Certes, ce que nous préférons, et de beaucoup, c'est de disserter avec ou sur Alain Finkielkraut ou Jean-François Mattéi; ou parler de politique étrangère à propos d'Hubert Védrine. Oui, mais voilà: nous avons les deux pieds solidement tanqués dans la glaise, et nous savons bien qu'avoir la tête dans les étoiles, qu'avoir des idées plein la tête, n'empêche en rien de voir les choses comme elles sont.
"On" nous change notre Peuple, nos rues, nos paysages, nos moeurs, et nous ne devrions rien dire ? On dépossède tranquillement, méthodiquement et peu à peu le Peuple Français de son Pays, de sa Terre, de son Être, et nous devrions assister passivement, sans rien dire et sans rien faire, à cette substitution d'identité, par substitution de peuplement ? (2)
Une partie de la page cinq de La Provence, du 14 Août
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