquement.

    Là aussi, le Système tue lentement, mais sûrement, la France, dans ses forces vives : l'Armée, c'est comme l'Assurance, qui n'est chère qu'avant l'accident...