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LAFAUTEAROUSSEAU - Page 37

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Alors qu'il y a - largement - mieux et plus urgent à faire, Macron et le Système persistent dans leur acharnement à "organiser/imposer" la mort partout, du début à la fin de vie...

    Dans son édito politique "IVG et fin de vie : Emmanuel Macron président "sociétaliste"... Vincent Trémolet de Villers revient sur cette fureur pathologique qu'il y a à vouloir légiférer sur tout, pour que "la mort" règne partout, sans partage, comme règle suprême et ("comme ils disent", dirait Aznavour...) "gravée dans le marbre".

    Dans "leur" marbre, peut-être.

    Mais, ce qu'un Système a fait, un autre le défera...

    "Les derniers jours d'un être humain contiennent, malgré les apparences, le mystère insondable de sa présence. C'est ce mystère que l'administration médicalisée de la mort risque de faire disparaître. C'est pourtant ce mystère qui nous lie les uns aux autres...".

     
     

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  • Éphéméride du 12 mars

    1613 : Naissance d'André le Nôtre, inventeur du "Jardin à la française"

     

    1502 : Mort de Francesco Laurana

     

    Francesco est né vers 1430, à Vrana, près de Zara (l'actuelle Zadar, en Croatie), ville qui s'appelait La Vrana à l'époque où elle était dominée par les Vénitiens : c'est la déformation de ce nom en Laurana qui a donné son patronyme à l'artiste, dont on ne connaît que le prénom.

    Il commence son apprentissage à Naples, pour Alphonse V d'Aragon et, après le mort de celui-ci, en 1458, il est appelé en France, à la cour de René, duc d'Anjou, comte de Provence et roi de Naples.

    Ensuite, de 1466 à 1471, il est en Sicile, à Palerme.

    En 1471, il retourne à Naples, puis part à Urbino pour trois ans, et repart ensuite en France, où il introduit le travail à l'antique, c'est-à-dire le style de la Renaissance italienne.

    Il se fixe à Marseille, où il passa la plus grande partie des dernières années de sa vie. Son atelier produit l'Autel Saint-Lazare à la Cathédrale de Marseille, le Tombeau de Jean Cossa à Sainte-Marthe de Tarascon, celui de Charles IV du Maine au Mans, et le Retable du Portement de Croix pour l'église des Célestins d'Avignon.

    Sa fille épousa Jean de la Barre, peintre avignonnais, et Francesco vint s'installer en Avignon en 1498. Il y mourut en 1502, et fut inhumé dans la chapelle de Notre-Dame-la-Belle, qui jouxtait le couvent des Augustins. 

    À Marseille, dans l'ancienne cathédrale, Laurana édifia le superbe autel de Saint Lazare, en marbre de Carrare, de 1475 à 1481. Cet autel - non loin d'un autre chef d'oeuvre, de Della Robbia - est situé dans le croisillon nord du transept, et présente une arcature jumelée de style Renaissance; il est la première manifestation de ce mouvement en France :

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    On consultera avec profit l'étude suivante sur ce splendide travail, dans la cathédrale de La Major, où François 1er maria son fils, le futur Henri II, la cérémonie étant présidée par le Pape lui-même... :

    http://provence-historique.mmsh.univ-aix.fr/Pdf/2015-65-259_2.pdf

    et aussi ce lien, qui ne manque pas non plus d'intérêt :

    http://cathedrale.marseille.free.fr/vieille/laza/laza.htm

    Enfin, notre Éphéméride du 28 octobre, qui évoque le mariage "royal et papal" du futur Henri II donne d'autres renseignements sur cette splendeur mutilée qu'est la Vieille Major de Marseille...

     

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  • Non à la dégradation d’une statue (communiqué de l'Action française)

    Paris, le11 mars 2024

    Non à la dégradation d’une statue

    Des militants de l’Action française ont cru bon de revendiquer le barbouillage de la statue de Simone Veil à La Roche-sur-Yon.

