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Clandestins de Bonifacio: vices de forme ? Chiche !.....

           

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             Grâce à Éric Zemmour, la scandaleuse attitude des juges, à propos des clandestins de Bonifacio, à reçu, le 26 janvier, sur RTL, la volée de bois vert qu'elle méritait: Zemmour ne les a pas loupés, les qualifiant -et il a mille fois raison- d' "alliés objectifs des mafias de passeurs et des patrons exploiteurs de main d'oeuvre bon marché", "sapant la protection sociale, les politiques d'intégration, et pourrissant la vie des classes laborieuses".

            Quelles leçons tirer de cette lamentable affaire ?

1:  Comme on vient de le voir, le Système est devenu l'allié objectif des Mafias et des trafiquants de chair humaine, des négriers des temps modernes. Le "semble État" dont parle Boutang ne reprend un peu de vigueur que pour collaborer à cette sale besogne !.....

2: "Ils" cherchent les vices de forme, les juges engagés à gauche et à l'extrême-gauche ? Ils veulent jouer à ce petit jeu-là ? Chiche ! Exigeons que l'on vérifie toutes les listes depuis 1975, et les décrets Chirac. Et que l'on supprime toute allocation, tout droit, tout avantage social et, bien évidemment, toute attribution de la nationalité française dès que l'on trouvera la moindre virgule, le moindre iota permettant de jouer, comme "ls" le font, le vice de forme....

     Et, là, ça en fera, des français de plastique qu'on aura la possibilité légale de virer, comme des tricheurs et des escrocs qu'ils sont....

Commentaires

  • Votre vision néglige, je le crains,le désir d'identité culturelle et la préférence pour le "travail au pays" que manifesteraient sans nul doute un grand nombre d'immigrés pour autant qu'ils puissent en avoir réellement la possibilité.

    Dans une approche strictement économiste du problème, il est normal que la perspective d'une augmentation de son pouvoir d'achat soit pour lui une priorité absolue et qu'elle l'emporte sur les inconvénients du déracinement.
    Il est plus étonnant, en revanche, de voir ceux qui se réclament de la "préférence nationale " et qui disent regarder le désir de maintien des identités culturelles comme la pulsion la plus naturelle et la plus spontanée qui soit, attribuer aux immigrés un comportement
    rigoureusement inverse et laisser entendre que la recherche du "meilleur intérêt" matériel prime chez eux toute autre considération et les pousse fatalement à venir "envahir" des nations européennes regardées comme autant de pays de Cocagne.

    Si rien n'est anthropologiquement plus normal et plus fondamentalement légitime que de préserver son identité, de vivre au milieu des siens dans un cadre ancestral et familier, on ne voit pas pourquoi les immigrés échapperaient à la règle et seraient les seuls à vouloir, en toutes circonstances, maximiser leurs ressources économiques, fût-ce au prix du pire des déracinements.

    En réalité, l'immigration n'est "inéluctable" que dans la seule mesure où l'on tient les exigences de l'économie comme devant naturellement s'imposer aux volontés humaines. Elle ne l'est plus si l'on admet, au contraire, que le rôle de l'économie est de servir l'homme, et non d'en devenir le maître.

    A l'inverse, l'hypothèse d'une immigration appelée à se poursuivre inexorablement se révèle également très vite porteuse d'une logique absurde. Comment les pays occidentaux, même s'ils le voulaient, pourraient-ils absorber une masse de population immigrée en augmentation infinie ? Qui peut croire qu'il en résulterait autre chose que des déséquilibres croissants dans les pays d'accueil sans que soient pour autant véritablement
    modifiées les conditions d'existence dans les pays d'origine ?
    Admettons que la France puisse accueillir dix millions d'immigrés supplémentaires. Pourraitelle en accueillir cinquante millions ? Cent millions ? Quel que soit le laxisme des législations existantes, il faut bien concevoir qu'il existe des limites. Au demeurant, aucun principe en vigueur dans aucun pays n'a jamais prétendu qu'au nom des droits de l'homme, un pays n'a pas le droit de contrôler ses flux migratoires ni n'a le devoir d'ouvrir indéfiniment ses portes à tous ceux qui cherchent à s'y établir.

    L'accueil inconditionnel n'est pas à cet égard une réaction plus "normale" que le rejet de principe.

  • Etant moi même fils d'une ivoirienne naturalisée du fait de son mariage avec un vrai français de coeur et de sang, j'approuve totalement cet article, loin de penser facon eugéniste, j'ai la certitude qu'une nation possède une terre définitive qu'elle ne cherchera pas a agrandir en volant celle des autres, les vrais français ont vu leurs ancêtres obtenir cette terre de la part de Dieu tout puissant, ils se sont battus au fil des siècles pour la conserver et ont établi les bases de cette nation. La République l'a détruit, en accordant aux immigrés (ceux qui abandonnent leur terre et par conséquent leur nation) la nationalité française, elle renie depuis 2 siècles plus d'un millénium d'histoire, détruit celle des autres peuples, se vendant elle même a une entreprise tentaculaire nommée Nations Unis. Ces immigrés n'ont aucun lien avec la France, ils la haie, ce qu'ils aiment en revanche c'est son système viscéral et républicain qui leur accorde une nationnalité et une aide sociale non méritées. Moi qui dois supporter chaque jour le poids du métissage, je dis : à mort le métissage génétique des peuples !

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