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1793, midi moins le quart : assassinat de Marie-Antoinette...
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1793, midi moins le quart : assassinat de Marie-Antoinette...
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Prince Jean de France : La question de la République est posée
- Les Conversations n° 51 - TVL
13 octobre 2024
Eté 2024 : à la faveur d’une dissolution improvisée, éclate l’un des plus lourds nuages qui assombrissent depuis des années le sort de la France, l’aporie nos institutions. Si la Constitution de la Ve République est solide, elle n’échappe pas à une contradiction majeure, qu’avait bien comprise son créateur : comment faire que le président de la République, clef de voute de notre architecture institutionnelle, soit à la fois président de tous les Français (remplissant la triple fonction d’assurer notre continuité historique, de garantir l’impartialité de l’Etat et d’arbitrer en cas de crise) et cependant élu au suffrage universel, c’est à dire par une partie de Français contre une autre ? Longtemps la question fut masquée par l’ombre gaullienne. Mais la tragédie se révèle avec les successeurs, chaque fois plus cruelle quand les Français se rendent compte que chacun des chefs d’Etat issu de l’élection est plus éloigné de ses missions fondamentales. Le pire étant atteint avec Emmanuel Macron, destructeur déclaré de notre continuité historique et si partial qu’il en devient minoritaire, son étiage tombant même, lors des européennes de juin, au dessous de 15%. Peu après, se fissurait le bien nommé front républicain, tandis que chacun peut observer que, constitué après des mois de crise, le gouvernement ne tient que par l’habile abstention du parti que ledit Front républicain visait précisément à exclure
Sur ce coup-là, difficile de ne pas dire : "Nous sommes tous des "fred le gaulois" !!!!!"
"Budget 2025 :
• L'Elysée : + 3 000 000 €;
• L'Assemblée Générale : + 10 300 000 €;
Sénat : + 6 000 000 €...
A la vôtre les vaches à lait."
illustration de titre : dans le numéro du Lundi 22 Mars 1909 (page deux), dont voici la suite et fin :
Hastings, de nos jours
1066 : Victoire d'Hastings
Guillaume le Bâtard triomphe de Harold, le dernier roi anglo-saxon, et devient Guillaume le Conquérant...
Note d’information du Carrefour des Acteurs Sociaux – 27 septembre 2024
1/ intelligence artificielle - mardi 15 octobre à 19 heures. Gérard Pelletier, directeur général de Datafranca donnera une conférence sur la science des données et l’Intelligence Artificielle. Lieu : salle de l'Ageca, 277 rue de Charonne - M° Alexandre Dumas. Cette réunion s'adresse tout particulièrement aux professionnels et aux étudiants. Participation aux frais 10 euros (5 euros pour les étudiants). inscriptions : dircas@cas-france.org
2/ « la contribution de Framatome à une politique spatiale française et européenne » ; ce sera le thème de la prochaine conférence organisée le Jeudi 28 novembre 2024 à Paris. Elle sera introduitre par Bernard Fontana, Président de Framatome et une première intervention de Grégoire Lambert, Directeur de département spatial de Framatome. Les autres intervenants vous seront communiqués dans unein,vitation d"finitive. Dès maintenant vous êtes invité - à reserver la date - et à vous préinscrire à l’adresse suivante : dircas@cas-france.org et à faire circuler l’information.
Évidemment, Philippe de Villiers a raison :
"Un gouvernement de droite ne devrait pas toucher aux #impôts - surtout quand ils sont les plus élevés de l'OCDE - mais s'attaquer aux dépenses !
2 pistes :
• 10 milliards = contribution nette de la France pour l'Union européenne;
• 50 milliards = coûts directs et indirects de l'#immigration"
(extrait vidéo 8'58)
https://x.com/PhdeVilliers/status/1844827398753120609
L'émission complète (1h03) :
Cannes 2024 : Les Graines du figuier sauvage, un film iranien (VOSTF) de Mohammad Rasoulof, avec Misagh Zare (Iman), Soheila Golestani (Najmeh, épouse d’Iman).
Ayant déjà passé plusieurs mois dans les geôles iraniennes et après une nouvelle condamnation de huit ans de prison pour « collusion contre la sécurité nationale », le réalisateur Mohammad Rasoulof a fui son pays au printemps dernier. Il parcourt actuellement les festivals pour présenter le film qu’il venait de tourner clandestinement sur la révolte « Femme, Vie, Liberté » qui a accompagné la mort en septembre 2022 de la jeune Mahsa Amini tuée pour « un voile mal porté ».