    Ceux qui ont mené cette maladroite et fâcheuse initiative ont laissé éclater le dégoût que leur a inspiré la fête républicaine du congrès qui se voulait historique, et qui s’est réuni dans la ville royale de Versailles pour graver le droit fondamental de l’avortement libre (et obligatoire ?) dans le marbre de la constitution.

    60% des adhérents de notre mouvement sont des jeunes de moins de trente ans. Ils sont exaspérés par l’accumulation des signes de renoncement à la vie, de l’aspirateur d’embryon à l’euthanasie de nos anciens en passant par le suicide assisté, qui constituent aujourd’hui la seule espérance proposée aux Français dans un quotidien par ailleurs constellé de mauvaises nouvelles. Ainsi s’ajoutent les maux de notre société, insécurité, immigration massive, déroute industrielle, déclassement social, diplomatie au doigt mouillé, dissolution de la France dans une Europe « fédéralisante » et antichambre de la mondialisation. Ils sont aussi la génération que le grand guerrier Macron veut sacrifier sur le front russe pour défendre les valeurs LGBTQIA+ promues, entre autres, par les oligarques de Davos, les vrais maîtres de l’Élysée.

    Si nous comprenons le sentiment profond qui anime ces militants, nous réprouvons fermement ce type d’action contre-productive, cette violence symbolique qui s’ajoute à la violence réelle de l’avortement quasi industriel, qui ne sert pas plus notre mouvement qu’il ne sert la lutte pour la défense de la vie menée par de nombreuses associations sans relâche depuis des années. Nous ne sommes plus, du reste, à attaquer Simone Veil, laquelle avait tenté d’encadrer de façon rigoureuse sa loi, dont elle reconnaissait par ailleurs la dimension tragique. La dépénalisation de l’avortement visait à titre exceptionnel à « secourir » des femmes victimes de la violence et de la précarité mais, ce faisant, elle a ouvert la boîte de Pandore… D’une certaine façon, elle aussi a été trahie.

    Depuis les dérives du Planning familial, soutenues par les politiciens sans scrupules qui se sont affranchis de ses précautions, ont fait de cet acte chirurgical terrible, une banalité avec 235 000 IVG par an. Les responsables de ce prodrome des enfants à naître ne sont pas à chercher au Panthéon car ils sont bien vivants aujourd’hui et occupent les postes les plus en vue dans notre pays, ce sont eux que nous dénonçons.

    Nous condamnons cette action des jeunes militants qui ont manifesté, certes, leur légitime colère, mais de la plus mauvaise manière en s’en prenant à une statue, comme le dernier indigéniste venu. Simone Veil, pas plus que Colbert, ne mérite ces outrages.

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Si l'on excepte l'angélique naïveté de sa 18ème ligne ("si la démocratie fait le pari du débat...", comme si nous étions en "démocratie" !!!) Eugénie Bastié résume assez bien "le refus de débattre à gauche"... :
    « Faut-il aller débattre chez les réacs ? » s’interrogeait Libération lundi dernier dans un dossier de trois pages consacré à la participation à l’émission Répliques d’Alain Finkielkraut de la podcasteuse Victoire Tuaillon et qui a provoqué un scandale chez les féministes. La militante de Libération Johanna Luyssen écrit qu’il ne sert à rien de discuter avec quelqu’un d’aussi buté raciste, et misogyne que l’académicien. Notons qu’Alain Finkielkraut, en dépit de ses opinions personnelles, met un point d’honneur à faire de son émission un espace où la contradiction s’exprime. Ce refus rabique du débat est à rapprocher de celui exprimé par la tête de liste EELV aux européennes Marie Toussaint qui a dit qu’elle ne se rendrait jamais sur Cnews et appellé ses camarades de gauche Raphael Glucksmann et Manon Aubry à faire de même. Troisième exemple : Eric Naulleau a proposé un débat à la loyale à Jean-Michel Apathie, pour toute réponse, ce dernier a posté sur X une photo du livre d’Eric Naulleau dans une poubelle… au-delà du niveau d’infantilisme et de méchanceté de l’image, on imagine l’indignation si Pascal Praud s’était filmé en train de jeter aux ordures le livre d’un chroniqueur de Quotidien… Ce refus du débat est profondément illibéral. Si la démocratie fait le pari du débat, c’est parce qu’elle remplace la guerre civile par l’échange d’arguments. Le pluralisme, c’est le refus d’instaurer une idéologie en vérité d’état. Le débat, ce n’est pas juste une passion pour la rhétorique, c’est l’idée qu’en confrontant nos points de vues , en frottant et limant sa cervelle sur celle d’autrui comme disait Montaigne, on va devenir plus intelligent. Le sectarisme rend idiot, Jean-Michel Apathie en est la preuve. Comme le disait Marc Bloch : « Que chacun dise franchement ce qu'il a à dire ; la vérité naîtra de ces sincérités convergentes » Seuls les amis du mensonge ont peur de ce programme...
     
