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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 33

  • Au cinéma : C’est le monde à l’envers…, par Guilhem de Tarlé

    C'est le monde à l'envers ! - Film 2024 - AlloCiné
     

    A l’affiche : C’est le monde à l’envers… de Nicolas Vanier, avec Michël Youn et Barbara Schulz (Stan, le trader, et son épouse Sophie), Éric Elmosino et Valérie Bonneton  (les fermiers, Patrick et Constance), François Berléand (le père du fermier) et Yannick Noah (Bobby, l’écolo).

    Après les excellents L’École buissonnière et surtout Donne-moi des ailes, un film écologiste au bon sens du terme… Vanier nous a malheureusement servi deux films dans l’air pollué du temps, Poly et Champagne !, et aujourd’hui il récidive…

    Pourtant cette réalisation commençait bien, à l’image d’un film catastrophe avec la vie qui s’arrête brutalement, qui m’a rappelé le très bon roman Ravage (1943) de Barjavel.
    Malheureusement, malgré quelques bonnes  saillies, le film se conclut par un discours « bisounours » sur les « énergies renouvelables », et les éoliennes en particulier.

    Cette propagande tombait mal au moment où, à nouveau, dans mon village berrichon, on se bat contre ce fléau en subissant une « commission d’enquête » à laquelle j’invite tout le monde à répondre pour dire définitivement Non à la défiguration de notre pays et à la gabegie financière qu’elle représente www.registre-dematerialise.fr/5564/  (jusqu’au 30 octobre).

    Merci à chacun et à tous de votre contribution.

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  • Éphéméride du 26 octobre

    1562 : Date possible du départ de France de Jean Goujon (ici, sa Fontaine des Innocents, à Paris)

     

     

     

     

     

    1396 : Mort de Jean de Beaumetz 

     

    Il est à la fois l'un des plus talentueux et des derniers représentants de ce gothique tardif des XIVème et XVème siècles (que l'on appellera, en architecture, "flamboyant") qui sera, peu de temps après, remplacé par l'art nouveau : celui de la Renaissance...

    Après avoir travaillé en Artois, puis à Paris, Jean de Beaumetz devint, de 1375 à sa mort, peintre en titre de Philippe le Hardi à Dijon.

    Il décora les châteaux ducaux et l'église de la Chartreuse de Champmol, y peignant des retables et 26 tableaux pour les cellules des chartreux. La Révolution ayant totalement démantelé la Chartreuse, et dispersé la totalité des ouvres d'art qui s'y trouvaient, Beaumetz n'est plus connu que par deux de ces tableaux, deux Calvaires avec un donateur chartreux (l'un au Louvre et l'autre au Musée de Cleveland).  

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    Calvaire avec un moine chartreux, Musée du Louvre

     

    http://cartelfr.louvre.fr/cartelfr/visite?srv=car_not_frame&idNotice=1024 

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

    Diffusés ce mardi 22 octobre 2024 sur France 2, les deux derniers épisodes de "Notre Histoire de France", intitulés "Jeanne d'Arc face aux Anglais" et "Les noces rouges d'Henri IV et la reine Margot", ont rassemblé 1,93 million de téléspectateurs entre 21h02 et 22h49, selon Médiamétrie.

    On sait déjà que France 2 a commandé une suite, mais on ne sait pas si elle sera semblable à celle que nous venons de voir, ni avec Tomer Sisley, notamment.

    Nous redisons simplement ce que nous avons dit après les diffusions des deux mardis précédents : si "la forme" peut plaire et convaincre plus ou moins, et même mériter certaines critiques, elle n'est pas, et de très loin, le plus important.

    Le plus important, bien entendu, ce fut "le fond" : et ce "fond" nous paraît une heureuse surprise, par les temps qui courent (mensonges, inculture, cingleries de foldingues et on en passe...) : les téléspectateurs qui ne connaissent pas, ou peu, ou mal "notre Histoire de France" on pu voir présentés, justement, des moments majeurs de cette Histoire, dans leur absolue vérité, sans contre-sens, contorsions, falsifications ou autres manipulations dictées par une idéologie wokiste ou révolutionnaire.

    Encore une fois, par les temps (de disette) qui courent, il faut se réjouir de la moindre production qui dise, simplement, la vérité vraie sur nos ancêtres et notre passé, sur nos Racines...

