Mondiaux de natation: le Français Yohann Ndoye-Brouard médaillé de bronze sur 100 m dos...

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Arles, de nos jours...
1178 : Frédéric 1er Barberousse est couronné en Arles Empereur du Saint Empire Romain Germanique
La cérémonie est présidée par l'archevêque d'Arles, Raimon de Bollène.
À cette époque, la Provence ne faisait pas encore partie du Royaume de France, mais était une province du Saint Empire, lequel avait le Rhône pour frontière. Et la ville d'Arles jouissait d'un prestige certain : favorisée par Jules César, puis par Constantin le Grand, elle accueillit plusieurs conciles, dont celui qui, en présence de l'Empereur Constantin lui-même, condamna le Donatisme.
À partir de la chute de l'Empire romain, l'histoire de la région fut marquée par les diverses invasions (wisigoths, ostrogoths, sarrasins...), puis l'intégration à l'Empire de Charlemagne et, à la dislocation de celui-ci, une certaine indépendance, plus ou moins maintenue, jusqu'à l'absorption, en 1032, dans le Saint Empire.
En 1365, le 4 juin, un autre empereur germanique, Charles IV, se fera couronner comme son prédécesseur Frédéric Barberousse, roi d'Arles, dans la cathédrale Saint-Trophime.
En ce temps-là, les bateliers qui descendaient le Rhône ne disaient pas "à droite/à gauche", ni "à babord/ à tribord" mais, s'ils voulaient aller à droite, "Reiaume" (parce qu'il fallait aller du côté du Royaume de France); ou, s'ils voulaient aller à gauche, "Empèri" (parce qu'il fallait aller du côté du Saint Empire : on trouve là l'origine du nom du Château de l'Empèri, à Salon (ci contre).
Malgré un premier rapprochement, esquissé par le mariage de Louis IX avec Marguerite de Provence, il faudra attendre plusieurs siècles pour que la France atteigne sa "frontière naturelle" du côté des Alpes. La première réunion fut celle du Dauphiné, en 1349, réunion à partir de laquelle l'héritier du royaume devait porter le titre de "Dauphin".
Il faudra attendre Louis XI, en 1481, pour que la Provence devienne française à son tour.
Enfin, il faudra attendre Napoléon III et les plébiscites de 1860 pour que Nice - détachée de la Provence en 1388 - et la Savoie (le Val d'Aoste ayant été malencontreusement "oublié" par les négociateurs français) intègrent à leur tour la communauté nationale.
“Quand le Tour de France passe, la France est sur le pas de la porte", disait - avec raison, Tristan Bernard.
Cent vingt deux ans après le premier départ (1903 !) ce jeune homme fringant qu'est "le Tour" nous étonne et invente, encore et toujours.
Quelle idée grandiose que d'être allé à la Butte Montmartre, et trois fois de suite, pour finir en beauté la "Grande boucle" ? En grimpant, par trois fois, cette rue Lepic, là-même où le génial Louis Renault réalisa l'exploit, dans la nuit du 24 décembre 1898, de gravir cette montée plus que rude au volant d’une voiturette de sa fabrication : il avait transformé un tricycle de Dion-Bouton en quadricycle, qu’il avait équipé d’une boite à 3 vitesses avec la troisième en prise directe et la marche arrière...
Et le public, évidemment, était là, et c'était la fête, comme à chaque étape, comme chaque année, depuis... 1903 !
MERCI, "LE TOUR"
On ne peut s'empêcher - nous sommes un site "politique"... - de remarquer que, si "la foule", "les gens", "le peuple" était là, il y avait "une population" qui n'y était pas; comme elle n'était pas aux obsèques de Johnny, ou pour saluer l'Armée au défilé du 14 Juillet, ou à la cérémonie d'ouverture des JO (tant mieux, elle aurait tout cassé !...)...
On dit ça, on dit rien...
Maxime décroche le deuxième titre mondial de sa carrière, le premier pour les Bleus à Singapour...
1987 : Début de la construction du Tunnel sous la Manche
1656 : La Reine Christine de Suède débarque à Marseille
C'est un personnage tout à fait hors du commun - excentrique, disent certains - qui entame un voyage en France; un voyage qui sera, comme toute sa vie, marqué par le surprenant : la reine causa - par exemple - un grand scandale lorsque, au cours de son séjour, à Fontainebleau, elle fit assassiner son écuyer et amant, Monaldeschi (1657).
Très cultivée, elle avait convaincu Descartes de venir en Suède, et correspondait avec Pascal, Gassendi ou Madeleine de Scudéry.
Pour Louis XIV, il ne fit aucun doute qu'il fallait recevoir magnifiquement cette reine d'un pays nordique protestant : l'importance diplomatique de sa "visite" ne peut se comparer qu'à la traversée de la France par Charles Quint, sous François premier.

Christine de Suède et sa cour (partie droite du tableau).