    (extrait vidéo, sur Europe 1, avec Dimitri Pavlenko, 3'27)
     

     

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  • Grandes "Une" de L'Action française : 10 Décembre 1919, Marcel Proust obtient le Prix Goncourt, grâce à la campagne de Léon Daudet en sa faveur...

     

    (retrouvez notre sélection de "Une" dans notre Catégorie "Grandes "Une" de L'Action française")

     

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    Ce fut le 10 Décembre 1919 que l'Académie Goncourt attribua son Prix à Marcel Proust, en très grande partie grâce à la campagne vigoureuse de Léon Daudet en sa faveur.

    • Dès le lendemain, dans le numéro du Jeudi 11, sous une signature dont la fin est illisible, Alain MELL... annonçait simplement la chose, en page deux du journal, dans la moitié inférieure de la première colonne : 

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    • Et le vendredi onze - deux jours après, donc... - c'est Léon Daudet en personne qui annonça la nouvelle et la commenta ainsi, dans le

    numéro du  Vendredi 12 Décembre 1919 :

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  • Éphéméride du 11 mars

    1794 : Création de l'École Polytechnique par Lamblardie, Monge, Carnot et Prieur       

      

    L'adjectif "polytechnique", apparu pour la première fois dans un document publié par Claude Prieur - Programmes de l'enseignement polytechnique de l'École centrale des Travaux publics - a été choisi afin de symboliser la pluralité des techniques enseignées.

    Elle est aujourd'hui installée à Palaiseau :  

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  • Demain, ne manquez pas notre Éphéméride du jour...

    lfar flamme.jpg1814 : Bordeaux proclame Louis XVIII Roi de France...

    Le désastre est total : déclarée en 1792, à l'instar des Girondins et de Brissot, dans le but exprès de faire chuter la monarchie, la folle "guerre à l'Europe" s'achève, 22 ans et un million et demi de morts après, par l'invasion du territoire national, inviolé depuis cent ans (deux vies d'homme...)...

    Russes, Autrichiens, Prussiens, Anglais : c'est toute l'Europe, où régnait l'esprit, le goût, les moeurs, la civilisation et la langue française qui s'est liguée contre le bellicisme xénophobe révolutionnaire; la République, dont l'Empire et Napoléon ne sont que "le sabre", a réussi le prodige d'agréger à nos ennemis traditionnels nos anciens amis et alliés, ligués maintenant contre nous; elle a épuisé la France; elle a soulevé des forces qui retomberont lourdement sur elle et sur ses enfants en lançant le principe des nationalités, c'est-à-dire, dans les faits, l'unité allemande : 1870, 1914, 1939 sortiront de ces nuées révolutionnaires, créatrices de l'Allemagne unie... par nous-mêmes !...

    lafautearousseau

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Le Système part à vau l'eau, et entraîne le pays avec lui, dans son naufrage...