    Nous n'avons donc pas visionné six chefs-d'oeuvre absolus, mais une vulgarisation on ne peut plus plus utile et on ne peut plus nécessaire, par les tristes temps qui courent; et - n'ayant pas mal au foi, ou n'étant pas "grincheux de nature" non plus - nous nous réjouissons, à chaque fois que c'est possible - comme ici - de voir quelque chose de positif sortir du petit écran : c'est tellement rare !

    NOTRE HISTOIRE DE FRANCE

    Tomer Sisley nous raconte le baptême de Clovis en 498 - Extrait vidéo Notre  Histoire de France

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  • Reçu de nos amis "Les Eveilleurs"... L’épopée de Romain Maréchal

    Combattus, parfois ; abattus, jamais, les Éveilleurs sont de retour avec, pour lancer l'année en couleurs, un entretien de Romain Maréchal !

    Romain Maréchal se fait connaître comme un amoureux de la France, avec le lancement d'une plateforme de streaming qu'il baptise "Épopée". Comme son nom le laisse suggérer, cette plateforme a pour but de diffuser et faire aimer l’épopée française, en s'appuyant sur les qualités de l'audiovisuel. Films, reportages, interview… l’auteur de cette nouvelle aventure nous livre avec conviction et enthousiasme le récit des sources, des espoirs, de la variété des œuvres qui animent son projet.

    Si vous aussi vous aimez la France, si vous vous intéressez à son histoire, à sa gastronomie, à ses grands hommes et à ses talents : écoutez Romain Maréchal dans ce passionnant entretien des Éveilleurs, et rejoignez l'Épopée !

     

     

     

    CHAINE YOUTUBE DES EVEILLEURS
  • Éphéméride du 25 octobre

    2007 : Premier vol commercial pour l’A 380

     

     

     

     

     

    732 : Charles Martel repousse les Maures 

     

    Probablement sur le territoire de la commune de Moussais (rebaptisé depuis Moussais-la-Bataille), les Francs commandés par Charles Martel ont repoussé une razzia menée par Abd el Rahman, lors de la bataille de Poitiers : 

     

    https://www.herodote.net/25_octobre_732-evenement-7321025.php 

     

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    Partis de Pampelune, les musulmans - qui ont envahi l'Espagne en 711 - ont conquis le Sud-ouest et ravagé Bordeaux; ils ont aussi fait des incursions dans le Sud-est : des légendes locales (comme celle de la Cabro d'Or, aux Baux-de Provence) et la toponymie en gardent quelques souvenirs (le massif des Maures; la Garde-Freinet...).

    Ils remontent maintenant vers le Nord-ouest, pour y piller les riches monastères. C'est là que Charles Martel - y gagnant son surnom... - stoppera définitivement leur avancée.  

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    Charles Martel mourra neuf ans plus tard, en 741 : sur son importance et le rôle politique qu'il a joué, voir l'Éphéméride du 22 octobre. 

     

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpgAu Rassemblement Royaliste des Baux, Pierre Debray a dit, un jour, que la royauté française était "la flèche du progrès".

    À Versailles, en 2010, s'est tenue une remarquable exposition : "Sciences et Curiosités à la Cour de Versailles".

    Cette exposition "dit" l'Histoire, mais la vraie : oui, sous Louis XV et Louis XVI, aboutissement de mille ans d'efforts des quarante rois qui firent la France, la royauté était "la flèche du progrès" dans tous les domaines : intellectuels, artistiques, scientifiques...

    Une authentique politique de civilisation, voilà ce qu'ont mené nos Rois : il faut le faire savoir et/ou le rappeler à tous, à temps et à contretemps...

    lafautearousseau

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    C'est dans Le Figaro : la grande mosquée de Paris deviendrait un bien de l'État algérien ? 

    https://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/12/03/97001-20151203FILWWW00120-la-grande-mosquee-de-paris-futur-propriete-de-l-algerie.php

    PAS D'ACCORD !

    MAIS, ALORS, PAS D'ACCORD DU TOUT !

    Résumons, en deux mots...

    Cette grande mosquée a été construite il y  a bien longtemps, dans un contexte totalement différent de celui d'aujourd'hui et dans lequel elle n'a plus de raison d'être.

    À l'époque, la France avait un Empire, et l'Algérie était française.

    Il s'agissait donc - et c'était normal à l'époque - de remercier les combattants (musulmans) de l'Empire, et aussi les français musulmans d'Algérie pour leur participation à la guerre, dans l'Union sacrée nationale.

    L'Action française n'émit aucune protestation sur la chose elle-même : ce que Maurras critiqua, avec raison, ce fut l'emplacement choisi, au coeur de la montagne Sainte Geneviève et du Quartier latin, où l'on implantait le symbole d'une civilisation autre que la nôtre, et que nous avions combattu pendant des siècles : l'Islam.