La Reine écoute Descartes faisant une démonstration de géométrie, en présence du Prince de Condé, d'Élisabeth de Bavière (princesse Palatine) et du père Marin Mersenne.
Louis Michel Dumesnil (1680-1746), Musée national du Château de Versailles
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/caief_0571-5865_1957_num_9_1_2097
Vous y trouverez expliquée la genèse de la Coupo santo de Frédéric Mistral, et une évocation rapide du Félibrige, du sain régionalisme, qui ne se dresse pas contre la grande Patrie, mais qui, au contraire, en cultivant l'amour des Français pour chacune de leur "petite patrie" renforce et consolide l'unité de l'ensemble France.
Ce qui est le véritable fédéralisme, qui ne peut exister sans fédérateur : la royauté...
lafautearousseau
Ce court extrait de l'homélie du toujours excellent Cardinal Sarah, envoyé spécial de notre cher Pape Léon XIV pour le 400ème anniversaire des apparitions de Saint-Anne, à Auray :
"En Occident, la religion est assimilée à des actions humanitaires, à l’accueil de migrants… Cette vision de la religion est fausse !...
(extrait vidéo 2'18)
https://x.com/Frontieresmedia/status/1949090354806084020
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Et pour le plaisir, bien qu'on l'ait "passée" hier... :
Saint Jean de Luz, de nos jours...
1659 : Départ de Louis XIV pour Saint Jean de Luz
L'une des clauses du Traité des Pyrénées, en cours de signature avec l'Espagne, stipule que le Roi de France doit épouser la fille du Roi d'Espagne.
En réalité, les pourparlers et la signature du Traité traînant en longueur, le voyage durera presque un an, le Roi ne rentrant à Paris que le 13 juillet 1660.
Il en profitera pour faire un long détour dans les provinces du Sud Est et y consolider son autorité.
Entièrement d'accord avec Gabrielle Cluzel :
"La reconnaissance de l’État de Palestine est révélatrice de ce qu’est Emmanuel Macron : c’est un LFI en col blanc ! C’est un homme de gauche, qui déroule un narratif d’extrême gauche..."
Nous l'avons souvent écrit, reprenant la phrase de Gustave Thibon sur "le chaos figé des conservateurs du désordre" d'aujourd'hui, qui sont les successeurs et continuateurs du "chaos explosif des révolutionnaires" de 89/93 : Macron porte costard/cravate, mais c'est un sans culotte de la Section des piques de 93, et il est le chef - aujourd'hui - de leurs descendants/continuateurs/démolisseurs et dé-constructeurs de tout ce qui fait la France : sauf que la République idéologique ayant le pouvoir aujourd'hui, elle n'a pas besoin d'installer la guillotine en plein Paris...
Tartufe peut se payer le luxe d'apparaître comme une "personne normale"...
En apparence, seulement : car c'est le même poison mortel que distille le Système, même avec un nouveau Robespierre en costard/cravate !
(extrait vidéo 1'18)
https://x.com/BVoltaire/status/1948831871527440654
1214 : Victoire de Bouvines
Ce triomphe est, de fait, la première manifestation publique de la réalité de la Nation Française. Et sa célébration serait, sans aucune doute, une bien meilleure date de Fête nationale que le plus qu'ambigu 14 juillet (voir l'Éphéméride du 14 juillet)...
En un peu plus de deux cents ans, en partant de presque rien, les Rois Capétiens ont créé un État fort, qui leur a permis, en retour, de commencer à créer réellement et durablement la France. Quoique très incomplète, elle existe déjà: à l'intérieur, comme conscience nationale librement voulue et vécue; à l'extérieur, comme le premier royaume de l'Occident.
C'est en quelque sorte la valeur de l'oeuvre des capétiens prouvée par l'Histoire...
L'église de Bouvines, dont les vitraux racontent la bataille
1942 : Les débuts du Festival international d'art lyrique d'Aix-en-Provence...
754 : Pépin le Bref, premier roi sacré de l'Histoire de France
Clovis, fondateur de la dynastie des Mérovingiens, est considéré à juste titre comme le premier des rois de France.
Pourtant, il faudra attendre la seconde dynastie, celle des Carolingiens, pour que le sacre des rois de France devienne une réalité, et ce sera avec le fondateur de cette deuxième dynastie, Pépin le Bref.
Sacré une première fois en mars 752 par une assemblée d'évêques du royaume des Francs, Pépin le Bref, père du futur Charlemagne, fut de nouveau sacré, mais plus solennellement encore le dimanche 28 janvier 754, dans l'Abbaye de Saint-Denis, par le pape Étienne II.
Le premier monarque français à être couronné et sacré dans la cathédrale de Reims sera Louis le Pieux, fils de Charlemagne, en octobre 816, le dernier étant Charles X, le 29 mai 1825.
Soit trente-et-un souverains sacrés à Reims, quatre ailleurs, et deux non sacrés, en un peu plus de 1.000 ans...