    Pour Le Figaro (relayé sur ce point par le JT de 20h France 2...) "À Marseille, la corruption pourrait aussi venir des fonctionnaires de justice, qui seraient payés pour mal monter des dossiers, et faire libérer d’éventuels trafiquants de drogue..."

    https://www.lefigaro.fr/marseille/nous-sommes-en-train-de-perdre-la-guerre-contre-les-trafiquants-a-marseille-autopsie-d-un-echec-20240308

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  • Au cinéma : Daaaaaali !, par Guilhem de Tarlé

    Daaaaaali ! - film 2023 - AlloCiné

     

    A l’affiche : Daaaaaali !,  Un film français de Quentin Dupieux, avec Anaïs Demoustier (Judith, journaliste), Edouard Baer, Jonathan Cohen, Pio Marmaï, Gilles Lellouche et Didier Flamand (qui interprètent, dans le désordre, Salvador Dali) et Catherine Schaub-Abkarian (Gala, l’épouse du peintre).

    2024 va nous conduire à célébrer le cinquantenaire de la mort de Marcel Pagnol (1974) et, outre la lecture ou relecture de son œuvre, j’espère que l’offre cinématographique sera à la hauteur. J’ai déjà suggéré qu’un réalisateur s’attelle à son Premier amour dont il a écrit le scénario.
    Nous honorerons aussi les cent-dix ans de la mort de Frédéric Mistral (1914) avec Mireille et ses Mémoires et Récits… je doute, hélas !, qu’il y ait un biopic.
    Dans un autre registre, Daaaaaali !, me permet de découvrir et commémorer Salvador Dali, qui aurait fêté ses 120 ans (2004)…  s’il n’était pas mort en  1989.

    Quentin Dupieux nous avait déjà régalé d’une bonne soirée, il y a six mois, avec son Yannick… il récidive.

    « il ne faut pas se mentir », selon l’expression à la mode, caractéristique d’une époque où, davantage encore que dans le passé, le mensonge est roi… Confessons donc que j’ignorais tout de ce « génie », comme il se qualifiait lui-même, qui n’avait pas peur de s’affirmer anarchiste et monarchiste !
    Bien évidemment, et malheureusement, le long-métrage ne rapporte pas ces propos, dits « sulfureux », mais que l’on peut entendre dans la rediffusion d’interviews sous YouTube. Cette réalisation nous amuse quand même dans un portrait haut en couleurs qui me fait comprendre le surréalisme, l’imbrication du rêve et de la réalité dans des représentations sans queue ni tête : un film « déjanté » pour un héros « déjanté ».

    Bravo à Quentin Dupieux, et surtout, surtout, vive Salvator Dali !

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  • Éphéméride du 10 mars

    1607 : Aux origines de la Place Dauphine  

     

    Espace triangulaire, dans l'ouest de l'Île de la Cité, la Place Dauphine fut ainsi nommée en l'honneur du Dauphin, futur Louis XIII, fils de Henri IV.

    À ce grand roi bâtisseur on doit la Place Royale - aujourd'hui "des Vosges" -, la Galerie du Bord de l'eau, reliant le Louvre aux Tuileries,  et le grandiose projet, hélas non réalisé du fait de son assassinat, de ce qui aurait été la superbe Place de France (voir l'Éphéméride du 5 avril).

    Henri IV fit aménager la Place Dauphine sur l'emplacement de trois îlots alluvionnaires à fleur d'eau - l'île aux Bœufs, l'îlot de la Gourdaine et l'île aux Juifs, sur laquelle fut brûlé Jacques de Molay, le Grand maître des Templiers, le 18 mars 1314 (voir l'Éphéméride du 18 mars).