On notera avec amusement (non, parce que ce n’est pas drôle) mais on observera que ce sont pratiquement les mêmes festivaliers qui encensent (à juste titre) ce long-métrage et qui – à tout le moins - côtoient la France Insoumise favorable à la « créolisation » et finalement coupable de la libanisation de la France.
Malgré une dernière partie quelque peu abracadabrante, pleine d’invraisemblances, et un très (trop) long jeu de cache-cache dans des ruines, je recommande cette réalisation mi-docufiction, mi-thriller, sur ce totalitarisme des Mollahs que l’on doit – ne l’oublions pas – à la trahison du Shah, en 1979, par le Président américain Carter et à la bénédiction de l’Ayatollah Khomeiny par Giscard d’Estaing.
Il y a, paraît-il, une rue Neauphle-le-Château à Téhéran !
Sesterce de l’époque de Claude
54 : Mort de l'Empereur Claude
Né à Lyon - en 10 avant Jésus-Christ - il meurt après quatorze ans de règne :
L'édito politique de Vincnet Trémolet de Villers, chez Dimitri Pavlenko :
1010 : Charte de fondation de l'Abbaye de Solesmes
D'après les Actes des évêques du Mans, Saint Thuribe aurait, au Vème siècle, organisé le culte dans la villa gallo-romaine de Solemnis.
Au début du 9ème siècle, cette propriété de l'Église du Mans était tenue en bénéfice par un leude de Charlemagne, mais les raids normands allaient maintenir dans des mains laïques l'église et le domaine.
Raoul de Beaumont en fit don aux moines de la Couture, antique monastère manceau, par une charte qu'on date, par conjecture, du 12 octobre 1010 :
http://www.abbayedesolesmes.fr/FR/entree.php?js=1
(Source : France info, hier matin, "Le réveil de l'éco)
Beaucoup des soi-disant "européens" achetant états-uniens, et nos ennemis allemands ayant fait tout ce qu'il fallait pour saborder l'avion du futur - dans lequel la France aurait eu sa place... - nous allons nous débrouiller tous seuls, avec quelques pays européens tout de même...) et monter notre excellentissime Rafale à un niveau encore supérieur ("Le Rafale porté au standard F4.1 a désormais "acquis sa pleine capacité opérationnelle...").
Et ce sera très bien ainsi : au moins nous conserverons notre indépendance ! Quant aux européens qui "achètent états-unien" (comme les Polonais, par exemple, on leur souhaitera "bien du plaisir", en cas de crise militaire, lorsqu'il leur faudra faire traverser un océan, ou transporter par de longs vols aériens, les pièces de rechange ou d'entretien (ou les munitions) de ce qu'ils achètent maintenant, pour ainsi dire, au bout du monde, alors que, la France, c'est la porte à côté... Mais c'est leur affaire, après tout...
https://www.defnat.com/e-RDN/affiche_breve.php?cid=816
Lorsque Jacques Paugam a publié sa brillante étude consacrée aux débuts du maurrassisme – cet "Âge d’or" qu’il situe entre 1899, date de la création de la revue de l’Action française, et 1908, année où fut lancé le quotidien –, il s’agissait de mettre en lumière les complexités d’une pensée qui a nourri des hommes aussi différents que Bernanos, Montherlant, de Gaulle... et qui fut admiré par Proust, Apollinaire, Péguy, Malraux, Gide, Maritain, Althusser, Lacan, Dumézil...
Partant des textes et s’y tenant toujours, l’auteur s’attache à montrer comment, en neuf ans, l’Action française va élaborer sa doctrine, établir ses choix et construire une véritable philosophie de l’État qui, dans beaucoup de ses aspects, rend un son très actuel.
L’on voit alors combien il est pernicieux de réduire le maurrassisme à des facettes indéfendables – la plus souvent invoquée, la principale : l’antisémitisme... – et de ne retenir qu’elles. Mais comment ne pas les dissimuler sans étouffer ce que cette pensée compte par ailleurs de richesses ?
Maurras est-il un mal-compris ? Ses conceptions de l’État, de la Nation, ont-elles été déformées par les luttes partisanes et les passions politiques ? Ces questions demeurent d’actualité. Dépassant les controverses, Jacques Paugam contribue à réintroduire Maurras dans le passé et le présent de la France.
Et à faire entendre l’apport spécifique de l’Action française à l’histoire des idées, au-delà des vaines et stériles polémiques.