Sacre de Pépin le Bref par le pape Étienne II à Saint Denis, 28 juillet 754, par François Dubois, 1837, Château de Versailles
https://www.herodote.net/27_juillet_754-evenement-7540727.php
Ph. L. bien reçu votre deuxième versement généreux par Paypal : toute la Rédaction se joint à moi pour vous remercier...
Encore merci à ceux qui vous ont précédé, et, d'avance, merci à ceux qui nous témoigneront leur amitié, leur soutien, leur encouragement...
François DAVIN, blogmestre
Au premier semestre 2025, @Dassault_OnAir a livré 7 #Rafale : 4 à l’Export et 3 à la France.
La question qui se pose maintenant est celle du SCAF, cette rêverie/supercherie que nos ennemis Allemands/Prussiens voudraient nous imposer parce qu'ils en domineraient la direction.
Dassault a déjà déclaré depuis plusieurs mois qu'il pouvait le faire seul, ou avec d'autres partenaires "non hostiles" (comme cela se passe pour l'excellent Mamba, que nous fabriquons avec les Italiens, et qui est aussi bon les Patriots états-uniens) :
"Nous croyons à la méthode Rafale", a déclaré Eric Trappier, qui défend un pilotage du SCAF à la française.
Alors, pourquoi Macron ne casse-t-il pas les soi-disant "négociations SCAF", en laissant dire que Paris et Berlin se donnent jusqu’à fin août pour trouver un accord.
Il ne peut pas y avoir d'accord avec Berlin, qui est notre ennemi, c'est tout...
Le château de Chenonceau, dans le cadre de ses visites nocturnes estivales...
Il y a treize jours, dans l’année, pendant lesquels il ne s’est pas passé grand-chose, ou bien pour lesquels les rares évènements de ces journées ont été traités à une autre occasion (et plusieurs fois pour certains), à d'autres dates, sous une autre "entrée".
Nous en profiterons donc, dans notre évocation politico/historico/culturelle de notre Histoire, de nos Racines, pour donner un tour plus civilisationnel à notre balade dans le temps; et nous évoquerons, ces jours-là, des faits plus généraux, qui ne se sont pas produits sur un seul jour (comme une naissance ou une bataille) mais qui recouvrent une période plus longue.
Ces jours creux seront donc prétexte à autant d'Évocations :
• 1. Essai de bilan des Capétiens, par Michel Mourre (2 février)
• 5. Quand Le Nôtre envoyait à la France et au monde le message grandiose du Jardin à la Française (13 mars)
• 7. Quand Louis XIV a fait de Versailles un triple poème : humaniste, politique et chrétien (28 avril)
• 9. Quand la cathédrale Saint-Pierre de Beauvais a reçu, au XIIIème siècle, son extraordinaire vitrail du Miracle de Théophile (28 mai)
• 10. Quand Chenonceau, le Château des Dames, à reçu la visite de Louis XIV, âgé de douze ans, le 14 Juillet 1650 (26 juillet)
• 11. Le Mont Saint Michel (11 août)
• 12. Quand François premier a lancé le chantier de Chambord (29 septembre)
• 13. Quand Léonard de Vinci s'est installé au Clos Lucé (27 octobre)
Aujourd'hui : Quand Chenonceau, le Château des Dames, a reçu la visite de Louis XIV, âgé de douze ans, le 14 Juillet 1650.
Gaby Charroux est le Maire de Martigues.
Lui et son équipe laissent pourrir sur pied la Bastide de Charles Maurras, au Chemin de Paradis, qui a été offerte à la Mairie, conformément au voeu de Maurras lui-même, en 1997.

C'est évidemment un scandale, mais c'est surtout d'une bêtise crasse, d'une imbécilité qui n'honorent évidemment pas celui et ceux qui en font preuve...
Charroux ne se représentera pas aux prochaines élections municipales : lafautearousseau et ses amis dans la région feront tout ce qui est en leur pouvoir pour faire élire un Maire patriote, au plan national et local, qui donnerait enfin à cette superbe bâtisse du XVIIème siècle le destin qu'elle doit avoir : un pôle de rencontres, de débats et d'échanges intellectuels et culturels, de rayonnement national et international, qui ferait honneur à la ville de Martigues, en premier lieu, à la France, aussi, et enfin à la pensée et à l'Esprit français, à la Culture, tout simplement...
En attendant, ce triste personnage qu'est Charroux laisse apparaître un autre aspect de sa malfaisance et du triste sire qu'il est (dans Frontières) :
"Le maire COMMUNISTE de Martigues (13), Gaby Charroux, a été MIS EN EXAMEN dans une affaire de CORRUPTION et FAVORITISME dans l’attribution des marchés publics du logement social, après la découverte de 3,3 tonnes de COCAÏNE dans une villa."
CE QUE NOUS VOULONS :
http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/03/17/x-6219815.html