    S'il y a place, en France, pour plusieurs communautés, semblables sur "le fond" mais non identiques, dans les formes variées qu'elles peuvent prendre, il n'y a pas de place pour deux civilisations (comme le rappelait Boutang). 

    Il était donc normal, à l'époque et après le traumatisme de la Grande guerre, que l'on construisît une mosquée qui rappelât et exaltât le courage et le sacrifice des membres musulmans de l'Empire français et de l'Algérie française.

    C'est le lieu de son édification qui fut mal choisi, et que L'Action française critiqua, dans numéro du Mardi 13 Juillet 1926 :

    Grandes "Une" de L'Action française : 13 juillet 1926, Maurras, visionnaire et prophétique, réagit à l'inauguration de la Grande mosquée de Paris...

    Aujourd'hui, la page historique est fermée. Tous les valeureux combattants que l'on a, justement, remerciés et honorés son morts depuis bien longtemps et donc, en tant que telle, cette mosquée est - pourrait-on dire - obsolète, caduque, périmée... du moins dans son "intention".

    Si, donc, l'Algérie, ou tout autre pays, la veut, que le pays candidat la démonte et la remonte chez lui. À ses frais, bien entendu, puisqu'il serait "demandeur"... 

    Et sur les 7.500 mètres carrés qu'elle occupe, l'on pourrait édifier, juste à côté des Arènes de Lutèce, un bel espace vert, un beau square, qui viendrait embellir encore cette chère Montagne  dédiée à Sainte Geneviève, patronne de Paris...

     

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  • Reçu du GAR (Groupe d'action royaliste)...

  • Dans notre Éphéméride de ce jour :

    1648 : Signature des Traités de Westphalie 

     

    Pour Jacques Bainville, ils sont, tout simplement, "le chef d'oeuvre politique du XVIIème siècle".

    L'Empire (concrètement, ce que l'on appelle aujourd'hui l'Allemagne) était divisé en plus de 350 États (la Croix des géographes...); la France obtenait définitivement les Trois Évêchés (Metz, Toul et Verdun) en même temps qu'elle se voyait durablement libérée, au nord-est, de tout danger immédiat.

    Ces Traités vont assurer pour plus d'un siècle la prépondérance française en Europe.

    Ci dessous, Traité de paix dit traité de Westphalie, entre Louis XIV, roi de France, et l'empereur et les princes allemands. Page de signatures. Münster, 24 octobre 1648.

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    De Jacques Bainville, Histoire de France, chapitre XI, Louis XIII et Richelieu : la lutte nationale contre la maison d'Autriche :

    "La paix de Westphalie fut signée en octobre 1648.

    Cette paix, qui devait rester pendant un siècle et demi la charte de l'Europe, couronnait la politique de Richelieu. C'était le triomphe de la méthode qui consistait à achever la France en lui assurant la possession paisible de ses nouvelles acquisitions. Il ne suffisait pas d'ajouter l'Alsace au royaume. Il fallait encore que cette province ne fût pas reprise au premier jour par les Allemands. Il ne suffisait pas d'humilier la maison d'Autriche, de lui imposer une paix avantageuse pour nous. Il fallait encore, pour que cette paix fût respectée, pour que le résultat d'une lutte longue de plus d'un siècle ne fût pas remis en question, que l'Empire fût affaibli d'une façon durable et qu'il ne pût se réunir "en un seul corps".

    Au traité de Westphalie, la politique qui avait toujours été celle de la monarchie française, celle des "libertés germaniques", reçut sa consécration. Notre victoire fut celle du particularisme allemand. La défaite de l'Empereur fut celle de l'unité allemande. Mosaïque de principautés, de républiques, de villes libres, l'Allemagne, au lieu d'un État, en formait plusieurs centaines. C'était l'émiettement, l'impuissance, le libre jeu laissé à notre diplomatie, car ces trois cent quarante-trois États indépendants, de toutes les tailles et de toutes les sortes, étaient maîtres de leurs mouvements et de leurs alliances. Leurs rapports avec l'Empire devenaient extrêmement vagues et s'exprimaient par une Diète, un véritable Parlement, où, avec un peu de savoir-faire, nos agents pouvaient intervenir de façon à tenir le "corps germanique" divisé.

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              Signature des Traités à Münster...   

