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... À partir du Rassemblement royaliste du Mont des Alouettes, en 1926, où 60.000 royalistes vinrent écouter les orateurs de l'Action française - dont, évidemment, Léon Daudet... - nous vous présentons une vision d'ensemble des Rassemblements royalistes de l'Action française, prolongés par ceux de Montmajour, de Saint Martin de Crau et des Baux de Provence, jusque dans les années 2.000...
Comme Estrosi, le Sénateur LR Stéphane Le Rudulier demande la dissolution de La France Insoumise (ici, dans TPMP) :
"Ils font indirectement l'apologie du terrorisme et du négationnisme !... Je demande depuis le 7 octobre la dissolution de LFI. J’ai été le 1er à avoir eu ce courage Aujourd’hui LFI menace les athlètes israéliens aux JO. Nous avons perdu 9 mois à laisser prospérer le parti de la haine des Juifs ! Que de temps perdu ! Plus que jamais dissolution !..."
"Si ce Parti Antisémite avec les mêmes racailles, les mêmes accointances terroristes, les mêmes propos anti juifs était situé à droite, ça fait longtemps qu’il aurait été dissout dans l’acide du Conseil d’Etat. C’est ça le privilège rouge vif ..."
Le clocheton sans cloche de la chapelle Saint Hernot, dans la presqu'île de Crozon...
1793 : La Convention ordonne de fondre les cloches...
Dans son décret n° 1256, du 23 juillet 1793, la Convention ordonne que les cloches des églises et chapelles de France soient déposées pour être fondues et puissent servir à la confection des canons; elle décrète que "chaque commune a la faculté de conserver une cloche qui serve de timbre à son horloge" : ce sera la "cloche civique". Cent mille cloches vont disparaître dans la tourmente. Et Napoléon, pour les besoins de son immense armée, ne fera qu'amplifier le processus...
Seules quelques cloches en réchappèrent :
• celle de Lignières (Cher), fondue à Orléans pendant la révolution, en 1790, porte la mention "Vive la nation, vive le Roi" et des fleurs de lys;
• celle de Quintat (Haute-Savoie) porte la mention "Si je survis à la Terreur c’est pour annoncer le bonheur"...
• cellede St Hernot, datée de 1703, et la plus ancienne de la presqu'île de Crozon encore existante; celle de l'église de Landévennec, "Marie-Anne", la grande cloche de Landévennec, date aussi de 1703...
• et, comme la vie paysanne se serait trouvée perturbée, en l'absence de repères sonores rythmant la journée, la plupart des cloches des campaniles, dans les petites villes et villages, ont pu être conservées...
Le véritable repeuplement des clochers ne se fit cependant que sous le Second Empire et la IIIème République.
I : l'exemple de Callac (Bretagne, document ci-dessous) :
"Au nom de la République, je requiers la Municipalité de Callac de mettre à exécution le décret du 23 juillet 1793 (vieux stile) qui porte qu'il ne sera laissé qu'une cloche dans chaque paroisse, que les autres seront descendues pour être fondues en canon; de plus qu'il ne soit laissé en aucun endroit des armes qui puissent encore rappeler le souvenir de l'orgueil des despotes. Signé : François Marbaud, agent national pour le District de Rostrenen.
À Callac le 16 nivôse de l'An 2 (5 janvier 1794) de la République, Une et Indivisible."
II : l'exemple de Notre-Dame de Paris : À Notre-Dame, toutes les cloches furent fondues, à l'exception du bourdon Emmanuel : "Emmanuel" avait succédé à la cloche "Jacqueline", qui avait été fondue en 1400, et avait été coulé en 1685 par plusieurs fondeurs lorrains pour la remplacer. Le parrainage fut assuré par Louis XIV et Marie-Thérèse d'Autriche, c'est pourquoi la cloche porte également le prénom "Marie-Thérèse".
"Emmanuel" se trouvant dans la tour sud, on installa, lors des restaurations du XIXème siècle, quatre cloches benjamines dans la tour nord.