    La construction du Pont neuf (de 1578 à 1607, voir l'Éphéméride du 16 mars), entreprise par Henri III avait entraîné, logiquement, l'unification des trois îlots et leur rattachement à l'Île de la Cité : Henri IV décida de faire aménager cette nouvelle "pointe ouest" de l’Île de la Cité en bel espace résidentiel, et en fit don - par un bail à cens et à rentes du 10 mars 1607 - à Achille de Harlay, premier Président à mortier du Parlement de Paris. Henri IV récompensait ainsi celui qui l'avait loyalement et fidèlement servi durant les troubles de la Ligue

    Achille de Harlay reçut donc l'autorisation de créer une place triangulaire, à charge pour lui de construire les nouveaux bâtiments dans l'esprit de la Place Royale et conformes au plan imposé par le roi et le Grand Voyer Sully : un "promenoir" entouré de maisons "d’un même ordre", comprenant deux étages, dont les trumeaux seraient décorés de tables de pierre se détachant sur la brique, et dont les arcades du rez-de-chaussée abriteraient les boutiques.

    Achille de Harlay fit bâtir originellement trente-deux maisons identiques en chainage de pierre blanche, briques et combles en ardoise, de deux étages, avec un rez-de-chaussée à arcades pleines (comportant un rez-de-chaussée à galerie, deux étages carrés et un étage de comble), autour d'une place triangulaire quasiment fermée, ne s'ouvrant que par deux passages à ses extrémités, dont seul celui situé à l'ouest subsiste encore de nos jours, et débouche sur la statue équestre d'Henri IV.

    Malheureusement - et à l'inverse de ce qui s'est passé Place Royale, qui a conservé intégralement son splendide ordonnancement originel - les propriétaires successifs défigurèrent la place, ne respectant pas l'uniformité primitive : des trente-deux maisons uniformes d'origine, il ne reste intacts que les deux pavillons d'angle sur le Pont Neuf, les autres bâtiments étant modifiés ou rehaussés.

    Mais le pire devait arriver en 1874, à l'initiative de Viollet-le-Duc - qu'on avait connu mieux inspiré - qui fit démolir le côté pair de la rue De Harlay (la base du triangle de la place) pour dégager la façade arrière du Palais de Justice, construite à partir de 1854 ! Des arbres sont aujourd'hui plantés à l'espace qu'occupaient les maisons, jadis. 

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    La Place Dauphine partage donc avec la Place des Victoires (voir l'Éphéméride du 26 mars) le triste privilège d'avoir été largement défigurée et mutilée, au point d'avoir perdu, sinon la totalité, du moins une très large part de sa splendeur d'antan.

    Telles qu'elles nous apparaissent aujourd'hui, cependant, ces deux Places conservent assez d'éléments de leur beauté passée pour que l'on puisse se faire une idée assez précise de ce que fut cette très grande beauté. 

     

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  • Le numéro de mars du Bien commun est disponible...

    LBC 60

    Feuilleter quelques pages ↑

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    Le Bien commun,10 rue Croix-des-Petits-Champs, 75001 Paris

    contact@lebiencommun.net

  • Dans le monde et dans notre Pays légal en folie : revue de presse et d'actualité de lafautearousseau...

     

    Elle est tout à la fois : signe de lâcheté et soumission, de bêtise, de mauvais esprit, mauvais coup porté à l'image de la France... : l'affiche des JO fait jaser, et pas seulement en France !... :

    "JO de Paris : «Effacer la croix des Invalides» sur l’affiche officielle confine à la «stupidité», tacle le ministre italien des Affaires étrangères..."

    (c'est dans Le Figaro international)

    https://www.lefigaro.fr/international/jo-de-paris-effacer-la-croix-des-invalides-sur-l-affiche-officielle-confine-a-la-stupidite-tacle-le-ministre-italien-des-affaires-etrangeres-20240307

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  • Éphéméride du 9 mars

    1945 : Sortie du film Les enfants du paradis

     

     

     

    1107 : Le Pape Pascal II consacre La Charité sur Loire  

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    http://medieval.mrugala.net/Architecture/France,_Nievre,_La_Charite_sur_Loire,_Eglise_Notre-Dame 

     

    Pour avoir une idée de la diffusion de l'art roman et de l'art ogival (en France et en Europe) voir, dans notre album L'aventure France racontée par les cartes, les deux photos :

    Expansion de l'Art roman et  Expansion de l'Art ogival (ou Art français)

     

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