             

    Le principe de l'équilibre européen, fondé par le traité de Westphalie, reposait sur une véritable élimination de l'Allemagne, ce qui resta notre doctrine constante, parce que c'était notre plus grand intérêt, jusqu'à la fin du dix-huitième siècle. Enfin pour conserver ces résultats, pour empêcher qu'il y fût porté atteinte et que l'Allemagne fût conduite par une seule main la France, ainsi que la Suède, avait un droit de garantie au nom duquel elle pouvait s'opposer à tout changement de la Constitution de l'Empire, à toute redistribution des territoires, en d'autres termes aux ambitions de la maison d'Autriche on de tout autre pouvoir qui reprendrait son programme de domination des pays germaniques.

    L'Allemagne n'était plus, comme disait plus tard Frédéric II, qu'une "République de princes", une vaste anarchie sous notre protectorat. Ruinée, dépeuplée par la guerre de Trente Ans, réduite à l'impuissance politique, elle cessait pour longtemps d'être un danger. Nous aurions encore à nous occuper d'elle. Nous n'avions plus à craindre ses invasions : la grandeur de la France date de cette sécurité.

    Il est rare qu'on puisse fixer des moments où la politique a obtenu ce qu'elle cherchait, où elle l'a réalisé, dans la mesure où les choses humaines comportent les réalisations. Le traité de Westphalie est un de ces moments-là."

     

    C'est cette grandiose vision géostratégique des choses que la Révolution, les deux premières Républiques et les deux Empires défirent consciencieusement, créant au contraire l'Allemagne unifiée au nom du dément principe des nationalités : ce qui s'appelle travailler "en intelligence avec l'ennemi"... en l'occurrence, cette Allemagne unie, qui nous a fait tant de mal...

    Pour suivre les étapes de cette criminelle politique anti-française menée obstinément, contre tout bon sens, par Révolution, Républiques et Empires, voir, dans notre album Maîtres et témoins (II) : Jacques Bainville les deux photos "Intelligence avec l'ennemi : le recès de 1803" et "...la médiatisation de 1806"

     

     Et, dans notre album L'aventure France racontée par les cartes, voir la photo "Les Traités de Westphalie, chef-d'oeuvre absolu"

  • Éphéméride du 24 octobre

    Les Capétiens partout (Œuvre de Georges Mathieu)

     

     

    996 : Mort d'Hugues Capet 

     

    Élu Roi en 987, il n'aura pas régné bien longtemps ! 

    Et pourtant Jacques Bainville - qui écrit, avec raison "...les premiers règnes furent sans éclat..." - affirme que l'année 987, qui l'a vu accéder au trône, est néanmoins la date la plus importante de notre Histoire.

    Ci dessous, en orangé, on voit ce qu'était réellement ce qui allait devenir "la France" à l'avènement d'Hugues Capet : bien peu de chose !

     

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  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    L'État républicain idéologique - le Système - a tué l'enseignement, il y a cinquante ans, par la folie furieuse du Collège unique (imposé par Chirac/Haby, sous la Présidence de Giscard, ajoutée à la démagogie de l'école de masse et pour tous.

    Et maintenant que l'excellence de notre Enseignement n'est plus qu'un désolant champ de ruines, un Sahara intellectuel de masse, le même État républicain idéologique, le même Système, organisent... le "vivre avec" !

    C'est bien expliqué dans Boulevard Voltaire (article d'Arnaud Florac)

    "19 écoles d’ingénieurs n'auront plus d'épreuve de français au concours d'entrée. La raison en est donnée sans ambages : l'épreuve serait "anxiogènes pour les candidats"...

    https://www.bvoltaire.fr/19-ecoles-dingenieurs-nauront-plus-depreuve-de-francais-au-concours-dentree/?feed_id=6110&_unique_id=67167baebc2be

    @Element5 Digital/Unsplash

     

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  • Au cinéma : Tigresse, par Guilhem de Tarlé

    Tigresse - Film 2023 - AlloCiné
     

    Art et Essai  : Tigresse ,  un film roumain de Andrei Tänasse, avec Catalina Moga (Vera, vétérinaire dans un zoo), inspiré d’un fait réel.

    Tigresse… C'est l'histoire d'une femme qui, comme le dit le synopsis,  "vient de surprendre son mari en plein adultère ".
    Malgré une certaine invraisemblance et même une invraisemblance certaine, on peut haleter durant la poursuite et la chasse à travers bois et en ville, jusqu'au dénouement dans la piscine.
    La suite, malheureusement, est grotesque et la fin en queue de poisson d'un réalisateur qui ne savait sans doute pas vraiment ce qu'il voulait nous raconter.