"Emmanuel" pèse 13 tonnes, son battant 500 kilos; Le diamètre à la base de la cloche est de 2 m 62.
Il a été installé en 1686 en remplacement de l'ancien bourdon Jacqueline Le bourdon sonne en fa dièse ainsi qu'en attestece récit d'Ernest Laut, extrait du Petit Journal Illustré du 19 avril 1908.
À partir de 2011, le projet se fit jour de recréer l’ensemble en place en 1686, lors de la bénédiction du bourdon. En effet, l’ensemble de quatre cloches, placé en 1856, n’était pas accordé par rapport à Emmanuel, et donnait une sonnerie peu harmonieuse de par la piètre qualité du métal. Le projet était donc d'en revenir à la disposition existante jusqu’en 1792, afin de retrouver le paysage sonore de la fin du XVIIIème siècle.
Il faudra attendre 2013 pour voir le projet réalisé…
Écouter : les sons qu'ont entendu Louis XIV, Louis XV, Louis XVI (et quelques autres !...) restitués numériquement (site de la cathédrale Notre-Dame de Paris) :
1339 : Naissance de Louis 1er d'Anjou, mécène de la Tenture de l'Apocalypse, d'Angers
1317 : Robert d’Anjou, roi de Naples, confère le titre de miles (chevalier) à Simone Martini
Robert d'Anjou est un membre éminent de la branche des Capétiens d'Anjou-Sicile.
Cette année-là, il offre également un très riche apanage à Simone Martini, qui réalise la grande "pala" représentant Saint Louis de Toulouse couronnant le roi Robert (la canonisation du saint franciscain, frère du roi, eut lieu cette année-là).
Ce furent les premiers contacts officiels connus entre le célébrissime peintre italien de la Renaissance et la France.
Plus de vingt ans après, Simone Martini vint en France, suivant la cour papale en Avignon (1342) : il s'y lia d’amitié avec Pétrarque et illustra un codex de Virgile annoté par lui.
Simone Martini réalisa également des fresques pour la cathédrale Notre Dame des Doms, et travailla ensuite au Palais des Papes, où il dirigea une véritable école, dont fit partie Matteo Giovanetti.
Mais, à la différence de ce dernier, qui retourna en Italie avec le pape Urbain V - lorsque celui-ci ramena la Papauté à Rome - Simone Martini resta en Avignon, où il finit ses jours peu de temps après y être arrivé, en 1344.
Fresques dans la cathédrale Notre-Dame-des-Doms.
D’après deux sonnets de Pétrarque, Simone arrive en Avignon, accompagné de sa famille et de plusieurs collaborateurs, au début de 1336. Il y a été appelé par un des cardinaux italiens, probablement Jacopo Stefaneschi, qui lui aussi s’est installé dans la nouvelle cité papale.
C'est pour le Cardinal Stefaneschi que Simone exécute des fresques de l'église de Notre-Dame-des-Doms à Avignon. Les fresques du portail, le Christ bénissant et la Madone d'humilité, sont en très mauvais état de conservation; mais les synopia du Palais des Papes sont très intéressantes et de très grande qualité :
DERNIÈRE MINUTE, APRÈS LES DÉCLARATION FOLLES ET IRRESPONSABLES DU DÉPUTÉ LFI THOMAS PORTES...
• CET HOMME - QUI TIENT DES PROPOS INCENDIAIRES ET DÉMENTS - SE PRÉSENTE COMME UNE PERSONNALITÉ POLITIQUE. OR, LES TERMES QU'IL A EMPLOYÉS SONT D'UNE GRAVITÉ (ET PEUVENT AVOIR DES CONSÉQUENCES) DONT ON N'EST PAS SÛR QU'IL SOIT TOTALEMENT CONSCIENT.
• POUR RÉSUMER, SE VOULANT PORTE PAROLE EXCLUSIF DE CE QU'IL APPELLE (LUI ET LES SIENS DE LFI) "LA CAUSE PALESTINIENNE", CE TRISTE SIRE SEMBLE AVOIR OUBLIÉ QUE, EN ELLE-MÊME, "LA CAUSE PALESTINIENNE" NE CONCERNE PAS DIRECTEMENT LA FRANCE ET LES FRANÇAIS, ET QU'UN DÉPUTÉ FRANÇAIS EST FAIT POUR SE CONSACRER EXCLUSIVEMENT À LA DÉFENSE DES INTÉRÊTS DE LA FRANCE ET DES FRANÇAIS, ET NON POUR IMPORTER CHEZ NOUS DES COMBATS ET DES "LUTTES" (?) QUI NE NOUS CONCERNENT PAS DIRECTEMENT...
• MENAÇANT ET INJURIEUX ENVERS LES ATHLÈTES ISRAÉLIENS QUI VONT VENIR PARTICIPER AUX JO, IL A DÉCLARÉ QUE CEUX-CI N'ÉTAIENT PAS LES BIENVENUS ET A APPELÉ À "CRÉER DES MOBILISATIONS" : QU'EST-CE À DIRE ? CES MOTS SONT DANGEREUX, ÉTANT DONNÉ LA GRANDE QUANTITÉ DE "CAS PSYCHIATRIQUES" QUI RÔDENT DANS NOS RUES (ET QUI - SOIT DIT EN PASSANT - APPARTIENNENT À UNE CERTAINE RELIGION, OÙ L'ON VOTE LFI À PLUS DE 70%)...
• NUL N'A OUBLIÉ LES ATHLÈTES ISRAÉLIENS PRIS EN OTAGE ET LES 17 MORTS DES JO DE MUNICH EN 1972 : THOMAS PORTES EST-IL CONSCIENT QUE SES PAROLES PEUVENT PARFAITEMENT RÉSONNER COMME UN APPEL AU MEURTRE ? OU N'A-T-IL PAS CONSCIENCE DE LA GRAVITÉ DES MOTS INCENDIAIRES QU'IL PRONONCE ? DANS CE CAS-LÀ, QU'IL AILLE, LUI, CONSULTER !
EN CONCLUSION :
1. lafautearousseau est très rarement d'accord avec Christian Estrosi (ce membre de "la droite la plus à gauche du monde", qui a appelé, aux dernières élections, à voter communiste à Nice !). Pourtant, aujourd'hui, nous sommes d'accord avec sa demande dissolution de LFI...
• lafautearousseau, comme l'immense majorité du Peuple français, souhaite la bienvenue aux athlètes du monde entier qui vont venir concourir chez nous. Les athlètes israéliens ayant été ignoblement et honteusement insultés et menacés par Thomas Portes, lafautearousseau souhaite - à son modeste niveau - rétablir l'équilibre, et salue donc plus particulièrement, parmi tous les sportifs du monde, ces athlètes israéliens, leur souhaitant une franche et cordiale bienvenue, et le couronnement de leurs mérites par l'obtention du maximum de médailles que leur vaudront leurs magnifiques performances...
Voici le lien conduisant au numéro du Mercredi 20 Novembre 1929 : en page deux, moitié inférieure de la quatrième colonne, l'article rendant compte de la réunion est signé de Lazare de Gérin-Ricard :
Quelques explications sur ce "remplacement" de dernière minute...
Cette période de la fin novembre/début décembre 29 fut marquée - entre autres... - par la mort de Clemenceau et le 16ème Congrès d'Action française.
Le hasard voulut que, à ce moment-là, Maurras prit aussi un temps de repos dans sa Provence et son "Martigues plus beau que tout..."; chez lui, dans sa chère Bastide du Chemin de Paradis, où il résidait, finalement, si peu...
C'est G. Larpent qui assura donc "La Politique", du Vendredi 15 Novembre inclus jusqu'au Dimanche 1er Décembre, où Maurras la signa, de nouveau...
Entre ses activités privées, chez lui, et des activités publiques prévues, malgré tout - comme la réunion de Marseille - Maurras passa des "vacances" marquées par une très grande activité, et aussi - ceci expliquant cela... - quelques moments de grande fatigue, qui motivèrent en partie son désistement de dernière minute pour la conférence qu'il devait donner à Marseille (né en avril 1868, Maurras va alors sur ses soixante-deux ans, mais il mène une vie trépidante...).