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  • Dans notre Éphéméride de ce jour : Justice pour Franco ! (2/2)

    Voir "Dans notre Éphéméride de ce jour : Justice pour Franco ! (1/2)"

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    1940 : Hitller rencontre Franco à Hendaye

     

    Évidemment, la teneur de l'entretien étant restée secrète, chacun peut, selon ses opinions politiques, donner son explication de la chose : ce qui est certain c'est que le Caudillo - Galicien rusé... - refusa à Hitler toutes ses demandes, n'entra pas en guerre à ses côtés, et ne permit pas aux troupes de l'Axe le passage par l'Espagne, pour prendre à revers les forces françaises d'Afrique du Nord.

    En agissant ainsi, Franco oeuvra de fait, non seulement dans le sens des intérêts de la France, mais encore de ceux de la paix (en refusant une extension encore plus grande du conflit...), de l'Europe et de la Civilisation.

    Constatant son échec complet, et conscient de s'être fait berner, Hitler devait d'ailleurs déclarer, en substance, qu'il préférerait se faire arracher trois ou quatre dents plutôt que de recommencer une négociation avec un homme pareil... 

    Le lendemain, Hitler connut un second échec d'importance : sur sa route de retour, il rencontra le maréchal Pétain, à Montoire. Pétain "se montra opposé à toute déclaration de guerre à l'Angleterre, comme à toute paix séparée, et, quelques semaines plus tard, manifesta spectaculairement ses réserves en éliminant Laval du pouvoir (13 décembre 1940)" (Michel Mourre).

    Pour mémoire, Pierre Laval, comme tant d'autres "collaborateurs", venait de la gauche : franc-maçon, député socialiste, très lié à la CGT, il était aussi très lié avec Jacques Doriot, maire communiste de Saint-Denis, lui aussi "collabo"...  

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    De Gaulle déclara : 

    "Qu'on imagine ce qu'eût été le développement du conflit, si la force allemande avait pu disposer des possessions françaises d'Afrique. Au contraire, qu'elle fut l'importance de notre Afrique du Nord comme base de départ pour la libération de l'Europe."  (Journal officiel de la République française, Débats de l'Assemblée consultative provisoire, 15 mai 1945). 

    Bien plus tard, le 8 juin 1970, de Gaulle ira rendre visite au général Franco, rendant ainsi témoignage, devant l'Histoire, du rôle éminemment positif que celui-ci avait joué, depuis sa victoire sur le marxisme-léninisme : voir l'Éphéméride du 8 juin...

  • Éphéméride du 23 octobre

     Eilean Donan Castle, à Kyle of Lochalsh, dans les Highlands

     

     

     

    1295 : Signature de l'Auld Alliance

     

    Il s'agit d'un traité d'alliance défensive, directement dirigé contre les Anglais, signé entre le Roi d'Écosse et le Roi de France.

    En réalité, l'alliance entre Français et Écossais, conséquence logique d'intérêts communs (les deux nations s'opposaient aux Anglais) remonte beaucoup plus loin dans le temps.

    Dès 1165, Guillaume le Lion envoie une ambassade à Louis VII de France. On connaît cette amitié durable sous le nom d'Auld Alliance. Le traité de 1295 prévoyait que si l'un des deux États subissait une attaque de l'Angleterre, l'autre État envahirait celle-ci.

    Ci dessous les armes d'Écosse, jusqu'à l'Acte d'union avec l'Angleterre de 1603 (Acte forcé...), portant la devise latine 

     

    Nemo me impune lacessit (Personne ne me provoque impunément). 

     

    553px-Kingdom_of_scotland_royal_arms_svg.png

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  • Demain, ne manquez pas notre Ephéméride du jour...

    lfar flamme.jpgElle revient - entre autres choses - sur les Traités de Westphalie, grandiose vision géostratégique des choses qu'avait notre Royauté, et qui nous libéra, pour deux siècles du danger germanique, permettant notre prépondérance en Europe aux XVIIème et XVIIIème siècle, nos deux "Grands siècles".

    Les Encyclopédistes, puis la Révolution, les deux premières Républiques et les deux Empires défirent consciencieusement cette oeuvre bienfaisante, créant au contraire l'Allemagne unifiée au nom du dément principe des nationalités : ce qui s'appelle travailler "en intelligence avec l'ennemi", en l'occurrence, cette Allemagne unie, qui nous a fait tant de mal...

    Où l'on voit que la Royauté travaillait pour la France, la République idéologique contre elle et ses intérêts les plus essentiels...

    lafautearousseau