Maurras, quittant Paris le 14, ne réapparaîtra dans le journal que dans le numéro Du Samedi 30 Novembre, avec son discours au Congrès; puis, le lendemain, en signant, de nouveau, "La Politique"...
Bien qu'en majorité catholique, la ville refusait de livrer à Simon de Montfort et au Légat du Pape les cathares qui s'y trouvaient.
La phrase célèbre "Tuez les tous ! Dieu reconnaîtra les siens !" n'a jamais été prononcée : peut-être, tout simplement, parce que, comme l'explique Alain Decaux, la radicalisation des esprits était telle, et si forte leur imprégnation par la mentalité que révèle cette phrase apocryphe, qu'il n'était en fait nul besoin de la prononcer : elle "était" dans les esprits...
Parce qu'il faut toujours garder le sourire, qui est bon pour le moral, surtout ces temps-ci...
Nous nous contenterons de dire à nos lecteurs et amis, à tous les Français, que ce n'est pas avec plaisir que nous voyons la triste actualité française nous donner raison (c'est notre grand Jacques Bainville qui le faisait remarquer); mais, oui, nous trouvons dans notre misérable et affligeante actualité politique les meilleures raisons de poursuivre inlassablement notre
"action réellement d'opposition, c'est-à-dire prônant ouvertement la subversion du Régime" (Léon Daudet)
Mostra de Venise 2023 : Memory, un film américain (VOSTF), le premier long-métrage du réalisateur mexicain Michel Franco, avec Jessica Chastain (Sylvia), Peter Sarsgaard (Saul Shapiro) et Merritt Wever (Olivia, la sœur de Sylvia).
Memory… Mon épouse a apprécié alors que je ne suis tellement pas « rentré » dans le film que j’ai décidé d’aller le revoir tout de suite…
C’est donc sans complexe que je le trouve artificiel, sans intérêt, avec des personnages « parachutés » qui ne viennent de nulle part, à commencer par Saul qu’elle n’a jamais rencontré au lycée… et donc qu’elle n’a aucune raison de fuir puisqu’elle ne le connaît pas… et puis Olivia… et puis « l’explication » finale controuvée, parce qu’il faut bien conclure…
Comme son nom l’indique, Memory veut traiter de la mémoire… Souvenons-nous de ne pas y retourner une troisième fois.
L'abbaye construite sur la tombe du martyr et de ses compagnons est le plus ancien établissement monastique de l'Europe de l'Ouest : on a trouvé, lors de fouilles, une monnaie de l'empereur Dèce (249-251) dans les grottes et cavités - naturelles ou creusées par les premiers chrétiens - qui sont la base et le fondement de l'Abbaye que nous voyons aujourd'hui (ci dessus).
1700 : naissance de Duhamel du Monceau, aux origines du Musée de la Marine (ici, la poupe de la galère "La Réale", de Louis XIV)
1031 : Mort de Robert II Le Pieux
Le fils d'Hugues Capet, et deuxième roi de la dynastie nouvelle, décède à Melun, à l'âge de 61 ans, après un long règne de 35 ans.
C'est cela qui finit par faire la fortune et la force de cette honorable famille capétienne : la longueur des règnes de ses premiers représentants (Hugues excepté, qui régna seulement neuf ans) : après Robert II (trente-cinq ans de règne), Henri 1er régna vingt-neuf ans; Philippe 1er, quarante-huit ans; Philippe Auguste, quarante-trois ans; Saint Louis, quarante-quatre ans; Philippe le Bel, vingt-neuf ans.
"Les premiers règnes furent sans éclat", dit Jacques Bainville, et sans cette heureuse longévité - jointe, il est vrai, au fait qu'ils eurent aussi la chance d'avoir toujours un héritier mâle pour leur succéder... - la pauvre puissance des premiers capétiens aurait eu bien du mal à déboucher, un jour, sur un Philippe Auguste...
Les agriculteurs de la Coordination Rurale appellent à se mobiliser ce vendredi à Melle (Deux-Sèvres) aux côtés des forces de l’Ordre pour défendre les fermes et les champs menacés par des activistes d’ultra-gauche...
Dans Le Figaro du 19 juillet 1919, Jacques Bainville (ci contre) et Henri Massis (ci dessous) publient un manifeste "Pour un parti de l'intelligence".
Dès 1920 sera fondée La Revue universelle, avec Bainville pour directeur et Henri Massis comme rédacteur en chef. La revue avait pour programme : "Rassembler tout ce qui, dans le monde, prend parti contre la destruction, fortifier et étendre les relations entre les groupes dévoués à la cause de l'esprit".
Elle paraîtra jusqu'en 1944, ayant réussi, au milieu des si nombreuses tribulations de l'époque, à recueillir des articles d'esprits aussi divers et différents que Jacques Maritain, Georges Valois, Gustave Thibon, Pierre Gaxotte, Claude Roy, Pierre Boutang, Raoul Girardet, Charles Maurras, Léon Daudet, Thierry Maulnier, Robert Brasillach...
Né en 1879, Jacques Bainville a donc quarante ans au moment où il fonde cette Revue; né en 1886, Henri Massis en a trente-trois...
L’une des plus remarquables réalisations de Bainville, ce n’est peut-être pas un livre, aussi importants qu'ils aient pu être pour certains; l’une des pensées les plus fécondes de son règne intellectuel (pour paraphraser Louis XIV), c’est peut-être... "La Revue universelle"...
C'est en 1920 que Jacques Bainville fonde cette Revue : il en était le directeur, et Henri Massis, le rédacteur en chef.
Dans Le Figaro du 19 juillet 1919 était paru un manifeste "Pour un parti de l'intelligence"; la Revue universelle, qui en découle, avait pour programme :
"Rassembler tout ce qui, dans le monde, prend parti contre la destruction, fortifier et étendre les relations entre les groupes dévoués à la cause de l'esprit".
La Revue se situait évidemment dans la ligne du Nationalisme intégral de L'Action française.
Y collaborèrent Charles Benoist, Marie de Roux, Robert Havard de La Montagne, René Johannet, Georges Valois, Firmin Bacconnier, Pierre-Antoine Cousteau, Georges Gaudy, Gustave Thibon, Pierre Gaxotte, Claude Roy, Gonzague de Reynold, Jacques Maritain (en charge de la rubrique philosophique, au début des années 1920), Charles Maurras, Maurice Vaussard et Henri Gouhier.
Puis, après 1941, Pierre Boutang et Raoul Girardet.
La Revue universelle s'intéressait particulièrement à la politique extérieure, mais on y trouvait aussi des études sur l'art, la littérature la philosophie, écrites par Léon Daudet, Thierry Maulnier, André Rousseaux ou Robert Brasillach.
Son dernier numéro paraîtra en 1944...
"...Ah ! comme tout alors me semblait simple, facile, uni. Je nous revois ensemble dans notre commun bureau de la Revue universelle, lorsque nous établissions le sommaire du prochain numéro, et qu'il en réclamait les épreuves. Il lui suffisait d'un regard, mais c'était un regard infaillible; rien qu'un mot parfois pour formuler sa décision, mais c'était un mot sans réplique. Et quel repos, quel assentiment, quand il avait conclu d'un simple geste, qui supprimait le tâtonnement, l'hésitation, l'incertitude..." (Henri Massis).
Dans Le Figaro du 19 juillet 1919, Jacques Bainville et Henri Massis publient un manifeste "Pour un parti de l'intelligence", aux origines de La Revue universelle
1799 : Découverte de la Pierre de Rosette
Exhumée lors de l'expédition de Bonaparte en Egypte, et aujourd'hui exposée au British Muséum, elle est l'un des documents qui permirent à Jean-François Champollion de percer le mystère de l'écriture des anciens Égyptiens.
Voici ce qu'en dit Jean Leclant, secrétaire perpétuel de l'Académie des inscriptions et Belles-lettres :